La France et les Français vus par les étrangers

LA FRANCE ET LES FRANÇAIS

Nathaly, Mélanie et DeniseUn article préparé par Lynne, Jennifer, Mélanie et Nathaly, avec les contributions de Won Tae, Denise, Thomas et d’autres… // Juillet 2016

INTRODUCTION DE JENNIFER

« La meilleure chose lorsque l’on étudie à l’étranger c’est de rencontrer tellement de personnes différentes, et bien sûr on peut aussi connaître une nouvelle culture. C’est une bonne expérience et je la recommande. Cependant, avec une nouvelle culture, il y a beaucoup de stéréotypes que vous avez avant d’arriver. Ce n’est pas grave, c’est normal. Nous en avons tous. Mais, depuis votre arrivée, votre idée des gens commence à changer. Généralement, c’est une bonne chose. J’ai eu l’opportunité de discuter avec mes amis des stéréotypes que nous avons et comment ils ont changé.

« D’accord, j’ai une question importante : avant votre arrivée en France, quelles étaient les stéréotypes que vous aviez sur les Français? »

cliché françaisCette question est compliquée parce c’est une question qui renvoie à tellement d’aspect de la culture française, comme: le pain, le fromage, des gens froids, avec une mauvaise hygiène… »

Mon amie Shannon, qui habite aux États ­Unis, a dit : “Je pensais que quand nous avons visité Paris, je verrais un mime et je n’en ai pas vu.”

La conversation était amusante. Avec des rires et des sourires, nous avons parlé de stéréotypes que nous avions des Français. Ensuite, nous avons parlé de stéréotypes qui étaient faux.

Oui, il y a beaucoup de pain et fromage mais non, les gens ne sont pas froids et il y avait bien des mimes à Paris. Donc, dans l’ensemble, nous avons conclu que les Français ne sont pas aussi mauvais que les rumeurs le disent mais ils aiment vraiment leur pain et leur fromage!

LES INTERVIEWS

Mélanie a interrogé un étudiant brésilienne Nathaly, voici ce qu’elle lui a répondu:

« Mon nom est Nathaly Silva. Je suis arrivée en France samedi 18 juin. Ma première impression de la France était que les Français parlent très rapidement. Quand un français parle avec moi, aujourd’hui, je comprends mieux la compréhension que le première jour ici en France. Avant d’arriver dans le pays, j’ai pensé que les Français parlent réellement très rapidement, mais je n’imaginais pas comme ça. Une autre chose que je n’ai pas imaginé est  la circulation des voitures à Tours, ou en France en général, ici les voitures stoppent pour les piétons; au Brésil, ça ne se passe pas ainsi. »

Oui, c’est nécessaire que les nouveaux étudiants qui apprennent le français s’adaptent. Puis c’est bon savoir que les conducteurs en France sont très polis.

Maintenant voici l’opinion d’une étudiante américaine Jennifer:

Un avis très différent de celui de cet autre étudiant brésilien, Thomas à l’Institut de Touraine:

L’AVIS DE WON TAE

« Je m’appelle Wontae. Je suis Coréen. Je crois que les Français aiment plus les Japonais que les Coréens. Et plus les Japonais que les asiatiques en général. Je pense que les Français s’intéressent davantage à la culture japonaise. Par exemple, la nourriture japonaise comme les sushis ou les mangas japonais. C’est mon avis. »

Un autre avis plus positif: D’abord, les étrangers doivent voyager ou visiter la France. Ce sera une expérience incroyable! Beaucoup de touristes ont des raisons de visiter la France. En France, je pense que la culture du pays change rapidement. Alors, les Français sont chics et modernes. A mon avis. La France est connue dans le monde entier pour les arts. C’est le plus grand avantage de la France. Finalement, les étrangers s’intéressent à la France et les Français. Ceci est une très bonne fin.

Et pour finir voici l’avis de Denise, étudiante américaine qui, comme beaucoup d’autres s’étonne que les Français répondent souvent en anglais aux étrangers qui s’adressent pourtant en français à eux :

Bravo à tous les étudiants qui ont participé à cette enquête soit comme journalistes soit comme témoins !

