Spectacle à Salins: lundi 16 mai à 17h à La Maison du Géant

Cette année dans le cadre du festival Scènes méditerranéennes des Scènes du Jura, du 3 au 21 mai, le Liban est mis à l’honneur : Les Scènes du Jura vous invitent à venir découvrir le spectacle en appartement de la Cie Zoukak venant tout droit de Beyrouth

 

Death Comes Through the Eyes

La mort vient par les yeuxunnamed

Création Zoukak 2014

Rendez-vous le lundi 16 mai à 17h à La Maison du Géant, pour vous plonger dans l’univers artistique de la Cie Zoukak.

Comme d’habitude à La Maison du Géant, le spectacle sera suivi d’une dinette-causette-buvette, chacun apportant de quoi manger, boissons offertes !

C’est GRATUIT ! Inscrivez-vous dès que possible : le nombre de places est limité !

Association La Maison du Géant, 1 Place Saint Anatoile à Salins-les-Bains (39110)

Après les deux cycles de recherches et de créations sur le Genre et l’Histoire, La Mort Vient pas les Yeuxfait partie du nouveau cycle de la cie Zoukak autour de la mort et l’immortalité. Dans l’intimité d’un appartement ils ont décidé de questionner les nouveaux paradigmes qui sont en train de définir notre relation à la mort et à sa représentation.

« Etre un spectateur des calamités qui ont lieu dans d’autres pays est une expérience moderne par excellence. (…).

De nos jours, les guerres sont devenues le bruit ambiant et le paysage de nos salons. » (Susan Sontag)

Que faire ? se demande la compagnie libanaise Zoukak,

à l’heure où les catastrophes qui ravagent les trois quarts de la planète se déversent sur nos écrans de télévision, à l’heure où notre champ visuel est saturé d’images de guerre, de carnage, de décapitation, de famine ou d’épidémie.

Oui, devant ce déluge de corps violés, brutalisés, martyrisés, que faire ? La réponse apportée par la compagnie Zoukak est : du théâtre. Parce qu’il n’y a guère que le théâtre qui puisse questionner la représentation de la mort dans les médias et demander au public d’évaluer sa part de responsabilité dans ce processus qui, à force de la montrer sous toutes les coutures, a fini par la banaliser…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *