Dubaï

Dubaï est une ville riche qui se situe aux Emirats Arabes Unis . Cette ville est riche et connue pour ses projets architecturaux et activités nautiques . Un des projets architecturaux s’appelle le Burj Khalifa, c’est la tour la plus grande du monde. Elle mesure 829 métres de long et a 162 étages. A Dubaï, il y a un grand centre commercial qui attire des milliers de touristes par jour, il s’appelle « Dubai Mall ». Dans ce centre commercial se trouve une piste de ski, il y a entre 2000 et 4000 personnes qui viennent en faire chaque jour.

Sources :

https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_tallest_buildings_in_Dubai

https://pixabay.com/fr/duba%C3%AF-aquarium-poissons-248412/https://pixabay.com/fr/duba%C3%AF-port-l-eau-l-architecture-1871965/

https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9ographie_des_%C3%89mirats_arabes_unis#/media/File:Tc-map.png

Leila Mebarki

Massalia

Dans Massalia (cité grecque) les habitants :

– vivaient dans des petites maisons de bois qu’ils fabriquaient avec leurs propres mains ce qui était très difficile.

– construisaient, aussi, des temples pour honorer leurs dieux.

Leurs vies étaient beaucoup moins modernisée que la nôtre, car ils ne savaient pas construire de grands magasins. Ils ne fabriquaient que des marchés.

En conclusion, les habitants de Massalia avaient la vie très dure.

Khalile Jaziri

Les fouilles sur le site de Kervouric

 

Le site de Kervouric a fait l’objet de grandes fouilles où l’on a trouvé des traces de maisons qui datent du néolithique. La photo, que nous voyons (page 39 du manuel d’histoire/géographie et EMC), a été prise par un archéologue anonyme sur le site même.

Ce que je pense :

Je pense que ces maisons sont grandes car elles font 30 mètres de long, donc, elles pouvaient, chacune, abriter plusieurs personnes, voir plusieurs familles.

Je trouve qu’elles ont une forme rectangulaire, qui est celle de la majorité des maisons d’aujourd’hui. Les trous des piliers sont très gros, cela montre qu’ils devaient être très solides.

Je suppose, aussi, que les hommes étaient devenus agriculteurs et qu’il devait y avoir des débris d’outils d’agriculture comme :

  • des haches polies
  • des outils en silex
  • etc.… .

Conclusion :

Les fouilles sur le site de Kervouric montre complètement la sédentarité du néolithique avec la taille des maisons. Par exemple, sur le document 2, la maison mesure plus de 30 mètres de long.

SOURCE : Manuel Magnard d’Histoire, Géographie et EMC 2016 (Page 39)

JAZIRI Khalile 6ème

La fondation mythique et archéologique de Rome

La fondation mythique de Rome est rapportée par Virgile (dans Eneide, Livre II) et Tite-Live (dans Histoire de Rome depuis sa fondation) au Ier siècle av. J-C.

Romulus aurait fondé Rome (qui est une cité portant son nom).

Il serait le descendant du héros grec Enée, qui aurait fuit Troie et se serait installé en Italie, à côté du Tibre, pour y devenir roi. En effet, Enée aurait envoyé cent ambassadeurs troyens voir le roi Latin qui leur aurait donné une partie de son territoire en Italie.

Abandonné avec son frère jumeau, Romulus et Rémus auraient été recueillis et élevés par une louve, puis par un berger.

Romulus aurait fondé la ville de Rome sur la colline du Palatin après avoir tué son frère Rémus qui le trahit en franchissant les murailles en construction qui les séparaient.

Les traces archéologiques prouvent l’existence de cette fondation romaine avec :

  • la reconstitution d’un village fait de cabanes en bois, datant du VIIIe siècle avant J.-C., selon les découvertes réalisées sur la colline du Palatin.
  • Le mur d’enceinte de Rome, un vestige de fortification de la ville.
  • La Cloaca Maxima, l’un des systèmes d’égout les plus anciens du monde. Elle révèle le progrès technologique des romains à cette époque.

Nous pouvons comprendre, d’après les fouilles archéologiques et les sources littéraires, que Rome porte bien le nom de Romulus. Elle se situe, effectivement, à côté du Tibre sur la fameuse colline du Palatin.

