Fév 16 2018

Wahlenthaltung unter jungen Erwachsenen/ L’abstention des jeunes

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L’abstention des jeunes est un très grand problème dans la politique actuelle parce qu’ils jouent un rôle très important en ce qui concerne notre futur politique. C’est la raison pour laquelle il est très important que les jeunes soient motivés pour s’engager dans la politique.

Les jeunes ont des raisons très différentes de ne pas aller aux élections, c’est pourquoi il est très difficile de trouver une solution pour les intégrer.

Premièrement, on peut dire qu’il y a des jeunes qui ne vont pas aux élections parce qu’ils pensent qu’une personne seule ne peut rien changer à la politique. Mais puisqu’une grande masse pense ainsi, cela fait déjà un grand nombre d’abstentionnistes.

S’ajoute à ceci qu’il y aussi des jeunes qui ne s’intéressent simplement pas à la politique parce qu’ils n’ont pas vraiment de connaissances. Dans l’abstention des jeunes, l’éducation joue aussi un grand rôle. Seulement 12 % des jeunes qui ont visité un lycée sont des abstentionnistes tandis que ce sont 25 % dans les collèges.

Lorsque les jeunes n’acquièrent pas de connaissances politiques à l’école, il est très difficile pour eux de participer parce qu’ils ne s’informent pas souvent quand ils ne le doivent pas. Par conséquent, il est nécessaire que les jeunes soient bien renseignés à l’école sur le système politique et les partis par exemple.

Une autre cause pour l’abstention des jeunes peut être la méfiance à l’encontre des politiciens et des partis. Il y a quelques politiciens qui donnent des fausses promesses par exemple. En plus, on entend souvent des scandales de personnalités politiques dans les médias et c’est pourquoi les jeunes ne veulent pas voter pour eux, mais ce n’est pas une solution parce que c’est quand même important que les intérêts des jeunes soient intégrés dans la politique puisqu’ils doivent décider de leur propre futur.

Ce qu’on doit quand même aussi mentionner, c’est qu’il y a des jeunes qui s’engagent dans la politique mais pas sous la forme des élections. Quelques jeunes sont très actifs quand ils ne sont pas d’accord avec les buts de certains partis ou politiciens. Ils commencent à manifester pour vraiment montrer leurs avis.

On peut identifier un développement dans cette participation des jeunes et on peut aussi dire que la génération des jeunes d’aujourd’hui est plus active que celle du passé mais les jeunes d’aujourd’hui s’engagent différemment et pas avec une continuité.

Ensuite ce n’est pas difficile d’identifier un problème en ce qui concerne l’âge des gens qui sont dans les partis. Un politicien de la SPD (Metin Hakverdi) a parlé d’un âge moyen de plus de 60 ans. Pour les jeunes, la participation dans les partis n’est pas vraiment attractive parce qu’il y a ce grand nombre de «vieux» qui y participe.

Après avoir nommé quelques causes pour l’abstention des jeunes, il est aussi très important de parler des solutions parce qu’il est vraiment nécessaire que nous changions quelque chose. Il faut que les jeunes aient une influence sur la politique et il faut qu’ils utilisent aussi leur chance d’y participer.

Une solution possible est un changement du système électoral. On pourrait peut-être mieux motiver les jeunes pour voter s’ils pouvaient voter par Internet par exemple. Ainsi, les jeunes seraient dans leur domaine parce qu’ils connaissent très bien les réseaux sociaux et les médias. De plus, ce serait bien d’intégrer les jeunes un peu plus par des référendums dans lesquels on décide des thèmes qui les concernent aussi mais ces possibilités ne résoudraient pas vraiment le problème de l’abstention des jeunes.

Le grand point qui doit changer, c’est l’intérêt pour les partis et la politique en général. Les jeunes doivent participer à la politique d’une façon régulière et pas seulement s’il y a quelque chose qui les dérange absolument. Si les jeunes étaient plus représentés dans les partis, ils iraient aussi plus aux élections mais ils ont simplement pas envie de discuter avec une masse de «vieux» quand ils ont en même temps la possibilité de rencontrer des amis ou de faire leurs loisirs. L’aspect qui leur manque dans la politique est absolument l’attractivité de la politique et des élections. Et ce point est vraiment difficile à réaliser.

