Les monnaies virtuelles

Intéressons nous aujourd’hui aux monnaies virtuelle. La première question que je me suis posé en abordant ce sujet c’est de savoir ce qu’est exactement un Bitcoin. Beaucoup de personnes utilisent volontiers ce nom et ce positionnent de façon très arrêté sur le sujet sans pour autant m’apporter de réponse concrète sur ce qu’est un Bitcoin et quel est son utilité. Afin de nous construire un avis sur la questions, j’ai regroupé pour vous l’ensemble des sources qui m’ont été utiles dans ma recherche de compréhension et d’analyse des enjeux liées à cette pratique qui m’été encore obscure.

 
Commençons par de l’information de vulgarisation, accessible à tous, bien que peut ou pas référencée ces informations ont été un point de départ dans mes recherches.
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Les protocoles d’Internet et du Web

Ce 8ème chapitre de l’ouvrage Pratiques de l’édition numérique est écrit par Jean-Philippe Magué, maître de conférences en Humanités Numériques à l’ENS Lyon et membre du laboratoire ICAR (Interactions, Corpus, Apprentissages, Représentations). Nous tenterons de reprendre les éléments importants de ce chapitre technique, en les enrichissant d’exemples et d’informations complémentaires.

Tout d’abord, il convient de rappeler la différence entre Internet et le Web.

Internet est le réseau qui interconnecte des ordinateurs du monde entier. Son nom vient de « réseaux interconnectés » : INTERconnected NETworks et son année d’inauguration est 1973 avec l’apparition du protocole TCP/IP.

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Principes démocratiques sur Internet : liberté d’expression et forme de gouvernance

Tout d’abord, essayons de nous souvenir de l’étymologie du mot « démocratie ». Ce dernier est composé de deux mots grecs : ????? / dêmos, signifiant « le peuple » et ?????? / krátos, « le pouvoir », «la souveraineté ». La démocratie est donc un régime politique dans lequel le peuple est au pouvoir, souverain. Dans une démocratie, les citoyens ne se distinguent les uns des autres que par leur mérite et ils possèdent la liberté d’expression, c’est-à-dire qu’ils ont la possibilité de s’exprimer de façon égale. Ces principes sont-ils respectés sur Internet ?

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Le green computing ou green IT

Eco-laptop

Qu’est-ce-que le green IT ?

Le terme green IT est apparu pour la première fois aux Etats-Unis en 1992 lorsque l’US Environment of Protection Agency (EPA) a lancé le programme Energy Star chargé de promouvoir l’économie d’énergie à travers la certification d’un label. En français, ce terme désigne les technologies de l’information et de la communication écologiques, que nous appelons les éco-TIC. D’après le Journal Officiel du 12 juillet 2009, les éco-TIC désignent les

« techniques de l’information et de la communication dont la conception et l’emploi permettent de réduire les effets négatifs des activités humaines sur l’environnement ».

Les éco-TIC pourraient se décliner en 3 catégories : Continue reading Le green computing ou green IT

Wikipédia, la plus grande encyclopédie en ligne

Wikipédia est classé parmi les sites Web les plus consultés au monde. Les clés de son succès ? Son caractère collaboratif, multilingue et gratuit. Créée en 2001 par Jimmy Wales,  le nom « Wikipédia » provient du mot « encyclopédie » combiné avec le mot wiki. Wiki est dérivé de l’hawaïen « wikiwiki » qui signifie rapide. Dans le mot Wikipédia, wiki désigne un site web collaboratif où chaque internaute visiteur peut donc participer à la rédaction du contenu. L’idée derrière Wikipédia est celle de l’intelligence collective : le savoir et les pouvoirs y sont décentralisés et les individus deviennent des créateurs autonomes de contenus en interagissant mutuellement et continuellement à propos de tout. Cette activité renforce ainsi l’image de l’Homo Communicans, cet « être communiquant », terme créé en 1942 par Norbert Wiener et repris par Philippe Breton dans son ouvrage L’utopie de la communication.
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Les potentialités du texte numérique.

