Rousseau et la science

La pensée de Rousseau n’est jamais binaire, d’où parfois les difficultés de ses lecteurs à bien l’interpréter. Dans Émile, l’auteur nous confie d’ailleurs : « […] j’aime mieux être homme à paradoxes qu’homme à préjugés. »

Ainsi la pensée rousseauiste est mouvante et vivante : elle évolue, dans sa cohérence, au fil des ans. C’est ce qu’écrit Alexandre Moatti, docteur en histoire des sciences, dans son dernier billet de blog : « […] Finalement, cela montre à quel point une pensée peut évoluer et se déployer différemment avec l’âge et sous un contexte personnel. » (http://www.scilogs.fr/alterscience/rousseau-et-la-science/)

 

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