Finalement on peut bien sûr aussi dire que l’abstention doit aussi être considérée comme une forme de participation politique parce qu’il y a des gens qui veulent exprimer avec cela qu’ils ne soutiennent aucun des programmes politiques de l’élection mais ils doivent quand-même participer à cette décision et voter le parti ou le politicien qu’ils peuvent soutenir le plus.

Nous voulions avoir un avis personnel sur la question et pouvoir nous rendre compte comment certaines personnes et Institutions s’y prennent pour amener des personnes a s’engager politiquement, nous avons donc posées des questions à quelqu’un travaillant dans ce domaine. Maëlle Dubois travaille a Berlin dans Minor, un institut de recherche. A travers son projet (vote D) elle essaye d’augmenter la participation (au vote) des Allemands d’origine étrangère. Pour expliquer l’importance du vote et comment il marche, elle utilise des Vidéos tout comme les réseaux sociaux et des Flyer. Ces méthodes marchent bien mais seulement si on réussi a intéresser et à toucher les personnes ciblés. Par exemple, en faisant parler des personnes célèbres ou, dans notre cas des jeunes. Mais il faut aussi que le groupe ciblé ait un accès au programme, ils doivent tomber dessus sans avoir à le chercher. Elle nous a aussi donné des exemples concrets de programme qui tente de rentre le vote attractif pour les jeunes. Par exemple une vidéo du Quebec, des vidéos amusantes qui parlent de vote de Jilet Ayse ou encore la page Facebook Young Voice TGD #raiseyourvoice.

Pour conclure, on peut dire que l’abstention des jeunes est un sujet très complexe qui est vraiment difficile à combattre à cause des raisons différentes. Il est pourtant important que les jeunes soient bien informés sur la politique et qu’on essaie toujours de les intégrer le plus possible.

Seit mehreren Jahren wählen die Menschen immer weniger, vor allem die jungen Erwachsenen (18-25). Dies ist beängstigend, weil das die Menschen sind, die in der Zukunft über die Politik bestimmen werden. Wenn sie sich nicht engagieren oder das nicht ernst nehmen, dann kann es sich schnell verschlechtern.

Um eine Lösung zu diesem allgemeinen Desinteresse für die Wahl zu finden, müssen wir zuerst die Probleme betrachten. Warum gehen die jungen Erwachsenen heute viel weniger wählen als früher?

Viele junge Leute sind einfach wenig über die Politik informiert oder sehen keine Unterschiede zwischen den Parteien, in diesem Fall sieht die Wahl daher unsinnig und unnötig aus.

Einige Spezialisten behaupten, dass es ein Desinteresse nicht nur in der Wahl gibt, sondern in der allgemeinen Politik. Das ist mit sozialen Problemen verbunden: Mit der steigenden Arbeitslosigkeit und anderen Problemen sind die Menschen nicht nur resigniert, sondern sie fangen vor allem an, sich mit was anderem zu beschäftigen. Politik erscheint wie etwas für Reiche oder einfach unnützlich in ihrer Lage.

Wir haben, dank unserer Umfrage in unseren Schulen, ein fehlendes Vertrauen in die Politik bemerkt, und dieses wegen mehrerer anderen Probleme. In den letzten Jahren haben viele politische Skandale stattgefunden, die sehr viel von der Presse kommentiert, verbreitet und manchmal vergrößert wurden. Außerdem halten die Politiker nicht ihre Versprechen, was den Eindruck erweckt, dass die Wahl unnötig sei, und dies vor allem bei jungen Erwachsenen, die es noch nicht gewöhnt sind zu wählen.

