Museomix : quand les enfants du web collaboratif tissent leur toile au musée

La troisième édition du projet Muséomix aura lieu cette année du 8 au 10 novembre 2013, dans plusieurs musées et dans plusieurs pays !

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=Wu2ZJ8uYXoU[/youtube]

En France  c’est le musée Dauphinois de Grenoble qui sera museomixé : durant ces trois jours des professionnels de musées, des acteurs de l’innovation et du monde numérique, des amateurs d’art et de sciences, des passionnés d’éducation et de culture, des gens comme vous et moi investissent un musée, collaborent et créent leur exposition. Cette nouvelle expérience muséale se veut :

  • plus ouverte : chacun peut trouver “sa” place
  • en réseau et connectée avec diverses communautés de visiteurs en ligne et sur place
  • un laboratoire vivant qui évolue avec ses utilisateurs

Inspirée par le web collaboratif, l’expérience Muséomix a fait émerger un nouveau type de musée : le musée-légo, un endroit où tout un chacun peut prendre part à la création et laisser l’empreinte de sa collaboration. Le musée n’est plus un objet fixe, tel une vitrine, mais  un espace en éternelle construction, qui se crée indéfiniment.

  • Le concept et les enjeux du Musée-Légo sont entièrement expliqués ici

Enraciné dans une démarche participative, la création se déroule aussi bien sur place que sur les réseaux numériques : elle est partout. Le musée est au centre d’une gigantesque toile inter-relationnelle tissée entre les professionnels des musées, les artistes, les amateurs, les internautes …

 

  • Si vous voulez participer à l’expérience Muséomix cette année, vous trouverez tous les renseignements nécessaires ici
  • Mixeum.net est le blog des muséomixeurs et présente les articles qui m’ont inspiré cette page.

http://credit-n.ru/zaymyi-next.html

Numérisation de documents, un défi pour l'avenir

Les hôtels qui appartiennent à de grandes chaînes multinationales, mais aussi des hôtels de charme, ont la nécessité d’intégrer les dernières technologies

Internet est devenu un outil essentiel pour la commercialisation de nos services, la communication avec les fournisseurs et le dialogue avec les clients. Cela signifie que nous avons à gérer une énorme quantité de documents au format numérique. C’est le signe des temps. Il est révolu le temps où n’importe quel document était une feuille de papier.
Les jeunes générations parlent un document Word ou un document Excel ou un document PDF. N’ont que rarement l’envie de l’imprimer et d’obtenir que le papier.

En fait, de plus en plus de personnes utilisent les signatures électroniques, qui plus envoyés par e-mail une fois scanné nous permet d’éviter les envois de courrier et économiser beaucoup d’argent. Bienvenue document numérique

Mais que faire avec les documents papier qui sont stockés dans nos sociétés et nous ne voulons pas perdre?. La solution idéale consiste à numériser les documents.

Dans certaines entreprises, la seule utilité de conserver certains fichiers résident en ce que la loi l’exige. Mais il n’ya aucune raison d’affaires pour stocker tous les documents stockés.

Il est donc important de faire une étude préliminaire des besoins. Pas de la même façon de préserver un inventaire des documents stockés dans un format qui nous permet de modifier et utiliser les données.

Avantages de l’archivage électronique: d’abord économiser de l’espace. Actuellement, un disque dur externe de la taille d’un livre de poche peut stocker des millions de tonnes de documents qui seraient autrement occupent des dizaines de mètres carrés.

Ensuite, il ya la possibilité de gérer les informations contenues dans ces documents.
Tri des fichiers peut sembler un processus long et fastidieux, mais il est important de bien réfléchir à ce que les avantages qu’ils trouvent sur la route, l’optimisation de nos processus de conservation et de récupération des documents.

 

http://www.casadefederico.com/casa-alojamiento/la-digitalizacion-de-documentos-un-reto-de-futuro.html
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Les sites internet reliant culture et tourisme…

Aujourd’hui, les institutions culturelles importantes ou non travaillent sur leur image au niveau national ou au-delà par l’intermédiaire du web.  Les différents outils de communication disponibles sur internet sont assez divers, de l’inscription aux réseaux sociaux jusqu’aux différentes formes de publications sur un site web particulier au musée ou au monument, chaque lieu peut se particulariser à travers cette activité.