Les usages du texte numérique, la manière de l’exploiter, mieux comprendre les outils analytiques dans ce domaine, autant de bonnes questions posées concernant la bonne pratique de production des contenus dits numériques. Pour mener cette amélioration de la production, il est indispensable de prendre en considération l’entier potentiel offert par le texte numérique.

La contradiction que l’on peut relever dans ce chapitre concernant la recherche de texte informatisée, à quoi bon une machine peut elle porter un sens critique concernant les textes littéraires dans la mesure où elle n’est pas humaine. ?

Ce chapitre remet également en cause l’idée que la société de l’information est génératrice de données que l’on ne peut remettre en cause, comme infaillibles et suprême dans la hiérarchie globale des données. Or l’ordinateur peut se révélé très efficace, grâce à sa nature même, dite « numérique » contrainte uniquement par son utilisateur et aux possibilités hors de notre imagination.

Ce chapitre aborde certaines caractéristiques en premier lieu et certains concepts de base concernant la lecture informatisée.

 

Le texte numérique :

 

Passant de 1% en 2008 à 23% en 2014 la croissance des livres numériques aux USA semble être en stabilisation, la consommation de contenus numérique s’installe et se normalise. L’expérience entre le livre numérique et papier ne sont pas les mêmes, cependant les concepteurs cherchent à rassurer les lecteurs en reproduisant au maximum possible les caractéristiques de la version imprimée et ce, même si la version numérique propose d’autres fonctions exclusives, tel que les notes publiques.

La vraie question que l’on va se poser est plutôt : Comment « étudier » et comment « analyser » un texte en prenant en compte les différentes habitudes de consommations (web, print, écran liseuse, tablette, audio etc). On peut rappeler la nature du mot « analyse » qui signifie « décomposition », ce qui est justement dans la nature du numérique, traitant chaque lettre comme entité indépendante et mobile.

 

Dans un article de 1985 sur le statut épistémologique du texte électronique », de Serge Lusignan, il est décrit les retombées du texte numérique :

 

« Le texte magnétique ou électronique possède des caractères de flexibilité et de malléabilité qu’ignore le texte imprimé. Les caractères et les mots incrustés dans le papier ne peuvent être ni déplacés, ni ré-ordonnés, ni modifiés, tandis que les caractères et les mots magnétisés sont complètement mobiles. Ce trait propre au texte électronique permet de lui appliquer, grâce à l’ordinateur, différentes procédures algorithmiques de manipulation. »

 

Il est possible également de découper les textes imprimés, puis organiser chaque occurrence d’un mot clé avec un peu de contexte. La nature même d’un texte numérique en revanche, facilite le découpage et se prête à l’analyse, on parle alors de «  L’Affordance » du texte numérique. Cependant, une compréhension de la matière brute du texte semble indispensable pour arriver à ses fins dans l’analyse.

 

Cet article prend l’exemple de l’alphabet romain, il suffit de 5 bits pour représenter toutes les possibilités (de l’alphabet en lettre majuscule), au fil du temps les jeux de caractères ont progressé pour passer à 16 bits Unicode (UTF- 32 ou jusqu’à 4 294 967 296 possibilités.

Afin de garder une interopérabilité des données entre poste, des standards de caractères sont indispensable et des conventions sont mises en place.

Il en va de même pour les formats de documents, plus un format est complexe, plus le logiciel de traitement est simple, plus le format durera, surtout pour les formats « propriétaires ». Le fondateur du Projet Gutenberg, à privilégier le format texte brut pour sa collection de textes du domaine public qui comprend aujourd’hui quelques 40 000 titres. Le format ouvert ePub (qui utilise en partie le même balisage HTML que pour les pages web) s’est établi comme meilleur format pour la diffusion de textes numériques, surtout pour la mise en page flexible qui facilite l’affichage multiplateformes sur des écrans de tailles très différentes (Smartphone, tablette, liseuse, ordinateur, etc.) L’ePub encode les caractères et la structure de base des textes, mais ne représente pas de façon standardisée d’autres détails textuels et méta textuels. Donc les chercheurs et archivistes soucieux de capter une gamme beaucoup plus large de détails préfèrent la Text Encoding Initiative (TEI), un langage XML qui permet de décrire les caractéristiques sémantiques d’un texte plutôt que sa présentation (qu’une séquence de mots exprime un titre de livre, par exemple, et non seulement un bloc quelconque à représenter en italique).