Alle hier genannten Punkte deuten darauf hin, dass die Jugend nicht an der Wahl und dem politischem Raum teilnehmen will, aber für andere ist die Enthaltung im Gegensatz eine Art, ihre Meinung auszudrücken. Damit zeigen diese Menschen den Politikern, dass sie nicht mit dem, was vorgeschlagen wird, einverstanden sind, und dass ihrer Meinung nach keiner der Politiker das Land regieren sollte.

Mehrere Leute haben zu jedem Problem Lösungen gesucht, und manchmal auch gefunden, aber das sind nur theoretische Vorschläge, die noch geprüft werden müssen.

Die Kinder früh an die Politik zu bringen wäre zum Beispiel eine gute Idee sowohl für die Leute, die die Politik nicht verstehen, als auch für die, die nicht interessiert sind oder denen das Vertrauen fehlt. Aber nur wenn dieser Unterricht anziehend und interessant genug für Kinder ist, durch zum Beispiel Spiele oder der Besuch politischer Institutionen, könnte es funktionieren.

Andere Wahlmethoden würden vielleicht die Jugendlichen zur Wahl motivieren, zum Beispiel eine Online-Wahl. Wenn man bedenkt, wie viel Zeit die Leute heutzutage im Internet verbringen, würde so eine Wahl, die viel weniger Zeit und Anstrengung braucht, vielleicht mehr Leute zum Wählen bringen. Das Problem ist nur, dass die Enthaltung der Jungen vielleicht sinken wird, aber die der Alten wird sich auf jeden Fall erhöhen.

Ansonsten könnte eine Wahlpflicht eingeführt werden. Das würde natürlich sofort das Enthaltungsproblem regeln und würde die Leute zwingen, sich wenigstens über die Politik zu informieren. Aber ob es eine so gute Idee ist, ist nicht so sicher : die Leute, die sich dafür nicht interessieren, könnten einfach irgendwas wählen, was wiederum noch schlechter wäre.

Der letzte Vorschlag wäre den Leute mehr Mitspracherecht zu geben mit zum Beispiel Volksentscheiden. Wenn die Leute wieder den Eindruck bekommen, die Politik beeinflussen zu können, kann man nur hoffen, dass sie sich auch mehr darüber informieren werden und dann in der Wahl auch aktiver werden.

Wir haben Fragen an eine Expertin gestellt, um eine persönliche Meinung darüber zu bekommen und um konkret zu sehen, was einige Menschen und Institutionen tun, um junge Menschen näher an die Politik zu bringen. Maëlle Dubois arbeitet in Berlin bei Minor (einem Forschungsinstitut). Durch ihr Projekt (Vote-D) versucht sie die Wahlenthaltung der Eingebürgerten, d.h. Deutsche mit ausländischer Herkunft, zu verringern. Dafür erstellt sie Videos und nutzt die sozialen Medien und Flyer, um der Bevölkerung zu erklären, warum das Wählen so wichtig ist und, wie es funktionniert. Diese Methoden können gut funktionnieren, aber auch nur unter einigen Bedingungen: Man muss die Zielgruppe ansprechen, wie zum Beispiel durch bekannte Persönlichkeiten oder in unserem Fall Jugendlichen, und dafür sorgen, dass die Zielgruppe Zugang zu den Programmen hat. Sie hat uns auch konkrete Beispiele gegeben von Programmen, die versuchen, junge Menschen näher an die Politik zu bringen : z.B. ein Video aus Quebec oder lustige Videos, die über die Wahl sprechen von Jilet Ayse und der Facebookseite Young Voice TGD #raiseyourvoice.

Die Wahlenthaltung ist ein Problem, das immer wichtiger wird, und das aus vielen unterschiedlichen Gründen stammt. Auch die Lösungen werden immer mehr, was uns erhoffen lässt, in einer nahen Zukunft, eine Senkung der Abstinenz zu erleben. Aber ist die Wahlabstinenz wirklich ein Zeichen, dass es der Demokratie schlecht geht? Einige Experten sind vom Gegenteil überzeugt. In der Tat hat die Jugend andere Wege gefunden, um ihre politische Meinung zu äußern, wie zum Beispiel Demonstrationen oder  Streiks.


