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La Bourse, c’est quoi ?

ECONOMIA
La Bourse, c’est quoi ?

D’un côté il y a des acteurs économiques qui peuvent épargner : ceux sont les ménages ( c’est un ensemble de personnes qui ont la même résidence et donc la principale fonction économique est de consommer, vous faîtes partie d’un ménage), ils veulent que cela leur rapporte des intérêts mais que malgré tout ils puissent en disposer au cas où…

De l’autre, il y a les entreprises qui ont besoin d’argent pour financer leurs investissements (par exemple : construire une nouvelle usine, financer un projet de recherche ou acheter du matériel…) Elles cherchent des capitaux  à long terme.
La bourse ou marché financier permet de concilier ces besoins contradictoires. En France, la bourse s’appelle Euronext, à New-York, c’est Wall Street.

On se retrouve dans la même situation que sur « un marché du village »
Il y a des vendeurs (les entreprises) qui proposent des titres (actions par exemple ) que les clients (les ménages) vont acheter avec leur épargne. Bien sur, il n’y pas vraiment de lieu réel, d’autant plus que les ordres d’achat se font par ordinateur, mais le principe est le même.

Dans quelle situation se trouve-t-on ?  d’un côté les entreprises ont maintenant les moyens (l’argent) de financer leur projet et de l’autre les ménages sont  propriétaires d’une partie  de l’entreprise : ils sont devenus actionnaires de celle-ci.  Chaque année, ces actionnaires vont percevoir une partie des bénéfices : les dividendes.

Imaginons que le ménage qui détient des actions ait besoin de récupérer son argent, il va pouvoir les revendre sur le marché financier, le tout est qu’il trouve un acheteur. Donc une action peut changer de propriétaires de nombreuses fois y compris sur une même journée… mais  ceci est un autre problème…
Si on vend plus cher que l’on a acheté l’action, on dégage ce qu’on appelle une plus value (un bénéfice), on peut aussi la revendre moins cher alors là on perd de l’argent !!!

Bien sur, sur le marché financier, il n’y a pas que des actions mais on a inventé plein d’autres produits financiers plus ou moins risqués que l’on peut acheter et vendre, et ce, à l’échelle planétaire, il n’y a pas que des ménages mais d’autres acteurs  (les banques, les entreprises d’assurance…) qui placent des capitaux. Ils s’échangent par jour des milliards de dollars, le but est toujours de revendre plus cher que la valeur d’achat (on n’y arrive pas toujours !).

On s’est beaucoup éloigné de la simple logique de financement du début, la «  planète finance » répond à sa propre logique et on arrive à des aberrations qui peuvent déboucher sur de graves crises comme en 2008.

Béatrice GHEERAERT
(professeur agrégé de S.E.S au Lycée St Luc, Cambrai)

Le réchauffement climatique : info ou intox ?

GÉOPOLIS
Le réchauffement climatique : info ou intox ?

Depuis le 1er sommet de la Terre (Rio 1992), en passant par le prix Nobel de la Paix décerné à Al Gore et le GIEC (« Une vérité qui dérange »), « le jour d’après » de R. Emmerich,  « Home » de Y. Arthus-Bertrand, « le syndrome du Titanic » de N. Hulot… jusqu’à Evelyne Déhlia nous prodiguant chaque soir ses conseils « …bons pour la planète »…et la mise en œuvre prochaine d’une CCE (comprenez contribution climat-environnement, ou taxe carbone)…c’est sûr, la planète va mal et le climat se réchauffe !

Ce constat repose sur des analyses scientifiques (celles du GIEC surtout, un groupe d’experts convaincu d’un réchauffement climatique lié aux gaz à effet de serre et au CO2 notamment) qui nous prouvent que l’avenir qui s’annonce est sombre : fonte des glaciers et de la banquise, montée des océans, cataclysmes météorologiques nombreux… Il ne s’agit pas ici d’affirmer ou d’infirmer les analyses et les expertises, je n’en ai pas la compétence ! Mais il convient tout de même de s’interroger et de prendre un peu de recul. Mon propos reposera donc davantage sur des questions que sur des réponses.

