L’exposition ”Size doesn’t matter”

J’ai visité l’exposition  à l’Abbaye aux Dames : « Setomaa, un royaume sur le fil » et j’ai décidé de décrire l’mage qui m’a plu.

Tout d’abord on peut dire que cette exposition est consacré à la vie en Russie et en Estonie. Il y en a plein de photos qui me semblent très intéressantes et proches.

J’ai choisi le photo : »Estonie, janvier 2015″ parce que cette image me fait penser de mon pays natale car dans mon pays il y a beaucoup de neige en hiver. Le forêt est aussi un élément très important dans la nature de mon pays, et comme en Estonie, il y a beaucoup de bouleaux en Russie.

Grace à cette exposition, j’ai appris que la culture et la nature de l’Estonie et de la Russie sont très proches et j’ai bien aimé toutes les images de cette exposition.

L’exposition ”Size doesn’t matter”

Dans le cadre du Festival des Boréales à Caen j’ai visité  l’exposition Size doesn’t matterLa taille ne compte pas  à l’Abbaye aux Dames. Il y avait des items créés par des designers estoniens. C’est un grand honneur pour Caen de se retrouver parmi les villes qui sont hôtes de cette exposition cette année : Brussels_Tallinn_London_Vienna_Sockholm_Caen.

Le titre de l’exposition exprime l’insignifiance de la taille petite  (45 339 km2) de l’Estonie quand il s’agit du  talent de ses designers qui embellissent le monde de l’innovation. La taille devient invisible, inexistante dans les yeux des admirateurs quand tout ce qui compte vraiment c’est la grandeur, la qualité, le noyau  de l’œuvre, de la création qui rendent la vie plus efficace, pratique et lui donnent plus de charme et de l’unicité. On peut apercevoir cette théorie appliquée  dans plusieurs circonstances  de la vie : les parfums les  plus précieux et de bonne qualité se gardent dans des petits récipients ; aies peu d’amis mais véritables, fidèles ; parle peu mais raisonnablement.

L’item que j’ai choisi pour le discuter un peu s’appelle TIE&APRON  qui est un tablier combiné à une cravate. Tout d’abord quand j’ai  observé cette image et le mannequin je croyais que c’est un article vestimentaire pour les hommes qui est très à la mode en Estonie, que c’est une sorte de  sarafan  que les hommes portent dans le quotidien et puis j’ai lu l’étiquette et j’ai compris. Qu’il soit en train de cuisiner ou en train de savourer un repas, TIE&APRON  fait de chaque dîner un moment de plaisir et de confort parce qu’ il n y a aucun risque qu’on plonge sa cravate dans la soupe par inadvertance.

Les symboles du tissu de cette combinaison représentent des rayures verticales et des rayures penchés de couleur noire et grise. Ces nuances me donnent  une impression d’élégance, d’un air classique, respectable.

Cet article n’est pas seulement destiné  aux hommes, ce qui me parait très curieux et attrayant car il peut être porté  par toute personne qui a et qui veut acquérir du style au quotidien.

J’ai choisi cet item à présenter parce qu’il dénote  beaucoup d’originalité, d’esthétique  et je voudrais essayer un jour ce tablier  combiné à une cravate.
Après avoir visité cette exposition je suis restée avec une grande envie de faire un séjour en Estonie, voir comment se passe15300512_350018442033825_466763691_n la vie là-bas et connaitre le peuple estonien qui est reconnu pour son penchant pour l’innovation, car l’Estonie est le pays d’origine de l’appareil photo espion miniature ”James Bond” Minox, de Skype, de TransferWise, de Fits Me et il a son propre satellite.

L’exposition Setomaa, un royaume sur le fil

L’exposition à l’Abbaye aux Dames

Dans le cadre des Boréales, je suis allée visiter  l’exposition à l’Abbaye aux Dames :  Setomaa, un royaume sur le fil.

D’abord, je tiens à dire que j’ai visité une exposition qui était magique.

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Je ne veux pas dire que seule la photo que je choisis est intéressante. Il y avait beaucoup de peintures et d’objets qui ont attiré mon attention.Par exemple( size doesn’t matter exposition de design estonien ).Ce design estonien  m’a étonnée avec tous les objets créés et des modes qui ont l’air simple mais confortable.

