Ma mie,
Que vous êtes belle ! Vêtue et fardée comme une reine, vous nourrissez le feu qui grandit en moi. Je serai chaste et constant, et ne pourrai faire autrement car nul n’a d’égal que votre visage rayonnant et vos yeux resplendissants. Je brûle d’amour, et cette même passion m’offre le bonheur. Ces liens qui nous unissent ne sont-ils pas merveilleux, ô flamme de ma vie, ô femme de ma vie ?
D’après Lily, 4°3
On relève ici le champ lexical (cliquez pour avoir la solution) (suite…)
Le billet de Lou
Ma chère Elisabeth,
Depuis que je vous ai vue, je ne pense qu’à vous. Vous êtes la corde qui me lie à la vie, le filet qui m’emprisonne dans votre cœur. La chaîne qui nous lie est indestructible. Vos enlacements constants me font l’effet d’une balle de fusil, d’une bête sauvage qui saute. S’il vous plaît, ma douce, dites « oui ».
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Le billet de Clémence
Les filles aussi ont écrit des billets doux. En voici un.
Mon cher Marc,
Cette lettre est pour toi. Tu es si courageux et si fort. Tu risques ta vie tous les jours pour sauver des personnes. Ton physique si viril est le même que celui d’un héros musculeux de bande-dessinée. La peur, tu ne la connais pas. Grâce à tes bras puissants, tout le monde se sent protégé.
Avec les Quatrièmes, nous étudions Dom Juan de Molière. Un des buts affichés est de savoir reconnaître la manipulation et d’y échapper. Dans la célèbre fable de La Fontaine, si le Corbeau s’était posé les bonnes questions et s’il avait su où regarder, il se serait envolé, laissant ainsi le perfide renard pour ses frais.
Les questions du Corbeau qui n’en est déjà plus un 
Qui est ce Renard ? Ai-je quelque chose qui l’intéresse – un fromage ? Que pense-t-il réellement de moi ? Qu’a-t-il réellement à me proposer ? Quelles sont ses intentions ?
Ces questions sont brûlantes pour le billet doux.
Que pense ce garçon / cette fille réellement de moi ? Comment voit-il/ elle les femmes /les hommes ? Comment voit-il / elle l’amour ? Qu’a-t-il / elle à m’offrir ?
Ce que regarde le Corbeau qui n’en est déjà plus un
Y aurait-il des indices dans le discours de Don Juan, des traces de sa pensée réelle, celle qui est bien cachée sous le vernis de la galanterie et des flatteries ? Avec les Quatrièmes, nous avons travaillé sur les champs lexicaux. Voici donc un outil (parmi d’autres – il n’y a pas que les champs lexicaux !) précieux pour déceler les intentions réelles de notre interlocuteur.
Pour devenir un mentaliste, il faut (suite…)
Les Troisièmes savent qu’ils auront bientôt un contrôle de grammaire sur les connecteurs logiques.
Pour être prêts, ils doivent d’abord bien réviser cette leçon :
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Vous pouvez faire cet exercice de mémorisation en cliquant ici
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Vous pouvez aussi faire l’analyse logique des phrases suivantes :
1. Je vais en cours alors que je suis malade.
2. Ce jour sera férié donc je ne vais pas au collège .
3. Le couloir est très bruyant alors que les salles de classe sont calmes.
4. Il saute d’un avion or son parachute est défectueux.
5. Jeudi, il y avait une grève mais les cars scolaires sont quand même passés .
6. Cet élève bavarde si bien qu’il a eu une mauvaise note.
7.Un tsunami s’est abattu sur la côte donc tout est dévasté.
8. Les fenêtres sont ouvertes parce qu’il fait chaud.
9. Il y a eu une tempête telle qu’on en n’avait jamais vue.
10. Cet enfant est triste car il est privé de dessert.
Pour voir la correction, cliquer. (suite…)
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