Josephine BAKER, une femme exceptionnelle !

Josephine-Baker-Banana-Skirt

Nous connaissons tous la silhouette amusante de Josephine Baker dansant le charleston avec une ceinture de bananes mais sa vie de femme engagée est moins connue. Voici le regard sur sa vie étonnante par Hannah, Liam et Madelena :

PARTIE 1 (1’39)

PARTIE 2  (1’56)

Concours d’écriture

Comme chaque été, voici le concours d’écriture !

Il est ouvert à tous les étudiants de l’Institut. Il s’agit cette année d’analyser un article de presse sur l’un des trois thèmes suivants : environnement, événement culturel ou sportif.

Comment s’inscrire ? Auprès de Marie-Pierre, au Centre de Ressources ou auprès de Barbara, l’animatrice. Vous pouvez leur remettre votre texte jusqu’au mercredi 20 juillet. De futurs articles pour le webzine ?

Bonne chance à tous les participants !

Offizieller bundeseinheitlicher deutscher Presseausweis
Offizieller bundeseinheitlicher deutscher Presseausweis

Éditorial webzine n°4 – Mai 2017

Déjà le 9 juin, et voilà le quatrième numéro du webzine qui paraît.

Beaucoup d’activités et de rencontres à vous raconter. Cela a commencé avec la très belle fête du printemps organisée par la mairie de Tours, puis il y a eu le vide-grenier organisé par l’atelier bénévolat au profit de l’association Les Blouses Roses mais aussi de belles rencontres avec Suemin, Yoko et tant d’autres…

En voici quelques aperçus, bonne lecture et écoute à vous !

Webzine n°4

Un atelier très particulier…

En ce jeudi  18 mai,  quatre étudiants sont présents : Joan, Misako, Mohammad et Yoko. Au début, c’est Mohammad qui capte l’attention de tous car, il a apporté ses lunettes de vision 3D à propos desquelles il projetait d’écrire un article.

samsung-gear-vr-casque-de-realite-augmentee-pour-sPendant que chacun les essaye à tour de rôle, entrant dans cette réalité virtuelle, Mohammad nous explique son fonctionnement : les lunettes permettent de visualiser en 3D les programmes spécifiques transmis par son téléphone portable qui s’adapte aux lunettes. Des boutons de sélection et de réglage se trouvent sur les côtés des lunettes, demandant un peu d’habitude pour les manipuler avec le seul sens tactile puisque la vue est captée par ailleurs, en vase clos. Ce premier partage d’une expérience commune rapproche les participants qui passent ensuite d’une conversation à une autre.

Puis, Misako, qui veut travailler sur les « spécialités gastronomiques régionales » pose une question anodine : elle demande comment se présenter en tant qu’habitant d’une ville ? Nous remarquons les différents suffixes utilisés en français (Parisien/ne, tourangeau/elle, marseillais/e, niçois/e…). Chacun essaye de dire aux autres le nom de sa ville d’origine et celui de ses habitants. Voilà un second partage, cette fois d’identité locale. Chacun est d’un lieu. Joan, qui travaille à un article sur la linguistique, précise qu’au pays basque tous les noms de localité possèdent deux versions : espagnole et basque.

C’est ensuite logiquement le thème des villes, de leur taille, qui est abordé. Nous parlons de Tokyo, où vit Misako et que Mohammad a adoré lors de son séjour au Japon. Écoutons-le ainsi que Misako raconter des anecdotes sur les étrangers aux Japon :

Mosquée à Tokyo

Misako revient de Paris et elle nous fait part de son étonnement face au changement qui s’est opéré en elle depuis qu’elle vit dans une petite ville comme Tours, puisqu’elle a été impressionnée par Paris, une si grande ville. Justement, Mohammad était à Paris lui aussi ce week-end, il a visité les catacombes. Il explique à Yoko, la seule qui ne connaît pas ce lieu, il lui montre des photos.

Catacombs_of_Paris2Nous en venons ainsi à parler de la place des morts dans la ville. Joan nous dit qu’en basque, le cimetière se dit littéralement la « ville des morts », comme les Romains qui plaçaient toujours leur « cité des morts » aux limites de la ville.