J’ai choisi ,, image estonie »qui été prise en Février  2015. Mon impression qu’une image simple a besoin de beaucoup de travail. Le paysage est incroyable,  ce particulier jeu de beauté de l’hiver en Estonie..Liisi, la jeune fille seto pense que le costume traditionnel n’a pas de valeur marchande, et cette image est la preuve des belles traditions en Estonie,et elle veut le prouver par la participation à la séance photo

L’exposition « Setomaa, un royaume sur le fil »

Pendant le festival des Boréales à Caen j’ai visité les différentes expositions à l’Abbaye aux Dames. J’ai beaucoup aimé l’exposition de design estonien qui s’appelle “Size Doesn’t Matter!” et la collection “Peindre en Normandie” dans la salle Malherbe. Il y avait beaucoup de choses intéressantes. Mais ce qui m’a impressionnée le plus est l’exposition “Setomaa, un royaume sur le fil”. Setomaa c’est un royaume historique, situé entre l’Estonie et la Russie. Dans l’exposition on présente de belles photos du photojournaliste Jérémie Jung, qui reflètent la vie quotidienne et la culture des gens vivant dans cette région.

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J’ai décidé d’écrire sur la photo “Le lac Gorodischenskoe”. Cette oeuvre est très proche de moi, parce qu’elle rappelle les lieux natals et la nature natale. Le lac Gorodischenskoe est le patrimoine culturel de cette région. Ce lac n’est pas profond, mais assez grand et propre. Autour il y a un très beau paysage. L’eau dans le lac est toujours froide, puisque au fond battent constamment les sources souterraines et c’est pour cela qu’il ne se glace pas entièrement. Aux bords du lac grandit le jonc. Le plus surprenant est la plante lacustre appelée le nénuphar blanc. Ses très belles fleurs blanches s’ouvrent à sept heures du matin et se ferment à cinq heures du soir. D’après le nénuphar blanc on peut prédire le temps. Il y a beaucoup de poisons dans ce lac.

À la surface du lac glissent des cygnes blancs. Les cygnes d’Izborsk ne quittent presque jamais le lac, même en hiver. Quand il se couvre de  glace, ils se réfugient dans les trous côtiers.

La Russie est remplis de beaux lieux créés par la nature. Ce lac est un de ces lieux. Et je suis très contente qu’il ait intéressé le photographe de cette exposition.

L’exposition « Setomaa, un royaume sur un fil »

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Dans l’exposition „Setomaa, un royaume sur le fil“ j’ai trouvé une oeuvre qui me plaît beaucoup et qui me fait réfléchir.
Sur cette photo on peut voir un groupe de personnes qui sont à la campagne. Ils parlent entre eux. Au milieu il y a une botte de paille où quelques personnes sont assises ou couchées. Au fond on peut voir des arbres et une vieille petite maison en bois. Le toit est cassé et il y a un vélo qui est appuyé contre le mur.
Il fait beau et le ciel est bleu. Un homme est assis torse nu, probablement il fait aussi chaud.
Tout a l’air très calme et serein.

Quand j’ai vu cette photo, elle m’a plu directement. Quand je la regarde je peux passer le temps et être dedans la photo avec les gens qui parlent.
Pourquoi? Sans savoir l’histoire de cette photo, elle me peut rendre tranquille. Peut-être c’est aussi le paysage qui me fait penser à ma maison. Comme je suis née dans un village, j’ai aussi fait la même chose qu’eux; après le travail, se rencontrer entre amis, se coucher dans une botte de paille et seulement parler des choses, faire des bêtises, regarder le ciel et deviner la forme des nuages.
Mais ce n’est pas seulement ça, c’est aussi la vie en général à la campagne. Sur cette photo on ne voit pas de portables, on ne voit pas d’électricité, pas de voitures, pas de bruit. Il y a aucun problème. Tout va bien et tout est calme.
Ce qui me plaît aussi c’est l’âge des personnes. Il y a des petits garçons qui parlent avec un homme plus âgé, une femme est à côté et écoute. Ils sont tous ensemble et ils ont tous un petit sourire sur le visage.

Moi, j’aime bien cette photo. Ce n’est pas important où on est, combien d’argent on gagne, de quelle famille on vient, l’important c’est d’être heureux avec ce qu’on fait, avec ce qu’on a.

