Les sports nautiques

Ma passion, c’est tout ce qui est lié a la mer, les sports nautiques en particulier. Ces activités me font penser aux vacances, c’est à ce moment là que je pratique ces sports : du surf, du paddle, du wake board, des balades en bateau et pour finir, de la natation en mer.

En surf et en wake board, ce sont surtout les sensations de vitesse et le sentiment de fierté quand je peux rester debout sur la planche, en paddle, c’est la liberté de se balader sur l’eau à un rythme calme loin du bruit de la plage.  Lors de balades en bateau, je peux découvrir de nouveaux endroits comme des îles ou des criques qui sont inaccessible autrement. Enfin, la natation en mer me détend et c’est un sport que j’apprécie.

Violette

Ma passion, la montagne…

  • Ma passion, la montagne.

Si j’aime ça, c’est parce que c’est magnifique, on y respire de l’air pur, on y voit plein d’animaux comme des marmottes, des chamois, des rapaces, des chocards ou des bouquetins.

A la montagne, on y campe, on fait de la randonnée, de l’escalade,  de l’alpinisme, et du ski.

On y ressent de la joie, lorsqu’on parvient au sommet d’une ascension, ou alors de la peur lorsqu’ on est perdu dans les montagnes et qu’il n’y a pas de réseau et que, du coup, on ne peut pas appeler les secours.  On peut  y ressentir également de la colère, lorsqu’on ne réussit pas à gravir une montagne, et que c’est notre rêve depuis notre plus jeune âge. La tristesse est également présente là bas, par exemple quand on y perd  un proche

  • Il y a une large différence entre la vie en plaine et la vie à la montagne : en montagne, il est beaucoup plus dur de trouver un métier qu’en plaine, car il y a bien moins d’industries et d’entreprises. La vie à la montagne est bien plus chère qu’en plaine, car l’accès qu’utilisent les cargaisons pour les magasins y est plus difficile.
  • Mais pour moi, les inconvénients de la vie à la montagne sont bien moins importants que les avantages. Et c’est ça qui fait d’elle ma passion.

PLUS TARD, J’AIMERAIS Y VIVRE ET Y TRAVAILLER EN TANT QUE SECOURISTE EN  MONTAGNE.

Thomas.

Voyager

Ma passion est de voyager. Cela me permet de découvrir de nouveaux pays et de nouvelles cultures.  C’est l’occasion aussi de passer du temps avec ma famille.  Voyager me permet de visiter des endroits célèbres et magnifiques. Chaque année, je voyage dans un endroit différent.  Je suis impatiente de voyager à nouveau !

Juliette

LE RUGBY

Cela fait 7 ans que je suis arrivé à Toulouse et que je pratique le rugby. Pour moi le rugby n’est pas un sport de brutes comme on le dit. Pour moi le rugby est un sport d’équipe où il faut soutenir son partenaire, l’aider pour que l’équipe aille marquer l’essai. Je l’accorde, le rugby n’est pas un sport où il faut être gentil, mais il faut être fair-play. On dit que le rugby est un sport inventé par des voyous joué par des gentlemans. Il n’est pas forcément nécessaire d’être un grand costaud pour jouer au rugby, tous les gabarits sont utiles sur le terrain !

Le rugby est un sport qui se joue à 15 contre 15 dans mon équipe (Villefranche de Lauragais) je porte le numéro 14 : je suis ailier, c’est-à-dire que je suis le joueur qui est le plus proche de la ligne de touche.

Louis.

La batterie

J’adore la batterie !

La batterie est un instrument très bruyant (c’est pour cela que l’on se sert essentiellement de batteries électroniques lorsqu’on veut s’entraîner chez soi). Au début, la batterie a été créée pour jouer du jazz car, en effet, un seul batteur suffit pour jouer à la place de 3 instrumentistes. La batterie est constituée au minimum d’une caisse claire (tom principal), d’une grosse caisse (tom le plus grave actionné par une pédale) et de cymbales de tailles variables (comme la ride, la crash ou le charleston qui lui aussi est actionné par une pédale). Le batteur se sert donc de baguettes en bois et de ses pieds pour jouer. Les batteurs complètent leur batterie comme ils le souhaitent. Personnellement, je joue avec une batterie constituée d’une grosse caisse, d’une caisse claire, d’un tom aigu, d’un tom basse, d’un tom alto et de cymbales (ride, crash et charleston).

J’aime la batterie et déjà, très jeune, j’étais attiré par les percussions. De plus, c’est l’instrument qui joue le rôle du métronome dans un groupe, donc, si le batteur est en retard ou en avance par rapport à un morceau, c’est tous les membres du groupe qui seront désorientés. C’est une des raisons pour lesquelles j’apprécie fortement la batterie.