Le thème des cultures et des religions arrive enfin, tout naturellement, avec celui du traitement des morts : crémation ou enterrement. C’est la double religion japonaise, avec la pratique des prières aux morts par les moines bouddhistes et en même temps l’autel des ancêtres d’affiliation shintoïste, qui occupe principalement la discussion. Une discussion très rare que je vous invite à découvrir maintenant…

Yoko revient d’abord sur les causes mystérieuse de son attirance pour la langue française (elle finira par nous donner une clé de compréhension en racontant, que petite fille dans un jardin d’enfant catholique, le directeur  était français). Puis, elle s’est prêtée au jeu des questions sur ce qui la passionne dans les découvertes interculturelles. Écoutons-la discuter avec Joan, Mohammad et Sébastien…

Un vide-grenier à l’Institut !

024Photo : Mohammad

Décidément, les événements s’enchaînent à l’Institut. Après la très belle fête du printemps à la mairie de Tours, voici qu’un vide-grenier est organisé au profit de l’association « Les blouses roses ». Récit de cet événement…

L’atelier bénévolat conduit par Véronique Sorin a rencontré l’association Les blouses roses dont la présidente sur Tours, Elisabeth Chambon, est venue nous expliquer les activités, les bénévoles, les partenariats… Mais écoutons-là interviewée par Misako et par Joan, nos journalistes de l’atelier webzine :

L’atelier bénévolat a donc décidé de les aider en organisant un vide-grenier. L’information a été faite auprès des étudiants grâce à des affiches, l’une d’elle sur le thème du Petit Prince de St Exupéry a été créée par Lola (voir sur la photo plus haut). Divers objets ont été rassemblés et proposés à la vente en ce mercredi 18 mai dans la cafétéria. Le bénéfice réalisé, d’un montant de 210 euros, a été remis à l’association Les blouses roses qui va pouvoir acheter du matériel pour ses activités auprès d’enfants malades à l’hôpital et de personnes âgées en maisons de retraite.

Bravo à tous ! Une belle initiative à reconduire.

Portrait du mois : Suemin, une Coréenne en Afrique…

Le 20 mai 2017 // Suemin – Sébastien

J’ai rencontré Suemin à la médiathèque où elle venait travailler très régulièrement. Aujourd’hui, elle est venue m’annoncer que son séjour en France se terminait, qu’elle allait rentrer chez elle… en Corée ? Oui, quelques jours, mais surtout en Afrique, au Rwanda ! Cette spécialiste des programmes de santé dans les pays en développement travaille en effet depuis de nombreuses années comme chef de projet dans divers pays africains de la région des grands lacs (Rwanda, Burundi, Congo, Malawi…). Comment une Coréenne est-elle devenue une nomade des temps modernes ? C’est ce qu’elle m’a raconté…

Après ses études en Corée, Suemin a pu aller aux États-Unis pour y obtenir un master en Santé public et comme elle désirait travailler pour des ONG, elle y a ajouté un second diplôme en Relations internationales, le tout en anglais évidemment ! Elle a également effectué un séjour au Mexique où l’apprentissage de l’espagnol l’aide maintenant pour celui du français.

C’est avec ce bagage, cette expérience et tout son courage, qu’elle est partie travailler et vivre dans divers pays de la région des grands lacs (Rwanda, Burundi, Congo, Malawi…). Toujours mandatée par une ONG, elle participe à la mise en place d’un programme de santé en soutien à un ministère de la santé de tel ou tel pays. Certaines maladies contagieuses – comme le sida qui touche beaucoup de personnes en Afrique – sont bien connues mais c’est moins vrai d’autres maladies touchant les yeux comme le trachome qui atteint d’abord la paupière puis, en l’absence de traitement, provoque des « lésions cornéennes irréversibles pouvant mener à la cécité. » (source : Wikipédia).

