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« Le joueur d’échecs » de S. Zweig – Ed. Le livre de Poche

          Embarquez avec le narrateur de cette nouvelle d’une cinquantaine de pages à la découverte d’un joueur d’échecs pas comme les autres, champion mondial des échecs mais aussi champion mondial de la bêtise : incapable d’écrire une phrase sans faire des fautes d’orthographe, incapable de compter sans s’aider de ses doigts, incapable enfin de prendre la moindre initiative… Le narrateur est curieux de comprendre comment fonctionne l’esprit de ce champion particulier, qui fait la une des journaux mais qu’il est impossible d’approcher. Le narrateur, aidé de quelques compagnons de voyage, saura attirer l’ »oiseau rare » autour d’une partie d’échecs… Mais si ce curieux champion n’était pas le joueur d’échecs de la nouvelle ? Et si cette histoire de champions d’échecs permettait à l’écrivain juif Stefan Zweig de raconter l’Histoire avec un grand H ?


18 commentaires

  1. Timothée V.D 2°8
    J’ai bien aimé ce livre. J’ai trouvé l’idée de l’histoire originale. J’ai eu du mal à me « mettre » dedans mais au bout de quelques pages j’ai été plongé totalement dans l’histoire. De plus ce livre nous apprend des choses sur le nazisme… Dans ce roman d’une cinquantaine de pages, j’ai trouvé l’histoire de Monsieur B très intrigante : il dérobe un manuel d’échecs et devient un professionnel de ce jeu ; on le voit lors de cette partie contre le champion Czentovic ! Toute cette histoire nous donnerait presque envie de jouer aux échecs, ou du moins essayer… Ce livre n’est pas un échec, c’est plutôt une totale victoire !

  2. Franchement, au début de ma lecture, ce livre me tombait des mains. Une grande partie (la première moitié du roman) raconte la vie de Czentovic, le champion d’échecs. Ce personnage n’étant pas très intéressant et vraiment peu attachant, j’ai trouvé dommage de lui consacrer tant de pages. Nous pouvions comprendre plus rapidement qu’il était arrogant, insensible et très peu cultivé.
    Cependant, au milieu du livre, l’arrivée du personnage Monsieur B rend l’histoire beaucoup plus intéressante ! Il faut dire que le récit de son passé est plutôt captivant. En effet, il a appris à jouer aux échecs alors qu’il était enfermé par les nazis, ce livre étant la seule issue pour échapper à l’ennui qu’on lui faisait subir. On trouve aussi ce dernier beaucoup plus attachant que Czentovic et cela donne l’envie d’en connaître davantage sur lui.
    J’ai été un peu déçue par la fin de l’histoire qui se termine un peu en « queue de poisson », puisque Monsieur B (devenu fou en se remémorant son passé) déclare forfait.
    Mais, globalement, ce livre m’a plu, d’autant plus qu’il a été une sorte de confession de l’auteur lors de la montée du nazisme, comme on peut le lire sur la quatrième de couverture, et cela est très intéressant, car on a alors un éclairage nouveau sur le roman.

  3. Pouvoir tout contrôler
    Ruminer et s’agiter pour gagner
    Un, deux, trois, déplace le pion
    Devine le jeu
    Ecoute ton adversaire
    Ne le sous-estime pas
    Ton jeu est ton seul enjeu

    Ne dévisage pas ton adversaire
    Oblige le à te laisser faire
    Imagine un jeu sans fin
    Regarde et prends garde

    (3-Poème accrostiche écrit à partir du portrait chinois de Cedric M.)