Fév 16 2018

Wie werden die sozialen Netzwerke die Demokratie von morgen beeinflussen ? / Comment les réseaux sociaux influencent-ils la démocratie de demain?

[youtube]https://youtu.be/JmiULveXw2A[/youtube]

Heutzutage stellen wir fest, dass die sozialen Netzwerke sehr präsent in unserem Leben sind. Die sozialen Netzwerke werden mehr und mehr in zur Verständigung der verschiedenen Informationen genutzt. Es informieren sich mehr als 40% der Franzosen und 65% der Deutschen im Internet… In der Tat sind die soziale Netzwerke ein einfacher Weg, um die Nachrichten zu gucken.

Wir haben schon letztes Jahr bermerkt, dass die Sozialen Netzwerke ein sehr große Rolle während der amerikanischen Präsidentschaftswahl gespielt haben.

Deshalb stellt sich die Frage: Wie werden die sozialen Netzwerke die Demokratie von Morgen beeinflussen?

Um diese Frage zu beantworten, werden wir zuerst über die Vorteile der sozialen Netzwerke reden. Danach werden wir zeigen, dass die sozialen Netzwerke auch gefährlich für die Demokratie sind. Wir werden über 3 Gefahren sprechen: die « Social-Bots », die « Fake-News » und der „Algorithmus“ von Facebook.

 

Im Allgemeinen können wir sagen, dass die sozialen Netzwerke viele Möglichkeiten bringen, um eine bessere Demokratie zu schaffen. Der erste Punkt den wir hervorheben müssen, ist dass das Internet gegründet wurde, um einfacher zu kommunizieren. Es ist schneller und billiger.Deswegen ist es ein guter Ort, um Debatten zu führen. Internet und die sozialen Netzwerke bringen uns die Möglichkeiten unsere verschiedenen Ansichten zu teilen. Es können viele Leute leicht zusammen reden und Informationen austauschen.

Das bringt uns zu unserem zweitem Punkt: sich zu informieren! Wir können in verschiedenen Quellen nachschlagen, um unsere eigene Meinung aufzubauen. Die Bürger können mehr Informationen über den Staat, die Gesetze und die politischen Parteien heraus finden.

Aber der echte Beitrag der sozialen Netzwerke zur Demokratie, haben wir nur während des « Arabischen Frühlings » erlebt. Dieses Ereignis, einer Revolution in der Benutzung der sozialen Netzwerke hilft der Demokratie ! Das Internet hat eine der Hauptrollen in der Inszenierungund der volkstümlichen Anzeige, der Krawallen oder der polizeilichen Bestrafungen gespielt. Diese Videos wurden durch die sozialen Netze geteilt. Die üblichen Medien waren zensiert und die Informationen, die im sozialen Netzwerk standen, haben viel geholfen, das Volk mobil zu machen, mit dem Ziel die Diktatur zu stürzen! Deshalb können wir sagen, dass die sozialen Netzwerke zur Errichtung der Demokratie viel beigetragen haben.

Aber, die sozialen Netzwerke haben nicht nur Vorteile für die Länder, wo die Demokratie schon seit einer langen Zeit errichten war.

Haben sie schon etwas von Social-Bots gehört? In diesem Teil werden wir uns dafür interessieren. Zuerst fragen wir uns, was sind Social-Bots ? Die Social-Bots sind falsche Accounts auf Twitter oder Facebook, die Argumente verbreiten, die Meinungen von den andere schlecht darstellen und vor allem in politischen Diskussionen beeinflussend sind. Auf den Twitter oder Facebook Accounts, sehen sie wie ,,normale » Leute aus,obwohl sie keine richtigen Personen sind. In Realität sind sie Roboter. Sie betreiben eigene Profile mit Bild, Namen und wenigen Angaben. Sie sind so menschlich wie möglich, sodass es schwierig ist, sie zu erkennen. Jedoch gibt es Mittel, um diese Bots zu entlarven. Wenn sie mehr als 50 Tweets pro Tag und sogar ohne Unterbrechung machen, sind sie Social-Bots. Wenn sie noch Zweifel haben, gibt es Websites wie BotOrNot, die ermöglichen zu prüfen, ob es eine Social-Bot ist oder nicht.