JAZIRI Khalile

Le port de Singapour


Le lieu de cette photographie est Singapour, je ne connais pas l’auteur mais il montre un message, c’est que dans ce pays il y a des gens qui font ce métier (marin). La photo date des années 2015-2016.

Je vois 11 messieurs habillés de la même façon. Derrière eux il y a un bateau, il y a plusieurs conteneurs. Ils sont en train de tirer une corde. Le bateau est bleu. Les hommes portent un casque et un gilet si jamais ils tombent à l’eau. Ces gilets sont oranges et leur tenue est jaune pour qu’on les voit la nuit. Ils font du transport de marchandise. On ne sait pas ce qu’il y a dans les conteneurs.

Cette photographie nous apprend sur ce territoire que les habitants font du commerce de marchandises qu’ils vendent grâce à des conteneurs.

Source : Manuel 6ème, Magnard 2016, 258

Kais Gadany, 6ème, 2017

Les conscrits

Un week-end je suis allée à Villefranche-sur-Saône* voir mes grands-parents.

Le samedi après-midi il y avait la fanfare** qui défilait dans la rue.

Le dimanche matin il y avait encore des fanfares et il y avait des conscrits*** qui faisaient la vague****, il y avait plusieurs tranches d’âges : il y avait des 20 ans, 30 ans, 40 ans, 50 ans, 60 ans, 70 ans, 80 ans et quelques 90 ans et plus.

 

Il y a aussi des 10 ans mais ils n’ont pas le droit de défilé, c’est la tradition. Une tradition unique en France. Nulle part ailleurs, la fête des Conscrits n’a pris une telle ampleur.

Histoire
La tradition remonte au siècle dernier. A l’époque révolue du tirage au sort des conscrits qui s’effectuait à l’Hôtel de Ville. Les jeunes hommes de 20 ans faisaient la fête avant d’être appelés à servir sous les drapeaux de longues années.

Or, pendant le Second Empire, deux jeunes garçons se présentèrent devant les autorités vêtus avec un habit noir et gibus. L’année suivante, leurs successeurs firent de même. La coutume s’instaurait.

Entre conscrits de même classe, on se tutoie sans distinction sociale, on s’épaule en cas de difficulté. « Conscrit un jour, conscrit toujours » dit-on. Mais attention ! Cela ne concerne que les messieurs.Tradition, oblige!

Le défilé de la vague

Le Jour J, les conscrits de toutes les décennies déboulent sur la rue Nationale piétonne et font « la Vague » (c’est-à-dire qu’ils cheminent alternativement par rangées de gauche à droite, donnant un effet de vague au défilé). Chaque classe d’âge est précédée solennellement par une fanfare. Ce grand cortège fait le parcours dans le sens aller et retour. Il faut du souffle pour couvrir la distance ! Sur cette rue, ce spectacle tout de mouvements est grandiose.

Bras dessus-bras dessous, les conscrits chantent, dansent, interpellent le public.

Les plus anciens font souvent le parcours en voiture d’honneur.

Mais ce ne sont pas les moins applaudis pour autant.

Cette « fête du temps qui passe » regroupe entre 350 et 500 conscrits suivant les années.

Et certains reviennent de fort loin pour participer à leurs classes qu’ils ne voudraient manquer à aucun prix.
Ce dimanche-là, toute la Calade est rassemblée de chaque côté de la rue Nat’. On vient voir passer son mari, un frère, un ami…

Ensuite, les conscrits, fourbus mais ravis, vont faire bombance avec leurs invités dans de grands banquets. La journée finit par de grands bals avec orchestres.

Lexique:

* Villefranche-sur-Saône = Villefranche-sur-Saône situe à côté de Lyon ( C’est entre 3 heures et 4 heures de route en voiture en partant de Marseille. )

** Fanfare = La fanfare est un ensemble de plusieurs musiciens.

*** Conscrits = Un conscrit est un jeune homme appelé sous les drapeaux pour effectuer son service militaire.

Sources : Les connaissances d’EMma et de ses grands-parents. Article de Wikipédia et un site spécialisé sur la fête des conscrits.

KRAVETZ Emma

et

JAZIRI Khalile

Cité grecque

La vie des habitants d’une cité grecque dans l’antiquité serait complètement différente. Il y aurait des murailles tout autour de la ville pour la protéger des attaques. Pour entrer dans cette ville il y aurait un grand portail avec des gardes qui seraient devant et qui diraient « Êtes-vous des amis ou des ennemis ? » puis selon la réponse ils diraient s’ils peuvent entrer ou pas.