Source image : site de la fondation Heart to Heart : http://www.heart-heart.org/eng/
Source image : site de la fondation Heart to Heart : http://www.heart-heart.org/eng/

Avec ses nombreuses missions dans plusieurs pays africains, Suemin a désormais un regard nuancé sur le rôle des ONG dans ces pays. Car s’il est vrai que, ponctuellement, elles peuvent contribuer à limiter les défauts, le manque de moyen des systèmes de santé, elles n’ont que peu d’influence sur les carences structurelles de ces pays. Selon elle, le premier problème est celui de l’organisation des ressources (matérielles et humaines). Le clientélisme, la corruption, le manque de management, tout cela réduit l’efficacité des politiques publiques.

Le dialogue entre les ONG et les ministères de ces pays n’est pas toujours facile, ces derniers gardant le contrôle de l’application de tel ou tel programme, du secteur géographique où il va prioritairement être déployé. Pour choisir entre deux ONG, la « politique des résultats » leur sert souvent de boussole unique : combien de médicaments distribués, combien de personnes soignantes, de personnes soignées. Cette vision quantitative (celle des chiffres) ne correspond pas toujours aux besoins réels des populations et à la mise en place de structures plus fiables (solides) à long terme. Cette mise en concurrence des ONG face aux donneurs d’ordre (décideurs) que sont les ministères de la santé, aboutit à ce que même les ONG jouent le jeu des chiffres.

Mais parfois aussi elles sont amenées à s’associer comme ce fut le cas au Malawi entre la grande ONG britannique Sightsavers et l’ONG sud-coréenne Heart to Heart dont Suemin est la directrice régionale pour l’Afrique. Ces deux ONG ont en effet réussi à collaborer pour un programme de traitement des personnes atteintes du trachome, la plus grande profitant ainsi de l’expertise acquise par la plus petite lors d’une campagne similaire en Tanzanie.

Alors, en dépit de toutes ces difficultés, j’aimerais savoir Suemin ce qui te donne cette force de continuer à croire dans une amélioration possible ?

Suemin : L’histoire de mon pays. J’ai vécu dans un pays, la Corée du sud qui, après la guerre, était très pauvre, on dirait un pays « sous-développé », et j’ai grandi en voyant les progrès dans la vie des gens. Aujourd’hui, la Corée est un pays riche. Toutes ces améliorations ont été possibles par la volonté et aussi parfois par la lutte.

Je vois des personnes se rassembler aujourd’hui sur la place de la République à Paris pour lutter contre le gouvernement mais nous en Corée faisons cela depuis longtemps. Il faut aller demander aux Coréens comment on fait pour mener une lutte sérieusement ! (Rires).

Je remercie chaleureusement Suemin d’avoir partagé avec nous ces expériences de vie et son énergie et je lui souhaite une bonne continuation comme citoyenne du monde !

Fête du printemps à la mairie !

Le 3 mai 2016 // Sébastien – Isagi

Comme chaque année, la mairie de Tours organise une fête du printemps destinée à réunir les étudiants étrangers vivants à Tours.

Grâce à la participation de la fanfare de l’école de médecine « La vaginale« , l’ambiance était festive ! Voyez vous-même :

Photo : Christophe Tissot
Photo : Christophe Tissot

A côté de l’atelier maquillage tenu par des étudiants d’une école de cosmétique, l’atelier caricature a beaucoup plu, de même que celui sur les calligraphies.

Photo : C. Tissot
Photo : C. Tissot

Nos étudiants coréens, japonais, libyens et saoudiens ont permis aux curieux de voir leur nom écrit  dans ces différentes langues et d’échanger avec les calligraphes.

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A noter, le moment cocasse lorsque deux étudiants de médecine sont venus demander la version arabe du nom de leur fanfare. Heureusement, entre étudiants de médecine, ils ont fini par se comprendre.

Un buffet généreux a permis de poursuivre autour d’un verre les premières rencontres entre étudiants. Vraiment une belle idée à reconduire que de faire se rencontrer des étudiants étrangers avec leurs homologues français : échanges, rencontres et sourires, le tout en musique et gastronomie !

Éditorial n°3

Le webzine est de retour !

Ce numéro 3 vous propose de nouveaux articles mais aussi les résultats du concours photo et un portrait d’étudiant.

