Merci


 photo credit: SplodgusMaximus

 à ceux et à celles qui durant les moments si forts de ce voyage , surent dire par les larmes et les sourires , nous serons les maillons de cette chaîne de la mémoire : Merci .

à ceux et à celles qui surent à tous les moments tendre la main à tous les membres du groupe :Merci .

à ceux et à celles qui surent oublier Ajaccio et cette forme parfois très prégnante de l’égoïsme de peuples riches et marchands :Merci .

à ceux et à celles qui surent dépasser les très fortes émotions dans le partage de  la mémoire : Merci .

à ceux et à celles qui surent dire Merci : à Vous MERCI .

Merci pour que la joie demeure au plus profond des cœurs , merci pour que l’espoir ne soit jamais vain , merci pour que nous sachions toujours nous reconnaître dans l’Autre.

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pour les terminales ES ; révison du bac (blanc!)

vous trouverez là quelques liens vers des sujets sur le dernière partie du programme…

Quels sont les effets de l’internationalisation des échanges sur l’emploi dans les pays industrialisés ?

Dans quelle mesure la recherche de la réduction des coûts de production explique-t-elle les stratégies internationales des entreprises ?

un très bon exercice d’entrainement :La mondialisation peut-elle entraîner une homogénéisation des pratiques culturelles ?

un très bon exercice d’entrainement: un pays développé doit-il s’interdire tout recours à des mesures protectionnistes ?

pour les spé ses : révisions sur Ricardo .

Et plus généralement un lien  pour tous les sujets ,( dont qq uns sont corrigés )

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quand les élèves intègrent les notions !!!(non ce ne sont pas des maths !!)

papa je veux un ballonvoila à quoi pensent certains élèves en cours ..la connaissance est là integrée à la problématique !!! le prof adoooore !pour ceux qui ne peuvent voir le dessin en entier ..clic sur le lien !!

papa je veux un ballon
dessin de Theodore Catry élève de 1è ES2 au lycée Descartes de Tours. élève de T .Rogel prof de SES ..dans le même lycée!

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pour tous ! une autre façon de voir l’Etat providence

Pourquoi quelqu’un qui a mangé et picolé toute sa vie sans faire attention serait mieux pris en charge que des patients atteints d’arthrose qui, eux, ne sont pas à 100%? »

le non remboursement à terme à 100% pour les diabétique de type 2 …..maladie grave

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pour les premières et les terminales ES : inflation toujours ….

  • Premiers résultats de l’observatoire des prix

    Analyse des prix

    Les données du mois de février 2007, portant sur les prix de 100 000 produits de grande consommation relevés dans 5700 grandes surface font apparaître une évolution de +4,69 % entre février 2007 et février 2008 sur les prix réels payés en caisse (données IRI).

    L’essentiel de l’augmentation a porté sur la période fin 2007-début 2008.

    Ces données confirment une hausse des prix des produits alimentaires supérieure au taux général d’inflation mais très largement inférieure aux taux relevés par le magazine 60 millions de consommateurs.suite de l’article là

  • la comparaison salaire et pouvoir d’achat dans le monde : prix et salaires

là le dossier en entier

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pour les premières et les terminales ES:la crise financière les enchainements

paru dans le Monde

Subprimes, marchés, inflation : retour sur un enchaînement

A l’été 2007, lorsque deux fonds spéculatifs de la banque américaine Bear Stearns menacent de faire faillite, personne à Wall Street ne se doute que sept mois plus tard, la finance mondiale sera plongée dans l’une des plus graves crises de son histoire. Une crise dont Alan Greenspan, l’ancien gouverneur de la Réserve fédérale américaine (Fed), dit aujourd’hui qu’elle « sera la plus grave depuis la fin de la seconde guerre mondiale ». Comment en est-on arrivé là ?

L’étincelle des subprimes. Les fonds spéculatifs de Bear Stearns ont plongé à cause de crédits « subprimes », des produits dérivés de prêts immobiliers à risque dans lesquels ils avaient massivement investi. Des millions de ménages américains modestes ont souscrit ces emprunts à taux variables, gagés sur la valeur des biens immobiliers pour un montant total de 1 200 milliards de dollars. Ces prêts ont été accordés par des sociétés de crédit hypothécaire avides de profits, peu regardantes sur la solvabilité des ménages. Lorsque les prix de l’immobilier se sont effondrés et que les taux d’intérêt ont grimpé, ces ménages ont été étranglés par les dettes. Entre-temps, les crédits subprimes ont été transformés (titrisés) en produits financiers complexes rachetés par les banques du monde entier. Le risque, que l’on croyait disparu, s’est ainsi retrouvé disséminé un peu partout. Après les fonds de Bear Stearns, les grands noms de la finance internationale, comme Merrill Lynch ou Morgan Stanley, sont ainsi touchés.

