Lieux de vie(s), espaces malléables, qui n’emprisonnent ni le corps ni le regard, mais au contraire suscitent des scénarios d’appropriations qui dépasse la seule fonction de « loger »… réflexion sur le thème « habiter »
Glissement : jouer avec le regard
le Pavillon de Barcelone, de Mies van der Rohe, 1926
Passage : espace public/privé
Animation : Villa dall Ava de Rem Koolhas
La villa Dall’Ava de Rem Koohlas
Adaptable : selon les besoins
Rappel : Le socle commun de l’architecture contemporaine
En 1931, Charlotte Perriand réfléchit à l’espace minimum par habitant, « outil social indispensable à l’époque présente ».
Sujet
Aujourd’hui encore loger tout le monde est une préoccupation importante. C’est un rêvant votre lieu minimum que vous réfléchirez à cette « habitat nécessaire »;
Programme minimum pour un espace maximum de 20m2 Vous avez hérité d’un petit terrain, et vous projeter d’y bâtir un espace minimum, qui contiendra tout vos rêves… Pour cela vous écrirez votre «programme», ce que doit contenir cet espace pour répondre à vos besoins. La réflexion se fera sous forme de plan élévation perspective d’ambiance à main levée. Le rendu final sera une maquette à 5cm/m
En plus
Maison d’urgence pour les victimes de cataclysme, construction en carton, l’architecte Shigeru ban est aussi préoccupé par le lieu de vie nécessaire.
Lien vers le travail de Shigeru Ban
La remise en cause du principe des pièces carrées (p.44) : « la boîte emprisonne, enserre comme un cercueil. » extrait de Le langage de l’architecture moderne écrit en 1973
Ces remises en cause peuvent être illustrées par « la maison sur la cascade » de l’architecte Frank Lloyd Wright (1936-1939) (p.52)
La maison van Eetvelde de Victor Horta, plan libre et puis de lumière