  4. Il est possible de torturer une personne sans la toucher, sans l’affamer, sans menacer sa famille: isolez-la.

    J’ai découvert l’auteur Zweig à travers cette oeuvre et je dois dire qu’elle m’a épatée. Si le jeu d’échecs est un jeu dont les parties peuvent sembler longues et dures, ce roman est court et se lit très facilement.
    Je ne suis absolument pas d’accord avec Benoît, tout d’abord l’histoire est captivante du début à la fin. Il trouve ce livre ennuyant alors qu’au contraire on ne s’ennuie pas une seule seconde. Ce ne sont pas des biographies inventées de toutes pièces, c’est une histoire touchante, on entre dans le personnage et on souffre avec lui !
    Pour ma part j’ai été agréablement surprise par cet ouvrage. Le livre est bien représenté par sa couverture, la qualité de l’écriture, les personnages et surtout l’histoire nous donne une belle réflexion sur le pouvoir du cerveau.
    Le lecteur est envoûté par la magie des échecs tout en étant secoué par la monstruosité nazie. Le tout donne une certaine nervosité qui fait dévorer cette nouvelle sans interruption de la première à la dernière page. La seule chose qu’on peut demander en lisant la dernière ligne de cet ouvrage c’est encore, encore, encore…
    En moins de cent pages, Stefan Zweig m’a coupé le souffle. C’est un petit livre qui est grand et mérite qu’on le garde toujours dans sa bibliothèque, en bref, moi j’ai adoré.
    Je le conseille à tous car il y a mille manières d’y trouver de l’intérêt.
    Ce livre est loin d’être un échec pour moi !

  5. Contrairement aux autres personnes qui ont lu ce livre (voir les autres commentaires ci-dessus), je n’ai pas aimé « Le Joueur d’échecs » de Stefan Zweig,
    Lorsqu’on lit le résumé sur la quatrième de couverture, on a envie de lire ce livre ! On s’attend à une belle et passionnante histoire mais pas à des biographies inventées de toutes pièces.
    Qui aurait envie de lire des biographies juste pour le plaisir ???
    Nous avons tous, au moins une fois dans notre vie, été obligés de lire une biographie dans un dictionnaire ou une encyclopédie (pour l’histoire ou le français), ce qui nous a tous ennuyés !!!
    Or les biographies dans les dictionnaires sont plus intéressantes et moins ennuyeuses à lire que ce livre !
    Même les livres que l’on étudie en cours, ‘‘qui nous endorment tous ’’, comme Maupassant (pour ceux qui ne serait pas d’accord avec moi, lisez « Bel ami ») sont moins assommants que cette nouvelle.
    Une histoire très longue à mettre en place, presque la moitié du livre, ce qui au bout de trois ou quatre pages, devient lassant.
    Je me considère comme un assez bon lecteur qui lit beaucoup et de tous les livres que j’ai lus, je n’ai jamais lu un livre aussi ennuyeux.
    Durant une grande partie du livre, on s’attend à ce qui va se passer dans la suite. Dès la fin de la biographie de l’inconnue (M.B.) on devine sans problème la fin du livre.
    Un livre sans rebondissements, avec peu d’intrigue et qui n’est qu’un échec malgré de longs passages émouvants et une histoire courte (50 pages environ).

  6. (2) Ce livre m’a pas vraiment plu car j’ai eu du mal à me projeter dans l’histoire, c’est l’aspect tournant autour du jeu d’échecs qui ma déplu et je trouve que ce roman est ennuyeux. Ce genre de livre n’est pas ma tasse de thé car je trouve qu’il manque d’action, de suspense, pour être franche je n’ai pas lu le livre jusqu’au bout étant donné la monotonie de l’histoire. Je ne recommanderai pas ce livre aux personnes qui n’aiment pas les jeux de stratégie.

  7. (2.5) J’adore lire, je lis des tonnes de bouquins, mais là s’est la première fois que je dois relire 2 fois un livre pour tout comprendre.
    « Le joueur d’échec » est un livre compliqué à comprendre, à cause de la façon dont écrit Zweig mais paradoxalement l’histoire en elle même n’a rien de compliqué !
    Stefen Zweig nous raconte juste la vie de deux très bon joueurs d’echec qui se rencontrent par hasard. Certes, le livre ne se résume pas à ça seulement. Au contraire, grâce à son écriture il arrive à nous transporter au cœur de l’histoire, notamment au moment où Monsieur B. raconte ce qu’il a vécu dans la chambre d’hôtel.
    Malgré ce seul moment qui m’a plu, j’ai trouvé ce livre plat, à la limite pénible à lire si ce n’est c…

  8. Bouquin classé parmi les écrits
    Pion casé parmi les rois
    Ce noir sur blanc vagabonda
    Du dégoût au mépris
    J’ai fait le tour du livre
    Et durant un long moment
    Eus l’impression de perdre mon temps
    Ce qui m’a rendu ivre
    Ces personnages n’étaient pas plaisants
    Juste stupides et abrutis
    Le récit n’était pas inouï
    Juste monotone et lassant
    Il faut être fou pour écrire cela!
    Comment lire de telles inepties ?
    Comment proposer ce livre à autrui ?
    Cette lecture fut un échec, quel exploit !

