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La tenue du torero

Posted by on 28 mars 2019

Le costume court est formé par une veste de n’importe quelle couleur, dans ce cas ciel bleu, un gilet qui est normalement de la même couleur que la veste, une chemise blanche, un pantalon de toute couleur, normalement gris, des chaussettes et des bottes. Pour tenir le pantalon est on utilise des bretelles et, pour la tête, on utilise une casquette ou un chapeau.

La robe des lumières est très similaire, mais la veste a épaules-pièces ornées de pierres. De ces accrocher quelques ornements appelés mâles. La veste est également brodée avec quelques dessins d’or ainsi que le pantalon. au lieu de bottes sont utilisés une sorte de danseurs, mocassins
Les sangles de la chemise et les chaussettes sont les mêmes et ce qui change est la cravate. DANS les deux autour du pantalon est mis un foulard.

Cette expression est la traduction littérale de l’espagnol « traje de luces ». Une traduction plus fine serait « habit de paillettes », car si « luz » signifie « lumière », « luces » qui est le pluriel de « luz » se traduit par « lumières » mais aussi par « paillettes ». Dans l’expression « traje de luces », le mot « luces » est en fait employé dans cette seconde acception.
L’habit du matador
Il est en soie, brodé et de couleur vive. Le traje de luces a trouvé sa forme définitive vers les années 1830, sur l’instigation de Francisco Montes « Paquiro » et n’a subi depuis que de faibles modifications. Il comprend :
une veste : la chaquetilla ;
un gilet : le chaleco ;
une culotte : la taleguilla, resserrée au-dessus du genou à l’aide de cordons tressés, les machos, eux-mêmes agrémentés de glands, les caireles ;
une chemise blanche à jabot : la camisa ;
une cravate en soie de couleur vive : la pañoleta ;
une large ceinture : la faja, également en soie et en principe de la même couleur que la pañoleta ;
deux paires de bas superposées : les medias, la première en coton blanc, la seconde en soie de couleur rose.
Des chaussures légères, les zapatillas, complètent la tenue. Enfin, le matador se coiffe d’une toque en astrakan, la montera et fixe dans ses cheveux, épinglé au castañeta, un petit chignon postiche, la coleta.
Le costume pèse environ dix kilos .
Sur l’habit de lumières du matador, les broderies sont habituellement dorées, parfois noires ; sur celui des peones, elles sont argentées, noires ou blanches.

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