J’ai commencé à jouer de la batterie à l’âge de 7 ans à l’école « Musique et Ondes » en prenant des cours particuliers, puis j’ai arrêté à l’âge de 9 ans. De 9 à 10 ans, j’ai essayé d’autres instruments de musique tels que la guitare mais cela ne m’a pas trop plu. J’ai donc repris la batterie et me suis inscrit à l’Ecole « Dante Agostini ».  L’ambiance des cours y est agréable. Je travaille dans un groupe de 4 élèves et j’apprends le solfège, je joue des playbacks et fait des exercices.

Max

Les Mangas

Ma passion , c’est les mangas. Quand je dis les mangas, je veux dire lire comme les dessiner. J’ai toujours aimé ça. Pour moi, les mangas c’est un lieu qui me permet de me rapprocher de mes amis (car on aime tous ça). D’ailleurs je pratique une activité extra-scolaire pour apprendre à bien dessiner les mangas. Mes mangas préférés sont : One Piece, One punch man, Assacination Classroom et l’Attaque des Titans. Je préfère lire les mangas que les regarder en animé à la télévision. En gros les mangas c’est ma passion.

Enzo

L’escrime et moi

J’ai beaucoup de passions, mais aujourd’hui, je vais vous parler d’une de mes plus vieilles : l’escrime

J’ aime beaucoup l’escrime. C’est un sport passionnant, qui comporte trois  armes qu’on peut étudier. Avec chaque arme, on a des zones limitées à toucher pour avoir le point ( la touche, dans le jargon). Il y a trois armes:

  • Le sabre, avec lequel on peut toucher uniquement du masque au bassin, en passant par les bras. C’est une arme conventionnelle, ce qui signifie qu’il y a des règles de priorité : par exemple, si le tireur A attaque, mais que les deux adversaire touchent, le point ira au tireur A, et non au tireur B. Ce sont des règles compliquées, qu’il faut assimiler. La lame du sabre est courte (88cm), et pèse environ 500g. C’est la discipline d’escrime qui est la plus « violente », car les tireurs peuvent frapper aussi bien avec la pointe du sabre (l’estoc) qu’avec le côté (la taille). La plus grandes qualité des sabreurs est leur endurance, car les assauts sont souvent très physiques et vifs.
  • Le fleuret, qui est enseigné à tout débutant. C’est aussi une arme conventionnelle, mais, contrairement au sabreur, le fleurettiste ne peut toucher son adversaire qu’avec l’estoc ( la pointe), et la zone de touche comprend seulement le buste et la coquille (rondelle métallique qui protège la main). La lame mesure 90cm et pèse, tout comme le sabre, 5OOg. Le plus grand atout des fleuretistes est leur technique, qui doit être parfaite. Les assauts peuvent être retenus ou vif, en fonction des fleuretistes.
  • L’épée, l’arme que j’étudie à la section escrime de l’AS. C’est la seule arme non-conventionnelle. Avec l’épée, on peut toucher tout le corps, mais pas la coquille. C’est mon arme préférée, même si c’est la plus lourde : elle pèse en effet environ 750g pour 90cm de lame. C’est une arme pour les patients et les observateurs. Il faut des nerfs d’acier, pour résister à la pression que peut mettre un adversaire. C’est aussi l’arme la plus éprouvante, car l’épéiste doit tout le temps se concentrer sur l’adversaire, mais aussi bouger, « agresser » l’autre, le gèner, attaquer, défendre…Les assauts sont plutôt retenus.

Je trouve que l’escrime est un sport merveilleux, où l’on peut s’épanouir pleinement, grâce aux valeurs véhiculées :  respect, le courage, la maîtrise de soi, et j’en passe…. L’escrime permet aussi de développer des qualities physiques et morales, telles que l’anticipation, la créativité, l’élaboration, la souplesse (ce n’est pas encore gagné pour moi), et nous fait faire l’acquisition d’excellents réflexes.

 

L’EQUITATION

Je m’appelle Marie-Amélie ma passion c’est l’équitation. J’adore le contact que je peux avoir avec le cheval, je le brosse, le monte il y a un lien qui ce crée avec lui. Dans cette discipline je préfère le saut et les courses de vitesse (jockey) certes cela est très dangereux mais le danger que j’y trouve me donne encore plus envie de continuer. Beaucoup me diront que jockey n’est pas un métier mais moi je rêve de devenir jockey à mes heures perdues. Cette sensation inexplicable lorsque que le cheval franchit la barre de saut, je l’adore.

En quelques lignes je vous ai présenté ma passion; j’ai hâte de découvrir les vôtres.

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