Cependant, constat particulièrement important dans ce domaine, on assiste au développement en ligne de sites web réuniant les lieux culturels d’une même unité territoriale ou d’un même type avec les possibilités de logement et de restauration à proximité. Le site web devient un réel outil touristique du territoire …Les régions à patrimoine touristique important présentent assez facilement ce phénomène.

Si on prend l’exemple des pays de la Loire proposant de multiples supports construits avec une hiérarchie différente entre histoire, architecture et patrimoine de façon plus large, chaque site peut alors se faire une place en cette organisation particulière.

Cette configuration peut être relativement libre ou au contraire proposer des circuits plutôt précis. D’ailleurs , une telle organisation n’est pas sans rappeler les fameuses « box » s’achetant en ligne ou en magasins proposant entre autres les programmes de week-end en fonction de la thématique recherchée…La diversité thématique que ces organisations proposent donne d’ailleurs au client/public la sensation d’une personnalisation et d’une adaptation du programme à ses propres goûts et ses propres choix comme une évolution même de la vente d’autant plus qu’elle propose souvent, du moins en apparence, une économie. L’accès actuel à la culture comme à l’ensemble des domaines, notamment crée par le web, est aussi à l’origine d’une évolution des vœux de découvertes, de connaissances et donc d’acquisition dans une construction de plus en plus personnelle…

La question n’est donc pas de juger la qualité des regroupements de produits proposés par les différents sites web, ou directement vendus ensembles, mais seulement de constater l’évolution de ces phénomènes comme une remarquable adaptation à la société de consommation actuelle alors que leur objet est un lieu patrimonial…A partir de là, la frontière est-elle toujours présente entre les notions de public et de client???

Sources:

http://www.visaloire.com/Decouvrez/La-destination-Chateaux/Terre-des-rois.html?gclid=CIHVo_a0pbYCFc3HtAod_zgARw

http://www.chateauxtourisme.com/

http://www.parisinfo.com/musees-monuments-paris/

 

 

 
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Présence en ligne et e-réputation

La présence en ligne c’est le fait d’être visible sur le net.

 

Comment ça, elle vous aide pas ma définition ? Vous préféreriez peut être « e-réputation » ?

Pour faire simple, tout ce que vous mettez sur vous en ligne peut être vu par des milliers d’internautes. Ensuite, « l’e-réputation » c’est le fait d’être connu sur le net. Par exemple, sur Youtube, plus vous avez de clics, plus vous êtes connus.

L’e-réputation ce n’est pas seulement ce que vous dites sur vous, c’est aussi et surtout ce que les autres pensent de vous. C’est ce qui fait votre image, l’étiquette qu’on va poser sur votre nom.

On parle beaucoup d’e-réputation d’une entreprise, d’une marque. Elle est « fabriquée » à l’aide de leur propre site internet mais aussi via les réseaux sociaux. Facebook et Twitter font désormais partie intégrante d’une politique de communication d’une entreprise, ou dans mon domaine, d’un musée. Ainsi, on retrouvera sur ces deux réseaux les plus grands musées de France qui profitent de ce moyen de communication gratuit pour savoir ce que les visiteurs pensent de leurs actions de médiation, leurs évènements, etc.

Ensuite, grâce aux témoignages reçus, grâce aux commentaires et aux « like » de Facebook, le musée pourra améliorer ses services en prenant en compte les attentes des « followers », et ainsi améliorer son image.

 

Source :
http://www.jikamedia.com/reseaux-sociaux/ereputation/

Les jeux vidéo: un milieu sexiste

Alors que l’on dénonce encore aujourd’hui les inégalités hommes/femmes dans les entreprises et plus généralement dans la société, la joueuse Mar_Lard s’est saisie du sujet en dénonçant l’esprit malsain et misogyne présent dans l’univers du jeux vidéo.

Au delà de l’idéologie féministe revendiquée par l’auteure, les deux articles qu’elle a écrit sont très bien documentés et ils font état d’un réel malaise au sein de la communauté. Ces articles n’ont pas laissés les joueurs et joueuses indifférents, allant pour certains jusqu’aux menaces de viols à l’encontre de l’auteure.

