Premières impressions sur le quotidien en Egypte

Une épicerie et une boulangerie au Caire
Une mosquée dans le quartier de notre hôtel

Les enfants savent que la langue courante est l’arabe, et ils réalisent qu’il est difficile de se faire comprendre. Certains chauffeurs de taxi connaissent un peu l’anglais mais le plus souvent il faut parler avec les mains.

Yoann & Titouan : nous avons appris à dire merci, « shokran », et papa sait un peu compter en arabe. 0n a quand même galéré pour fixer les bons prix des trajets en taxi.

En découvrant un texte arabe traduit en anglais, Yoann remarque que la langue arabe s’écrit de droite à gauche.

Yoann & Titouan : il y a plein de mosquées. Un monsieur nous a autorisé à rentrer dans une mosquée mais sans maman. Nous avons enlevé nos chaussures et à l’intérieur il y avait plein de tapis pour prier.

Nous entendons plusieurs fois par jour les voix qui appellent les musulmans à la prière.

Yoann & Titouan : pour manger, il y a des magasins à côté de l’hôtel. Il y a une épicerie, une boulangerie, un marchand de fruits, et un restaurant qui sert tous les jours la même chose : des pâtes mélangées avec du riz, des lentilles, des pois chiches et des oignons cuits recouverts de sauce tomate.

Titouan : j’ai vu un magasin qui vend des poules et des lapins vivants et maman nous a montré une boucherie avec des carcasses de viande suspendues à l’entrée.

Yoann : en allant à Saqqarah, nous avons vu des ânes qui tiraient des charrettes remplies de fruits et légumes. Les ânes étaient au milieu des voitures.

Au sud du Caire, c’est la campagne avec des palmeraies et des champs de choux-fleurs.

Yoann & Titouan : en ville, les enfants traversent la rue sans leurs parents alors que c’est dangereux car il n’y a pas de passages piéton.

Il nous faut beaucoup de concentration pour traverser une rue au Caire. Les chauffeurs de taxi ne s’embarassent pas du code de la route et conduisent parfois dangereusement.

Yoann & Titouan : il y a beaucoup de déchets dans la rue. Il y a sûrement des poubelles mais on ne sait pas où elles sont.

Après 6 jours au Caire, nous avons pris un train couchette jusqu’à Louxor. C’est une ville construite le long du Nil où l’on respire mieux qu’au Caire.

Les vacances scolaires ont commencé, donc nous n’avons pas encore pu rencontrer d’enfants dans leur école. Nous devrons attendre d’être à Assouan.

Comme au Caire, les petits commerces n’affichent pas leurs prix et il nous faut batailler ferme pour obtenir le bon prix. Nous sommes dans une ville touristique et nous sommes tous les jours hyper sollicités par les conducteurs de calèches, les propriétaires de felouques etc…

Titouan : les égyptiens sont très bronzés mais ils n’ont pas la peau noire comme Abdoul.

Abdoul est un marchand de vrai papyrus, d’origine comorienne, qui nous a invité à boire le karkadé, un thé à l’hibiscus.

Titouan apprend en ce moment une poésie de Léopold Sedar Senghor qui s’appelle « Poème à mon frère blanc« .

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