Le loup

Loup d'Amérique du Nord, aux aguetsRecherches sur le loup sur https://fr.vikidia.org/wiki/Loup 

1 Faire la fiche du loup : géographie, caractéristiques, biologiques, habitat, caractère. contes  et légendes

2 Le loup et  le monde merveilleux

EUROPE. Moyen Age ; Le roman de Renart.

En 1930, Starewitch crée le 1er long métrage d’animation française, Le Roman de Renart. C’est un chef d’œuvre. Il utilise plusieurs marionnettes de différentes grandeur pour chaque personnage afin de faire des effets de premier plan ou d’éloignement. Malheureusement, le film passe inaperçu à cause de l’arrivée du parlant.

 

XII La Fontaine. fables

Le petit chaperon rouge.https://www.youtube.com/watch?v=Qs9YwiwFB8M

Le loup Chanel https://www.youtube.com/watch?v=Qs9YwiwFB8M

Tex Avery http://www.college-edouard-queau.fr/histoire-des-arts-3eme-blitz-wolf-de-tex-avery-pxl-11_89_411.html

3 le loup et l’aventure. Le loup, animal sauvage. L’homme au loup, Jack London. Nathan p 101. extrait de l’homme et le loup et autres nouvelles.

4 Ecologie Le loup, espèce menacée. le loup en captivité.

L’oeil du loup Daniel Pennac

XVIII; en France 15 000 à 20 000 loups.

De l’autre coté du placard.

Il était une fois, deux petits jumeaux qui vivaient avec leurs parents dans une maison au beau milieu d’une ville très polluée . Un soir de pleine lune, les deux frères se réveillèrent  aveuglés par une lueur blanche qui sortait  du placard de leur chambre. Mais leurs parents leur avaient interdit d’ouvrir les soirs de pleine lune. Alors,ils décidèrent de ne rien écouter et ils ouvrirent la porte . En poussant la porte de l’armoire, ils découvrirent un escalier et ils décidèrent de le descendre.Au bout des marches, ils virent une forêt, ils avancèrent de plus en plus dans les bois puis, ils virent une petite maisonnette au loin. Ils toquèrent au seuil , une vielle  dame leur ouvrit , elle leur demanda d’entrer. Ces deux derniers hésitèrent mais ils rentrèrent quand même . En pénétrant ,ils demandèrent où ils étaient. Elle ne leur répondit pas mais elle leur ouvrit une trappe qui conduisait dans une ville verte , dans un nouveau monde. La vielle dame leur fit visiter cette ville écologique; ces deux derniers n’en revenaient pas . Au bout d’un certain temps , la vielle femme  engagea le dialogue:

<<- Dans trois semaines, votre monde subira une énorme apocalypse, le seul moyen d’y échapper est de conduire tous les habitants de votre terre dans la nôtre .

–  Mais comment allons nous faire, il n’y a qu’une seule pleine lune tous les mois ? Répondirent  les frères.

–  Dans votre grenier, il y a des outils pour que le portail reste ouvert, même les soirs de pleine lune, des photos et un texte qui explique tout cela.>>

Ces deux derniers quittèrent le monde,  accompagnés de la veille dame.

Une fois arrivés chez eux, les deux frères cherchèrent les outils et les photos. Au bout de deux heures, ils trouvèrent enfin le carton avec le contenu.                            Les deux enfants mirent les outils en place et envoyèrent les photos sur internet, à tous leurs amis, au président et à toutes les personnes qu’ils connaissaient. Deux jours plus tard, tous les habitants de la terre étaient au courant,  sauf que le président ne croyait pas les balivernes des deux jumeaux.

Deux semaines plus tard, le monde commença à trembler, heureusement que tous les habitants de la Terre étaient en file indienne devant la porte du placard. Jean-Luc et Hermesse réussirent à faire passer toutes les personnes dans le placard, il ne restait qu’une demie heure et il y avait cent personnes. Ça y est, plus que cinq minutes et toutes les personne étaient passées  sauf le président qui refusait de tous nous rejoindre de l’autre coté car  il n’y croyait pas .

Çà y est, l’apocalypse avait commencé, les météorites tombaient, les volcans se réveillaient puis  tout a coup,  la terre explosa avec le président.

La vie reprit son cours dans l’autre monde et chaque habitant fit très attention à ne pas faire les même erreurs.

Jennifer, Inés et Lou .5°C

Au secours ! Les déchets nous envahissent !

En 2004, naquirent deux jeunes filles qui étaient destinées à sauver le monde, Mathilde et Jade. Mathilde vivait à St Mammès et Jade habitait à Champagne sur Seine. Elles se connurent en 6ème .Elles devinrent très amies. Un jour, leur professeur de français, Mme Bourguignon leur demanda de faire un exposé sur le 7ème continent, ce qui donna la possibilité aux deux jeunes filles de découvrir leur passion pour l’écologie.

Depuis elles avancèrent dans la bonne direction: elles réussirent leurs études, devinrent riches et protectrices de l’environnement. Elles créèrent une association pour la défense de la nature. Certains élèves de leurs anciennes classes s’étaient inscrits dont Edouard, Lucas, Laetitia…Grâce à l’argent gagné par l’association, elles investirent dans des terres agricoles afin de faire des bio-plastiques et investirent dans des éco-quartiers. Les jeunes femmes avaient pour projet de ramasser tous les déchets sur la mer et les plages car le 17 octobre 2027 avait eu lieu un tsunami qui avait englouti toutes les plages et  dispersé tous les déchets dans les océans. Cela représentait un grand danger pour la planète et pour sa population.

 Quelques mois plus tard, le 7ème continent continuait d’évoluer. Apeurées par la situation, les deux amies firent une annonce. Elles incitèrent  les gens à moins polluer tout en ne les mettant pas dans une situation de panique.La population n’était pas au courant de l’énorme dégradation de la planète puisque le gouvernement ne les avait pas informés du grand danger qu’ils couraient.