Il y aurait des châteaux qui seraient habités par des rois, pour montrer leur puissance.

KRAVETZ Emma

Le racisme

Le racisme touche surtout les gens de couleurs (noirs, maghrébins) et les gens pauvres , avec des clichés de toutes les façons. Souvent les bagarres tournent sur le racisme.

Il y avait même des gens vêtus de blancs qui tuaient des noirs à l’époque. Ils tuaient les noirs et ceux qui n’étaient pas chrétiens. Ils leur attachaient une corde au cou et les suspendaient à un arbre. Ils ont un logo rouge et s’appellent le Ku Klux Klan.

Une cérémonie du Ku Klux Klan, en 1922.

Symbole du Ku Klux Klan.

 

Source des images : article Ku Klux Klan de Wikipedia

Zakari Mokrane, 5C , 2017

La révolution industrielle

Problématique : Quelles sont les origines de la révolution industrielle ?

  • Les Révolutions industrielles du XIXème siècle

Elles se caractérisent par le passage d’une société à dominante agricole et artisanale à une société commerciale et industrielle dont l’idéologie est technicienne et rationaliste. Ainsi elle est fille des Lumières mais pas seulement.

  • L’ère de la vapeur et du charbon

En Angleterre, à la fin du XVIIIème siècle, on assiste aux débuts de l’industrialisation (qui s’étant au reste de l’Europe vers 1850) : en un siècle les hommes passent du travail manuel à des pratiques industrielles où interviennent des machines qui les aident et accompagnent leur travail.

Le charbon est l’énergie de cette première industrialisation, il alimente notamment la machine à vapeur, perfectionnée par James Watt (en 1769), qui devient le moteur qui actionne d’autres machines : on peut ainsi produire plus à moindre coût.

Trois grands secteurs se développent alors rapidement : l’industrie textile, avec Joseph-Marie Jacquard qui perfectionne le métier à tisser et élabore une machine programmable (en 1801), la sidérurgie ( la fabrication de l’acier), avec le développement des transports (chemin de fer, navire à vapeur…) .

Durant cette première révolution il y a la création du vaccin contre la variole en 1796 par le médecin Edward Jenner et près de 50 ans plus tard la création du vaccin contre la rage par le chimiste, Louis Pasteur. Une « industrie pharmaceutique » a alors pû se développer.

  • Les nouvelles énergies

La seconde industrialisation, à partir de 1880, repose sur l’utilisation de deux nouvelles énergies :

  1. l’électricité (grâce à Thomas Edison et son ampoule électrique à incandescence), qui permet l’éclairage des villes, la création de nouveaux moyens de communication comme le télégraphe (de Morse) et le téléphone (de Bell, 1875) qui modifient les relations et la mise en exploitation des tramways et métros.

Son transport, grâce aux lignes à haute tension (1891), en fait une nouvelle source d’énergie pour l’industrie.

  1. le pétrole, avec la mise au point du moteur à explosion (1880), marque les débuts de la construction automobile et de l’aéronautique.

Au même moment, les découvertes scientifiques permettent de développer l’industrie chimique.

  • L’usine, un nouveau bâtiment

Un nouveau paysage gagne peu à peu l’Europe. La taille des machines et la nécessité de regrouper de nombreux travailleurs imposent un nouveau cadre de travail : l’usine.

Les usines vont apparaître dans toute l’Europe et vont être au cœur des nouvelles villes-usines et donner naissance à des Pays noirs (comme le Pays de Galle, le Nord de la France et les « Bassins houillers » de l’Est) .

  • De nouveau rapports :

Les découvertes industrielles (voir le film de Charlie Chaplin: Les temps modernes, de 1936) ont modifié le rapport entre « patrons » et « ouvriers » les « modes de production », importés des États Unis à l’Europe, par Frederick Taylor (taylorisme) et Henry Ford (fordisme) : mettent fin aux usages et à l’organisation individualiste (libéralisme) et artisanal.

Taylor, lui, préconise une spécialisation des tâches : il y a ceux qui pensent les processus de travail, les patrons et ingénieurs et ceux qui les exécutent, les ouvriers. Il apporte l’idée du « one best way » : standardisation et chronométrage des tâches simplifiées (les gestes sont décomposés au maximum) pour les ouvriers, afin de minimiser leurs mouvements et définir une cadence de travail.

