Sueurs froides : ortho

Sueurs froides. Texte à l’imparfait.

Et il éprouv…. toujours le même rapide serrement de cœur quand/ quant il regard…. ces / ses prunelle… bleu…., si/s’y clair…, que le grand jour sembl… toujours aveugl… un peu/peut. Elle se/ce fatig….vite. elle avai…. toujours fin/ faim. A quatre/ quatres heure…., il lui fallait son/ sont goûter :brioche, thé, confitures. Flavières n’aimai….pas beaucoup l’accompagn….dans les pâtisserie….   ou/où les salon… de thé…; c’est/s’est pourquoi il l’emmenai… le plus souvent possible à/ a la campagne. Quand il mangait/ mangeait des babas ou des éclair…, il se/ce sentai… coupable jusqu’à l‘âme/ lame, à cause de la guerre, à cause des vendeuse… dont les maris ou/où les amants se/ce trouvai… sans/sens doute quelque part / quelques parts, entre la mer du Nord et les Vosges. Mais il comprenait que Madeleine avait besoin de cet/cette nourriture, justement pour tenir en échec ce/se vide, ce/se néant, cette nuit ou/où elle été/était toujours sur le point/ poing de sombrer/sombré.

———————————————————————————————————————————–

dictée p 42

Madeleine, lentement, était revenue à elle; son visage s’était animé, elle avait paru faire l’essai de ses muscles, de ses nerfs; son sourire avait hésité; ses paupières avaient battu plusieurs fois, puis elle avait tourné la tête.

– Non. je suis très bien.

Ses yeux le rassuraient. Peut-être, un jour, en viendrait-elle à d’autres confidences. En attendant, Flavières évitait de lui confier l’auto. Elle pilotait avec beaucoup d’adresse mais aussi avec une sorte de fatalisme. (…) Flavières était sûr qu’en présence d’un obstacle, elle n’aurait pas essayé de réagir, de freiner, de donner un coup de volant. A Courbevoie déjà, elle ne s’était pas débattue…

Laisser un commentaire