Le 8 mai 2028, l’association partit en expédition, mais malheureusement pour eux, une énorme tempête éclata. Pour le bien de la planète, elles la  traversèrent quand même au péril de leur vie. Édouard tomba du bateau et mourut sur le coup, au plus grand regret de ses compagnons. Malgré cette perturbation, l’équipage continua d’avancer même si le danger causé par ce déchaînement les menaçait. Une semaine plus tard, l’association parvint à destination.

Heureux d’être enfin arrivés, les membres de l’association se mirent directement au travail. Tous les déchets qui devaient être ramassés étaient répartis entre plusieurs personnes. Chacun avait sa catégorie de déchets à ramasser.

Un an plus tard, après avoir achevé leur travail, ils revinrent sales mais glorieux de leur voyage, car en arrivant chez eux, toute la foule les acclama. Ils avaient sauvé la Terre mais pas que, ils avaient aussi sauvé des milliards de vies.

60 ans plus tard, les deux vieilles femmes moururent fières d’avoir sauvé la planète et la génération future tout en ayant permis à la Terre de mieux se développer.

Jade F. et Mathilde C. 5°C

 

Le puzzle 3D

Le puzzle 3D

C’est l’histoire d’un martien nommé Botoux ayant 13 ans. Il est petit et obèse, il a la peau verte, il est généreux et drôle, sa maison est grande et de couleur violette, rose et bleu. Il adore observer les planètes le soir et plus particulièrement la Terre, avec son caméscope orange. Il est assis tranquillement dans son canapé en regardant la télé.

Pendant une publicité, il voit que à MarsiToys, il y a un nombre très limité de puzzles 3D de la planète Terre. De ce pas, il court voir son père qui prépare à manger dans la cuisine, pour lui demander de l’acheter, très généreux depuis la mort de sa femme,  celui-ci accepte pour faire plaisir à son fils et il trouve que c’est une bonne idée.

Le lendemain, pendant leurs courses, Botoux voit le fameux puzzle et le réclame  à son père. Une fois rentré à la maison, Botoux court faire son puzzle. A la fin, il lui reste deux pièces et sans faire exprès, il les change de place. Soudain, il entend un énorme bruit provenant de l’espace. Curieux, il consulte son caméscope et observe ce qui se passe. Il ne voit plus la Terre mais des millions de particules dans le cosmos. Il comprend alors qu’il vient de faire exploser la planète. Affolé, il court voir son papa pour lui expliquer ce qui vient de se passer. A son tour, choqué, il va dans sa chambre pour voir le problème. Il propose alors à Botoux, qui a beaucoup observé la planète bleue, de la reconstruire en s’aidant de tout ce qu’il sait des problèmes mondiaux depuis qu’il regarde la planète. Directement, il se met au travail. Il répartit la surpopulation là où il n’y en a pas beaucoup, il enlève les déchets qui sont dans l’eau, il construit  plus de transports en commun, il enlève des produits chimiques.

Une fois fini, il aperçoit une énorme lumière éblouissante qui illumine toute la galaxie, et il espère que c’est la Terre qui s’est recomposée comme sur son puzzle. Il regarde dans son caméscope et il aperçoit la planète qui s’est reconstruite comme il en avait envie ! Heureux, il court dire à son père en criant « ça a marché ! ». Ils vont à leur caméscope, et ils sont très heureux tous les deux que cela ait fonctionné.  A partir de ce jour, tout est résolu et Botoux continue de regarder la Terre pour s’assurer que rien ne change au cours des années.

Marion Jessica Louane 5a

Nous avons causé notre perte.

Je m’appelle Léo, je vis sur Terre, nous sommes en 2215. Passons directement à l’essentiel si vous le voulez bien. Je vais vous raconter ma vie insignifiante enfin jusqu’au jour où tout a basculé :

Projection vers le passé, veuillez patienter…

Alors, tout commença  un jour comme les autres en 2175.                                     Mais tout d’abord, je vais me présenter : imaginez un enfant de 15 ans, dyslexique, qui ne sait même pas écrire et lire ne serait-ce qu’une seule phrase, qui n’a pas une vie très intéressante ni très amusante, un enfant qui n’a qu’un seul ami, Hubert. Maintenant, mes parents, ma mère a divorcé, je n’en connais pas la raison mais elle dit que c’est pour mon bien. Je ne me souviens pas de mon père, à cause de ma dyslexie. D’ailleurs, ma mère m’a juste dit que ma dyslexie vient de lui. Elle s’est remariée avec  un homme qui est  maintenant mon beau père, Arnaud. Je le surnomme Arnaud l’écolo déglingo parce qu’il ramasse tout ce qu’il voit par terre pour le mettre à la poubelle. Mais quand je dis tout, c’est vraiment tout ! Une fois, il a même osé jeter mon chien. Il est mort trois jours après et personnellement moi, j’aime pas mon beau père.

Maintenant, je vais décrire mon ami Hubert. Il a la même taille que moi, environ un mètre soixante quatorze. Il n’est ni moche, ni beau. Lui aussi n’a qu’un ami, moi, et il a une obsession pour l’écologie depuis que je le connais. Quand il voit une canette, un emballage par terre, il le ramasse immédiatement pour le mettre à la poubelle, comme mon beau père. Ses parents sont malheureusement morts, je n’en connais pas la cause, il n’aime pas beaucoup en parler.

Voilà, je ne sais que ça de la vie de mon meilleur ami. En même temps, pour ma défense, ça ne fait qu’une semaine que je le connais. A cause de ma dyslexie, je me suis déjà fait renvoyer de six collèges. Ma mère ne m’en a jamais voulu.

Bref, passons à l’acte. J’étais à la cantine du collège avec mon seul et unique ami, Hubert. Quand nous avons posé nos plateaux sur la table, quelque chose d’étrange s’est produit, une énorme faille s’est ouverte en dessous de chaque table. Tout le monde est tombé dedans sauf moi et mon ami qui ne nous étions pas encore assis. Alors, il m’a pris par le bras et m’a emporté dans un taxi qui nous emmenait à l’aéroport. Nous y sommes entrés et enfin Hubert m’a lâché. Il m’a tenu le bras pendant trois heures, il est fou ou quoi ? J’avais le bras tout rouge et en plus, il me faisait mal. Quand j’ai regardé Hubert, il commençait à parler tellement vite que je n’ai strictement rien compris à ce qu’il a raconté. Je lui ai donc demandé de redire ce qu’il avait dit mais beaucoup moins vite cette fois. Il a pris un grand coup de respiration et m’a averti : « Bon, il faut que je t’avoue pourquoi je suis là, pourquoi mes parents sont morts, pourquoi tu es dyslexique, pourquoi ta mère a divorcé et enfin où je t’emmène. » Je lui ai avoué ne rien avoir compris. Il m’a alors tout expliqué. J’étais dyslexique à cause de la pollution et je n’étais pas le seul.  Plus d’ un milliard d’enfants sur la Terre sont comme moi. En fait, toutes les maladies de la Terre sont dues à la pollution m’a-t-il dit. Ensuite, mes parents sont morts à cause de la pollution comme beaucoup d’autres. Du coup, je suis allé dans une sorte de colonie pour les jeunes sans famille. « Je t’expliquerai pour la colonie, dit-il, je suis là pour te protéger de la pollution c’est pour ça que je tenais autant à ce que tu mettes toutes les canettes que tu voyais à la poubelle … .  Ta mère à divorcé pour ton bien, Hubert penses-y ». Je vis une larme couler sur sa joue, je ne comprenais pas pourquoi, à part que c’était la fin du monde. « Elle a quitté ton père parce que lui n’était pas comme ton beau père, il ne mettait au contraire rien à la poubelle, il était anti-écolo  …Et quand ta mère a compris ce que ça te faisait, tant de pollution, elle l’a quitté et s’est remarié avec Arnaud, ton beau père qui lui, est fou mais au moins, il te protégeait sans le savoir en jetant tout à la poubelle. Et là, maintenant, nous partons pour les États Unis ». Cela  aurait dû me rendre fou de joie mais m’éloigner tant de ma mère alors que je venais d’apprendre ce qu’elle faisait pour moi m’a rendu très triste. Alors, Hubert, comprenant à quoi je pensais m’a dit la chose la plus horrible du monde : « Ta mère et ton beau père sont morts. Toute la ville est sûrement détruite à cette heure-ci, mes condoléances, Léo. » Je ne voulais pas y croire, tant de choses bouillonnaient dans ma tête, j’avais envie d’exploser.

– Tu n’as plus de famille, je vais t’emmener avec moi à la colonie. Je vais t’expliquer à quoi sert cette colonie.

C’est un lieu crée pour les orphelins dont les parents sont morts à cause de la pollution, il s’appelle l’écolonie. Il se situe aux États Unis, dans la maison blanche  … Il y a  eu une secousse et l’avion a atterri. « Bon, allons à la maison blanche, tu comprendras » me dit-il .Il a crié « taxi ! », un taxi est venu. Il nous a emmené à la maison blanche. J’étais bouche bée devant ces grande portes majestueuses, un portier nous a fait entrer. Hubert est allé prévenir le président actuel de notre venue. Le président m’a souhaité la bienvenue, je l’ai remercié et nous sommes rentrés dans ce magnifique palace, j’ai vu tous les présidents dans des tableaux en bois, plein de fonctionnaires. La ministre de l’éducation m’a salué. Le président nous a conduit dans une salle où il y avait plein d’enfants de six à dix-huit ans, ils étaient comme moi. Hubert m’a pris le bras  et m’a dit que j’étais spécial  Apparemment j’étais destiné à montrer aux gens ce que la pollution nous fait subir. Je n’ai même pas eu le temps de réfléchir qu’on m’a emmené dans une salle avec plein d’ordinateurs qui pouvaient tout contrôler, diffuser ce qu’on voulait et n’importe où. On m’a mis devant un fond vert avec plein de cameras autour de moi. Le président s’est approché de moi et m’a pris dans ses bras en disant ces quelques mots :

– tu es notre seul espoir de survie, exprime ce que tu ressens, cela pourrait tous nous sauver ou une partie de la terre au moins, s’il te plaît.

Je me croyais dans un film quand on crie trois, deux, un, action, je vais vous rapporter exactement ce que j’ai raconté :

-Je m’appelle Léo, j’ai quinze ans et je suis atteint de dyslexie mais il y a de plus gros problèmes encore, des personnes meurent chaque jour à cause d’une seule chose, la pollution. Apparemment je suis destiné à vous dire tout ça. Cela va être dur à entendre pour vous, vous allez paniquer mais bon, il faut que je le fasse.

Une petite ville, celle ou j’habitais, a été décimée, ma mère, mon beau père, mon collège, ma vie ont été entièrement détruits. Depuis que nous existons, nous sommes tous des criminels. Chaque canette que nous jetons par terre, chaque emballage que nous lâchons, ça fait des morts et des personnes malades.

Dans votre famille à vous, personne n’est mort ou atteint d’une maladie? Et bien ceci est de votre faute  !!!  Si on ne change pas, votre famille va mourir vous allez crever … Les images de ma ville détruite défilaient derrière moi sur le fond vert. Je pleurais. Changez et vous serez récompensés, vous ne périrez pas, vous ne verrez pas vos amis décéder ou même vos enfants alors, je vous le conseille, changez tout de suite.

J’avais fini mon discours en me disant que personne n’allait changer, je pleurais toutes les larmes que je pouvais. Le président s’approcha de moi et me tendit la main en me félicitant :

– Merci beaucoup pour votre aide, nous espérons tous que ça va marcher. D’après nos statistiques, il y a déjà  un quart de la terre qui a réagi,  bien joué!! Vous pouvez aller dormir, vous reposer.

Hubert m’a conduit dans ma chambre et  je me suis endormi rapidement. Je cauchemardais un monde détruit, c’était tellement horrible que je me suis réveillé en sursaut. J’ai regardé autour de moi, il y avait Hubert qui criait que j’étais réveillé. Tout le monde est venu dans ma chambre, on voyait qu’ils avaient fait la fête ce qui était bon signe. Le président m’a dit :

-Tu as réussi bravo !!!!!!!!!!!!