Après avoir formé mon opinion, j’ai lu la petite information qui était à côté de l’oeuvre. Elle m’a étonnée.

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L’exposition « Setomaa, un royaume sur le fil »

photo_2016-11-29_21-06-32Dans le cadre du festival « les boréales, un festival en nord » à Caen, il y a plusieurs expositions. L’exposition « Setomaa, un royaume sur le fil » par le photojournaliste Jérémie Jung montre des photos qui ont été prises dans le royaume de Setomaa qui est situé entre l’Estonie et la Russie.

Cette photo montre des jeunes gens en train de se baigner nus dans un étang. Autour de l’étang il y a une forêt de conifères. L’eau a l’air d’être très calme et les gens prennent des poses qui ressemblent à une danse. Le jour où la photo a été prise il faisait beau. La photo donne l’impression de paix et de  liberté. Mais comme la description de la photo l’explique,  cette photo montre des gens qui se baignent dans un étang à la frontière russo-estonienne. La frontière traversant le lac, il est interdit de nager au-delà de son centre. Lisant l’explication on réalise que cette photo ne montre pas un monde intact et heureux mais au contraire elle montre quelque chose de dangereux et les limites d’un pays et donc les limites de la liberté car c’est interdit de traverser l’étang.

J’ai choisi cette photo parce qu’au début elle a l’air de montrer des « hippies » qui se baignent et qui passent un jour insouciant. Lisant la description j’ai réalisé que cette impression est superficielle et que, en fait, il y a quelque chose d’angoissant et dangereux. Néanmoins je trouve que se baigner nus dans un lac et spécialement dans un lac qui est une barrière du pays a une pointe de révolte. C’est ce contraste qui m’a convaincue de choisir cette photo. Je trouve que la photo transmet un sentiment de  liberté mais en même temps un sentiment d’oppression à cause de la frontière et l’histoire de ce royaume et du destin des habitants. Cette photo m’a touchée beaucoup et elle a laissé une impression durable.

L’exposition Setomaa

J’ai visité pendant le festival les Boréales l’exposition Setomaa à l’Abbaye aux Dames. Setomaa est une région culturelle et historique à la frontière de l’Estonie et de la Russie. Elle est située au dessus du lac Peipsijärvi qui est divisé en deux. Avant  1920 la région faisait partie de la Russie jusqu’à qu’elle soit réunie à l’Estonie. Mais après la Seconde Guerre mondiale l’Union Soviétique a conquis l’Estonie et a replacé  la frontière et Setomaa a été diviséé en deux. Quand l’Estonie a eu à nouveau son indépendance en 1991, la frontière de Setomaa est resté. Les gens qui habitent dans la région  s’appellent Setot. On dit que ce peuple vient de  Finlande aussi mais plusieurs recherches disent que des gens sont originaires de la Russie. Ils ont aussi leur propre langue où on peut reconnaitre des mots finnois et des mots russes.

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J’ai choisi cette photo de l’exposition car cela me  rappelle la Finlande, quand on nage dans le lac entre amis en été. Le paysage ressemble aussi à notre paysage de Finlande. Cette photo était intéressante parce que au milieu du lac passe la frontière de la Russie et c’est interdit de nager au delà de son centre. En Finlande on a aussi un lac comme cela qui ‘est divisé en deux et la frontière passe au milieu. Et quand j’ai nagé sur ce lac, c’a été un peu effrayant de penser qu’il faut faire vraiment attention où je nage sinon il peut se passer quelque chose de mal.

Sinon c’est très intéressant ce qui se passe avec la Russie et avec les frontières. C’est vraiment très exact que personne ne passe la frontière sans permission. Dans ma tête je ne peux que imaginer ce qui se passerait si quelqu’un le faisait. Le sujet m’intéresse aussi parce que tout se passe à côté de la Finlande. Dans l’exposition avait aussi beaucoup d’ autres photos qui étaient intéressantes, on pouvait vraiment voir une culture différente dans ces photos.

