Un défi complètement fou… mais réussi !

Il y a un an (le 13 juillet 2017), le navigateur Yvan Bourgnon partait à l’aventure pour un sacré défi : le passage du Nord-Ouest à bord d’un catamaran de sport non habitable et non motorisé. Se donnant alors deux mois pour rejoindre le Groenland depuis l’Alaska, il lui aura finalement fallu un peu plus (71 jours) pour parvenir à bon port (le 22 septembre) : les aléas de la navigation et de la météorologie (froid, icebergs, tempêtes, vents catabatiques)…

Récompensé par la Manille d’or (attribuée au navigateur le plus remarquable de l’année), il a témoigné de son périple, à la radio, à la télévision et dans un livre (Conquérant des glaces, paru en mars 2018).

Où l’on apprend que si Yvan Bourgnon a réussi son pari incroyable, ce ne fut (évidemment) pas sans douleurs ni dangers. Il a parfois vécu l’enfer et connu la peur.

Un dessinateur, Bertrand Corbel (convoyeur de voiliers et skipper au large à une époque), a relaté quotidiennement ce périple (grâce à ses entretiens au téléphone satellite avec le navigateur) à travers des illustrations publiées sur Facebook.

Ce travail a donné naissance à un livre d’illustrations, sorte de carnet de voyage, retraçant le défi arctique d’Yvan Bourgnon.

Une autre manière de découvrir (et vivre) ce pari fou mais réussi !

Un périple à la Jules Verne

Auteur de 62 romans, Jules Verne (1828-1905) est sans doute l’écrivain français le plus traduit dans le monde. Célèbre pour des ouvrages comme Cinq semaines en ballon, Le Tour du monde en quatre-vingts jours, Vingt mille lieues sous les mers, Voyage au centre de la Terre, L’île mystérieuse, De la Terre à la Lune ou encore Michel Strogoff, il est aujourd’hui l’inspirateur d’un voyage imminent et peu ordinaire : celui du photographe spécialisé dans l’astronomie Olivier Sauzereau.

Alors qu’une éclipse totale de soleil doit se produire le 21 août prochain sur le territoire des États-Unis (la dernière dans ce pays remonte à 99 ans), l’astrophotographe se propose de parcourir en 29 jours, 12 heures et 44 minutes (le temps pour la Lune de faire un tour complet autour de la Terre) le trajet emprunté par l’ombre lunaire ; laquelle traversera le pays d’Ouest en Est, depuis l’Oregon jusqu’en Caroline du Sud.

Accompagné de sa femme et de leurs deux enfants, Olivier Sauzereau entend suivre le plus fidèlement possible le parcours de l’ombre lunaire, du Pacifique à l’Atlantique ; soit plusieurs milliers de kilomètres à travers 14 États. L’occasion non seulement d’admirer un phénomène cosmique et naturel toujours spectaculaire, mais également de (re)découvrir l’Amérique d’aujourd’hui.

Car il est prévu, en cours de route, d’interroger des habitants témoins de l’éclipse ou n’ayant pas pu ou souhaité l’observer. L’objectif étant, à partir de leurs impressions et remarques, de faire une sorte de bilan du phénomène auprès des Étasuniens concernés.

Jules Verne aurait sans nul doute apprécié l’aventure que s’apprête à vivre la famille Sauzereau. Il sera néanmoins « présent » car, pendant une centaine de kilomètres, l’itinéraire suivi va correspondre au parcours de Phileas Fogg, héros du roman Le Tour du monde en quatre-vingts jours. Le musée Jules-Verne de Nantes (ville de naissance de l’écrivain) est d’ailleurs partenaire de cette « expédition » : son site internet se fera l’écho du périple dans le cadre d’une rubrique intitulée « Jules Verne aux États-Unis ».

Pour suivre l’aventure étasunienne d’Olivier Sauzereau qui débutera le 14 août prochain, rendez-vous sur son site ici. Il dispose également d’une chaîne Youtube sur laquelle des vidéos seront postées régulièrement.

