« La représentation du soldat pendant la grande guerre«
Dernière découverte du jour, un site traitant de « La représentation du soldat pendant la grande guerre » (CRDP d’Amiens). La Picardie a été un des lieux où furent menés les combats les plus sanglants durant la Première guerre mondiale. C’est tout naturellement qu’elle est devenue un pôle de référence pour tout ce qui touche à l’histoire de cette période. Cette exposition virtuelle montre combien cette guerre nationale, fondée sur la mobilisation générale, se révèle comme un affrontement entre nations. Le phénomène s’est trouvé amplifié par la lecture et l’interprétation fondamentalement défensive du conflit chez tous les protagonistes. En cela, la guerre nationale fut tout autant un conflit de cultures qu’une guerre territoriale au cours duquel on se battit pour imposer des langages et des représentations… De la propagande à consommer avec modération et esprit critique !
« La représentation du soldat pendant la grande guerre«
Bien votre Blog ! Cela vaut au moins 30 Bonus…
Merci du compliment ! Il serait encore plus apprécié si tu osais signer avec ton nom et ta classe…
Site intéressant, merci. Mais à quand les documents sur l’URSS ?
Il est vrai que ce blog vaut bien 30 bonus !!!
et vive Staline (lol)
Bientôt, bientôt… J’ai encore quelques copies de 3eme à finir, et je vais pouvoir m’y mettre ! Un peu de patience, les sources promises seront bientôt mises en ligne !
Il est vraiment bien fait ce site, c’est vrai ! Grâce à lui, j’ai pu apprendre ma leçon d’histoire sans y penser ^^ lol
Merci, ça m’a bien aidé !^^lol
De rien ! Heureux que les sources du CRDP t’aient été grandes ouvertes…
Bonjour, merci pour ce Blog. Juste une petite question : qui est l’auteur de cette illustration ? J’en ai besoin pour un devoir…
Difficile à dire… Il semblerait que ce soit le travail de Georges SCOTT, peintre de la Grande Guerre. C’est l’hypothèse la plus probable pour le moment.
Bonjour,
je cherchais une photo de la 1ere guerre mondiale pour un article dans mon blog demain et j’arrive chez vous ! C’est important que les élèves ne fassent pas l’impasse sur cette guerre ; c’est loin 90 ans mais toutes nos familles, nos villes et nos villages ont été touchés ! Le déficit démographique, la condition de la femme,les nouvelles armes, tellement de choses ont été affectées…Pour moi, ce sont les 2 seuls cousins de mon père qui sont morts à 18 et 20 ans, les parents sont morts de chagrin très peu de temps après et tout un pan de famille n’a pas existé ! Pour motiver les enfants, on peut leur demander une petite enquête sur l’histoire familiale.
Je ne suis pas là pour donner des conseils à un professionnel mais mon fils est également professeur d’histoire et ce n’est peut-être pas un hasard car mon père en était passionné et moi aussi…..
Bonne continuation et bravo
Bonjour Marie-Laure. Merci pour vos encouragements. Merci de me redonner l’adresse complète de votre Blog : ell a mal été enregistrée.
Je suis tout à fait d’accord avec vous au sujet de la guerre 1914-1918. Plus un seul survivant en France, mais l’histoire est toujours là, de plus en plus vivante à mesure que les archives locales sont (re)découvertes. C’est héritage précieux à manier avec respect et délicatesse. Mon arrière grand-père était à Verdun et mon grand père a connu les camps de concentration. Et moi j’enseigne l’histoire. Destiné(e) ?
Lorsque j’étais élève-maître stagiaire il y a… trop longtemps ;-) j’avais invité un ancien Poilu dans ma classe de Ce1 afin qu’il réponde aux questions préparées par mes petits élèves et qu’il réagisse avec ses souvenirs à partir des quelques documents que nous avions pu réunir, avec nos modestes moyens. Cette anecdote vous rend jaloux j’espère ! ;-)
Jaloux ? Non, un peu triste de ne pas avoir connu des hommes tel que lui… Et quand on sait la difficulté, aujour’dhui, à faire venir des anciens combattants de la guerre 39-45, cela n’arrange rien. La mémoire est d’abord vivante, puis demeure mémoire. Grâce aux historiens et aux jeunes génération. C’est pour moi l’essentiel et l’une des tâches les plus précieuses de mon métier.