Même si les deux articles sont plutôt long, prenez le temps de les lire car ils en valent le coup.

 

Sources :

Le premier article : http://cafaitgenre.org/2012/08/18/joystick-apologie-du-viol-et-culture-du-machisme/

La réponse du magazine : https://www.facebook.com/Joystickmag/posts/411955862193964

Le second article, écrit suite à la réaction de la communauté : http://cafaitgenre.org/2013/03/16/sexisme-chez-les-geeks-pourquoi-notre-communaute-est-malade-et-comment-y-remedier/

L’humanité numérique comme développement du patrimoine culturel et élargissement de ses publics:

La base de cet article est l’extrait d’un chapitre à intégrer dans le projet d’ouvrage de vulgarisation  sur les digital humanities, il traite de l’aspect patrimonial des relations entre les humanités numériques et la société.(http://blog.homo-numericus.net/article11107.html )

L’auteur présente l’intérêt de la présence en ligne de notre patrimoine comme le renforcement  de la notion de bien commun en ce terme. Les biens culturels deviennent en effet accessibles à tous ou presque dans une mesure économique, mais aussi symbolique. La connexion à un site internet permet en effet de dépasser la fameuse barrière psychologique qui peut être rencontrée par les publics peu habitués à entrer dans les musées ou monuments.

Dans un point de vue plus commun, la mise en ligne des collections c’est aussi la connaissance et l’accès à des éléments jamais exposés. La fragilité ou d’autres caractéristiques peuvent en effet limiter les possibilités d’expositions. Cette mise en ligne est de nouveau u avantage économique par rapport à la mise en place réelle des objets.

Pour terminer, le dialogue et l’échange sont parfois nécessaires notamment sur des événements ou lieux porteurs de graves souvenirs communs. Lieux de bataille et autres symboles de notre histoire permet la création d’une dimension émotive pas si courante dans les échanges en ligne.

En conclusion, l’auteur envisage le rôle et les différents buts de l’humanité numérique avec le patrimoine dans trois points de vue différents, de la connaissance presque scientifique à la communication affective…
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Le livre papier, une espèce en voie de disparition face à la montée du livre numérique?

Les médias et autres presses diffusent sans cesse le débat qui préoccupe écrivains, libraires et autres personnels du livre. La version papier des ouvrages est-elle en danger devant le développement croissant de leurs versions numériques? Entre avantages et inconvénients de chacun de ces supports d’ouvrages, essayons de répondre à cette question dont la réponse semble déjà bien enclenchée aux Etats-Unis…

Le premier point de vue mis en avant est souvent l’intérêt terre à terre et pratique de cette nouvelle version de livre qui ne pèse rien, ne prend pas de place et se stocke en groupe dans un seul dispositif de stockage et de lecture: la tablette, ou plus précisément la liseuse. Cet outil est idéal pour tout besoin de déplacement des livres, de la valise pour les vacances au déplacement professionnel, en passant par le cartable des enfants qu’il pourrait allégé…un dernier argument, non des moindres dans notre société, réside dans l’écologie de ce support de texte!

Cependant aujourd’hui, le livre numérique n’est pas vendu beaucoup moins cher que sa version papier, on assiste donc au développement du téléchargement illégal dans ce domaine comme c’est le cas pour la musique en ligne. Actuellement, la liseuse n’est pas encore une acquisition commune malgré un prix d’achat de plus en plus accessible. Certaines idées présentent cependant le livre numérique comme une évolution normale à placer dans l’histoire continue du livre, cette idée pressent alors la disparition totale du livre papier…

Un troisième groupe d’arguments réside dans la valeur particulière donnée à l’objet même du livre. Serge André Guay qui écrit « Vous ne verrez pas le bon vieux livre papier disparaitre de votre vivant », le présente comme « le contre-courant de la société de consommation ». Le livre est un objet qu’on veut conserver, et ce caractère se renforce dans le cadre de livres rares ou édition limitée.De façon plus large, le livre est un objet porteur d’un lourd symbole relationnel et émotionnel. le livre est fruit d’un attachement et porteur d’odeurs et de textures particulière que le lecteur ne peut être complètement remplacé par une tablette support de lecture. On connait d’ailleurs, l’opinion du grand Umberto Ecco sur la question!