L’histoire du climat (climatologie) se mesure en échelle de temps sur des milliers voire des dizaines de milliers d’années, ainsi la Terre a connu des phases de réchauffement et de glaciation successives. Comment alors affirmer scientifiquement que l’avenir est au réchauffement dans le cadre d’une mesure (douteuse selon certains scientifiques) effectuée sur un siècle environ ?

Actuellement, seuls les experts du réchauffement ont la parole et le droit à une audience mondiale (sommets et conférences, protocole ou accords…plus ou moins efficaces). Pourtant d’autres points de vue scientifiques existent (C. Allègre en France pour ne citer que lui) mais sont marginalisés ou traités par les premiers d’irresponsables ! Pourtant il n’est rien de plus contradictoire que la Science où les débats ont été et restent nombreux !

Autre question à opposer aux « réchauffistes » et autres partisans du catastrophisme climatique et planétaire : pourquoi garder la planète en l’état, la sanctuariser ? C’est refuser toute transformation, toute mutation, tout progrès… et rejeter la faute sur les populations des pays les plus développés surtout. Nous sommes aujourd’hui plus de 6 milliards d’êtres humains sur Terre, dema    in près de 9 milliards ! Alors oui, il n’y aura pas assez de richesses pour tous, oui les catastrophes naturelles feront intrinsèquement plus de victimes… Mais plutôt que de préserver ce qui est, ne faut il pas plutôt chercher et créer des produits de substitution ? 63 millions de Français qui vont faire « un geste pour sauver la planète » peuvent-ils inverser une tendance générée par plus de 6 milliards d’habitants ?

Enfin une dernière remarque : la Terre n’existe que par le Soleil, qui, nous disent les scientifiques, est une étoile…Or les étoiles ont une vie et meurent…Le Soleil suivra donc ce postulat, entrainant avec lui la Terre ! C’est « le jour d’après demain » Chaque décennie a besoin de ces peurs (trou dans la couche d’ozone, pluies acides…et ondes néfastes !) mais le début du XXI° siècle est particulièrement pessimiste ! Allez, courage les jeunes… No future !

Bruno IVANEC
(professeur d’histoire-géographie au Lycée St Luc, Cambrai)

CHARLES live in London

## London, billet #1

Lady D et la Reine, Big Ben et le London Eye, les bus rouges et les taxis noirs, London Calling et God Save the Queen, le bœuf à la menthe, les Monty Python… On les imagines avec leurs chapeaux bombés, déambuler de banques en banques, et les femmes aux jupes longues en clones de Miss Thatcher. Et puis les comédies musicales, les Beatles, la City… On voit déjà les lumières grandioses de Piccadilly Circus ou les magasins d’Oxford Street, où tout le monde s’arrête à 5:00PM précise : would you like another cup of tea, darling ?

Tellement Anglais. So British !…  SO BORING !!!

Quand à Londres les plaques des rues sont en chinois, en arabe ou en sanskrit mais que le chef du parti fasciste passe en prime-time à la BBC, quand les punks de Camden font des ballades romantiques vers Little Venice, quand le quartier Français comporte plus de Froggies que bien des villes de la métropole et qu’on parle 390 langues différentes dans la capitale, quand Banksy graphe ses trompe-l’œil sur tout ce qui ne bouge pas, quand les effets spéciaux de Gladiator ou de Harry Potter sont réalisés dans le cœur de Soho, quand Tony Blair est le potentiel premier président de l’Europe mais que les tabloïds se passionnent pour Katie Price… Quand après 7 ans passés au théâtre avec le rédac’ chef de Blogapart, on découvre qu’ici le spectacle omniprésent va d’un Tom Jones tapant la manche le long de la Tamise à une troupe de chanteurs nus, forcément, ça en fait des anecdotes bien plus intéressantes à raconter dans cette nouvelle rubrique…

par Charles FLÈCHE (Royaume-Uni)

########## London, billet #1

Lady D et la Reine, Big Ben et le London Eye, les bus rouges et les taxis noirs, London Calling et God Save the Queen, le bœuf à la menthe, les Monty Python… On les imagines avec leurs chapeaux bombés, déambuler de banques en banques, et les femmes aux jupes longues en clones de Miss Thatcher. Et puis les comédies musicales, les Beatles, la City… On voit déjà les lumières grandioses de Piccadilly Circus ou les magasins d’Oxford Street, où tout le monde s’arrête à 5:00PM précise : would you like another cup of tea, darling ?