Tout le monde s’est dispersé et Hubert m’a dit :

–  Désolé, on ne t’a pas attendu pour faire la fête.

-Cest pas grave ne t’inquiète pas mon pote.

Mais pour moi, cette victoire n’avait pas été sans douleur, j’avais presque tout perdu lors de cette catastrophe : ma mère, mon beau père, mon collège, et presque tous les êtres qui m’étaient chers, mais bon, j’avais quand même mon ami Hubert et ma nouvelle colonie.

Pierre, Enzo et Augustin. 5°A

L’étrange planète

Un explorateur qui se baladait en vaisseau dans l’espace à la recherche d’une planète à explorer, se reçut un astéroïde. Quand il se réveilla, il se retrouva au milieu d’une plaine d’herbes et de fleurs. Il se leva et vit son vaisseau encastré dans un arbre. L’aventurier décida d’explorer ces terres mystérieuses. Il traversa des montagnes, des rivières et de grandes plaines. Il vit plein de villes plus étonnantes les unes que les autres.  Il se lia d’amitié avec un des habitants de ces villes. Il s’appelait William. William lui avait montré le système écologique de leurs villes, toilettes sèches, éoliennes, panneaux solaires et plein d’autres choses incroyables aux yeux de l’explorateur.

Un jour, William réveilla l’aventurier à l’aube pour aller dans l’autre moitié de la planète. Cette partie, d’après William, était le contraire de ce que l’explorateur avait vu. Cette face de la planète était sombre, glaciale, sèche et désertique. Les deux amis s’en allèrent dans cette moitié de la terre. Entre les deux parties de la terre, il y avait 100 degrés de différence. Ils arrivèrent dans une mégalopole de plusieurs dizaines de millions d’habitants. Cette cité était enrobée d’un nuage de fumée épais. William lui expliqua que cette brume se nommait la pollution. On y trouvait  de grands bâtiments de verre et de béton. Entre ces bâtiments, il y avait de grandes avenues remplies  de grosses voitures. Cette ville était encerclée par de grandes usines avec de hautes cheminées. De ces longs tubes, sortait une épaisse fumée noire qui se mélangeait à l’air. L’homme comprit enfin que cette planète n’était pas parfaite. Elle était presque morte. William lui expliqua que cette planète s’était arrêté de tourner car toutes les ressources avaient été pompées et qu’elles n’avaient pas eu le temps de se régénérer. L’aventurier se mit en tête de régler ce problème. Plusieurs années plus tard, l’explorateur eut une idée; c’était de disperser la population de la ville sur toute la planète, afin d’utiliser équitablement toutes les ressources. L’explorateur fit des études et obtint un diplôme d’architecte, et conçut de nouveaux types de maisons écologiques.Petit à petit, il se fit connaître par des hommes importants de la ville et il devint député. Son idée fut acceptée comme loi. Il créa un groupe d’architectes et d’ingénieurs qui confectionnaient de nouvelles usines écologiques marchant aux énergies solaires. De nouveaux logements furent construits avec les matériaux de l’environnement local. Toutes les voitures à essence qu’il y avait sur cette terre finirent par être recyclées. Cette planète serait un jour  parfaite selon l’aventurier.

Il  fallut cinq années pour que cette planète recommence à tourner et que les saisons se rétablissent. L’explorateur fut élu gouverneur de ce monde écologique utopique.

Romain, Edouard et Rudy. 5°C

Ezio le sauveur

Il y a fort longtemps, dans une contrée de l’Italie en 2060, vivait un jeune homme, Ezio Auditores. A l’école, il était discret mais sa scolarité fut un succès. A vingt-quatre ans, il vivait toujours seul dans un modeste appartement qu’il avait  reçu en héritage, au nord de l’Italie. Il avait perdu ses parents dans un accident de voiture. il était le seul à avoir survécu. Il était toujours profondément attristé par ce tragique accident de la route.

A deux pas de chez lui, vivait Frank Dubois, il venait des pays de l’est et contrairement à Ezio, sa scolarité fut un échec. Pourtant, il avait réussi à monter une usine de pétrole. Mais personne n’aimait Frank. En effet, son entreprise polluait la planète. Un  grand et sombre nuage noir s’était formé au-dessus de la Terre. La planète courait un grand danger, si cette exploitation pétrolière  ne fermait pas. La Terre se  dirigeait vers l’ apocalypse.

Ezio s’était aperçu de ce problème dès l’arrivée de Frank. Il avait donc décidé de mener sa petite enquête sur  les activités de Frank. Tout le monde croyait que c’était fini, que tout allait redevenir comme avant, mais c’était sans compter  sur  la malice de Frank qui avait fait un double des clés pour faire fonctionner son usine  en toute discrétion.

Quand Ezio s’en rendit compte, il décida de se passer de  l’aide des policiers. Il mit en place un peu partout  dans le monde, des éoliennes qui avaient pour but d’attirer et d’aspirer l’air pollué.

Quand les agents de sécurité furent informés que Frank faisait toujours fonctionner son exploitation, ils l’arrêtèrent. Ezio fut remercié pour son aide et son courage d’avoir installé un peu partout ce type d’éoliennes.

La Terre évita l’apocalypse. Ezio rencontra une femme, ils se marièrent et eurent trois petits enfants et furent heureux jusqu’à la fin des temps.

                                                                                      Mathias F. 5°C

La maison écologique

La maison écologique

.Un jour d’été, Chloé et Kevin rentrèrent du collège,Chloé convia celui-ci à venir passer l’après-midi chez elle. Le jeune garçon accepta . Arrivé devant la maison, celui-ci posa très vite une première question à la jeune demoiselle:

– Qu’est-ce qu’il y a sur ton toit ? Et ça sert à quoi ? Celle-ci lui répondit :                      -Tu ne connais pas ? Ça s’appelle des panneaux solaires, ça permet de récupérer l’énergie du rayonnement solaire, pour la transformer en chaleur ou en électricité.

– Ah, merci mais je ne comprends pas, je n’ai pas ceci chez moi, répondit-il. Celle-ci dit à son tour:

– Tu sais, il n’y a pas tout le monde qui a ça chez soi.