 

La lecture informatisée

 

Il

Ce paragraphe traite de la recherche de mots dans un livre ou un document numérique, en utilisant la fonction « rechercher » dans un software, une opération que la page imprimé ne peut faire. Ces fonctions simple ne sont pas négligeables, elle permettent en effet de mieux comprendre des idées communes dans un corpus de texte, les fonctions d’analyse de texte sont accessibles à tous, de plus, ces fonctions permette de faire des découvertes, l’un des premier principe de la recherche savante. C’est John Unsworth qui parle de méthodologie dans les sciences humaines. En effet la recherche de mot clé peut s’avéré étonnamment complexe. ……….

 

 

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Les graphiques linéaires peuvent être très puissants pour visualiser les données « comparatives » (comme les fréquences relatives), et il en va de même pour les données « associatives » en réseau. Si l’on veut examiner la collocation des termes — autrement dit la proximité des termes —, on peut utiliser les concepts précédents de recherche, comptage et comparaison pour créer une constellation de termes à haute fréquence qui ont tendance à paraître ensemble. On pourrait vouloir examiner le réseau de mots liés (par proximité) à « monsieur » et « madame » : quels mots sont les plus associés à l’un ou l’autre de nos mots clés ? Quels mots sont associés aux deux ? Le graphique nous suggère que « mari », « dieu » et « fille » sont plus associés à « madame », alors que « maître », « comédie » et « philosophie » sont plus associés à « monsieur », et enfin que « comtesse », « vicomte » et « oui » sont associés aux deux (entre autres). Encore une fois, les associations ne sont pas concluantes en soi, mais le graphique peut nous mener à poser des questions qui ne nous seraient pas venues à l’esprit autrement.

Plusieurs outils sont disponibles pour la lecture et l’analyse informatisées mais, à quelques exceptions près, il s’agit de variantes des procédures élémentaires présentées ici : la recherche, le comptage, la comparaison et l’association. La préparation des données textuelles peut être très exigeante (et souvent quelques compétences de programmation s’avèrent indispensables, surtout les langages de script comme Python, Ruby et PHP. Mais des outils comme Voyant Tool démontrent qu’il est possible de prendre plusieurs documents dans des formats variés (texte brut, MS Word, PDF, etc.), de les ajouter à l’outil et de commencer à lire, à explorer et à analyser. Ces activités diverses représentent les atouts des textes numériques.

 

 

Conclusion

 

Les textes numériques nous sont omniprésents, mais nous ne les connaissons que très peu. Ce chapitre dépeint la nature des textes numériques et surtout montre comment la décomposition de l’information en unités discrètes nous permet d’élargir le sens de la lecture au-delà du texte séquentiel pour inclure la recherche, le comptage, la comparaison et l’association. Il est alors essentiel de comprendre le rôle de l’informatique dans l’entreprise littéraire : elle peut nous aider à répondre à des questions quantitatives, mais celles-ci ont tendance à être banales et à manquer de contexte. Le vrai potentiel du texte numérique réside en sa capacité de faire proliférer les représentations des textes et de nous amener à poser de nouvelles questions interprétatives.

 

 
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La Haute Horlogerie propose son alternative aux montres connectées

Depuis quelques temps, une nouvelle pièce de technologie a fait son apparition pour nous aider à mieux gérer notre quotidien. La montre connectée, plus légère que notre ordinateur, plus portable que notre tablette et encore plus attachée à nous que notre smartphone nous est complètement dévouée.