L’embrasement des banques. La crainte des subprimes se transforme en psychose. Les banques se soupçonnent les unes les autres de camoufler des subprimes. Les investisseurs redoutent qu’un établissement majeur ne soit gravement touché. Le nom de Citigroup, première banque des Etats-Unis, circule.

Ces soupçons seront confirmés, et même au-delà : Citigroup annoncera au total 21 milliards de dollars de dépréciation d’actifs. D’autres banques aussi prestigieuses seront aussi touchées. La facture des subprimes s’élève à ce jour à 150 milliards de dollars. Jusqu’où ira-t-on ? Le 14 mars, Bear Stearns est menacée de faillite. La Réserve fédérale décide d’intervenir, en facilitant son rachat par l’un de ses concurrents, JP Morgan, pour seulement 236 millions de dollars.

La panique des marchés. Depuis l’apparition des subprimes, les investisseurs sont de plus en plus nerveux. Sur les marchés interbancaires, les banques refusent de se prêter de l’argent. Certaines, comme la britannique Northern Rock en septembre, se retrouvent asphyxiées. Cette défiance se reflète sur les marchés d’actions, où les investisseurs redoutent la contagion aux banques européennes et asiatiques. Ils cèdent à la panique le 21 janvier, à l’annonce de nouvelles dépréciations. Les principales places boursières d’Europe et d’Asie plongent. La Bourse de New York, fermée, échappe au pire. Et le krach est évité grâce à l’action des autorités monétaires, de la Réserve fédérale américaine (Fed) et de la Banque centrale européenne (BCE) principalement. Elles injectent massivement les liquidités qui font défaut aux banques. La Fed, en complément, réduit drastiquement ses taux directeurs de 0,75 point. Elle ira plus loin pour relancer l’économie américaine et rassurer les marchés. Au total, les taux américains passeront de 5,25 % avant l’été 2007 à 2,25 % fin mars 2008.

Cependant, l’action de la Réserve fédérale américaine contribue à faire plonger le dollar sans juguler tout à fait la défiance envers les banques. Et si le marché d’actions surnage, les investisseurs lui préfèrent les matières premières (pétrole, or, blé…Smilie: ;) considérées comme des valeurs refuges. Leurs prix flambent.

La crise dépasse alors clairement le cadre financier, l’envolée de ces prix affecte directement les industriels et les consommateurs tout en stimulant l’inflation. La hausse des prix, que l’on croyait disparue de nos économies, fait ainsi un retour inattendu, dépassant 3 % de part et d’autre de l’Atlantique. Les revendications salariales pointent, notamment en Allemagne. La spirale inflationniste se met en place.

La contagion à l’économie « réelle ». Si la sphère financière est l’épicentre de cette crise, elle est aussi le poumon de l’économie. Les banques, affectées par les pertes des subprimes, resserrent les vannes du crédit pour les ménages et les entreprises. Aux Etats-Unis où la population vit à crédit (le taux d’épargne y est négatif), le phénomène est dramatique. « Les Etats-Unis sont déjà en récession », estime ainsi l’homme d’affaires milliardaire Warren Buffett. En Europe, les déboires de l’économie américaine, l’un des principaux débouchés pour les exportations, grippent une croissance déjà molle sans faire taire l’inflation. La stagflation, cauchemar des économistes et des banques centrales, menace.

Les pays émergents bousculés. Dans un premier temps, les pays émergents ont résisté. Les économistes évoquaient alors la théorie du « découplage », soit l’indépendance de ces économies par rapport à celle des Etats-Unis. Mais depuis début 2008, la crise est si grave qu’elle chahute aussi ces marchés, même si leur croissance en 2008 restera nettement supérieure à celle des pays occidentaux.

Comment sortir de la crise ? La solution pourrait être radicale, bouleversant même le modèle capitaliste américain. « Si la crise dure et s’approfondit, les solutions passeront forcément par l’Etat, qu’il s’agisse de créer un fonds de défaisance ou de procéder à des nationalisations provisoires de banques en difficulté », estime Jean-Louis Mourier, économiste chez Aurel Leven.