Chloé l’invita  à rentrer  dans sa maison .

– Bonjour maman ! bonjour papa ! dit-elle

-Humm ça sent bon ! qu’est-ce que vous avez concocté. La maman répondit:

– J’ai mijoté de la purée pommes de terre et carottes .

A la fin du dîner, Kevin aida les parents de Chloé à débarrasser la table et à balayer la cuisine, mais au moment d’aller mettre les épluchures dans la poubelle, Chloé lui dit :

– Stop, les épluchures ça ne va pas dans une poubelle, ça va dans un composteur.

-Ha, désolé mais ça  sert à quoi  un composteur ?

–  Un composteur permet de recycler les déchets verts du jardin et de la maison en les amassant en tas, de façon à ce  qu’ils se décomposent et qu’ils deviennent de l’engrais 100% naturel. En plus, en ce moment,  Smictom (syndicat mixte intercommunal de traitement des ordures ménagères) offre un composteur à chaque famille, il faudrait en parler à tes parents!

-Ah, oui, très bonne idée ! s’exclama le garçon.

Le soir en rentrant de chez Chloé , Kevin dit à ses parents :

– Maman! papa! Chloé m’ a appris beaucoup de choses par rapport à l’écologie, par exemple, c’est bien d’avoir un composteur chez soi pour mettre les déchets verts comme les épluchures de légumes, de fruits et la pelouse.  Les parents de Kevin répondirent :

-Très bonne idée, dès demain on va chercher  un composteur.

– Génial reprit Kevin. Rien que cela vous rendra  écoresponsables.

Depuis ce temps, les parents de Kevin on fait plein d’achats pour être le plus écologiste possible .

Coline et  Wesley. 5°A 

Narom

L’histoire commence par la naissance d’un bébé nommé Narom.

Cette petite fille grandit à Ecoville, une ville assez grande, à mi-chemin entre la mer et la campagne. A ses quinze ans, elle fut frappée par une tragédie.  En effet, ses parents moururent  assassinés par des tueurs à gage, lors d’une manifestation contre le nouveau projet du maire: « Technovillua ». Il voulait construire des tours en verre, des métros aériens…et détruire les champs et forêts aux alentours.

Désormais, seule, elle alla donc vivre chez sa grand-mère. Dix ans après, elle  présentait la rubrique « la minute écologique » sur le célèbre plateau télé « Kerze 1 ».

Un jour, le maire, Jean Marc Louis Léonard ,sixième du nom Blinder, la convoqua. En arrivant au secrétariat, elle demanda à un homme, très charmant à son goût, où se trouvait le bureau du maire. Il était doté de  traits de visage  harmonieux, d’un nez assez court et mince, d’une bouche expressive et de beaux yeux en amande, de couleur marron vert étincelant. Au cours de ce bref échange. elle découvrit son nom. Il s’appelait Julien.. En moins d’une seconde, ce fut le coup de foudre  …

Assise dans le bureau, perdue dans ses pensées, elle fut brutalement rappelée à la réalité par les propos colériques du maire. Il lui reprocha de critiquer sans cesse son projet dans sa « minute écologique » . A la fin de sa convocation, elle rentra chez elle.

Le lendemain matin, elle reçut un appel d’une personne qui adorait son émission. Celle-ci lui demanda de parler de la prochaine tempête causée par le réchauffement climatique. Narom accepta avec grand plaisir. ce jour-là, elle reçut un deuxième appel. Elle reconnut la douce et délicate voix de Julien qui  l’invitait timidement à prendre un verre.

Le soir suivant, elle arriva à son rendez-vous galant. Elle était vêtue d’une robe moulante, sensuelle, pailletée de rouge et d’une paire d’escarpins à talons noirs en velours. Lui, portait un magnifique costume à deux pièces noir avec un nœud papillon rouge coquelicot. Ils discutèrent toute la nuit. Pendant que Julien la ramenait, elle s’aperçut qu’elle avait oublié dans son tiroir, l’article qu’elle devait présenter dans son émission. Ils allèrent le récupérer. Une fois à l’intérieur, l’article dans ses mains, elle regarda par la fenêtre. Le temps était orageux, la lune était recouverte de nuages  noirs et gris, le vent  hurlait aux fenêtres, la pluie se déchaînait sur la ville. Paniqués, ils voulurent sortir de la tour pour essayer de l’arrêter. Les portes et les fenêtres électroniques ne pouvaient plus s’ouvrir. La tour était totalement bloquée. Coincés, ils purent analyser la situation et trouver une solution pour que la tempête cesse. Julien proposa d’utiliser les machines de toutes sortes fonctionnant au diesel, à l’électricité, au charbon et au pétrole. Narom le contredit et elle le persuada d’aller chercher dans la décharge de l’ancienne ville, des éoliennes, des turbines …  Julien se résolut au bout de quelques minutes à suivre son plan, mais il doutait. Ils trouvèrent une faille dans l’une des fenêtres de la salle. Ils l’ouvrirent et descendirent à l’aide d’une corde qu’elle avait toujours dans son armoire. En bas de la tour, ils prirent la voiture de Julien et allèrent dans la décharge de l’ancienne ville. Arrivés là, des éoliennes, des turbines… en pièces détachées les attendaient. Narom avait l’habitude de les réparer  avec ses parents quand elle était petite. Ce fut donc un jeu d’enfant pour elle. Une fois assemblées, ils voulurent les mettre debout. Une personne apparut. C’était un homme. Il avait le dos courbé, les épaules larges et le visage en colère. Il ressemblait au maire. En effet, il leur dit furieusement :

 » Julien Louis Léonard, septième du nom, je t’ordonne d’arrêter ce que tu fais ! Nous allons être ruinés par ta faute. Tu détruis tout ce que j’ai construit pour ma ville. J’ai tout mis à la décharge  pour rendre cette ville moderne et à mon image ! Qu’attends-tu pour exécuter mon ordre ? Si tu ne le fais pas, tu seras banni de la famille !

