Cours 1 Philosopher, est-ce rechercher LA VÉRITÉ ?

Philosopher est-ce rechercher la vérité ?

Thèmes La raison, la vérité

Au 6ème-5ème siècle avant J.-C. En Grèce, les historiens témoignent d’une nouvelle activité nommée « Philosophie ». Tout se passe comme-ci, la raison s’incarnait en quelques esprits avide de vérité. Mais ce point de départ pose problème à toute une tradition qui souvent refuse le titre de philosophe. Il n’est pas sûr que cette activité puisse être définit de manière spécifique comme recherche de la vérité.

Sophia = sagesse

Nous sommes toujours dans la quête de la vérité mais celui qui trouve la vérité celui sera qui détruira la Philosophie. La philosophie est une activité paradoxal.

I. Origine ou commencement de la Philosophie

Le commencement est le point de départ tandis que l’origine est d’oû il provient

Les historiens sont des Sophos qui « savent » et viennent de la même époque que les philosophes.

La démocratie athénienne se fond puis les citoyens(riches,hommes) se rencontrent dans la place publique.

Platon se consacre entièrement dans les études politiques après ses études mathématiques. La politique fut une chose suprême auparavant.

La physique c’est l’étude de la phusis = la nature

pour les Grecs Physiciens = ceux qui étudient la nature

Le Politique est la pensée de bien vivre ensemble

Polis = Cité

Aristote « L’homme est par nature un animal politique » ce qui sous-entends que les esclaves ne sont pas des hommes.

Pour un Grec la question existentiel n’existe pas car ce qui est important est cette vit dans une « polis ».

Animal politique =/ qui fait de la politique

Animal politique = vit dans la cité

L’humain, l’animal et la plant ont tous une âme mais ce qui différencie l’humain à tout autres est le logos.

Aristote dit que les animaux ont la sensibilité et les plantes ont une fonction de leur âme végétative.

Pour Aristote l’esclave est similaire à une plante il possède une âme végétative et ne peux donc pas vivre en communauté dans la ville.

Barbara = onomatopée = chants des oiseau

Ils sont barbares car on ne les comprends pas

Géologie = étude de la Terre

Théologie = étude de Dieu

Ces physiciens distinguent l’étude de la nature avec le surnaturel ,les « mythes »

Civilisation Oral à l’écrit

Platon « l’écriture apporte l’oublie dans les coeurs. »

Il écrit le mot Philosophe pour la première fois et « théorise »

dia logos, Il n’y a pas de débat en philosophe car un début est un affrontement de 2 opinions.

3/Contre les sophistes

Les sophistes étaient les professeurs de rhétorique

Ils sont capables de faire des discours sur n’importe quelle sujet

Ils savent bien parler, lire, écrire et sont riches

Ils font des cours à la population riches.

Platon : « Ils(Sophistes) parlent pour ne rien dire »

Ils enseignent aux jeunes pour pouvoir écrire des discours.

Platon veut remplacer ce discours sophistique par le logos.

Le but des sophistes est simplement de séduire de convaincre son auditoire.

Leur but est d’être le meilleur : La raison du plus fort est toujours la meilleur.

Platon leur reproche de parler faux et de dire n’importe quoi : de bavarder , parler pour parler.

Il va adresser une critique : de parler de ce qu’on ne connaît pas.

Ex : Parler de la pluie = parler pour ne rien dire (aucune importance) = sophisme.

Parler pour dire le rien

rien : le néant

anthropologie étude de l’être , de ce qui est =/ du non être

mais en disant le non être ils le font être.

A = A A =/ B si A = B =/ C

2.Penser par soi même

1) KANT 18eme siècle Qu’est ce que les lumières ?

en France Voltaire, Rousseau, Diderot, D’Alembert, L’ encyclopédie

Ces philosophes français veulent diffuser le savoir sont destinés à tous les hommes

c’est le progrès de la raison qui permet le développement des sciences et technique.