Enfin, l’éclipse solaire à venir est aussi l’occasion de rappeler que, pour profiter sans danger (pour les yeux) d’un tel spectacle, il est important de respecter quelques règles

À noter que des ustensiles de cuisine peuvent très bien remplacer des lunettes spéciales éclipse : écumoire, passoire, rappe à fromage…Voyez comment dans la vidéo qui suit :

Un drone spatial très spécial

Piloté à distance par l’U.S. Air Force (l’armée de l’air des États-Unis), cet engin répondant au doux nom de X-37B est fabriqué par Boeing. Capable de quitter l’orbite terrestre, il a les caractéristiques d’une navette spatiale, sans en être une…

Conçu en 1999, officiellement pour tester de nouvelles technologies liées au vol spatial (ex : protection, résistance), ses missions sont néanmoins classées confidentielles. De fait, il donne libre cours aux pires fantasmes. Ainsi, pour la Russie et la Chine, ce drone serait un « tueur de satellites » (essentiels pour les économies et le bon fonctionnement des armées); preuve que l’engin les inquiète…

D’autres y voient un possible bombardier spatial (capable de larguer des bombes à tout moment sur un objectif précis sur Terre) ; ou encore un « super avion espion » (qui surveillerait des territoires adverses). Quant aux experts, ils voient davantage le X-37B comme un banc d’essai volant plutôt qu’une arme potentielle ; « un outil permettant de tester dans l’espace des capteurs et des équipements et de les ramener ensuite au sol pour voir comment ils ont résisté ».

En mai dernier, la mini navette automatique était revenue sur Terre après être restée en orbite pas moins de 718 jours sans s’arrêter ! Et sans que nous sachions exactement ce qu’elle a pu y faire (il était normalement question, entre autres activités, de tester un type de propulseur électrique).

L’U.S. Air Force dispose de deux véhicules de ce type, qui totalisent ensemble plus de 2 000 jours de vol orbital sans équipage depuis 2010, date de la première mission. Une cinquième mission est prévue d’ici la fin de l’année, peut-être en août. C’est la société SpaceX (celle appartenant à Elon Musk, à l’origine du projet Hyperloop) qui, avec la fusée Falcon-9, se chargera de lancer l’engin.

À défaut de connaître toutes les (vraies) intentions, motivations et ambitions de l’armée américaine, nul doute que les États-Unis cherchent à consolider leur leadership dans le domaine aérien.

Comme les routes témoignaient de l’emprise des Romains sur le monde méditerranéen au IIe siècle, comme la maîtrise de la mer a fait de l’Angleterre la grande puissance du XIXe siècle, le X-37B doit permettre à « l’Amérique » de rester toute puissante dans le ciel (ou l’espace). À l’ère d’une toujours possible guerre des étoiles, la maîtrise des flux est plus que jamais gage de maîtrise du monde…

Un défi de taille…qui donne le frisson

Sur les pas de Roald Amundsen

Navigateur-aventurier de renom, Yvan Bourgnon s’est lancé un nouveau défi : le passage du Nord-Ouest à bord d’un catamaran de sport non habitable et non motorisé (Ma Louloute 6,30 m de long pour 4 m de large)  ! « Complètement givré » diront certains…

Il est vrai que s’embarquer dans un pareil périple, de l’Alaska (départ de Nome) jusqu’au Groenland (arrivée à Ingsugtusok), en solitaire, sans instruments de navigation (les étoiles et le soleil serviront de repères) ni assistance et sur un voilier dépourvu d’habitacle, relève à première vue de la pure folie. Un voyage de 7 500 km à coup sûr périlleux.