  9. Si mon livre était…, ce serait…
    un objet : un pion d’échecs
    une couleur : noir ou blanc
    un endroit : une case d’échiquier
    un loisir : jouer aux échecs
    un métier : joueur professionel d’échecs
    une pièce : un pion ou une tour ou encore une dame et puis aussi un roi et pour finir le fou
    une émotion : garder son calme ou stresser
    un péché capital : la colère
    une qualité : calculateur, prudent ou matheux
    un défaut : bête, ignorant, mou et lent

  10. (3) Je suis plutôt le genre de personne qui, en général, n’aime pas lire, mais un petit livre de temps en temps ça ne fait pas de mal, en apparence ce livre donnait envie mais là franchement il fallait s’accrocher, l’histoire est simple à comprendre mais ennuyante, longue, sans retournement, entre l’inculte et malpoli de Czentovic et le Mr B. qui n’a pas touché d’échiquier depuis 30 ans et qui nous raconte son histoire comme quoi il n’a pas le droit ou plutôt qu’il ne doit pas jouer et qui finalement accepte ça fait une sacrée belle histoire.
    Franchement, je n’aurais pas attendu d’être en retenue pour commencer à le lire je ne l’aurais sûrement pas lu d’une traite.

  11. (3.5) Je suis plutôt du genre à aimer les petites histoires telles que celles de Stefan Zweig dans « Le joueur d’échecs ». Mais pour être honnête je n’ai vraiment pas apprécié! L’histoire en elle-même m’a ennuyée du début à la fin. Czentovic c’est un personnage doué pour la logique dans le jeu d’échecs mais pas pour la vie. Il est champion mondial d’échecs. Avouez que cela pourrait vous faire réfléchir à deux fois avant de lire cette nouvelle. Bien que le passage où l’on en apprend un peu plus sur la vie du Docteur B soit bouleversant, en définitive, c’est l’histoire de deux hommes qui ont une vie, un caractère et un comportement totalement opposés. j’ai eu beaucoup de mal à terminer cet ouvrage, alors que d’habitude j’en aurais fait une seule bouchée. C’est un livre qui pourrait être plus compréhensible pour un passionné d’échecs, même s’il faut dépasser l’histoire du jeu en lui même, il faut tout de même avoir quelques connaissances dans ce domaine, ce qui pour moi n’est pas du tout le cas.

  12. (2.5) J’ai trouvé cette nouvelle assez bien, j’avoue que j’ai eu un peu de mal à me mettre vraiment dans l’histoire, mais une fois que j’étais plongée dedans j’ai commencé à apprécier. J’ai bien aimé suivre la vie de MB, toutes ces choses horribles qu’il a dû supporter m’ont mis dans un état de compassion. Ce que je pourrais reprocher à ce livre serait sa longueur, il y a parfois des passages dans l’histoire qui sont un peu trop longs et qui n’apportent pas grand chose à la nouvelle. Mais cette nouvelle reste quand même intéressante et mystérieuse, ce qui laisse au lecteur un certain plaisir de lire cette histoire.

  13. (2) Au début, le livre me plaisait, mais au bout de vingt pages, j’ai commencé à avoir du mal à suivre le fil de l’histoire.
    Cela n’a rien à voir avec le fait que je n’apprécie pas le fait de jouer aux échecs mais j’ai trouvé l’histoire pas passionnante et surtout sans intérêt.
    Les personnages non plus ne me plaisaient pas vraiment, à part MB. Je l’ai trouvé un peu touchant.
    Quoi qu’il en soit, j’ai eu beaucoup de mal à lire le livre et j’ai été très déçue.

  14. (3.5) J’ai bien aimé ce livre, le début est assez long mais le récit de M. B est très intéressant et nous emporte vite dans l’histoire. Le personnage de M. B qui est d’abord un inconnu devient le héros de l’histoire en laissant le grand champion du monde des échecs Czentovic en personnage secondaire. Ce qui est assez surprenant car au tout début je m’attendais à un récit sur la vie de Czentovic. J’ai aimé le récit de M. B car il nous montre l’acharnement qu’il a eu à ne pas délivrer ces secrets et ne pas sombrer. J’ai trouvé les parties d’échecs ennuyeuses et beaucoup trop longues. « Le joueur d’échecs » est une nouvelle très intéressante que j’ai lue d’une seule traite.

