Itep les Cottereaux

Archive for the 'Ecole et cinéma' Category

Cinq burlesques américains

Dans le cadre du dispositif Ecole et Cinéma, nous avons été voir mardi 27 janvier 2015 la projection de cinq burlesques américains au cinéma l’Eden à Cosne-sur-Loire. Comme la fois précédente il y avait deux autres classes avec nous.

Lors du retour en classe sur les films, les élèves ont essayé de résumé les cinq courts-métrages.

1. Charlot fait une cure, de Charly Chaplin. « Il y a une fontaine avec de l’eau, Charlot vide sa tasse dans son chapeau car il ne veut pas boire. A un moment il retourne son chapeau et l’eau se renverse. Il croit que c’est le chien à côté de lui qui a fait pipi dedans.Charlot titube tout le temps on dirait qu’il est fou ou malade. A la fin, alors que Charlot évite le masseur, un homme (un employé) jette toutes les bouteilles que Charlot avait dans sa valise dans la fontaine. Tout le monde apprécie alors de boire « l’eau » et tout le monde marche bizarrement (ils sont saouls). »

2. Charlot l’évadé, de Charly Chaplin. « Charlot court partout au bord de la mer pour échapper à ses gardes. Il rentre dans des grottes, va sous le sable. Il sauve deux femmes car l’une se noie et l’autre à plonger pour la sauver car le gros monsieur qui est avec elle à peur. Ensuite, celui-ci essaye de noyer Charlot car il part en voiture avec les dames, mais il se retrouve dans l’eau. Charlot le sauve aussi, mais il renverse le brancard et le renvoie dans l’eau. Au final, Charlot passe pour un homme bien dans la maison des dames jusqu’à l’arrivée des gendarmes. »

Dans ses deux films nous retrouvons trois personnages: Charlot, un homme gros et barbu et la femme dont les deux hommes sont amoureux.

3. Malec forgeron, de Buster Keaton. « Au début le patron demande de l’aide à Malec mais tous les instruments qu’il lui passe s’envolent. L’étoile et le pistolet du shérif aussi. Alors le patron et le shérif se bagarre et il appelle d’autres shérifs.  Le patron part en prison et Malec essaye de bien faire mais il enchaîne les bêtises. Après avoir montrer des fers à un cheval comme on montre des chaussures à essayer il s’occupe d’une voiture et met de la graisse sur le cheval blanc. Il donne à une autre femme une selle très haute avec des ressorts car elle se plaint d’avoir mal à cause des secousses. Il détruit une voiture en voulant la réparer et quand le patron revient ils en cassent une autre en se battant. »

Non , tu exagères! de Charley Bowers. « Des hommes se réunissent pour raconter le plus gros mensonge mais ils sont proches de la vérité. Un homme qui en a marre sort et trouve Bricolo qui essaye de se tuer la tête dans un canon. Il vient alors raconter son histoire au club. Il a trouver un produit miracle qui permet de faire pousser tout et n’importe quoi : un oeuf dans une aubergine avec du sel et du poivre; ses lacets de chaussures. Il raconte alors comment il a essayé de vendre son produit mais a fait des catastrophes, jusqu’au jour où il aide une jeune femme à se débarasser des souris qui ont envie sa maison en faisant pousser un arbre à chat. »
Pour épater les poules, de Buster Keaton.  » Un homme (Bricolo) crée une machine pour rendre les oeufs incassables et élastiques. Il propose sa machine au Syndicat des expéditeurs d’oeufs. Le jour de la visite il n’arrive pas à emmener les oeufs jusqu’à la machine: il ne voit pas une marche et tombe avec son panier; il met des oeufs dans sa voiture du haut d’un poulailler donc ils cassent; il met ensuite d’autres oeufs vers le moteur mais ils éclosent et donnent des bébés voitures. Enfin, il prend un oeuf à une poule qui a mangé de la dynamite et quand ils veulent taper dessus il explose. »

Le résumé des films n’a pas été évident pour les élèves car ils devaient se souvenir de cinq histoires où il n’y avait pas de paroles.

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Trois élèves ont vu les films, voici leur avis.