Claire Gatinois et Anne Michel

définitions

SUBPRIME.
Crédit hypothécaire accordé aux Etats-Unis par des établissements spécialisés, non régulés, à des ménages modestes, sans considération de leur capacité à rembourser.

TITRISATION.
Montage financier permettant à un établissement financier de transférer le risque de non-remboursement d’un crédit en le transformant en produit financier complexe vendu sur le marché.

CRISE DE LIQUIDITÉS.
Phénomène de défiance extrême conduisant les établissements financiers à ne plus se prêter de l’argent entre eux.

STAGFLATION.
Combinaison d’inflation et de croissance molle. Le phénomène, apparu dans les années 1970 après le premier choc pétrolier, menace de nouveau les économies occidentales

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pour les premières et les terminales es : suite crise fincancière ..Aglietta

Michel Aglietta: « Une crise aussi grave que celle de 1929 »

Par  Gabriel Zucman(Regards croisés sur l’économie)   

La crise du système financier américain, enclenchée depuis le mois d’août, a pris ces cinq derniers jours un caractère dramatique, de l’avis des plus grands responsables économiques de la planète.

Traversant sa « plus grave crise depuis la Seconde Guerre mondiale », selon l’ancien président de la banque centrale américaine Alan Greenspan, la finance mondiale fait aujourd’hui face à un « risque de rupture », pour le patron du Fonds monétaire international Dominique Strauss-Kahn. Comment en est-on arrivé là? Sommes-nous au début d’une grave crise économique?

Le mécanisme de la panique bancaire aux Etats-Unis. La chute de Bear Stearns, cinquième banque d’affaires des Etats-Unis, a soudainement accéléré la décomposition d’un système financier qui n’en finit pas de digérer ses excès. Alors qu’il y a une semaine, son PDG Alan Schwartz déclarait que Bear Stearns ne connaissait « aucune pression sur ses liquidités et encore moins une crise de liquidités », la prestigieuse maison, vieille de 87 ans, s’est effondrée en trois jours.

Vendredi, constatant qu’elle ne pouvait plus assurer ses obligations de paiement, elle s’est placée sous perfusion de la Banque centrale américaine. Dimanche soir (!), elle était rachetée par sa concurrente JP Morgan pour une somme dérisoire (2 dollars par action, contre un cours de 100 dollars il y a trois mois) lors d’un sauvetage rocambolesque organisé en urgence par le gouvernement américain, la Banque centrale et les deux banques en un week-end.

Pourquoi les autorités ont-elles montré tant d’empressement? Parce que la structure du système financier mondial est celle d’un château de cartes. Les grandes institutions sont inextricablement liées par les prêts qu’elles se consentent mutuellement. Que l’une vienne à faire défaut, et ce sont toutes ses créancières qui sont fragilisées, acculant les plus faibles à la faillite, et ainsi de suite, en quelques heures.

C’est ainsi que Bear Stearns a sombré au lendemain de l’annonce de la faillite du fonds coté de Carlyle, ce « hedge fund » (fonds spéculatif) qui finançait ses opérations auprès, entre autres, de Bear Stearns. Afin d’éviter la poursuite de « l’effet domino », il était nécessaire que Bear Stearns pût, coûte que coûte, assurer ses obligations de paiement, ce qui passait par son adossement à un acteur aux reins plus solides.

Aux racines de la crise: l’encouragement à l’immobilier. Dans les milieux économiques, il est de bon ton de blâmer les responsables de la politique monétaire (Ben Bernanke aux Etats-Unis, Jean-Claude Trichet en Europe), alors qu’ils ont jusqu’à présent, et particulièrement aux Etats-Unis, joué un rôle remarquable et évité que le pire ne se produise. On reproche en particulier à la Banque centrale américaine, et à son ancien président Alan Greenspan, d’avoir alimenté la bulle immobilière en laissant les taux d’intérêt trop bas (1% en 2003).

En réalité, la crise financière est dans une large mesure de la responsabilité politique de l’administration Bush, et viendra encore noircir un bilan déjà bien piteux. Pour le comprendre, il faut revenir sur la source des maux de l’économie américaine.

La crise, on le sait, vient du secteur immobilier. Ici, des courtiers sans scrupule ont accordé des prêts léonins à des ménages qui n’avaient pas les moyens de devenir propriétaires de leurs maisons.