– Non, père ! Je ne céderai plus à vos désirs ! J’aime enfin quelqu’un et cet amour n’est pas pour vous mais pour Narom ! Vous avez un cœur de pierre qui n’aime personne à part vous ! Vous ne m’avez jamais donné de l’amour ou même de l’affection ! Vous avez maltraité ma mère en la rabaissant ! Toutes les personnes autour de vous, vous les trouvez inférieures ! Je ne serai jamais comme vous ! »

Le père stupéfait hurla de colère. Julien allait mettre debout les éoliennes pour qu’elles fonctionnent, mais son père lui tira dans le bras avec le pistolet qu’il avait caché. Julien tomba à terre. Narom se précipita vers Julien. L’arme toujours pointée sur eux, il reposa calmement sa question. Julien se mit debout avec un bras qu’il ne pouvait plus utiliser. Il écarta Narom  et lui dit de relever les éoliennes. Narom fit ce qu’il dit. Le vent soufflait de plus en plus fort. Ils combattirent à mains nues. Julien arriva à mettre à terre son père. Il le tua.  Un morceau de fer  lui traversait la poitrine. Avant de mourir, le père de Julien avoua à Narom que c’était lui qui avait ordonné de tuer ses parents. Le maire s’excusait pour tout le mal qu’il avait fait. Julien la regardait tristement. Elle le consola et lui montra que les éoliennes fonctionnaient. Ils construisirent d’autres objets du même type et convainquirent la population de redevenir écologique. Peu à peu, la tempête disparut et le vent se calma. La ville se transforma.

Plusieurs années après, Narom, mairesse, se maria avec Julien. Ils eurent des enfants qui en eurent aussi et ainsi je naquis. Je m’appelle Fleur et Narom était ma grand-mère et Julien, mon grand-père. Ils vécurent heureux. A l’heure où je vous parle, ils sont morts ensemble et satisfaits de ce qu’ils avaient accompli. Aujourd’hui, le monde est écologique.

Jade et Jeanne . 5°A

La vengeance de la Terre

   La vengeance de la Terre

Louise et Jules étaient deux adolescents de seize ans, qui de bon matin, allaient à pied au Lycée. Louise était une élève modèle, studieuse et exemplaire, contrairement à Jules qui lui était fainéant et maladroit. Mais cela n’empêchait pas qu’ils se voyaient hors du Lycée pour réviser.

C’est  d’ailleurs comme ça que notre histoire commence…Un soir, Louise alla chez Jules pour réviser le contrôle de Mathématiques car il avait de grosses difficultés dans cette matière. Louise frappa à sa porte :  DING DONG !

-Je pense que c’est Louise, pensait Jules en allant ouvrir la porte, j’arrive !

-Salut, s’exclama Louise, je viens réviser le contrôle de maths avec toi.

-Ok, monte dans ma chambre pendant que je vais chercher mes cahiers.

Une fois que les deux amis furent dans la chambre, Louise demanda à Jules :

-Oh, pourquoi tu as tant de plastique dans ta chambre ?

-Car ma passion dans la vie c’est l’écologie et protéger la planète, répondit-il

Quatorze ans plus tard,  Louise et Jules se marièrent et ils firent des études dans une école spécialisée dans l’écologie car c’étaient des amoureux de la Terre.Quant à elle, la Terre, elle n’aimait pas les humains car ils la polluaient depuis quatorze ans. Alors, elle envisagea de se venger des humains sauf de Louise et de Jules qui la protégeaient et prenaient soin d’elle depuis leur plus jeune âge. C’était le début de l’apocalypse…

Un matin Louise et Jules se levèrent de bonne humeur comme tous les matins, mais il ne s’attendaient pas à ce qui allait se passer…  Il partirent chacun de leur côté pour ramasser les déchets dans la ville (c’était leur métier). Louise marcha longtemps avant d’arriver devant un lac rempli de déchets. Elle s’assit et se demanda pourquoi les personnes jetaient tant de déchets? Elle prit son sac poubelle et sa pince à déchets pour aller nettoyer le lac. Mais il se mit à trembloter puis une vague de plus de cinq mètres de haut s’abattit sur Louise, mais une fois la vague passée ,Louise n’était pas mouillée comme si une bulle s’était formée autour d’elle.

-Très étrange, se dit Louise d’une voix tremblante.

Louise eut très peur, elle courut chez elle. Mais sur le chemin du retour, elle vit de la lave couler qui venait de l’île des volcans, Louise entendit que le volcan était rentré en éruption, et crut que c’était la fin pour elle. Heureusement pour elle, une roche tombée de nulle  part la protégea de la lave. Après ça, elle alla chercher Jules, chez elle.

Du côté de Jules, le vent soufflait très fort, tellement fort que les arbres s’envolaient du sol. Il marchait dans la forêt quand tout d’un coup, il sentit le sol bouger et puis il s’aperçut qu’il volait, c’était une branche d’arbre géante qui le soulevait, il eut très peur… D’en haut, Jules vit des enfants et des adultes aspirés vers le centre de la Terre où ils furent engloutis pour tout le mal qu’ils lui avaient fait. Après la tempête, des arbres et fleurs poussaient si vite qu’ils détruisaient les maisons, étranglaient les gens, mais Jules ne fut pas touché car il était toujours en haut de la branche. Il fut tellement choqué du désastre, que la branche le déposa et il rentra chez lui. Le soir même, Louise et Jules se racontèrent leur journée, toujours choqués.

Le lendemain. Louise et Jules étaient encore troublés par la vengeance de la Terre. Ils sortirent pour aller nettoyer les dégâts qu’elle avait causé, mais, ils avaient peur qu’elle veuille les brûler, les noyer, les aspirer dans un trou noir ou encore les étouffer avec les branches d’arbres. En ouvrant la porte, ils comprirent qu’ils étaient les seuls survivants, et que la Terre s’était calmée.

Deux ans plus tard, Louise et Jules firent des enfants et ils leur apprirent  que la Terre était fragile, et qu’il faut y faire attention et ne pas la polluer.

