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Quel est l’âge de Mickey ?

La première apparition de Mickey ne date pas d’hier ; c’était le 18 novembre 1928 ! La souris la plus connue de la terre est née dans Steamboat Willie, un film d’animation d’une durée de sept minutes environ. Cette première apparition de Mickey Mouse n’a donc duré que quelques minutes mais a laissé le public pantois, enthousiasmé par l’effet sonore mis au service du comique. Pour la première fois, un film d’animation utilisait une bande-son synchronisée. Mickey Mouse apparaissait déjà en petit matelot, mais il ne devint vraiment célèbre que lorsque Walt DISNEY lui prêta sa voix. Il donna à son personnage cette voix originale jusqu’en 1946, année au cours de laquelle il désigna Jim MacDonald pour le remplacer (en raison d’un problème de toux chronique dû à la cigarette). Jim MacDonald est ensuite remplacé par Wayne Allwine, à partir de 1983.Lorsqu’on l’interroge sur l’identité de son persoaaneg, Walt DISNEY déclarait : « L’idée de ce petit rongeur me trottait dans la tête. Une souris est après tout un personnage sympathique malgré la frayeur qu’elle inspire à tout le monde, y compris à moi.« 

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Une légende raconte d’ailleurs à ce sujet que Walt DISNEY avait choisi une souris parce que son studio en était infesté… Mickey Mouse, la célébrissime souris croquée en trois coups de crayons par Ub Iwerks a donc soufflé, en 2008, ses 80 bougies tout comme sa compagne, l’adorable Minnie ! Véhiculant des valeurs morales, Mickey est devenu à ce point emblématique que les trois cercles qui forment le dessin de sa tête sont désormais indissociables de la marque Disney.

Mickey n’a pas eu tout de suite les signes distinctifs qui ne le quitteront plus : les gants blanc, la culotte rouge et… une voix de fausset ! En 1930, il envahit de nouveaux supports : le comic strip, les jouets avec une poupée à son effigie et le livre. La même année, Mickey perd son dessinateur puisqu’Iwerks part créer l’Iwerks Studio. Walt DISNEY le remplace alors pour la bande dessinée par Floyd Gottfredson, et pour les courts métrages, par David Hand qui travaille sur les Mickey Mouse jusqu’à la fin de l’année 1932.

En 1932, Mickey part à la conquête du monde. « Le Journal de Mickey » paraîtra pour la première fois en 1934 en France. Mais à mesure que grandit sa popularité, son influence évolue et à la demande des parents, il est contraint d’abandonner toutes mauvaises actions pour s’imposer comme un modèle de bonne conduite. Un rôle qui le contraint à céder la place à des personnages plus « humains » comme Donald, Picsou, Pluto, Dingo

Très tôt, les distributeurs de films comme Pathé, présent des deux cotés de l’Atlantique, diffusent les courts métrages de Mickey dans le monde entier. Le public est rapidement conquis par ce personnage joyeux et attendrissant. On peut toutefois noter une différence de traitement entre les courts métrages et les bandes dessinées. Les films sont plus axés sur la comédie tandis que les bandes dessinées et plus tard les livres incluent en plus une grande part d’aventure. Mickey est souvent sur le papier un explorateur, un aventurier parti à la recherche de trésor ou de « gloire » (plutôt de dépassement de soi). Cette divergence s’accentuera encore plus à la fin des années 1930.

Walt Disney décide de poursuivre jusqu’en 1943 la production des courts métrages regroupés sous le titre Mickey Mouse, même si Mickey n’y fait que de brèves apparitions. La Seconde guerre mondiale force les studios à éclipser légèrement Mickey au profit de personnages « plus proche des hommes » comme Donald, qui est utilisé dans des films de « propagande »..

Une page se tourne dans la deuxième moitié des 70’s, avec le départ à la retraite de Gottfredson. Mickey obtient une étoile sur le Hollywood Walk of Fame le 18 novembre 1978, en l’honneur de son 50e anniversaire ainsi qu’une plaque dans le Broadway Theatre (ex-Colony Theater) où eut lieu la première de Steamboat Willie en 1928. C’est le premier personnage animé à recevoir cette distinction. Et puis surtout, il revient au premier plan pour ne plus le quitter. Des parcs d’animations à son nom, des long-métrages, des produits dérivés par milliers… Mickey Mouse est plus que jamais la marque de fabrique de Disney.

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Pour en savoir plus :

– la page consacré à ce 80eme anniversaire [Europe1.fr]

– l’article complet de Wikipedia

– « Une souris à l’agonie ? » un article original du site evene.fr

Depuis quand la Guadeloupe est-elle française ?

En 1493, Christophe COLOMB entreprend son deuxième voyage vers ce qu’il croit toujours être les Indes. Mandaté une nouvelle fois par la reine d’Espagne Isabelle la Catholique, il est à la tête de 17 navires. Le dimanche 3 novembre, une île est en vue ; il la nomme « Maria Galanda » (Marie-Galante), du nom du navire amiral. Après un passage d’une nuit à la Dominique, ils reprennent la mer vers une île plus grande dont ils avaient aperçu au loin les montagnes. Colomb décide alors de jeter l’ancre devant cette île afin d’accorder quelques jours de repos à ses hommes.

Le 4 novembre 1493, il débarque sur l’île baptisée par les Caraïbes « Karukera » (ou « Caloucaera »). Il baptisera cette île « Guadalupe » nom ainsi que celui de l’île proviennent du nom du monastère royal de Santa Maria de Guadalupe en Espagne. Lors d’un pèlerinage, Colomb aurait fait la promesse aux religieux de donner le nom de leur monastère à une île. Les premiers habitants de l’île furent des indiens venus du Vénézuela quelques siècles avant notre ère – un peuple de pêcheurs évolués et paisibles – les Arawaks. Vers le IXème siècle, ils furent exterminés par la tribu guerrière et cannibale des Caraïbes (Karibs).

Tout au long du XVIe siècle, les espagnols se sont peu préoccupés de cette île. Relativement inhospitalière, elle ne possède en effet aucune mine d’or. Elle ne sera qu’un simple point de ravitaillement en eau douce et en bois pour les navires en route vers l’Eldorado. Au début, les Caraïbes tolérèrent ces « marins de passage », et parfois même, fraternisèrent avec eux, mais petit à petit les hostilités grandirent entre les indigènes et les Espagnols. Lassés, les Espagnols, qui préfèrent les terres plus riches de l’Amérique centrale, abandonnèrent progressivement les Petites Antilles aux expéditeurs et flibustiers anglais, français et hollandais.

C’est le 28 juin 1635 que les Français, menés par Jean du Plessis d’OSSONVILLE et Charles LIENARD de l’OLIVE débarquent à la Pointe Allègre à Nogent, (actuelle ville de Sainte-Rose), accompagné de 4 missionnaires dominicains et de 150 hommes (dont de nombreux bretons ou normands). Les deux hommes sont mandatés par la Compagnie des îles d’Amérique. Leur mission est d’évangéliser les peuples indigènes. En échange, ils auraient le droit de gouverner ensemble l’île. Après des premiers mois très difficiles (maladies, manque de nourriture, etc.) pendant lesquels nombre d’entre eux ne survécurent pas, les survivants s’installèrent dans le Sud de l’île du côté de l’actuel Vieux-Fort. Ils y reçurent l’aide des Caraïbes mais malgré tout, De l’Olive, contre l’avis de Du Plessis, décide de déclarer la guerre aux Caraïbes pour leur prendre vivres et femmes. Les français vont alors pratiquement exterminer les amérindiens jusqu’à la signature d’un traité de paix en 1640.

Les Caraïbes furent ainsi exterminés – épidémies, alcool et fusils aidant. Mais les conditions de vie difficiles eurent raison des premiers travailleurs, et bientôt s’organisa l’utilisation d’esclaves déportés d’Afrique, ce qui devra durer près de quatre siècles. Les cultures étant peu rentables au début, la Compagnie vendit la Guadeloupe à Charles HOUËL qui fut à l’origine de son essor grâce à la plantation de sucre, café et cacao. Par la suite, l’île passa en possession de la Compagnie des Indes, puis du roi Louis XIV, fut attaqué par les Hollandais, occupé par les Anglais, de nouvelles cultures furent introduites : coton, épices…

Au XVIIIe siècle, on est dans la fameuse époque des flibustiers et corsaires et les îles des Caraïbes prospèrent en grande partie grâce au pillage des navires marchands ennemis. Sous l’influence des idées de la Révolution française, la Convention vota l’abolition de l’esclavage le 4 février 1794 et Victor Hugues fût envoyé pour assurer l’application. Bon nombre de grands propriétaires royalistes et esclavagistes furent alors guillotinés. Pourtant, en 1802, Napoléon BONAPARTE rétablit l’esclavage. Des mouvements de résistance commencent alors à voir le jour : sous le commandement de Louis DELGRÈS en 1802, chez les Anglais qui interdisent la traite des Noirs en 1807, au congrès de Vienne qui l’interdit en 1815. Mais il faudra attendre 1848 quand le 27 avril, sous l’impulsion du député Victor SCHOELCHER, à la tête de la Société Abolitionniste, le décret d’abolition est voté.

Vers la fin du XIXe siècle, la Guadeloupe n’évolua que fort peu sur le plan des droits humains. C’est la Troisième République de 1870 qui marqua un réel progrès, car non seulement le suffrage universel masculin fut institué, mais l’enseignement public obligatoire, laïc et gratuit, fut étendu à tous les Guadeloupéens (1881). Toutefois, la situation des classes ouvrières resta précaire, car la scolarisation des enfants impliquait des dépenses supplémentaires auxquelles les parents ne pouvaient pas toujours faire face. En réalité, le niveau de vie des Noirs et immigrés indiens ne connut une amélioration significative que vers le milieu du XXe siècle. De 1870 à 1914, la crise sucrière secoua la Guadeloupe, ce qui eut pour effet de concentrer les propriétés au profit des usines qui appartenaient déjà à des industriels de la Métropole. Suivit un nouveau régime se réclamant du socialisme et incarné par Hégésippe LÉGITIMUS qui s’en prenait au quasi-monopole des mulâtres dans la vie politique locale au détriment des Noirs.

En 1928, l’île fut ravagée par un terrible cyclone et les constructions commencèrent alors à se faire avec du béton armé. L’économie sucrière continua son développement, mais l’exportation de la banane et du rhum commença à concurrencer la canne à sucre avant la Première Guerre mondiale. Par la suite, le déclin de l’économie sucrière et les tentatives de reconversion de la canne à sucre ne favorisèrent pas la paix sociale.
Le 19 mars 1946, la Guadeloupe devint département français. Elle est administrée à l’instar des autres départements, par un préfet assisté de deux secrétaires généraux et de deux sous-préfets, un pour l’arrondissement de Pointe-à-Pitre et un pour les îles du Nord (Saint-Martin et Saint-Barthélemy). Les lois sont celles de l’Hexagone avec toutefois quelques arrangements spécifiques concernant les salaires des fonctionnaires, les équipements scolaires et l’assistance médicale et sociale. Un mouvement indépendantiste, très actif dans les années 80, est en perte de vitesse au profit d’une réflexion tournée vers l’avenir économique et social avec les institutions présentes.