En conclusion, le livre numérique peut être pratique dans certaines situations mais notre société actuelle ne semble pas prête à ce séparer de cet objet très particulier que représente le livre…Le récent salon du livre 2013 a d’ailleurs été l’occasion, pour Aurélie Filipetti, de présenter l’aide de 9 millions d’euros pour les petites librairies indépendantes.

 

Sources:

http://www.actualitte.com/societe/un-plaidoyer-pour-le-livre-papier-36069.htm

http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/vous-ne-verrez-pas-le-bon-vieux-53563

http://www.lefigaro.fr/magazine/20070223.MAG000000469_le_livre_numerique_la_page.html
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Le numérique : Un enjeu pour les politiques publiques !

 

Les politiques publiques sont soumises à l’explosion des technologies numériques. Dans cette vague du tout numérique, le Ministère de la Culture et de la Communication  a produit un rapport « Culture et Médias 2030 -Prospective de politiques culturelles » dont une partie trace les enjeux des politiques publiques à développer le lien entre la Culture et les Médias. 

Ces enjeux concernent bien évidement le domaine publique : Le Ministère, l’administration centrale, les services déconcentrés… mais peuvent aussi permettre à d’autres acteurs culturels de mener une réflexion à ce niveau.

Dans le Chapitre traitant de la nouvelle articulation entre l’offre et la demande un des enjeux se nomme : « Assurer la présence d’un espace public numérique culturel ». 

Un nouveau Public

Les consommateurs de Culture sont caractérisés par un fort niveau de connexion, ils se connectent souvent et communique entre eux par l’intermédiaire du web où ils trouvent aussi de nouveau loisirs caractérisé par une massification culturelle. Ces générations sont alors adeptes des nouvelles technologies mais restent tout de même de grand habitués d’autres activités culturelles qu’ils lient avec l’usage d’internet.

Ainsi leurs habitudes face à la culture ont évolué par rapport à leurs aïeux.

On a alors un public omnivore et éclectique. Il utilise les nouvelles technologies pour avoir accès à de nombreux types de loisirs élargissant ainsi le périmètre culturel. L’accès gratuit de certaine offre, l’absence d’auteur, l’interconnexion des utilisateurs ainsi que les projets collectifs participent à créer un univers culturel danse et très diversifié effaçant un clivage ancien : la culture populaire et savante. Sur internet, tout est mélangé, diffusé et libre d’accès. Même si les différences tels que le sexe ou la catégorie socio-professionnelle de l’utilisateur est significative dans les habitudes, ses nouvelles pratiques participent tous à une désinstitutionalisation de la culture. En Effet, la culture est disponible en grande quantité et en une multitude d’offre différentes directement dans la chambre de l’utilisateur ce qui participe à changer les pratiques culturelles. 

Assurer la présence d’un espace public numérique culturel

Ainsi face à cette abondance de l’offre culturelle, un enjeu important est de présenter l’espace public culturel sur des plateformes numériques. Le rapport nous explique qu’il existe différentes façon de former cet espace :

? savoir incorporer les questions soulevées par la gratuité..  ;
? être capable de se donner les moyens juridiques, financiers, humains de former un espace public numérique culturel ouvert…
? être garant de la qualité des contenus culturels  ;
? pouvoir former une régulation de l’offre culturelle numérique en résolvant les questions juridiques au fondement de la politique culturelle numérique  et en visant à encadrer des stratégies industrielles;
? disposer des moyens de devenir opérateur d’un « service public numérique », du moins un service universel, voire s’appuyer sur des partenariats publics/privés, pour tous les types de biens numériques …;
? articuler audiovisuel public et politiques de données publiques culturelles des établissements publics, des fonds publics d’autres ministères et collectivités territoriales, d’acteurs privés.

Si vous souhaitez lire le rapport en entier c’est ici : http://www.culturemedias2030.culture.gouv.fr

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Les musées Twittent !


Les institutions sur internet ?