Tellement Anglais. So British !

SO BORING !!!

Quand à Londres les plaques des rues sont en chinois, en arabe ou en sanskrit mais que le chef du parti fasciste passe en prime-time à la BBC, quand les punks de Camden font des ballades romantiques vers Little Venice, quand le quartier Français comporte plus de Froggies que bien des villes de la métropole et qu’on parle 390 langues différentes dans la capitale, quand Banksy graphe ses trompe-l’œil sur tout ce qui ne bouge pas, quand les effets spéciaux de Gladiator ou de Harry Potter sont réalisés dans le cœur de Soho, quand Tony Blair est le potentiel premier président de l’Europe mais que les tabloïds se passionnent pour Katie Price… Quand après 7 ans passés au théâtre avec le rédac’ chef de Blogapart, on découvre qu’ici le spectacle omniprésent va d’un Tom Jones tapant la manche le long de la Tamise à une troupe de chanteurs nus, forcément, ça en fait des anecdotes bien plus intéressantes à raconter dans cette nouvelle rubrique…

La Droite en France, idéaux d’hier et d’aujourd’hui

HISTORICITÉ
La Droite en France, idéaux d’hier et d’aujourd’hui

Pour reprendre une vieille expression, « tout fout le camp », y compris le clivage gauche-droite, ce qui rend assez difficile le sujet de cette chronique. Nous sommes apparemment loin du bon vieux temps d’avant-guerre (la Deuxième), où il était possible de distinguer trois, voire quatre droites en France : la légitimiste (nostalgique de l’Ancien Régime), l’orléaniste (droite libérale), la bonapartiste (mélange de conservatisme, de nationalisme et d’idéal de grandeur) et la réactionnaire « populiste » (extrême-droite, louchant parfois vers un fascisme dont les racines sont aussi de gauche). Si elles ont toutes plus ou moins survécu aux aléas de l’Histoire, seules deux ont pu prétendre accéder et se maintenir au pouvoir : la libérale et la bonapartiste, rebaptisée gaulliste. Cette dernière paraît en voie d’extinction rapide depuis la création de l’UMP en 2002.

Ce parti, en position hégémonique sur la droite de l’échiquier politique français depuis 2002, et surtout 2007, n’a pas pour autant été totalement converti aux charmes du libéralisme brutal  prôné en leur temps par Alain Madelin et Patrick Devedjian : culte de la concurrence, exaltation du marché mondial et de la compétitivité, individualisme absolu…Les vieilles valeurs de la Droite (Honneur, Patrie, Travail et Famille) n’étant plus que des antiquités encombrantes bonnes à mettre au musée.  Les derniers défenseurs de ces principes (tels Dominique de Villepin, Philippe de Villiers…) pouvaient aussi recevoir le renfort d’une partie de la gauche dite « républicaine » attachée à une certaine idée de la France et de son pacte social (Jean-Pierre Chevènement).

Il fallut donc toute l’habileté, somme toute très bonapartiste, d’un Nicolas Sarkozy, pour faire une synthèse électoralement présentable de ces valeurs, épicée de quelques références à gauche (Jaurès et Blum), et ainsi conquérir l’Elysée. Tout le problème étant ensuite de ne pas décevoir…

Philippe BOUCHÉ
(professeur agrégé d’Histoire – diplômé de Sciences Po Bordeaux)

Pour en savoir plus, voir l’intégrale de cet article publié à cette adresse.