Es wird auch einige Räte geben, die über die sozialen Netzwerke wachen. Zuerst wenn Sie jedes Mal eine Nachricht sehen, müssen sie immer die Quellen prüfen. Darum ist es auch besser, sich auf professionellen Nachrichtenseiten zu informieren. Und um es zu beenden, ist es sehr wichtig die Meinungen der anderen Nutzer zu respektieren und zu verstehen.

Es gibt auch andere Gefahren… Nun werden wir über die Fake-news reden.Sicherlich haben sie dieses Wort schon gehört. Aber was sind « Fake-news »? Es sind falsche Informationen, die aus unterschiedlichen Gründen geschrieben wurden und ihre Ergebnisse können die Wahl gefährlich verändern. Zum Beispiel, während der Amerikanischen Präsidentschaftswahl sind viele fake-news kursiert. Sie behaupteten zum Beispiel, dass der Papst aufgerufen hatte, für Donald Trump zu stimmen, dass Hillary Clinton die moslemischen Brüder stützte … Alles war natürlich falsch aber diese Informationen wurden mehr als die echten Informationen gesehen! Diese Informationen wurden wegen zwei Gründe geschrieben. Die erste ist nur, um Geld mit dem Werbeeinkommen zu verdienen. Das heißt; je mehr Leute auf diese Informationen klicken, desto mehr Leute sehen die Werbung. Mieux: Umso mehr die Seiten angeklickt werden, desto mehr Geld verdient die Person, der diese fake-? news geschrieben hat… Der zweite Grunde ist noch gefährlicher! Einige Leute schreiben fake-news, um zu versuchen, die Meinungen der Bürger zu manipulieren und den Zweifel in ihrem Kopf hervorzurufen. Diese fake-news beruhen auf Fotos, die aus dem Zusammenhang gerissen werden.

Das letzte Problem, dass wir besprechen werden ist der Algorithmus von Facebook. Und zwar ordnet Facebook die Inhalte und bietet Informationen, Freunde und Posts dem entsprechendem Nutzer an. Was man vorher angeschaut hat wird gespeichert; Facebook schätzt somit ab, was gefallen könnte oder nicht. Auf diese Art ist der Nutzer in einer Blase eingeschlossen, die ihre Vorstellung der Welt verformt. « Die sozialen Netze akzentuieren die Blasenwirkung, in dem jeder in sich wiedertreffen » erklärt Tristan Mendès France (Spezialist der neuen numerischen Webseiten. « In dieser Welt, in der Resonanz mit den Ideen eingeschlossen, an die er glaubt, wird der Benutzer nicht mehr den gegensätzlichen Meinungen, dennoch gegenübergestellt, die für die Debatte notwendig sind.  » . Und zwar hat dieses Jahr Margrethe Vestager (Kommissarin der Konkurrenz) Facebook eine Strafpredigt gehalten. Sie wirft ihnen vor « die Grundprinzipien der Demokratie », auf Grund der Algorithmen und der gezielten Anzeige « in Frage zu stellen ». Dieser Algorithmus ist zwar sehr gefährlich für die Demokratie, weil wenn man nicht die Selben Informationen bekommt und nicht die Leute die eine andere Meinung haben trifft. Also wie kann man zusammen diskutieren und Debatten führen ? Das ist ein sehr großes Problem !

Zum Abschluss des Artikels können wir sagen, dass die sozialen Netzwerke mehr eine Gefahr für die Demokratie sind, es aber jedoc einige Vorteile gibt. Der wichtigste Punkt ist aber, dass die Leute immer mehr, auf passen müssen was sie im Internet lesen. Es ist auch wichtig, um nicht zu sehr von den sozialen Netzwerke beeinflusst zu sein. Darum ist es wichtig, sich seine eigene Meinung zu bilden, sich über Websites zu erkundigen und auf vertrauenswürdigen Websites zu recherchieren.