 

La part des technologies numériques dans nos habitudes quotidiennes ne cessent de grandir, il est alors nécessaire de s’adapter à cette mutation sociale. Les institutions culturelles se doivent d’adapter leurs offres pour attirer cette nouvelle génération que sont les Digital natives et de s’ouvrir aux mondes des réseaux sociaux en apportant des informations complémentaires, exportables sur internet mais aussi se créer une véritable identité numérique. La réponse à cette mutation signifie aussi offrir une offre de formation d’une part pour transformer l’usager en concepteur conscient de son identité virtuelles, mais aussi mettre à niveau les usagers qui n’ont pas réussi à suivre la vague du numérique.  Une nouvelle responsabilité pour ses institutions qui transforme une médiation culturelle traditionnelle en véritable médiation technologique.

Les institutions culturelles doivent se munir d’une identité apparaissant sur les supports numériques.  Créer une identité numérique à un service a beaucoup d’avantage : cela permet de communiqué sur le service, se faire connaître et d’avoir un retour d’utilisation. Il y a une utilité sociale au service et cela permet une coopération plus importante entre les institutions. Il est alors intéressant de développer une communication sur les réseaux sociaux.  Cette communication numérique est assurée par des « Geemiks », véritable animateur de communauté qui incarne l’institution. L’identité numérique devient alors une nouvelle pratique de communication ayant un intérêt identifiée.

 

Les musées envahissent les réseaux sociaux ?

 

« Les réseaux sociaux font partie de la vie quotidienne de nos publics, Pour pouvoir dialoguer avec eux, nous devons être là où ils se trouvent. »
Roei Amit, directeur du numérique à la Réunion des Musées Nationaux-Grand Palais.

C’est alors tout naturellement que, tel le pape ( cf article de Charlène ), les musées se sont mis à twitter. Avec 140 caractères, les musées peuvent poster des informations pratiques en étant plus proche du public, d’une façon moins formelle profitant de la rapidité d’internet contrastant avec une site internet figée dans le temps. En twittant, les musées bénéficient d’une plateforme leurvpermettant de diffuser des informations, partager des évènements en temps réelle et faire des liens avec d’autres institutions.

Une bonne façon de se rapprocher de plus en plus du visiteur.

Quelques comptes Twitter :

@britishmuseum British Museum
http://twitter.com/britishmuseum

@citedessciences Cité des sciences
http://twitter.com/citedessciences

@MuseeLouvre Musée du Louvre
http://twitter.com/MuseeLouvre

 

 

 

Sources : 

– http://cursus.edu/dossiers-articles/articles/19441/les-musees-experimentent-avec-twitter/

-http://www.telerama.fr/scenes/quand-les-musees-s-emparent-des-reseaux-sociaux,94756.php

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Les archives ont aussi une présence numérique…

On le sait, l’avenir des archives tient du records management et de l’archivage électronique, mais quelle présence sur le web ?

La plupart des centres d’archives se lancent dans la numérisation de leurs archives et dans le mise en ligne de ces dernières. De la commune jusqu’au centre d’archives nationales, les services développent leur présence numérique par le biais de leur site internet.

Bien sûr, tout ne peut pas être diffuser sur le web. Seules certaines archives sont consultables en ligne, elles concernent des documents publics, souvent administratifs. On retrouve notamment les plans de cadastres anciens, l’état-civil et les registres paroissiaux, très souvent utilisés pour la généalogie. Cependant, ce genre de documents demandent des délais de communicabilité plus ou moins longs. Il n’est pas toujours possible de les consulter immédiatement après leur archivage.

La présence en ligne des archives permet aux généalogistes d’effectuer leurs recherches à distance et gratuitement, car les archives sont disponibles en ligne pour la plupart des services d’archives départementales. La numérisation et la présence en ligne permettent également la protection et la préservation des documents d’archives papiers précieux et anciens. De plus, cela permet une présence numérique pour ces centres d’archives. Leur site internet et donc leurs documents sont plus visités et consultés.

Source : http://fr.geneawiki.com/index.php/Archives_en_ligne

Image : http://macewanata.over-blog.com/article-archives-nationales-les-depots-2-2-52029569.html
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