Ainsi le 1er décembre 1999 la « Déclaration de Basse-Terre » des présidents de région Guadeloupe, Martinique et Guyane a pour but de trouver ensemble un mode de développement adapté aux Antilles-Guyane, et en juin 2000 le projet de loi d’orientation pour le développement des DOM fut défini.
Le 19 janvier 2009, les gérants des 115 stations-services de l’île diffusent un mot d’ordre de fermeture illimitée de leurs établissements. Le lendemain, un «Comité contre l’exploitation outrancière» (Liyannaj kont pwofitasyon, LKP) appelle à la grève générale.  Ce comité est un collectif qui regroupe 49 organisations, à savoir des syndicats insulaires, des partis politiques (PC guadeloupéen, MoDem, Les Verts, etc) et des associations culturelles militant pour l’identité créole. Son leader et porte-parole est Elie DOMOTA, 42 ans, aussi secrétaire général de l’Union générale des travailleurs guadeloupéens (UGTG).
Les blocages affectent les secteurs de l’éducation, des transports, du bâtiment, de la santé, du tourisme, de l’hôtellerie, de l’électricité ou de l’eau, qu’ils soient privés ou publics. Les milliers de manifestants de Pointe-à-Pitre exigent notamment une baisse du prix des carburants, des produits de première nécessité, des impôts et des taxes, ainsi qu’une hausse du salaire minimum de 200 euros. Au final, 146 revendications sont énoncées par le collectif.

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Pour en savoir plus :

– l’article « La Guadeloupe de l’ère précolombienne à nos jours » du site Antilles Info Tourisme

– une mise au point sur La Guadeloupe contemporaine (Wikipedia)

– une présentation complète (géographie, histoire et économie) de la Guadeloupe (Université Laval, Québec)

– une histoire de la Guadeloupe en 15 dates (le Nouvel Observateur)

– les Dates clés de la colère en Outre-mer (20 minutes.fr)

Les Questions de la Semaine

Période 10

à partir du 08/02/09

Gagnant Période 9 : Rodolph DUHEM (5eme G)

Comment les Croisades se sont-elles terminées ?

A vous de jouer ! Durant toute la semaine, déposez ici toutes vos questions, sous la forme d’un commentaire. La plus pertinente sera retenue, fera l’objet d’un billet sur le Blog et sera dignement récompensée…

Il vous suffit de commenter ce billet en n’oubliant pas de donner votre nom, votre prénom et votre classe et l’adresse de votre site ou Blog. Attention à bien respecter ces 3 règles :

  1. une seule question par personne et par semaine. On peut annuler une question déjà posée, il suffit de me le demander…
  2. une fois sélectionné, et récompensé, vous êtes « hors-jeu » pour quelques semaines… histoire de laisser leur chance aux autres !
  3. seules les questions postées en commentaire à ce billet seront prises en compte. Évitez donc de poser vos questions ailleurs : je vais finir par m’y perdre sinon…

Pour découvrir la réponse aux questions lauréates, cliquez sur cette page

Pour voir les questions déjà posées (et recompensées) de l’année dernière, voir ce Billet

Xin nian hao !

“BONNE ANNÉE !”
En chinois, se dit
??? (x?n nián h?o)
ou
???? (x?n nián kuàilè).

La nouvelle année chinoise du BOEUF de TERRE commencera le 26 janvier 2009. Le Nouvel An chinois ???? (nónglì x?nnián) aussi appelé Fête du printemps ou Fête du Têt au Vietnam est la fête la plus importante pour les communautés chinoises à travers le monde entier. Le terme nónglì x?nnián signifie littéralement « nouvel an du calendrier agricole » car il se célèbre suivant le calendrier chinois qui est à la fois lunaire et solaire. Cette fête est un moment dont on profite en prenant des vacances, en se réunissant en famille et entre amis.

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Pour en savoir plus, un petit tour sur le site Chine Informations

Joyeux Noël !

Noël nous réserve tous des surprises de toutes sortes : que ce soit des paroles douces, ou des amis à la porte ; une belle soirée tranquille, ou de beaux cadeaux utiles. Que ce Noël soit rempli de joie !