  15. J’ai lu le livre « Le joueur d’échecs » de S.Zweig qui raconte l’histoire d’un grand joueur de d’échecs mondial qu’on voit de plus près. Autant le dire maintenant, je n’ai pas du tout apprécié ce livre. Je m’explique : déjà dès le début je n’ai pas réussi à accrocher à l’intrigue, et j’ai trouvé l’histoire trop longue à se mettre en place. Je me suis même ennuyé en lisant ce livre, mais heureusement il y avait deux passages de jeu d’échecs assez intéressants tout de même. J’ai trouvé que le passage sur le passé de Monsieur B. est trop long pour ce qu’il apporte au récit. Ce livre est beaucoup trop long pour ce qu’il raconte, ce qui fait qu’on s’en lasse très vite.
    Bon je ne vais pas dire de ne pas conseiller ce livre car d’autres pourraient l’aimer.

  16. (3.5) La nouvelle est très intéressante, elle m’a beaucoup plu car elle est remarquablement bien écrite. Il faut bien s’accrocher et comprendre l’histoire, mais si on se laisse embarquer on ne s’arrête plus. Bien que le récit en lui-même soit plutôt monotone et lent, l’auteur nous manipule de façon à ce qu’on soit totalement absorbé par ses aventures. Au début tout parait ordinaire, puis on est témoin du récit de MB qui fait tout basculer. Il y a une véritable intrigue entre MB et Czentovic. En effet, ce dernier est très excentrique, c’est sur lui que se porte notre attention au début puis on bascule du côté de MB qui lui aussi sait très bien jouer aux échecs mais son comportement et son histoire qui est liée à ce jeu est très inhabituelle tout comme Czentovic et c’est cela qui fait de cette nouvelle une histoire à part et tout à fait captivante. Tout au long de l’intrigue on veut tout savoir sur ce joueur atypique qu’est Czentovic puis on prend conscience de la manière extraordinaire par laquelle MB est devenu si doué aux échecs. Les histoires respectives de ces deux grands joueurs se rapprochent et bouleversent l’idée qu’on se faisait de ce jeu complexe. C’est une très bonne nouvelle à lire absolument !

  17. (2.5) J’ai bien aimé ce livre même si je n’ai jamais joué aux échecs. Il est vrai qu’au début je n’ai pas été prise dans l’histoire. A partir du moment où l’auteur nous plonge dans quelques années de la vie d’un personnage très important : M.B, j’ai été totalement absorbée par l’histoire, par toutes les épreuves horribles qu’il a traversées, toutes ces souffrances qu’il a endurées. Puis un peu plus loin dans la nouvelle j’ai un peu décroché car les parties d’échecs étaient un peu longues tout comme M.B nous le fait sentir. J’ai apprécié l’histoire de M.B que j’ai trouvée très intéressante. Par contre j’ai moins aimé le début de l’histoire : j’ai eu le sentiment qu’il était fini car pour moi la partie d’échecs était gagnée d’avance par le champion. Mais ce livre m’a prouvé qu’il faut continuer à lire même si le début n’est pas très intéressant car la suite peut nous apporter d’agréables surprises.

  18. (3.5) Je me considère comme un « petit lecteur », je ne suis pas fan d’échecs et n’ai donc aucune attirance spéciale pour le thème. C’est un petit roman sympa, plutôt court, mystérieux, énigmatique mais cependant intéressant. Je m’attendais à des théories savantes sur les échecs, mais il n’en n’est rien et malgré un manque d’actions et de mouvements Stefan Zweig réussit à nous bluffer, à nous faire réfléchir à cette opposition acharnée entre deux joueurs : Czentovic et Mr B. ; Tout de même lent (j’accentue mais la lenteur de ce bouquin est vraiment époustouflante ) dans l’ensemble, j’ai du aussi le reprendre à plusieurs reprises déjà (notamment dans le train) ayant de nombreuses difficultés à comprendre l’étendue du livre. Czentovic, champion mondial a le « don des échecs » mais il est naïf et inculte contrairement au Docteur B. qui a appris les échecs avec un manuel. Difficile de rester concentré mais au bout d’une dizaine de lignes l’énigme se lance alors accrochez vous !!!

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