L’idée générale du texte de KANT est la réponse à la question « qu’est ce que les lumières ? »

Il donne une définition qui n’est pas celle des philosophes français et qui pose problème car elle sous entend un état de minorité qu’il faut défini.

Quelle relation Comment comprendre la devise des lumières de mineur entretiennent ils en les autres ?

 

Le texte de Kant est en lecture suivie

 

 

ABSTRACTION

Acte par lequel notre raison considère une chose abstraction faite du lieu et du moment où elle nous est apparue, abstraction faite aussi de son individualité : je peux réfléchir à ce qu’est l’Amour en soi, indépendamment des personnes que j’ai aimées. Je peux réfléchir à ce qu’est l’Homme, indépendamment des époques et des lieux. L’abstraction est l’opération par laquelle nous formons nos idées générales ou « concepts ».

AXIOMES

Propositions premières, indémontrables, sur quoi reposent les démonstrations. L’usage contemporain dit parfois qu’un axiome est vrai par convention, mais au sens de la géométrie ancienne, un axiome est une proposition évidente et élémentaire (non réductible à des propositions plus simples), indubitablement vraie, par exemple « La partie n’est pas plus grande que le tout ». L’axiomatisation est d’abord le propre des sciences formelles (logique, mathématiques) mais peut être étendue à des sciences empiriques.

CAUSE, RAISON

La question « pourquoi » est ambiguë, parce qu’elle peut renvoyer à une demande de cause ou à une demande de raison. Énoncer la cause de ce phénomène c’est émettre une hypothèse sur les mécanismes qui l’ont produit – hypothèse que l’expérience scientifique pourra confirmer ou infirmer. Énoncer les raisons d’une action c’est en revanche exposer les « motifs » pour lesquels quelqu’un a agi, dire pourquoi cette personne considérait que cette action était bonne ou devait être faite. Les causes relèvent du domaine empirique des sciences de la nature, elles visent à expliquer un événement (pourquoi cette chose a-t-elle eu lieu ?), alors que les raisons relèvent de l’esprit humain, elles visent à comprendre ou interpréter les événements afin d’en donner le sens, la justification ou la « raison d’être » (pourquoi X a-t-il fait cela ?).

INTUITION, DÉDUCTION

Une intuition désigne une vérité qui se présente à l’esprit avec un caractère d’évidence, de certitude et d’immédiateté, comme si notre esprit la « voyait » (intuitus en latin signifie « regard »). Selon Descartes la proposition « Je pense donc je suis » est une connaissance intuitive (lettre à Newcastle, 1648). Ce genre de connaissances semble ne pas dépendre du raisonnement, et on distingue donc souvent l’intuition de la déduction – qui désigne une vérité établie par le recours aux preuves et aux démonstrations.

SCEPTICISME

Aussi appelé Pyrrhonisme, en référence au philosophe antique Pyrrhon qui en fut le précurseur, méthode philosophique consistant à douter des opinions admises, en les renvoyant toutes dos à dos, et à suspendre son jugement, c’est-à-dire à s’interdire d’affirmer quoi que ce soit. Cette suspension du jugement peut être soit définitive (position relativiste qui dit qu’il n’existe pas de vérité absolue ou bien que celle-ci est inaccessible à l’homme), soit temporaire (il s’agit alors d’un scepticisme modéré, qui ne doute qu’en l’attente d’une preuve qui soit absolument solide).

SYLLOGISME

Aristote définissait le syllogisme comme « un discours tel que, certaines choses étant posées, quelque autre chose en résulte nécessairement par cela seul que les premières sont posées » (Premiers analytiques). Le syllogisme est, depuis Aristote, le modèle du raisonnement. Il se compose de deux prémisses et d’une conclusion. Le plus connu des syllogismes concluants est : Tous les hommes sont mortels (prémisse majeure) / Or, Socrate est un homme (prémisse mineure) / Donc Socrate est mortel (conclusion)n