Les dormeurs du val

Parodiez, pastichez, il en restera toujours quelque chose

 
Ce toutou qui chie dur, tortillant du derrière,
Accrochant à sa laisse un gros benêt couillon,
On voudrait le chasser à coups de lance-pierre,
Lui coudre le croupion, ou lui mettre un bouchon.
 
Sa crotte qui s’étale est souvent malvenue ;
Après de grands efforts jamais infructueux.
Quand il chie en marchant, elle est discontinue,
Et le passant souvent se trouve, malchanceux,
 
Sous peine de glisser, obligé au slalom,
Et s’il regarde en l’air, fou comme un astronome,
À coup sûr ses souliers sentiront le putois,
 
Et si le roquet pisse, ils sentiront l’urine.
Le gros couillon, bien sûr, se bouche la narine,
Fait semblant d’être aveugle, et part en tapinois.
 

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