La Droite en France, idéaux d’hier et d’aujourd’hui 2

HISTORICITÉ
La Droite en France, idéaux d’hier et d’aujourd’hui


Pour reprendre une vieille expression, « tout fout le camp », y compris le clivage gauche-droite, ce qui rend assez difficile le sujet de cette chronique. Ainsi le libéralisme et la patriotisme, valeurs de « gauche » à l’époque de la Révolution, ont-ils été récupérés depuis par la droite.

Nous sommes apparemment loin du bon vieux temps d’avant-guerre (la Deuxième), où il était possible de distinguer trois, voire quatre droites en France : la légitimiste (nostalgique de l’Ancien Régime), l’orléaniste (droite libérale), la bonapartiste (mélange de conservatisme, de nationalisme et d’idéal de grandeur) et la réactionnaire « populiste » (extrême-droite, louchant parfois vers un fascisme dont les racines sont aussi de gauche). Si elles ont toutes plus ou moins survécu aux aléas de l’Histoire, seules deux ont pu prétendre accéder et se maintenir au pouvoir : la libérale et la bonapartiste, rebaptisée gaulliste.

Les années 1990-2000, avec la fin de la guerre froide et le triomphe apparent d’un capitalisme planétaire mené par les Etats-Unis, ont permis à une jeune garde « néolibérale » de prendre peu à peu le contrôle du mouvement gaulliste, accélérant leur mainmise idéologique après la fondation de l’UMP en 2002. Pour ces jeunes loups, en partie issus de groupuscules d’extrême-droite anti-communistes des années 1960-70 (Alain Madelin, Patrick Devedjian, Gérard Longuet), parfois rejoints par des transfuges du gauchisme soixante-huitard (Denis Kessler), il fallait jeter aux oubliettes les vieilles valeurs de la droite (Autorité de l’Etat, Honneur, Patrie, Famille, Travail), pour y substituer un nouveau credo : culte de la concurrence, exaltation du marché mondial et de la compétitivité, individualisme absolu…Et surtout, détestation de l’Etat providence, cause de tous les maux économiques et sociaux.

Toutefois, les dégâts du libéralisme sauvage, avant même la crise financière de 2008, ont eu tôt fait de limiter le succès électoral de ces nouvelles valeurs de droite. Certes, ces « néolibéraux » avaient reçu le renfort d’une partie de la gauche libérale et de nombreux médias financés par de grandes entreprises (Dassault, LVMH, etc…), appuyés en haut lieu par la Commission de Bruxelles toujours assoiffée de libre-concurrence et de dérégulation. Mais si l’Union européenne peut être dirigée sans les peuples, on ne peut espérer gagner une élection majeure en France en ignorant la majorité des citoyens et avec le seul soutien des « élites », pas forcément toutes acquises d’ailleurs à l’abandon d’une « certaine idée de la France ». Aux présidentielles de 2002, la surprise d’un Jean-Marie Le Pen au 2e tour vint d’une abstention sans précédent de l’électorat populaire, qui fut également sensible à la thématique de l’ « insécurité sociale » développée par le candidat du FN, idée que la gauche de gouvernement jugeait à l’époque des plus ringardes…Ce qui lui fit perdre le pouvoir.

Il fallut donc toute l’habileté, finalement très bonapartiste, d’un Nicolas Sarkozy, pour faire une synthèse électoralement présentable de ces valeurs, épicée de quelques références à gauche (Jaurès et Blum), et ainsi conquérir l’Elysée à l’échéance présidentielle suivante. Celle-ci fut marquée par une surenchère de patriotisme avec sa principale adversaire, Ségolène Royal, lâchée par la frange libérale du PS qui l’accusait de se « droitiser ».

