1/ Les villes intégrées dans la mondialisation.

Les villes mondiales concentrent les fonctions de commandement (sièges grandes entreprises, institutions internationales, centre de recherche et universités.) et la richesse. Ce processus de métropolisation est sélectif : seules quelques villes sont ultra connectées comme Paris, Londres, New York et Tokyo ; et depuis peu les métropoles des pays en développement  (Lagos au Nigéria par exemple). La connexion de ces villes avec le reste du monde sous-entend des voies de communication de tous types (aériennes, terrestres,  maritimes et virtuels avec internet). Dans les villes, les quartiers des affaires, les zones industrialo-portuaires ou encore les technopoles sont les lieux privilégiés de cette intégration à la mondialisation.

2/ Les villes à l’écart de la mondialisation.

Certaines villes sont peu intégrées à la mondialisation car elles sont à l’écart des réseaux de transports, en crise économique ou en guerre. Elles sont surtout situées dans les PMA (Pays les Moins Avancés) et sont marquées par le développement de  bidonvilles. Mais certaines villes des pays riches, autrefois riches ont décliné (shrinking cities) : crise industrielle, recul démographique, friches urbaines marquent ces métropoles d’Amérique du nord ou d’Allemagne.

Source : d’après HistoireGeoCasa.