Louane et Loona, 5°C

Greenwashing

11 juillet 3012158

Assis sur ma chaise faite principalement de bois, je regarde le monde qui m’entoure. J’admire cette terre qui m’éblouit. Il faut dire que chaque jour, je l’examine comme si c’était la première fois que je la voyais. J’ai quand même un âge assez avancé. Ça pourrait bien être la dernière fois qu’il me soit donné de contempler ce monde, la dernière fois que je pourrai voir ces prairies verdoyantes s’étendre à l’infinie, entendre ses oiseaux chanter comme des maestros et les animaux gambader sans se soucier de la chaîne alimentaire. Bon, assez de nostalgie, il est l’heure de ma sieste.

-Papy tu es là? Cria une voix.

C’est ma petite fille qui encore une fois, ne veut pas dormir. Ma petite fille est menue, assez grande pour son âge. Elle a 7 ans et elle est très intelligente. Elle a des yeux espiègles et un sourire à faire fondre toute personne voulant la gronder. Je me demande bien quel prétexte elle a inventé pour ne pas dormir. Peut-être qu’elle va changer de stratégie et me faire du chantage.

-Grand-père, papi chou, raconte-moi une histoire s’il te plaît, dit-elle, en me regardant avec son regard d’un ange descendu du ciel.

-Tu devrais être au lit au lieu de venir me faire les yeux doux.Tu sais que tes parents vont se fâcher s’ils te trouvent debout, Roseline Azader 650 me du nom, soupirai-je.

-De toute façon, papa et maman sont partis se promener, me répliqua-t-elle. Allez, s’il te plaît papy, fais-le pour ton sucre d’orge. Après, je m’endors promis. Si tu ne le fais pas, je dirais que c’est toi, qui as failli mettre le feu à la maison en cuisinant hier.

– D’accord, bougonnai-je. Je vais te raconter une histoire, mon histoire celle de ton vieux papy de 10000 ans, pendant son enfance.  Mon histoire se passait en l’an 3012. Le monde tournait autour des trafics de drogue, des assassinats et des trafics d’humains. La police municipal ne pouvait rien faire face à ce carnage. On ne pouvait même pas avoir le soutien des forces de l’ordre, réservées à la sécurité des chefs d’états. La terre était parsemée de déchets, on la comparait à une grande déchetterie. Le sol était jonché de détritus, de verre, de nylon et de produits technologiques. L’air était presque irrespirable et l’eau potable manquait. Ne parlons même pas de l’éducation, on ne savait même plus lire ou écrire. Il n’y avait plus aucune école disponible sauf pour les scientifiques.

-On ne pouvait pas ramasser les détritus comme maintenant ? me demanda ma petite fille.

-Non. Enfin si, répondis-je. Il y avait des robots qui ramassaient les déchets mais ceux-ci avaient été accumulés depuis tant d’années que c’était difficile de tous les détruire.

-Hum, répondit-elle songeuse

– Dans ce monde,  il n’y avait pas de riche ou de pauvre. Les seuls riches qui existaient, étaient les chefs d’états, les chefs d’entreprises et leurs enfants. A l’époque, j’étais un enfant qui ne se souciait guère des ennuis qui l’entouraient. J’avais une taille assez grande pour les enfants de mon âge et je préférais travailler  seul depuis que mes parents avaient été tués lors de la grande épidémie de gastro. Pour moi, la vie était assez facile. Si je voulais manger, je n’avais qu’à voler, si je voulais dormir, je dormais sur mon lit de fortune. J’habitais dans un bidonville fait principalement d’acier trouvé par terre. Un jour, en rentrant chez moi, j’entendis les rumeurs des habitants disant que la moitié de la population mondiale était morte à cause d’une nouvelle épidémie. Il faut dire qu’on était déjà à la 7 me épidémie cette année-là. En seulement un an, 50% de la population mondiale était morte, soit 10 milliards d’habitants en moins, il n’en restait qu’un milliard maintenant. Ce qui ne causait que plus de problèmes, le décroissement alarmant de la démographie causait une baisse anormale de main-d’œuvre. Le monde ne pouvait plus répondre à ses besoins, on était au bord du gouffre.

-Il n’y avait pas une solution pour vous sauver ? s’interrogea-t-elle.

-J’y arrive, mais pour le moment, il n’y avait pas de solution. A ce rythme, les scientifiques prévoyaient la fin de l’espèce humaine un an plus tard, dans un bain de maladies et de virus. La population fut prise de panique. On demanda aux scientifiques de se dépêcher. L’ambiance dans les pays était devenue plus macabre que d’habitude. Deux mois plus tard, une nouvelle se fit entendre, à la télé. Les scientifiques avaient enfin trouvé un moyen de détruire tous les déchets de la terre, grâce à un désintégrateur focalisé sur l’anéantissement des rayonnements produits par les déchets. Cette machine marchait en plusieurs étapes.

1: Elle enverrait des nano robots au corps 100% biologiques, qui détruiraient les déchets avec des puissants acides bio.

2: Les nano robots absorberaient tous les rayons nucléaires des déchets.

3:Ils recycleraient ses rayonnements en engrais, en air pur, en eau ou encore utiliseraient les rayonnements pour s’alimenter.

4:Et enfin, ils se dégraderaient en engrais ou nourriture pour les insectes.

-wolof, c’était l’engin parfait papy ! S’exclama-t-elle.

-Oui, répondis-je, l’engin parfait. À l’annonce de cette nouvelle, la population entière commença à s’exciter, pensant être enfin sauvée de l’apocalypse. Mais il y avait deux gros problèmes. D »abord,les rayonnements causés par le désintégrateur pouvaient bien être nuisibles pour les hommes, voire être mortels pour nous. Ensuite,pendant que les nano robots biologiques rétablissaient l’équilibre sur Terre, les forces naturelles allaient se déchaîner pour reprendre leur place. Les scientifiques estimaient qu’il pourrait y avoir des rafales de plus de 300km/h, des tempêtes monstrueuses et même des éruptions volcaniques, les plus puissantes rendant l’air presque irrespirable. Les scientifiques avaient bien sûr trouvé un moyen pour nous épargner ces phénomènes. Il avait construit des cabines pressurisées, faites d’un alliage de titane et de diamants. Les cabines nous permettraient de ne pas subir les changements de température et la violence qui nous attendait dans le monde extérieur, grâce à des climatiseurs intégrés. Ils avaient tous acquis la science de la cryogénisation.