Expositions boréales – Go ! World

Go WorldDans le cadre des fêtes boréales à Caen, nous avons visité les expositions sur l’Estonie à l’Abbaye aux Dames. Une exposition est aux antipodes de l’autre, le seul point commun est l’origine des œuvres. Bien que l’exposition « Setomaa, un royame sur le fil » m’ait beaucoup intéressée, je me suis décidée à prendre cette œuvre de l’exposition « Size doesn’t matter ». C’est une mappemonde faite par Bold Tuesday qui a nommé sa toile « Go ! World ». Il faut distinguer cette mappemonde de celles qu’on connaît : Elle est interactive : au début, tous les pays sont couverts par des autocollants noirs. Mais lorsqu’on les retire des pays dans lesquels on est allé, l’obscurité laisse apparaitre le monde. Bold Tuesday le décrit comme cela : « Cela fonctionne comme dans la vie : quand vous voyagez à travers le monde, l’inconnu devient connu et chaque nouveau pays étend votre capacité mentale à embrasser le monde. » L’autocollant retiré peut servir pour le journal ou pour remettre les mémoires de tous les pays en ordre. En voyageant, la mappemonde commence à s’ouvrir et à éclairer l’affiche et chaque pays blanc est lié avec beaucoup de mémoires.

J’ai choisi cette mappemonde parce qu’elle est un symbole pour notre semestre à Caen. Nous aussi, nous ouvrons notre monde en voyagent. « Ouvrir son monde », qu’est-ce que cela signifie pour moi ? On fait la connaissance avec une culture différente et elle a des influences sur nous. A mon avis, l’essentiel pour ouvrir son monde est d’être tolérant, ouvert et curieux. Ouvrir son monde signifie s’ouvrir au monde. Si on donne la possibilité à cette culture inconnue, elle nous changera. Ce sont les influences qui nous ouvrent le monde. Voyager pour une seule raison – le paysage, l’histoire, les attractions touristiques – n’est souvent pas assez, il faut les découvrir tous. Par ailleurs, les autres étudiantes étrangères m’aident à ouvrir mon monde et à connaître un peu leurs pays d’origine. Elles me donnent envie de voyager dans ces parties du monde. Malheureusement, ma mappemonde est encore très noire. Mais il reste du temps pour découvrir des pays avec leurs us et coutumes différents et leur passé particulier qui a fait de chaque individu ce qu’il est maintenant. « Ouvrir son monde » signifie s’ouvrir au monde en restant soi-même.

L’exposition : Setomaa, un royaume sur le fil

Pendant le festival des boréales j’ai visité l’exposition Setomaa, un royaume sur le fil à l’abbaye aux dames. Ceci c’est une exposition des photos de l’artiste français Jérémie Jung qui est parti en ’Estonie pour rencontrer les Setos un peuple minoritaire. Le royaume de Setomaa est situé à la frontière de la Russie où la situation n’est pas encore clarifiée entièrement. Parce que la Russie n’a pas ratifié d’accord sur leur frontière commune. Donc la frontière officielle est seulement celle-ci de l’Union-Européenne. En 1991 l’Estonie a été indépendante des dizaines d’années dans l’ Union des républiques socialistes soviétiques (URSS). Le pays lutte encore contre des problèmes d’acceptation des minorités. Les Setos sont un peuple avec des traditions profondes, leur propre langue et un roi.

J’ai cho022326_030isi une photo avec un jeune couple assied dans un fauteuil en train de s’embrasser. A côte de cette photo il y avait une étiquette qui explique la situation dans l’image. En fait la jeune fille s’appelle Liisi et elle est seto. Son petit ami Elari par contre n’est pas un membre de la tribu des Seto. Au début de XXe siècle ça aurait été impossible que des gens d’une différente ethnie soient en couple. Les Setos étaient mal éduqués et en plus ils ont été dénigrés par les autres. Aujourd’hui ils sont très fiers de leur royaume et de leur peuple. Sur la photo on peut voir que les deux jeunes sont très amoureux et pour eux cela ne dépend pas du fait que l’une ou l’autre soit d’une autre ethnie. Cette histoire me rappelle de celle de Roméo et Juliette de Shakespeare. Les conventions d’une société interdisent le bonheur de deux personnes à cause des événements de l’histoire ou des préjuges d’une autre ethnie.

Au début de cette exposition j’ai seulement regardé les photos et j’ai trouvé qu’ils sont très belles. Mais après j’ai commencé à lire les textes et les petites notes avec des informations sur le moment de la photo. Avec tous les informations sur les Setos je peux mieux comprendre les photos et en plus elles racontent une histoire que me fait rêver de visiter l’Estonie un jour.