47 radio, l’émission des Incos ! #2

Voici le deuxième épisode de votre émission  « 4 7 Radio  » ! N’hésitez pas à mettre vos commentaires ci-dessous ! Bravo à tous. Attention : dans la prochaine émission, nous aurons un VIP ! A bientôt.

Pour l’écouter, cliquez sur l’image ci-dessous.

 

Compte-rendu de la Sortie Graff’tour

Les graffitis apparaissent dans les années 70 à New York dans les quartiers les plus défavorisés. Ils ont été créés par des jeunes qui cherchaient à se faire connaître. Pour réaliser cela, ils ont eu l’idée d’inscrire leurs noms sur différents supports comme le métro, le train (wagons) ou encore les murs.

Pour des raisons légales, ils ne mettent pas leurs vrais noms mais des pseudonymes.

Au fil du temps, les tagueurs vont chercher la beauté. Ils vont commencer à faire des dessins que l’on appelle graff.

Les graffitis apparaîtront en Europe seulement dans les années 80-90.

La popularité des graffs va créer un esprit de compétition entre les différents graffeurs : c’est celui qui fera le plus beau tag qui l’emportera!

Les graffs représenteront alors la majeure partie du street art.

Les premiers graffeurs ont formé des bandes appelées « crews » (équipages en anglais). En 2017, la ville de Toulouse a appelé l’une d’elle pour réaliser une fresque dont les couleurs rappelleront Toulouse ( jaune rose et rouge).

Pour en revenir au street art :

Le street art peut être autre chose que des graffitis comme des « mosaïques » ou des pochoirs (Bansky)…

Dans les début des années 2000, le street art commence à prendre beaucoup d’ampleur : les graffeurs font des toiles qui se vendent plus ou moins cher.

DEFINITIONS

TAGUEUR : personne qui va écrire son pseudonyme sur un support public.

GRAFFEUR : personne qui va chercher l’esthétique dans son graff.

Iris

 

Les sports nautiques

Ma passion, c’est tout ce qui est lié a la mer, les sports nautiques en particulier. Ces activités me font penser aux vacances, c’est à ce moment là que je pratique ces sports : du surf, du paddle, du wake board, des balades en bateau et pour finir, de la natation en mer.

En surf et en wake board, ce sont surtout les sensations de vitesse et le sentiment de fierté quand je peux rester debout sur la planche, en paddle, c’est la liberté de se balader sur l’eau à un rythme calme loin du bruit de la plage.  Lors de balades en bateau, je peux découvrir de nouveaux endroits comme des îles ou des criques qui sont inaccessible autrement. Enfin, la natation en mer me détend et c’est un sport que j’apprécie.

Violette

Ma passion, la montagne…

  • Ma passion, la montagne.

Si j’aime ça, c’est parce que c’est magnifique, on y respire de l’air pur, on y voit plein d’animaux comme des marmottes, des chamois, des rapaces, des chocards ou des bouquetins.

A la montagne, on y campe, on fait de la randonnée, de l’escalade,  de l’alpinisme, et du ski.

On y ressent de la joie, lorsqu’on parvient au sommet d’une ascension, ou alors de la peur lorsqu’ on est perdu dans les montagnes et qu’il n’y a pas de réseau et que, du coup, on ne peut pas appeler les secours.  On peut  y ressentir également de la colère, lorsqu’on ne réussit pas à gravir une montagne, et que c’est notre rêve depuis notre plus jeune âge. La tristesse est également présente là bas, par exemple quand on y perd  un proche

  • Il y a une large différence entre la vie en plaine et la vie à la montagne : en montagne, il est beaucoup plus dur de trouver un métier qu’en plaine, car il y a bien moins d’industries et d’entreprises. La vie à la montagne est bien plus chère qu’en plaine, car l’accès qu’utilisent les cargaisons pour les magasins y est plus difficile.
  • Mais pour moi, les inconvénients de la vie à la montagne sont bien moins importants que les avantages. Et c’est ça qui fait d’elle ma passion.

PLUS TARD, J’AIMERAIS Y VIVRE ET Y TRAVAILLER EN TANT QUE SECOURISTE EN  MONTAGNE.

Thomas.

Voyager

Ma passion est de voyager. Cela me permet de découvrir de nouveaux pays et de nouvelles cultures.  C’est l’occasion aussi de passer du temps avec ma famille.  Voyager me permet de visiter des endroits célèbres et magnifiques. Chaque année, je voyage dans un endroit différent.  Je suis impatiente de voyager à nouveau !

Juliette

LE RUGBY

Cela fait 7 ans que je suis arrivé à Toulouse et que je pratique le rugby. Pour moi le rugby n’est pas un sport de brutes comme on le dit. Pour moi le rugby est un sport d’équipe où il faut soutenir son partenaire, l’aider pour que l’équipe aille marquer l’essai. Je l’accorde, le rugby n’est pas un sport où il faut être gentil, mais il faut être fair-play. On dit que le rugby est un sport inventé par des voyous joué par des gentlemans. Il n’est pas forcément nécessaire d’être un grand costaud pour jouer au rugby, tous les gabarits sont utiles sur le terrain !

Le rugby est un sport qui se joue à 15 contre 15 dans mon équipe (Villefranche de Lauragais) je porte le numéro 14 : je suis ailier, c’est-à-dire que je suis le joueur qui est le plus proche de la ligne de touche.

Louis.

La batterie

J’adore la batterie !

La batterie est un instrument très bruyant (c’est pour cela que l’on se sert essentiellement de batteries électroniques lorsqu’on veut s’entraîner chez soi). Au début, la batterie a été créée pour jouer du jazz car, en effet, un seul batteur suffit pour jouer à la place de 3 instrumentistes. La batterie est constituée au minimum d’une caisse claire (tom principal), d’une grosse caisse (tom le plus grave actionné par une pédale) et de cymbales de tailles variables (comme la ride, la crash ou le charleston qui lui aussi est actionné par une pédale). Le batteur se sert donc de baguettes en bois et de ses pieds pour jouer. Les batteurs complètent leur batterie comme ils le souhaitent. Personnellement, je joue avec une batterie constituée d’une grosse caisse, d’une caisse claire, d’un tom aigu, d’un tom basse, d’un tom alto et de cymbales (ride, crash et charleston).

J’aime la batterie et déjà, très jeune, j’étais attiré par les percussions. De plus, c’est l’instrument qui joue le rôle du métronome dans un groupe, donc, si le batteur est en retard ou en avance par rapport à un morceau, c’est tous les membres du groupe qui seront désorientés. C’est une des raisons pour lesquelles j’apprécie fortement la batterie.

J’ai commencé à jouer de la batterie à l’âge de 7 ans à l’école « Musique et Ondes » en prenant des cours particuliers, puis j’ai arrêté à l’âge de 9 ans. De 9 à 10 ans, j’ai essayé d’autres instruments de musique tels que la guitare mais cela ne m’a pas trop plu. J’ai donc repris la batterie et me suis inscrit à l’Ecole « Dante Agostini ».  L’ambiance des cours y est agréable. Je travaille dans un groupe de 4 élèves et j’apprends le solfège, je joue des playbacks et fait des exercices.

Max

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