Pourquoi ce blog ?

 

Zone décrétale et législative

 

Aujourd’hui, dans les classes, la transition numérique a pour particularité de transformer concomitamment les enseignements et les apprentissages en exigeant le développement de l’éducation par le numérique (lorsque le numérique est un moyen d’enseigner ou de faire apprendre [enseigner à l’aide du tableau blanc interactif]) et de l’éducation au numérique (lorsque le numérique constitue un objet d’apprentissage [gérer son identité sur le Web]). La transition numérique impose alors à l’école de gérer nombre d’évolutions et – parfois – d’adaptations en termes de savoirs et de compétences » ( (FWB, 2019, p. 7).

Même si l’incursion de l’école dans un monde numérique relève d’un enjeu sociétal, il n’en reste pas moins que celle-ci voit son rôle se modifier en matière de développement de compétences. C’est finalement un vent nouveau qui souffle sur l’institution scolaire : elle doit, aujourd’hui plus que jamais, s’adapter pour pouvoir proposer une série d’actions pédagogiques réfléchies, ceci afin d’opérer une transition numérique.

 

Pour en savoir plus, cliquez ici !

 

Il n’est donc pas si facile d’amorcer cette transition !

Le « cadre de référence de la compétence numérique » du Gouvernement québécois (pour le consulter en ligne, c’est ici), nous montre toute la complexité des forces en présence.

Ces mêmes dimensions se retrouvent aussi dans le « Référentiel de compétences numériques » édité par la Commission Européenne (en entier et en ligne, c’est que ça se passe).

 

Nous espérons donc, à travers ce projet, proposer une solution « éthique » qui permettra aux élèves de s’approprier un nouveau mode de soutien pédagogique tout en développant les compétences numériques de chacun, autant dans le chef de l’élève que de l’enseignant.

 

Planification du dispositif dans la classe

Ce blog a été imaginé selon un dispositif de travail en autonomie (ou plan de travail) :

Durant les matinées sont ventilées les périodes de cours plus magistraux et/ou collectifs. Toutes les après-midis sont dédiées au travail en autonomie. Les élèves travaillent ainsi sur leurs propres difficultés et la posture de l’enseignant évolue vers celle d’accompagnateur, de guide pédagogique. Jusqu’à la création de ce blog, ce travail se faisait successivement par l’intermédiaire de manipulations, d’entrainements et d’évaluations, ce qui nécessitait une gestion relativement lourde pour l’enseignant.

Grâce au blog, une partie du cours de math est disponible en version numérique. Ainsi, pour le plan de travail en géométrie et en grandeurs, les élèves travaillent sur les tablettes. Ceci leur permet de s’autoévaluer plus rapidement.

 

L’intégration du dispositif sous la loupe du modèle SAMR et de la taxonomie de Bloom 

Mais qu’en est-il de l’intégration de notre dispositif en classe ?

Un enjeu de taille se cache sous cette innocence apparente de proposer un dispositif numérique. Il est sous-tendu de viser autre chose qu’une simple implémentation fonctionnelle de ce dernier : il s’agit ici de susciter l’engagement cognitif des élèves afin d’améliorer leurs apprentissages.

Afin de déterminer si notre objectif est atteint, nous avons choisi de l’analyser à l’aide du modèle SAMR de Puentedura (2006) pour le point de vue de l’enseignement. Un focus a également été fait sur les apprentissages et compétences cognitives par la taxonomie de Bloom révisée par Anderson (1991).

 

Pour des informations complémentaires, cliquez sur : Eti-Education, LearningApps et Tiny Tap

Suite à notre analyse, nous nous rendons compte que nous ne sommes pas encore au stade de la Modification mais nous y travaillons.

 

 

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