Apple watch

Les smartwatch se présentent comme un complément de notre smartphone, son écran affiche les appels, les messages, mails ainsi que vos évènements importants. À partir de cette dernière vous pouvez également gérer votre musique mais pas seulement. Des fonctions relatives à notre santé sont disponibles tel qu’un podomètre ou un cardiofréquencemètre, la montre connectée devient notre coach personnel ! Cela fait quelques temps que ce nouveau marché s’installe et chaque constructeur propose tour à tour son modèle, et sa vision de la montre connectée. D’avantage bijoux de technologie que bijoux d’horlogerie, la smartwatch a du mal à étendre son public. On se souvient des premières montres qui faisaient plus que nous donner l’heure. À l’image de la T-Touch de chez Tissot qui séduisait principalement des hommes sportifs et pratiquant des activités telles que la plongée ou la randonnée et qui avaient besoin de ces fonctionnalités très pratiques. Déjà à l’époque les critiques fusent au sein de la communauté horlogère : on ne mélange pas les torchons et les serviettes. Ces montres ne méritaient pas d’être rattachées à la haute horlogerie. Les amateurs de belles pièces d’horlogerie moins pour l’esthétique que pour ce que le boiter contient, avaient énormément de mal à se laisser séduire. Il y a quelques mois, le monde de la Haute Horlogerie tremblait devant l’annonce de la montre connectée d’Apple simplement baptisée Apple Watch. Beaucoup voyait dans le géant américain la seule force qui puisse tout faire basculer. Malheureusement, trop d’attentes, de rumeurs et d’espoirs placé dans un produit qui finalement ne fait pas beaucoup mieux que ces concurrents. Une fois de plus, on dirait que les amateurs de belles pièces horlogères mais aussi sensibles aux nouvelles technologies resteront sur le carreau. Tous voyaient dans ce nouveau marché la fin de l’industrie horlogère de luxe et pourtant, de fait le secteur de la montre connectée à plutôt du mal à séduire. Un look pas suffisamment «montre», pas assez «luxe» fait que la smartwatch a du mal à se défaire de ses carcans.

Il y a quelques jours, la marque horlogère de luxe Montblanc a présenté sa solution en terme de montre connectée : le e-Starp. Fort du constat que les amateurs de haute horlogerie ne sacrifieront pas un mouvement au profit de la technologie, il fallait trouver un compromis. Montblanc propose donc de nous laisser profiter de notre montre préférée et de la faire devenir connectée grâce à son bracelet. Le e-Strap se compose donc d’un bracelet en cuir auquel on ajoute au niveau du fermoir un écran tactile d’une diagonale de 0,9 pouce et d’une définition de 128 x 36 px. Le bracelet se connecte par Bluetooth à votre smartphone et dispose d’une application dédiée disponible sous Android et iOS. Tout comme le principe de la montre connectée, e-Strap affiche vos notifications qui sont signalées par une vibration tout comme les appels ainsi que les messages. Il permet aussi de faire le point sur vos notifications liées aux réseaux sociaux. Le bracelet dispose également d’un traqueur d’activité qui permet de vous renseigner sur votre activité physique quotidienne. E-Strap vous permet également de prendre des photos, selfies plus facilement avec votre smartphone. Enfin, vous garder le contrôle sur votre musique sans même sortir votre téléphone de votre poche. Ce bijoux de technologie est bien évidement proposé avec une collection de montres spécifiques de chez Montblanc, les TimeWalker. Pour autant, le bracelet de 20-22mm vous permet tout à fait de l’adapter à la montre de votre choix. Il vous est possible de l’acquérir avec ou sans l’achat d’une montre. E-Strap se vend seul à partir de 250€ mais pour cela, il faudra attendre juin 2015.

Montblanc

Avec e-Strap il faut croire qu’il fallait que la Haute Horlogerie se penche sur les montres connectées pour que le marché commence à prendre au sérieux ce nouvel arrivant. Ce dispositif permettra peut-être de provoquer un regain d’intérêt pour cette technologie et amènera à elle un nouveau public. Et vous, plutôt iMontre ou iBracelet ?