 

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Les réseaux sociaux ont de plus en plus d´influence dans nos vies. Quand je ne sais pas une chose, je fais vite une recherche sur Google. Fake-News, Social Bots et des commentaires de haine sont malgré tout pas discernés. C’est pourquoi ce sont des grands thèmes de débat parmi les médias.

Maintenant on va se demander, si les réseaux sociaux subornent la démocratie ou si c’est un risque pour la démocratie?

Aux États-Unis, les réseaux sociaux ont beaucoup été utilisés pendant les campagnes électorales. Même après les élections, Donald Trump n’a pas eu besoin de beaucoup de temps pour divulguer son 100-jours-porgramme. Une vidéo de 2 minutes et 38 secondes sur Facebook et Twitter et cela suffit.

Les avantages sont probablement, que chaque personne peut avoir accès aux réseaux sociaux et n´a pas besoin d´avoir beaucoup de jugeote et que l’on peut lire les informations confortablement sur le canapé.

Comme ça tout le monde peut voir la vidéo de Trump: détracteurs, gens qui le soutiennent et les médias. Presque plus de la moitié des américains regardent, selon une enquête, des nouvelles sur des sites comme ça.

Aussi en Allemagne les réseaux sociaux deviennent la place centrale pour la communication politique. Ils ne sont pas seulement utilisés pour gagner des électeurs, mais aussi pour inviter le peuple à participer aux élections.

Les politiciens sont souvent actifs sur les réseaux sociaux, pour gagner la sympathie des électeurs. Ils peuvent réagir sur les actualités.

Le politicien allemand ,Metin Hackverdi (SPD) dit , comme réponse à la question „ les médias sociaux sont-ils un avantage ?“ : „Je ne sais pas!“. Certes c´est aussi clair pour lui qu´ils facilitent beaucoup de choses (comunication par exemple), mais il pense aussi qu´ils ne sont pas bon pour le processus de mise en oeuvre de la volonté politique des citoyens (Willensbildungsprozess).

Dans les partis, c´est un grand progrès pour communiquer, dit Hackverdi. Mais en effet la question fondamentale reste la même : „ Il n’y a pas de communication réelle. Il faut trouver un bon équilibre!“

Comme reponse à la question „Peut-on guider une démocratie à travers les réseaux sociaux ?“, Hackverdi affirme : „ Tu ne peux pas faire de décisions politiques avec ton ordinateur!“

Malgré tout, il y a un grand problème : les fake-news. Il y en a de plus en plus sur internet. C´est pourqoui cela devient plus difficile de les identifier. Même si on réussit à les identifier, les informations perdent de leur valeur.

Selon une nouvelle enquête, la valeur d´une information ne dépend plus des sources mais des détails de l´histoire et des photos. C´est pourquoi, on préfère un article avec de grandes images et non pas avec beaucoup de textes.

Certaines informations divergent entre leur récit. Il y a deux versions d´une même histoire. C´est pourqoi aussi les groupes des gens se séparent. Cela peut mener à une scission de la société.

Entre-temps les fake-news sont devenues une vraie méthode commerciale. Sur chaque site internet, on trouve de la publicité. Plus un article est lu, plus la recette est élevée.

Comment est-ce qu´on peut remarquer des fake-news ?

Le filtre d’internet est encore plus souple qu’avant. Comme cela, c´est plus difficile de juger si une information est d´ordre supérieur ou pas, -alors un fake-new.

C´est la raison pour laquelle la source d’une information est devenue un critère important pour les compétences médiatiques. Faire des recherches et s’informer sur plusieurs sources sont les meilleures possibilités. Bien sûr il y a aussi des sources dignes de confiance.

Quand même, les réseaux sociaux ne sont ni un danger, ni un avantage pour la démocratie. Cela dépend plutôt de comment on les utilise : la compréhension et la responsabilité de l’utilisateur.