Henry Ford (début du XXe siècle) développe le travail à la chaîne dans le secteur automobile, en installant un tapis roulant qui achemine les pièces vers les ouvriers spécialisés, ce qui leur évite des déplacements inutiles.

Cette nouvelle organisation du travail n’est pas sans conséquence sur les travailleurs, en Europe, Karl Marx la décrit comme conduisant les prolétaires à la misère. L’ouvrier n’est plus qu’un maillon d’une chaîne de production : « C’est une simple machine à produire la richesse pour autrui, écrasé physiquement et abrutie intellectuellement. »

 

  • L’industrialisation encore un sujet d’actualité : un troisième révolution industrielle ?

Elle commence dans le dernier tiers du XXème siècle et début du XXIème, cette révolution correspond à une nouvelle étape dans l’histoire des sciences et des techniques. Elle se caractérise principalement par :

  1. l’utilisation l’énergie nucléaire ;
  2. le développement de l’électronique et de l’informatique qui rendent possibles la production de matériels miniaturisés et l’automatisation poussée de la production et la multiplication des produits de synthèse,
  3. le développement des technologies spatiales et celui des biotechnologies.

Cette troisième révolution industrielle a d’abord concerné les États-Unis, le Japon et les pays de l’Union européenne puis s’est ouverte au monde. Internet en est le symbole emblématique au début du XXIème.

 

  • Réponse à la problématique: « Quelles sont les origines de la Révolution industrielle ? »

La plus part des historiens sont de l’avis que la révolution industrielle est l’aboutissement des Lumières et qu’elle a commencé en Angleterre.

Le débat sur les origines de la révolution industrielle, est un débat qui partage de nombreux historiens et économistes du monde entier.

Il commença en 1997 avec Bairoch (historien économiste) jusqu’en 2001 avec Maddison (historien économiste), et n’a fait que progresser au fur et à mesure que le cas de la Grande-Bretagne était replacé dans une perspective comparative plus large.

Pour Bairoch, la révolution agricole est la base de la révolution industrielle, mais il y a débat là-dessus. On peut donc imaginer que la révolution industrielle commence vers 1750. Mais l’appellation « révolution industrielle » est bien plus tardive (le terme « révolution » n’est pas utilisé avant 1789).

Alors, aurait-elle pu éclore dans un autre foyer industriel que celui de l’Europe des Lumières, ou plus tôt encore au sein de ce continent qui, dès le Moyen Âge, démontre sa capacité d’innovation ? D’autres civilisations, telle la Chine, longtemps la plus avancée de toutes, n’auraient-elles pas pu devenir le berceau de l’industrie moderne avant même l’éveil de l’Europe ?

  • Avis personnel :

    Le siècle des Lumières est le « triomphe de la Raison » sur « les croyances religieuses ». Ouvert au progrès scientifique en tout domaine, il suscita des découvertes qui ont « heurté » les croyances religieuses : l’origine de la Terre et le système où elle évolue (Giordano Bruno est condamné par l’Église et brûlé au bucher…), l’humain (Théorie de l’Évolution , contraire aux règles religieuses) . Libéré des préceptes des croyances illogique, l’homme progressa dans l’acquisition des connaissances et « osa » se confronter aux « déterminismes naturels »: l’esprit du Siècle des Lumières lui fit « dépasser » le « mur du son », inventer des « machines volantes » (qui n’existaient que dans les contes populaires), et , par la génétique (découverte de l’ADN), aborde la Santé humaine par la science et connaissance des « causes » des maladies…Toutes les découvertes ne furent, certes pas bénéfiques à l’humanité: l’utilisation guerrière de l’énergie nucléaire a donné des crimes contre l’humanité (Hiroshima,Nagasaki), mais comme l’écrivait Einstein, dont les travaux ont permis la fabrication de la « bombe atomique »: « La découverte des réactions nucléaires en chaîne n’a pas plus de conséquences catastrophiques que la découverte des allumettes… », tout dépend de ce que l’on en fait ; et il ajoute par ailleurs, « le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire… » (dans son livre « Comment je vois le Monde »1949). Notons que cette énergie nucléaire a de nombreuses applications: radio-thérapie ; production relativement « propre » d’électricité…

 

Sources :

Hyba Sedeki

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