Car le passage du Nord-Ouest n’est pas une promenade de santé : c’est tout de même le passage maritime nord qui relie l’océan Atlantique à l’océan Pacifique en passant entre les îles arctiques du Grand Nord Canadien ; un passage totalement inaccessible jusqu’à il y a peu…

En effet, avec le changement climatique en cours, il est désormais possible de se risquer à tenter la traversée. Mais la vigilance doit rester de mise : le froid (jusqu’à -10° en été), les icebergs gigantesques (jusqu’à 40 m de haut), les ours polaires (qui nagent à plus de 10 km/h)… Sans oublier le risque de chavirage, le catamaran de sport étant un voilier très léger ; ni un refroidissement de température toujours possible dont la conséquence serait le blocage de l’embarcation (prise par les glaces).

Yvan Bourgnon se donne deux mois pour rejoindre le Groenland. L’objectif de ce défi baptisé Défi Bimédia ? « Sensibiliser l’opinion publique sur les effets du réchauffement climatique et témoigner de la présence de multiples déchets océaniques ». L’idée est aussi « de ramener de belles images », « d’aller à la voile, pour se rapprocher des ours, des mammifères marins, car les bateaux à moteur font fuir toute la faune ».

Une véritable aventure humaine, où se déplacer, manger et dormir sont de véritables défis lancés à la nature !

112 ans après l’expédition du Norvégien Roald Amundsen, premier à franchir en équipage le passage du Nord-Ouest (du Groenland à l’Alaska), Yvan Bourgnon s’apprête donc à vivre et relever un défi monstrueux. Respect et BON VENT !

Vous pourrez suivre le défi en temps réel sur le site http://ledefibimedia.com/

La chasse au trésor est lancée !

Soif de l’or, quand tu nous tiens…

Avec la découverte annoncée au début du mois de l’épave du fameux galion espagnol San José, coulé par la marine anglaise en juin 1708 au large de Carthagène en Colombie (principal port d’exportation vers l’Espagne des richesses exploitées en Amérique latine aux XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles), c’est l’espoir de mettre la main sur un trésor fabuleux qui s’est emparé de toute une nation… Et en tout premier lieu de son président : le Colombien Juan Manuel Santos.

epave-du-galion-espagnol-san-jose-tresor-colombie

Venant de Portobelo au Panama, le galion transportait une importante quantité de richesses provenant en grande partie du Pérou et destinées à la couronne d’Espagne : pas moins de 200 tonnes d’or, de l’argent et des coffres remplis d’émeraudes. La valeur de la cargaison serait aujourd’hui estimée entre 5 et 10 milliards de dollars…De quoi attiser la convoitise et les appétits !

carte.de.cartagena

En effet, outre le Pérou, la Colombie et l’Espagne, une autre partie est tout aussi intéressée et revendique sa part du butin : il s’agit d’une société privée américaine, la Sea Search Armada (SSA), que le gouvernement colombien avait chargée à la fin des années 1970 de rechercher le San José. C’est cette même société, spécialisée dans la recherche des trésors sous-marins, qui a découvert l’épave du Titanic en 1985…

Toutefois, le gouvernement colombien a estimé que les coordonnées fournies en 1981 par la société spécialisée dans la recherche d’épaves ne correspondaient pas au bateau recherché. Cela a donné lieu à une longue bataille juridique qui s’est terminée devant une cour de l’État de Washington ; laquelle a donné raison à la Colombie par deux fois en 2011 et 2015.

Reste maintenant à extraire des fonds marins le fabuleux trésor. Mais ce ne sera pas chose facile : le galion est a priori couché sur le flanc, en équilibre instable en bordure d’une fosse sous-marine ; donc au-delà des limites de la plongée humaine, située aux alentours de 100m pour de grands professionnels. Il va forcément falloir faire appel aux technologies les plus sophistiquées (engins submersibles, robots) pour espérer récupérer les trésors enfouis…

galion6

La soif de l’or est certes toujours omniprésente, 300 ans après le naufrage du galion espagnol, mais le San José n’a pas encore livré toutes ses richesses. Coulé, localisé mais pas encore pillé (ou dépouillé)…

La vie sur Mars, c’est possible ?