Sources :

http://stories.montblanc.com/2015/01/timewalker-e-strap

http://www.begeek.fr/e-strap-montblanc-transforme-toutes-les-montres-en-objets-connectes-157149

http://www.igen.fr/apple-watch/2015/01/e-strap-montblanc-met-un-ecran-dans-le-bracelet-de-ses-montres-mecaniques-maj
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Amazon Killer : le Robin des Bois des librairies

Qui n’a jamais commandé un livre sur internet, par manque de temps ou d’envie de se déplacer chez son libraire préféré ? Tous, nous nous sommes déjà laissé tenter par le diable de la librairie en ligne, Amazon. Son catalogue inépuisable, la facilité de commande et les frais de port à 1 centime symbolique sont aussi appétissant que la buche de Noël de notre chère grand-mère. Et pourtant, les remords nous rongent et il nous est impossible de supporter le regard accusateur de notre libraire de quartier. Mettons aujourd’hui un terme à ce dilemme cornélien grâce à Amazon Killer !

Bonhomme

Il y a de cela deux semaines environ, le nouveau Robin des Bois des libraires le développeur Elliot Lepers, a mis en ligne son extension web (Firefox et Chrome) Amazon Killer. Cette application a pour principe de faire le lien entre le catalogue Amazon et votre libraire de quartier, afin de vous informer de la disponibilité de l’ouvrage chez ce dernier. Cette idée est née en réponse à la décision d’Amazon de fixer des frais de port à 1 centime sur les livres, suite à la décision de justice lui interdisant la gratuité du port afin d’éviter une concurrence déloyale.
«J’étais révolté de ce mépris total et assumé du politique par le capital. (…) En quelques heures j’ai codé Amazon Killer, un petit pont entre Amazon et un libraire près de chez soi.»
Le principe d’Amazon Killer est assez simple, le site d’Amazon devient un outil de recherche. Une fois que vous avez trouvé votre livre sur le site d’Amazon, grâce à l’application Amazon Killer un bouton «Acheter en librairie» apparait et d’un simple clic vous êtes informé de sa disponibilité chez votre libraire préféré. Cette opération est possible grâce à l’utilisation de la base de données Place des Libraires qui permet de consulter en temps réel le stock des libraires.
« Il y a Amazon et il y a Place des libraires, le site qui permet de savoir où les livres sont disponibles, j’ai juste fait un pont entre les deux » explique Elliot Lepers.
Concrètement, la seule contre-partie que vous demande Amazon Killer c’est de prendre deux minutes en même temps que vous aller acheter votre pain pour faire un détour chez votre libraire pour récupérer votre livre. Qu’est-ce que deux minutes afin de vous attirer les bonnes grâces de votre libraire de quartier?

Librairie

Cependant, Elliot Lepers n’en n’est pas à son coup d’essai. Il y a de cela deux ans, il était le directeur artistique d’Eva Joly, et était à la source du coup marketing autour de ses lunettes rouges. Autant dire que le jeune développeur a du nez et parviendra à coup sur à ses fins. Elliot Lepers cherche aujourd’hui à développer Amazon Killer à l’étranger, et déjà sous peu nos voisins britanniques pourront à leur tour sauver les librairies. Aujourd’hui vous n’avez donc plus d’excuses pour ne pas vous rendre chez votre aimable libraire qui saura d’autant mieux vous conseiller que l’algorithme d’Amazon.

Sources utilisées :

http://www.erenumerique.fr/amazon_killer_l_extension_qui_aime_les_libraires-article-10806-1.html

http://www.itespresso.fr/amazon-killer-libraires-contre-attaquent-85756.html

http://www.franceinter.fr/emission-leco-du-matin-elliot-lepers-le-tueur-damazon

Pour vous aussi devenir un Robin des Bois des librairies :

https://github.com/elliotlepers/Amazon-Killer
http://credit-n.ru/zaymyi-next.html

Jan Krissler: reconstitution d'empreinte digitale

Si auparavant s’identifier grâce à une empreinte digitale relevait de la fiction, aujourd’hui, ce procédé fait bel et bien partie de notre quotidien. Les derniers smartphones à la mode sont désormais équipés de capteur biométrique. Mais, c’était sans compter sur le Chaos Computer Club qui a récemment démontré, que déjouer cette sécurité est un jeu d’enfant. Voyons comment les hackers peuvent reproduire nos empreintes digitales.

 

empreinte digitale

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