Nos rédacteurs ont partagé leur passion : Ryoji nous parle des débuts du cinéma en France et de son arrivée au Japon. Isagi nous explique pourquoi il aimerait devenir Guide de montagne en France.

Avec Taka, qui a animé l’interview des étudiants de l’atelier Bénévolat, nous avons essayé de vous résumer leurs activités et de partager avec vous, par des extraits audio, le charme de leurs récits et la qualité de leurs expériences.

Carmen, une étudiante espagnole était en visite rapide lors d’une séance du webzine, elle a joué le jeu de l’interview avec Ryoji qui l’a interrogée.

Bonne lecture, bonne écoute et n’hésitez pas à faire des commentaires, ils sont toujours les bienvenus !

L’aurore du cinéma – Ryoji

Le 14 avril 2016 // Par Ryoji HATTORI

Introduction

Dans cet article, je voudrais vous présenter l’histoire et l’actualité du cinéma. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles j’ai choisi ce thème : premièrement, la France est connue non seulement comme le pays du festival de Cannes qui est ouvert en mai dans chaque année depuis en 1946 mais aussi celui de la naissance du cinéma inventé par les frères Lumières. Deuxièmement, j’adore le cinéma d’ailleurs j’ai regardé plus de 100 films l’année dernière et j’aimerais bien travailler comme un intermédiaire entre des maisons de production japonaises et d’autres producteurs de film dans d’autres pays. Alors j’ai pensé que cet article m’aiderait surement dans l’avenir.

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Comment le cinéma est-il né ?

Le 28 Décembre en 1885, les frères Lumières qui étaient les chefs d’usine de la photo, ont montré au public d’un café à Paris 10 films du »cinématographe » dont chacun durait seulement environ 1 minute. C’était la naissance du cinéma. Après leur première réussite, les frères Lumière ont commencé à enseigner leurs techniques de film à leurs collègues dans leur entreprise et l’un d’eux a été envoyé au Japon en 1897.  Les japonais ont découvert le cinéma par un Français dans cette histoire!

Parmi les spectateurs de la première représentation des frères Lumière, il y avait un prestidigitateur (un magicien) qui s’appelait Georges Méliès. Il a été extraordinairement ému et il a étudié la manière de fabriquer des films pendant 7 ans. Enfin, il a présenté son premier film ‘’Le voyage dans la lune  » qui est connu maintenant comme le premier film de science-fiction dans le monde entier.

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L’image de « le voyage dans la lune »

Et au Japon?

Le cinématographe inventé par les Français en 1897 était appelé ‘les photos actifs’ dans les premières années. En la même année, une entreprise de photographie qui s’appelait Konishi a acheté une série de cette machine à filmer en Angleterre en prévision de la réussite future de cette machine même si elle ne savait pas encore comment on l’utilisait. Donc l’un de ses employée, Shiro Asano, a étudié avec son ami et ils ont réussi à tourner 2 films en plein air et 1 film d’intérieur. C’est la naissance du cinéma japonais et Shiro Asano et son ami sont devenus les premiers réalisateurs et cadreurs de cinéma au Japon.

Dans la première période du cinéma au Japon, on avait la même logique que les autres pays ; on projetait plusieurs petits films à la suite comme pour une émission. Mais il y avait une particularité qui nous différenciait d’autres pays. C’était ce qu’il y avait un narrateur à coté du écran , celui-ci expliquait la scène du film et les rôles d’acteur. Puis les hommes – maquillés selon une technique venue du théâtre japonais qui s’appelle Onna- Gata – jouaient comme les femmes dans des films. Un peu à la manière des acteurs Américains se maquillant comme des Africains à cause de la discrimination entre blancs et le noirs à certaines périodes.

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l’image de Onna-Gata

L’histoire du cinéma est liée aux découvertes techniques. Depuis ses débuts, ce sont plusieurs initiateurs qui avaient de l’ambition et qui étaient émus par le cinéma et on verra probablement de nouvelles inventions du cinématographe par quelqu’un qui a l’ambition d’un Georges Méliès ou d’un Shiro Asano.

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