Une fille hors-normes.

Le livre « J’apprends » est un livre de Brigitte Giraud:
Ce livre présente une petite fille agée de 6 ans qui va à l’école et qui adore apprendre de nouvelles choses (d’où le titre du livre), elle adore être la meilleure de sa classe et ne veut pas être pareille que ses amis.
Cette petite fille (dont le nom nous est inconnu) a une belle-mère qu’elle nomme: « La fille qui n’est pas ma mère »,elle vit avec son père, sa soeur et son demi-frère. Sa soeur dort avec elle, mais elle n’est pas toujours là. Sa soeur a la peur de sortir et ne va donc plus au collège, elle ne sort plus.
Ce livre est original car il parle d’une fille qui adore l’école, or d’habitude,  l’école n’est pas un souhait de la part des enfants d’un certain milieu en France, pourtant elle, elle ressent le besoin d’y aller de découvrir de nouveaux paysages, des nouveaux mots..
Lorsqu’elle rentre chez elle, elle a besoin de faire pénétrer le monde de l’école dans sa maison.
Pour ma part, je n’ai pas tellement aimé ce livre car je trouve que l’auteur en fait trop à propos de l’école. Elle veut nous faire voir que la petite fille est fan de l’école, qu’elle adore y aller, qu’elle en a le besoin . De nos jours beaucoup d’enfants ne  diraient plus ça, par exemple :  » J’aime quand mon institutrice fait l’appel et que je répond présente. J’aime répondre à mon nom à voix haute, j’aime mon nom même si c’est le nom de mon père. » Ce n’est pas quelque chose que l’on entendra d’un enfants de nos jours.  » Le monde de l’école pénétre la maison » (…)
« J’aime l’école, un endroit où le monde se déploie, où tout est vierge sur des feuilles blanches. »
Elle fait passer la petite fille pour quelqu’un de très forte à l’école.. sauf qu’à 6 ans on a pas ce langage-là, c’est plutôt le langage d’un adulte qui parle de son enfance.

Une réflexion sur « Une fille hors-normes. »

  1. Moi, j’ai bien aimé le style d’écriture avec des points tous les dix mots, c’est un syle particulier que l’on ne voit pas souvent, cela sort le l’ordinaire.
    Par contre comme tu dis, l’auteur en fait peut-être un peu trop avec l’enfant, qui, comme on le voit, ne peut se passer de l’école et ressent le besoin d’apprendre au quotidien, cette fille n’a que 6 ans, le vocabulaire qu’elle emploie n’est point de son age. »l’organisation du classeur est essentielle »(p.28)
    Le livre n’est pas difficile à lire bien au contraire, bien que le vocabulaire employé ne soit pas celui d’une petite fille de 6 ans il n’est pas difficile non plus. IL n’y a pas la définition des mots en bas de page.

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