Alexis. « J’ai bien aimé les trois derniers surtout Buster Keaton. J’ai bien aimé le troisième surtout pour les bêtises. Le jeu du oui/non du cheval pour choisir ses fers fers me rappellent une de mes vaches. »

Medhi  » C’est nul, c’est en noir et blanc, ça ne parle pas. Il n’y a que l’histoires qui est bien. »

Théo « J’ai aimé que les deux premiers, ça faisait rire. C’est nul, ça ne parlait pas. »

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Des activités autour du film « Le voyage de Chihiro »

Le principe d’Ecole et cinéma permet aussi de faire des liens en classe avec une autre culture ou des matières scolaires. Ainsi à partir du Voyage de Chihiro, les élèves ont travaillé en Instruction Civique en lien avec un travail sur l’identité autour de leur prénom. En effet, les élèves ont appris que le prénom chinois se composant d’idéogrammes il avait un lien avec la personnalité de celui qui le porte, ils ont à leur tour chercher si leur prénom avait des correspondances avec leur caractère et ils ont été étonnés de constater que oui. Ils se sont ensuite essayés à l’écriture chinoise de leur nom et prénom et comme c’était le moment de noël, ils ont aussi voulu écrire des prénoms de leur proche pour pouvoir faire un cadeau.

 

Quelques commentaires d’élèves :

« C’est dur d’écrire avec la plume » (Théo, Florian, Alexis)

« Moi je préfère utiliser le baton, c’est plus facile » (Théo)

« Il y a des caractères chinois qui ressemble à un quatre dans mon prénom » (Alexis)

« J’aime bien écrire à la plume, mais en français c’est plus facile » (Killian)

 

Les élèves ont aussi travaillé en Arts Visuels sur le personnage de l’enfant à travers les siècles, car l’enfant est un personnage central du film. Chihiro, Haku qui sont des héros du film, sont des enfants. Cela a permis aux élèves de voir que les enfants n’ont pas toujours été considérés de la même manière. Pour terminer les élèves ont eux aussi représenté un enfant tel que eux se le représente en s’inspirant s’ils le voulaient des oeuvres affichées au tableau.

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Le Voyage de Chihiro.

Mardi 18 novembre 2014, dans le cadre de « Ecole et Cinéma » nous avons été au cinéma l’Eden à Cosne-sur-Loire voir le film d’animation Le Voyage de Chihiro de Hayao Miyazaki, sorti en 2002.

Le film.

Chihiro est une jeune fille qui déménage avec ses parents. Sur la route ils vont emprunter un chemin, le père pensant que c’est un raccourci, mais ils se retrouvent devant un tunnel. Ils se retrouvent alors dans un ancien parc à thème. Attiré par une bonne odeur  le père entraîne sa femme et sa fille dans les rues du parc, et ils commencent à manger. Chihiro a peur et ne veut pas manger, elle s’éloigne et rencontre Haku qui lui dit de se sauver. Quand elle  revient au restaurant ses parents sont transformés en cochons, des ombres envahissent les rues et elle ne peut plus repartir car il y a de l’eau partout.

Pour se sauver et retransformer ses parents, elle devra travailler aux Bains. La patronne Yubaba, une sorcière, a promis qu’elle donnerait du travail à qui lui en demanderait. Chihiro doit travailler dur, elle devra s’occuper d’un être putride qui se révélera être le dieu de la rivière qui la récompensera avec de l’or et une boule de plantes magiques. Dans la nuit un Sans-Visage envahi les Bains. Il va manger énormément, même des gens car ce qu’il cherche en réalité c’est l’amitié mais le personnel des Bains ne veut que l’argent qu’il donne. Seul Chihiro refuse, car elle veut sauver Haku, transformer en dragon qui a volé le sceau de la soeur jumelle de Yubaba.

Chihiro partira par le train sans retour chez Zeniba, pour rendre le sceau, en compagnie du bébé de Yubaba: Bou, tranformé en hamster, de l’oiseau de Yubaba et du Sans-Visage. Celui-ci ayant trouvé une  famille ne rentrera pas quand Haku viendra rechercher Chihiro. Elle devra passer une dernière épreuve, reconnaître ses parents parmi différents cochons pour rompre son contrat de travail.

( Ce texte bien que remodifié au niveau de la syntaxe,et raccourci a été rédigé par les élèves lors des retours en classe sur les étapes du film et sur les personnages, en dictée à l’adulte).

Les commentaires des élèves.

En sortant la plupart on dit que c’était nul, mais quand nous en avons reparlé en classe le discours a été plus nuancé. En effet, certains n’avaient pas apprécié le fait « qu’il n’y avait pas beaucoup d’actions « . Cependant, tous étaient d’accord pour dire que c’était un beau film. Les élèves ont beaucoup aimé le bébé de Yubaba qui est géant, ainsi que Kamaji le gardien de la chaufferie qui ressemble avec à une araignée et ses boules de suie qui transportent le charbon.

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