Un jour, peut-être…

mars

Ira-t-on un jour sur Mars ? Si oui, quand ? Fin septembre 2015, la NASA annonçait que les traces sombres visibles à la surface de la planète rouge (jusqu’à 100 m de long et 5 m de large) correspondaient à des ruisseaux de saumure, autrement dit de l’eau très salée. Patatras ! « Mars n’est pas la planète sèche et aride que l’on pensait », explique alors Jim Green, directeur de la science planétaire à la NASA. De là cependant à imaginer une vie sur Mars ou de pouvoir y habiter…

mars-eau-salee

Que trouve-t-on vraiment sur cette planète ? À quoi ressemble-t-elle exactement ? Pourra-t-on y envoyer un humain et y habiter un jour ?

Faute de pouvoir dès aujourd’hui effectuer ce fabuleux voyage, on peut toujours se l’offrir sur grand écran, dans les « salles obscures » (au cinéma), pour la modique somme de 5 à 7 euros la place… Seul sur Mars a été réalisé par Ridley Scott en 2015.

Les photos du programme spatial Apollo en haute définition

Comme si vous y étiez…

Photo de l‘astronaute John Young, commandant d’Apollo 16, près de la jeep utilisée lors des sorties sur la Lune, entre le 21 et le 24 avril 1972.

Apollo

La Nasa vient de mettre en ligne, via un compte Flickr, plus de 8 000 photographies prises par les astronautes du programme Apollo au moyen des appareils de marque Hasselblad dont ils étaient équipés.

Ces images ont été captées à la surface de la Lune, ainsi qu’à l’intérieur des capsules lors des voyages entre la Terre et son satellite. Rappelons que lors du programme lunaire américain, douze hommes ont marché sur la Lune en six missions (Apollo 11 à 17, moins Apollo 13) et quatre autres expéditions ont fait le tour de la Lune sans s’y poser (Apollo 8 à 10, plus Apollo 13, contraints et forcés).

Outre les images les plus connues et souvent diffusées, il est maintenant possible de voir des séries plus rares mais tout aussi intéressantes. Alors, que vous soyez passionnés ou simples curieux, prenez votre envol pour un voyage extra-terrestre…

apolloPour en savoir plus sur le fâcheux incident (l’explosion d’un réservoir d’oxygène du module) qui conduisit à l’échec de la mission Apollo 13, lire ici.

Un film relatant cette expédition pour le moins mouvementée a été réalisé en 1995 par Ron Howard, avec notamment Tom Hanks en tête d’affiche. « Allo Houston, on a un problème »…Une phrase demeurée culte !

La petite histoire d’un pseudo Robinson sur une île éphémère

Fin janvier 2015 est apparue une nouvelle île dans l’archipel des Tonga (entre la Nouvelle-Calédonie et la Polynésie, sur la ceinture de feu du Pacifique, où l’activité sismique et volcanique est intense). Née à la suite de l’éruption du volcan sous-marin baptisé Hunga Tonga, elle mesurerait 2 km de long pour 1 km de large; et son point culminant atteindrait 120 m. L‘image satellite révèle une forme assez proche de celle d’un poisson.

image satellite île volcanique Tonga 2015Ce sont les grosses quantités de roches et de cendres retombées et accumulées au niveau de la surface de l’océan qui ont engendré la naissance de la nouvelle île. Les spécialistes lui accordent néanmoins peu de temps avant de disparaître sous l’effet de l’érosion; ce qui explique que l’îlot n’ait toujours pas reçu de nom.

C’est peut-être cette espérance de vie limitée qui a conduit un millionnaire britannique de 65 ans à venir jouer les Robinson Crusoé en juin dernier. L’homme (Ian Argus Stuart) a séjourné seul une dizaine de jours sur l’îlot et filmé son quotidien. Pour lui tenir compagnie, une multitude d’oiseaux. Explorant l’île, il a pu ainsi constater que le sol, qui a l’apparence de la roche, était plutôt mou (de la poussière de lave comprimée et du sable, donc ça s’effrite très facilement); mais que la vie s’y développait déjà (sous l’apparence d’une petite plante verte) alors même que l’îlot s’enfonce bel et bien chaque jour un peu plus dans l’océan.