-C’est quoi la créo truc machin? demanda-t-elle.

La cry-o-gé-nie, cryogénie, répétai-je. La cryogénie est une méthode médicale qui permet au corps du patient, de dormir durant une durée voulue. Les gens comprenant qu’ils ne survivraient pas tous, commencèrent à s’enflammer. Tout le monde pensait à survivre, personne ne voulait perdre la vie dans cette apocalypse.  Le cœur de chacun s’enragea. Leur colère était si immense qu’ils allèrent jusqu’à essayer de détruire leur seul moyen d’être sauvé. Les combats faisaient rage dehors, même l’armée n’arrivait pas à calmer les ardeurs de la foule.

– Pendant ce temps, où te trouvais-tu papy? demanda-t-elle. Est-ce-que tu participais aux manifestations?

-Non, je ne participais pas aux manifestations. Je me trouvais chez moi, en essayant de me tenir à l’écart des manifestants. Pendant ce temps, les chefs d’états complotèrent en secret. Ils savaient tous que le monde entier ne pouvait survivre. Il fallait donc tuer. Ils décidèrent d’envoyer une bombe sur la terre appelée green washing. Cet obus avait la faculté de tuer la moitié de la population, grâce à un virus dont la fabrication est toujours secrète. Sans demander l’avis de la population, ils envoyèrent le projectile. Celui-ci en décima 45%. Cinq millions d’habitants moururent sur un milliard.

-Mais c’est horrible grand-père ! Toutes ces personnes ne méritaient pas de mourir aussi cruellement !

-Oui, ils ne méritaient pas tous de mourir, mais c’est la dure loi de la vie. Souvent, je me demande si tout ce sang versé était nécessaire, si nous en valons vraiment la peine.

Nous entrâmes dans nos capsules sans grand enthousiasme, pensant toujours aux personnes innocentes qui étaient mortes. Une fois la porte des capsules fermées, ce fut le flou total.

Quand nous fûmes réveillés, nous sortîmes de nos capsules. Tout le monde avait du mal à marcher. Cela faisait quand même je ne sais pas combien de temps que nous n’avions pas marché. Ce que je vis me vida les poumons. Il n’y avait plus aucun déchets, le sol était rempli de petites choses vertes. Il y avait aussi plein d’animaux grands comme petits. C’est à ce moment que nous réalisâmes tous, que nous devions absolument protéger ce paradis afin que nos descendants puissent vivre dans la prospérité. Mon récit est fini, maintenant tu connais l’histoire de ton grand-père. Allez dodo.

-Oui, j’y vais, bougonna-t-elle, bonne sieste grand-père. Merci pour l’histoire tu es un grand héros. Elle s’en alla donc dans sa chambre pour dormir comme promis.

Bientôt ça serait à son tour de raconter mon histoire à ses petits enfants et ainsi de suite.

                                                                                                     Junior 5°A

Les inondations à ST Mammes 2016

20160604_153832Les inondations à ST Mammes 2016

C’était un mercredi matin en juin, je me suis levée comme d’habitude pour le collège. D’un coup, ma mère est entré dans ma chambre et m’a dit :

-Tu peux aller te coucher, il n’y a pas collège aujourd’hui. Je l’ ai regardé d’un air étonné et je lui ai répondu.

-Pourquoi ?

-Le bas de ST Mammes est inondé et le pont est coupé.

J’habite ST Mammes donc si le pont est coupé, je ne peux pas aller au collège de Champagne qui est sur l’autre rive de la Seine. Je me  suis rendormi avec la peur que l’ eau monte jusqu’à chez moi. Je me suis réveillée après un court sommeil perturbé. Quelques heures plus tard, une amie m’appelle et me dit :

– ça te dit de venir chez moi dans une quinzaine de minutes, il y a Marion, elle est inondée. Du coup, elle dort chez moi avec sa famille. C’était Jessica au téléphone.

-Ok avec plaisir, lui ai-je répondu.

Je suis parti de chez moi pour aller chez Jessica. J’arrive chez elle, je vois Marion et sa famille. Elle m’explique que, en fait, vu qu’elle habite devant la Seine, l’eau a monté donc ils ont du monter tous les meubles à l’étage avant qu’ils se fassent évacuer. Puis l’après midi, nous sommes partis voir le bord de Seine. Les voitures ne circulaient plus, les commerces étaient sous l’eau. Nous avons vu les pompiers qui sauvaient des personnes. C’était ma première inondation.

Jeanne 5°A

Inondation à st Mammes.

Les inondations en juin 201620160604_153804

En juin  2016 il y a eu des inondations  en Seine et Marne dont la ville de St Mammès où j’habite.

J’ai été inondé car ma maison est tout près de du Loing. Il y a eu de l’eau partout, d’abord dans la cave puis dans le jardin et la maison. Nous avons dû tout déménager, mettre à en hauteur les meubles, l’électroménager… Puis nous  sommes partis chez mes grands parents qui habitent à l’abri,à Moret. Nous nous sommes renseignés, l’eau avait déjà beaucoup montée .Tout le jardin était sous l’eau, plus d’1 mètre.

Le deuxième jour, l’eau s’est arrêtée peu à peu de monter. Il n’y avait plus d’école depuis deux jours. La circulation était bloquée. Nous avons vu des photos de la maison car mon père, qui est pompier, était passé. Il y avait plus de 1 mètre 70 dans le jardin, la cave était submergée et il y avait un peu près 10 cm d’eau dans la maison.

Au bout du troisième jour, l eau commençait à redescende peu à peu et très, trés lentement.

Depuis nous refaisons la maison,le carrelage, les murs, la peinture, la cuisine et la salle à manger, bref, tout !

Il y a eu beaucoup d’eau et c’était très impressionnant heureusement que ça n’arrive pas tous les jours et ce sont des choses qui font partie de la vie.

Enzo Mathiot