Depuis deux ans, le nouveau président de la République, naguère champion d’une droite décomplexée, se livre donc à un difficile exercice de haute voltige, où l’on retrouve toutes les tendances de la droite évoquée en tête de cet article, auquel il ajoutera le fameux « bling-bling » tout droit sorti des années fric de sa jeunesse.

le légitimisme de l’Ancien régime : phénomène de la « Cour », révérence exigée des médias, ascension programmée du Prince héritier…

le libéralisme tendance dure : démantèlement progressif des services publics, bouclier fiscal, alliance avec les grands groupes industriels et financiers…

le bonapartisme (façon Napoléon III) : exaltation de la « Grandeur de la France », coups de mentons socio-patriotiques, expéditions militaires lointaines sous tutelle anglo-saxonne…

le populisme réactionnaire : à chaque fait divers, une loi ; à chaque crise, un bouc émissaire…

Quant à savoir ce que l’Histoire retiendra de l’ère sarkozyenne et de ses « coups d’éclats permanents » (selon François Hollande)…rendez-vous dans quelques années !

Philippe BOUCHÉ
(professeur agrégé d’Histoire – diplômé de Sciences Po Bordeaux)

La guerre des boutons portables

Il y a bientôt un siècle paraissait un bouquin qui devait se transformer  en best seller : « La Guerre Des Boutons ».

L’autre jour, alors que je cherchais désespérément mon téléphone portable (ne me dites pas que cela ne vous arrive jamais…..), je me suis laissée aller à imaginer ce que serait cette fable si nous devions la réécrire aujourd’hui.

Warum ?…… Vous allez très vite comprendre.

Voici, en vrac, ce que cela a donné. Je vous laisse faire le tri, je sais que les visiteurs de ce blog sont parmi les plus sensés de la blogosphère.

Tout d’abord, au niveau du décor, il est clair que nous serions très ambitieux : L’histoire ne se résumerait pas à l’analyse des conflits entre paroisses (Longeverne et Velrans, souvenez-vous), gamins, instit’s et paysans, mais serait planétaire.

De même, au niveau des personnages, il nous faudrait représenter la diversité du monde telle que nous la vivons au quotidien. Le grand Braque, P’tit Gibus, Grangibus, la Marie Tintin, Camus, l’Aztec des Gués (ça y est, ça vous revient ?) nous viendraient des 5 continents, ne parleraient peut-être pas les mêmes langues, n’auraient pas les mêmes cultures.

Enfin et surtout, les butins de guerre ne seraient certainement plus de simples boutons, mais, disons, …., les portables (nous y voilà).

Il y a un siècle, la richesse d’un enfant était grande. Elle était faite de chacun des liens qu’il tissait avec ses copains d’école. Il se nourrissait de son imaginaire, quand il se baladait, seul, en forêt, au détour du retour de l’école. Enfin il avait ses boutons, qui le permettaient de rester digne quand il rentrait chez lui.

Aujourd’hui, vous avez le portable. Si vous le cassez, le passez à la machine, si vous dépassez votre forfait, vous méritez les torgnoles que Lebrac recevait quand il perdait ses boutons. Vous ne vous baladez plus dans les forêts, mais surfez dans le monde entier. Vos amis ne sont plus les seuls dix copains de classe, vous comptez vos contacts par centaines, c’en est même un signe de prestique. Dans le même registre, d’ailleurs, si l’Aztec des Gués existe dans votre réseau, il s’agit certainement de celui qui la ramène toujours, vous savez, avec son  iPhone tout neuf.

Aujourd’hui, à l’idée de vous faire voler votre portable, vous suez sang et eau. Comme Lebrac quand son pantalon lui tombait par terre. Tout pareil.

Et pourtant, aujourd’hui, il y a encore des enfants dont les boutons sont la seule richesse.

Alors, comme eux, comme la Marie Tintin en 1912, même si l’objet diffère : prenez grand soin de l’usage que vous faites de votre portable. Point trop n’en faut. Les vrais amis se comptent sur les doigts d’une main. Il est bien sûr grisant d’accéder à tout ou presque en pianotant juste sur votre clavier. Mais demandez-vous si vous vous concentrez bien sur l’essentiel.  Et comprenez l’anxiété de vos parents à ce sujet : c’est tout simplement parce qu’ils savent que cette toute petite chose vous ouvre des portes vers des horizons dont ils ignoraient même l’existence quand ils avaient votre âge.

Cecileray

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