Si cet « aventurier » a dormi dans une grotte et s’est essentiellement nourri de poissons et d’œufs de goélands, il n’avait pour autant rien d’un naufragé : l’expérience qu’il a vécue était organisée par une société de voyage (Docastaway) avec laquelle il était en contact permanent (par téléphone satellite), au cas où…Eh oui, n’est finalement pas Robinson Crusoé qui veut !

Pour les nostalgiques, les amoureux des grands romans d’aventure ou les aventuriers en herbe, je renvoie à deux fameux ouvrages: Robinson Crusoé de Daniel Defoe et L’île mystérieuse de Jules Verne.

Un peu de hauteur et de distance avec Pluton

« Une nouvelle ère de l’exploration du système solaire s’ouvre devant nous » (John Grunsfeld)

Le 19 janvier 2006, la NASA envoyait une sonde (baptisée New Horizons) à la découverte de Pluton, grâce à une fusée lancée depuis la base de Cap Canaveral en Floride (États-Unis). Rappelons que la « planète naine » est située aux confins de notre système solaire et qu’elle met 248 ans à faire le tour du Soleil. La seule source de lumière sur Pluton vient d’ailleurs de son plus gros satellite : Charon.

Envoyer une sonde dans une région très éloignée de la Terre a donc nécessité de prendre certaines précautions : pas plus grande qu’un piano et pesant 500 kg, New Horizons peut résister à des conditions particulièrement hostiles (ex : peu d’ensoleillement, communication difficile). Pour les besoins de sa mission (un projet de 700 millions de dollars), la sonde dispose de 7 instruments de mesure très performants dont 2 caméras. Ci-dessous le voyage de la sonde spatiale vers Pluton publié par Futura-Sciences:

Le 28 février 2007, New Horizons est d’abord passé tout près de Jupiter. La sonde a donc pu collecter des données et des images inédites de la plus grosse planète de notre système solaire. Ce passage par Jupiter était toutefois calculé: il a ainsi permis à la sonde de gagner en vitesse (pas moins de 4 km/s supplémentaires) en se laissant porter par le champ gravitationnel de la planète.

Le 13 juillet 2015, New Horizons s’est positionné au plus près de Pluton environ 768 000 km); ce qui nous vaut une image historique diffusée par la NASA. Pour analyser chaque détail des images prises par la sonde, il faudra cependant des semaines de travail. Mais à la surface, on remarque déjà cet espace plus clair, baptisé officieusement «le cœur», qui s’étend sur 1 600 km. Après analyse, il s’agirait de deux structures géologiques de compositions différentes.

New Horizons a aussi pris des clichés de Charon (satellite de Pluton) : on y observe des canyons profonds et des falaises ; mais très peu de cratères, à la surprise des scientifiques, ce qui suggère une surface relativement jeune. Autant d’images superbes à découvrir dans le diaporama ci-dessous.

La mission a enfin permis de prendre des mesures précises de Pluton. Son diamètre était débattu depuis sa découverte en 1930. On le pensait alors aussi important que celui de la Terre. Le résultat officiel est maintenant connu: le diamètre de la planète naine est de 2 370 km, soit 18,5% de celui de notre planète bleue.

Un pari fou: construire un château fort du XIIIe siècle

Il s’agit là d’une expérience archéologique unique en son genre: la construction d’un château fort datant de l’époque de Philippe Auguste (roi de France de 1180 à 1223) avec les matériaux et techniques du Moyen Age! Ce chantier gigantesque, où artisans et archéologues travaillent en étroite collaboration, a débuté en 1997 et doit durer 25 ans… Bienvenue à Guédelon, en Bourgogne.

Le documentaire diffusé en juin 2015 sur Arte nous montre les coulisses de ce chantier hors norme. A découvrir ou redécouvrir en cliquant sur l’image.

guedelon photo emission arteAccéder au site officiel du château de Guédelon.