Une anecdote horrible

Pour ma part il y une nouvelle pour laquelle j’ai mieux accroché qui est « l’égalité des chancres » . Le narrateur parle à la 1ère personne du singulier, ce qui permet de se mettre plus facilement dans l’histoire et de s’imprégner plus rapidement des personnages et du récit. En quelques lignes c’est l’histoire d’un jeune homme qui doit avoir approximativement une  vingtaine d’années qui fait sa rentrée à l’école de police.Quand on avance dans le récit on comprend que cet homme est rejeté par ses collègues, il est discriminé à cause de sa couleur de peau, il sera jugé comme inapte aux études. Il n’en veulent tout simplement pas. on comprendra qu’à la fin il ne veulent pas d’un flic albinos.

Nous avons eu le privilège d’accueillir M.Daeninckx au lycée Rascol. Je dois avouer qu’avant cette année, je n’avais aucune idée de son existence et encore moins de qui il était. Durant cette visite nous avons pu voir que c’est un homme qui a vécu énormément de choses. Il avait plein d’anecdotes à nous raconter:  une que j’ai retenue,  c’est celle des soldats qui avaient cassé le bras de jeunes enfants qui avaient jeté des pierres. Il nous a raconté que sa fille avait vu cette scène d’horreur à la télé et avait pleuré, lui non, ce qui montrait qu’un adulte s’habitue à l’horreur tellement on voit d’images horribles à la télévision.

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