Meilleurs voeux à tous  !

Lutter pour les Droits de l’Homme

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Le français René CASSIN, ancien membre de la Commission des droits de l’Homme de l’ONU durant l’élaboration du texte, fut également président de la cour européenne des droits de l’homme de 1965 à 1968, date à laquelle il reçoit le prix Nobel de la paix. A cette occasion René Cassin revient lors d’une conférence de presse sur l’idéal toujours à parfaire des droits de l’Homme. Au détour d’une question, il affirme « Nous laissons beaucoup de travail inachevé [aux jeunes générations]« . Qu’avons nous réussi à faire depuis lors pour défendre les Droits de l’homme à travers le monde ? Russie, Chine, Tunisie, Maroc, Colombie, États-Unis : à l’aube du XXIe siècle, le constat est plutôt pitoyable. Alors plutôt que de chercher en vain un bouc-émissaire, je préfère aujourd’hui attirer votre attention sur les actions concrètes qui sont menées à travers le monde pour faire respecter cette déclaration universelle des Droits de l’Homme. C‘est sans doute la plus belle manière de célébrer son aniversaire…

Sur le site La Croix.com, le journaliste Benjamin QUÉNELLE revenait par exemple sur le cas d’Oleg PANFILOV. Ce dernier déclarait récemment : « Je ne pourrais pas aujourd’hui défendre les droits de l’homme avec autant de force si, par le passé, je n’avais pas été moi-même victime de répressions. » Figure réputée à Moscou pour son professionnalisme comme son ton calme et ironique, ce défenseur des journalistes, âgé de 51 ans, a été plusieurs fois arrêté alors qu’il était jeune correspondant pour divers médias libres. C’est en l’an 2000, au cœur de la capitale russe qu’il a monté le Centre pour le journalisme en situation extrême. « Cette appellation venait de l’anglais et, au début, sonnait bizarrement en russe. Mais les huit ans de présidence Poutine ont depuis parfaitement justifié ce choix… », ironise Oleg Panfilov qui a mis en place cette ONG l’année de l’arrivée au Kremlin de Vladimir Poutine.

Oleg Panfilov est d’ailleurs lui-même régulièrement accusé d’être « un ennemi » : son organisation est financée par divers fonds occidentaux et multiplie les formations, en Russie mais aussi en Géorgie ou en Ukraine. « Dans ces pays, il existe une véritable tradition démocratique. Ce n’est pas le cas en Russie où la majorité des journalistes ne sont pas encore prêts à poser des questions critiques aux autorités. Lorsque, après la mort d’Anna Politkovskaïa [NDLR : la célèbre journaliste critique du Kremlin assassinée en 2006], 600 personnes ont manifesté dans les rues de Paris et seulement 150 à Moscou, vous avez parfois envie de baisser les bras…» Mais, professeur dans l’âme, Oleg Panfilov croit toujours en l’espoir de créer « d’ici 20-30 ans une nouvelle génération de journalistes en Russie».

Derrière lui, c’est Chen GUANGCHENG qui lutte pour les opprimées chinoises, c’est Marc ONA ESSANGUI qui se bat pour l’avenir du Gabon, c’est Abdelatif BOUHJILA qui combat l’islamisme tunisien et c’est aussi Benki PIYAKO qui œuvre pour les siens et l’Amazonie. Découvrez leur histoire dans cet excellent article disponible en ligne ICI.

La lutte pour les droits de l’homme est un combat ardu, hélas devenu éternel. La dictature, l’oppression n’a pas de repos. Certains en font leur quotidien, presque aussi facilement que vous, vous pensez à faire vos devoirs le soir. Bien sûr, c’est incomparable. Je voulais simplement vous faire comprendre que le monde avance grâce à eux. La liberté est un cadeau précieux. Ceux qui en sont privés le savent bien…

– Le texte de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme

– le site de Reporters sans Frontières

– le site d’Amnesty International

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