Ce système a été non seulement toléré, mais encouragé par l’administration américaine, via un ensemble de subventions et de garanties apportées aux emprunteurs. Citons, pêle-mêle: la détaxation des intérêts d’emprunt, la détaxation des plus-values immobilières, une garantie d’Etat apportée aux emprunteurs fournissant un apport personnel trop faible, ainsi que la suppression de toutes les régulations dans le secteur du crédit immobilier.

Chacun, dans la « ownership society » chère au président Bush, devait pouvoir devenir propriétaire de sa maison; tous les moyens étaient bons! Slogan foncièrement démagogique: dans une société où les 10% les plus riches ont 48% des revenus (ce qui est le niveau le plus élevé jamais atteint aux Etats-Unis depuis… 1928) et les 10% les plus pauvres seulement 2%, il est mathématiquement impossible que chacun ait les revenus suffisants pour être propriétaire de sa maison…

Il n’empêche. Les exhortations présidentielles et les politiques incitatives qui les accompagnaient ont alimenté une bulle spéculative.

Tout allait très bien, tant que les prix de l’immobilier montaient, et que tout le monde anticipait leur hausse. Les ménages propriétaires pouvaient alors faire valoir auprès de leur banquier que la valeur de leur habitation s’accroissait, donc que leur richesse augmentait, donc qu’ils pouvaient emprunter davantage. C’est ainsi qu’ils contractaient de nouveaux prêts gagés sur la valeur de leur maison pour consommer, ou tout simplement pour s’acquitter des mensualités de leurs autres crédits!

Sommes-nous de retour en 1929? Ce système était voué à la faillite dès le retournement des prix de l’immobilier, ce qui s’est produit au cours de l’année 2006. Rapidement, la valeur des habitations est devenue inférieure, pour de nombreux ménages, au montant du prêt qu’ils devaient encore rembourser.

De gré ou de force, ils ont alors dû céder leur habitation à leurs créanciers. Une fois tombées dans l’escarcelle des banques, les maisons ont été remises immédiatement en vente, accentuant la baisse des cours immobiliers…

Cette spirale baissière a également affecté tous les titres financiers qui avaient été construits à partir des crédits immobiliers. Les actifs des banques et de tous les investisseurs les plus exposés à l’immobilier ont ainsi fondu comme neige au soleil. Voilà comment le château de cartes a été ébranlé.

Aujourd’hui, sans l’intervention des autorités américaines, le système bancaire s’effondrerait entièrement. La crise, comme nous le dit Michel Aglietta, professeur de sciences économiques à Nanterre, est dans ses mécanismes et ses effets cumulatifs, aussi grave que celle de 1929.et les vidéo sur la crise bancaire américaine

La différence avec 1929 réside dans la réactivité des autorités. Alors qu’il avait fallu attendre l’entrée en fonction de Roosevelt en 1933 pour que le gouvernement s’attaque sérieusement à la crise, en prenant les commandes des banques, la Banque centrale américaine et le gouvernement semblent aujourd’hui déterminés à empêcher, par tous les moyens, une aggravation de la situation et la multiplication des faillites.

Concrètement, cela signifie que les pertes réalisées par les banques seront socialisées, c’est-à-dire assumées in fine par l’Etat, comme l’ont été celles de la Northern Rock en Grande-Bretagne.

? Comprendre la finance contemporaine revue Regards croisés sur l’économie n°3, éditions La Découverte.

Vidéo: Mathieu Eisinger

En partenariat avec:

paru là rue 89

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voyage Cracovie pratique

Pour ce voyage des idées qui font du bien :

il vous faut penser à soigner des ampoules , avec des chaussures fermées et pas trop l’habitude les ampoules viennent vite et elles peuvent vous gacher une partie du voyage : donc prévoir

  • soit des pansements spéciaux  ceux qui marchent en montagne ils connaisssent : les pansements Compeed et SecondSkin
  • soit du tricosteril a découper pour recouvrir la zone .
  •  plus généralement penser aussi à des lingettes humides pour les mains pendant le voyage!(demander les filles savent de quoi je pale!)

si vous avez des idées ne le gardez pas pour vous ..à vos commentaires

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voyage suite vers Cracovie

Coordonnées de notre responsable local à CRACOVIE :
Mr Henryk Kowalik
Tel : 00.48.12.155.790
Port : 0501.357.325

Coordonnées de l’hôtel :
HOTEL KRAKUS JUNIOR
Tel : 00.48.12.652.02.08
http://www.turystyka-krakus.com.pl 

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la réaction sur le net des élèves à la suppression des options

voila comment certains de vos camarades manifestent autrement …contre la suppression des options ..et pour le droit …à l’éducation …

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