La cruauté humaine !

Ce texte est le récit d’un fait réel poignant survenu à Lyon en 2009. Dès les premières pages j’ai été plongée dans l’histoire de ce sdf qui avait tout simplement soif, il ne voyait pas où était le mal dans le fait de boire une canette de bière dans un supermarché…

Il n’avait pas l’intention de voler, il n’a même pas réagi face aux vigiles qui eux n’ont pas eu de scrupule devant lui. Il ne s’est pas débattu, il n’a pas eu le temps ou l’envie de s’expliquer puisqu’il savait qu’il allait y passer.

Son frère nous narre son histoire, ce qui nous rapproche un peu plus de la victime d’une certaine manière. On se sent de sa famille, on a l’impression d’être proche de lui et d’avoir vécu ça avec lui.

A un moment nous avons le ressenti des agresseurs, leur réaction face à leurs actes et l’on remarque qu’ils ne trouvent pas si terrible le fait d’avoir battu à mort un homme sans réel défense. Personnellement, j’avais envie qu’ils finissent en prison, qu’ils soient jugés pour venger cet homme qui n’avait rien demandé.

J’ai beaucoup aimé ce texte et l’histoire en elle-même.

« Teaser du spectacle Ce que j’appelle oubli.
Production Cie Mêtis. Coproduction le Grand T – Théâtre de Loire-Atlantique et Nouveau Théâtre d’Angers – Centre Dramatique National »

Mauvignier, Laurent. Ce que j’appelle oubli. Minuit, 01-12-2015. 61 p.

Résultat de recherche d'images pour "etoile"Résultat de recherche d'images pour "etoile"Résultat de recherche d'images pour "etoile"Résultat de recherche d'images pour "etoile"

Mélissa François, 1èreL

Laisser un commentaire