Home » Et pourquoi ? (Page 2)

Category Archives: Et pourquoi ?

La Bourse, c’est quoi ?

ECONOMIA
La Bourse, c’est quoi ?

D’un côté il y a des acteurs économiques qui peuvent épargner : ceux sont les ménages ( c’est un ensemble de personnes qui ont la même résidence et donc la principale fonction économique est de consommer, vous faîtes partie d’un ménage), ils veulent que cela leur rapporte des intérêts mais que malgré tout ils puissent en disposer au cas où…

De l’autre, il y a les entreprises qui ont besoin d’argent pour financer leurs investissements (par exemple : construire une nouvelle usine, financer un projet de recherche ou acheter du matériel…) Elles cherchent des capitaux  à long terme.
La bourse ou marché financier permet de concilier ces besoins contradictoires. En France, la bourse s’appelle Euronext, à New-York, c’est Wall Street.

On se retrouve dans la même situation que sur « un marché du village »
Il y a des vendeurs (les entreprises) qui proposent des titres (actions par exemple ) que les clients (les ménages) vont acheter avec leur épargne. Bien sur, il n’y pas vraiment de lieu réel, d’autant plus que les ordres d’achat se font par ordinateur, mais le principe est le même.

Dans quelle situation se trouve-t-on ?  d’un côté les entreprises ont maintenant les moyens (l’argent) de financer leur projet et de l’autre les ménages sont  propriétaires d’une partie  de l’entreprise : ils sont devenus actionnaires de celle-ci.  Chaque année, ces actionnaires vont percevoir une partie des bénéfices : les dividendes.

Imaginons que le ménage qui détient des actions ait besoin de récupérer son argent, il va pouvoir les revendre sur le marché financier, le tout est qu’il trouve un acheteur. Donc une action peut changer de propriétaires de nombreuses fois y compris sur une même journée… mais  ceci est un autre problème…
Si on vend plus cher que l’on a acheté l’action, on dégage ce qu’on appelle une plus value (un bénéfice), on peut aussi la revendre moins cher alors là on perd de l’argent !!!

Bien sur, sur le marché financier, il n’y a pas que des actions mais on a inventé plein d’autres produits financiers plus ou moins risqués que l’on peut acheter et vendre, et ce, à l’échelle planétaire, il n’y a pas que des ménages mais d’autres acteurs  (les banques, les entreprises d’assurance…) qui placent des capitaux. Ils s’échangent par jour des milliards de dollars, le but est toujours de revendre plus cher que la valeur d’achat (on n’y arrive pas toujours !).

On s’est beaucoup éloigné de la simple logique de financement du début, la «  planète finance » répond à sa propre logique et on arrive à des aberrations qui peuvent déboucher sur de graves crises comme en 2008.

Béatrice GHEERAERT
(professeur agrégé de S.E.S au Lycée St Luc, Cambrai)

Comment créer son entreprise ?

Par où commencer quand on veut monter sa p’tite boite?
Il faut tout d’abord s’informer, se faire aider. Il existe de nombreux organismes qui peuvent accompagner ceux qui veulent se mettre à leur compte : chambres de commerce, chambres de métiers, boutiques de gestion… N’hésitez pas. C’est très important ! Les créateurs se font aider les premiers mois, voir les premières années, ils auront bien plus de chances de durer que ceux qui se lancent seuls sans demander d’aide.

Créer une entreprise… pourquoi pas moi ?

Chaque année, environ 300 000 entreprises sont créées ou reprises. Près d’un tiers le sont par des demandeurs d’emploi. La création d’entreprise s’adresse à tous : hommes, femmes, cadres, ouvriers, demandeurs d’emploi, salariés…  36 % des créateurs sont ouvriers ou employés, et 52 % n’ont pas le niveau bac! Comme quoi on peut toujours s’en sortir dans la vie! Et si vous avez un projet réfléchi, foncez! La longévité d’une entreprise est liée à la qualité de la préparation du projet !

Les 10 questions à se poser en tant qu’entrepreneur :
1. Avez-vous une réelle expérience ou de réelles compétences (professionnelles) dans le secteur d’activité de l’entreprise que vous souhaitez créer ?
2. Quels sont les domaines pour lesquels une formation vous serait nécessaire (commercial, gestion…) ?
3. Accepterez-vous les contraintes d’un chef d’entreprise : tâches administratives, travail assidu, week-ends compris bien souvent, revenu incertain, principalement au démarrage, etc… ?
4. Avez-vous demandé l’avis de vos proches ? Votre conjoint(e), votre famille, sont-ils prêts à supporter ces contraintes ?
5. Quelle sera votre équipe : associés, salariés… ?
6. Votre produit ou service est-il innovant ? Avez-vous des concurrents ?
7. Savez-vous combien et comment le vendre (votre produit) ?
8. Avez-vous mené une analyse économique récente du secteur qui vous intéresse au sein de la région où vous souhaitez vous implanter ?
9. Quelle est la clientèle potentielle de votre produit ou service, ses caractéristiques, ses attentes…?
10. Avez-vous réalisé une étude de marché et étudié la rentabilité de votre projet ?

La base de l’entreprise

> Si vous avez déjà une idée de l’entreprise que vous voulez développer, complétez cette liste avec les premiers éléments dont vous disposez :
Vos fournisseurs, produits ou services, votre équipe, votre projet, vos marchés, clientèle et concurrents, votre forme juridique, votre financement
> Montrez cette liste à votre entourage et demandez le maximum d’avis et de conseils.Notez les observations qui vous semblent les plus pertinentes ainsi que les coordonnées des personnes qui pourraient vous aider.(ça peut vous être très utile!)

Financement

Le financement est un mot qui donne des boutons à ceux qui préparent leur projet pour monter leur entreprise !
Mais ça peut se comprendre ! Malheureusement, il faut passer par cette case…
Les banques ne financent pas plus de 70% pour votre projet, donc il vous faudra avoir des économies ou faire appel à votre entourage pour rassembler les 30% restants. Il faut donc prendre les devant pour financer votre projet.
Vous pouvez toujours avoir une petite pensée pour que la banque vous fasse un prêt mais les banquiers préfèrent des garanties plus classiques (ex: voiture, appartement, terrain…) donc essayez d’être convaincant.
Pour des bourses, prêts d’honneur, participation, renseignez-vous auprès de votre ANPE ou sur www.apce.com.

Qui peut vous aider et vous conseiller ?

La France dispose d’un important réseau d’appui et d’accompagnement à la création d’entreprise.
Consultez le site Internet de l’APCE (www.apce.com).
Vous y trouverez toutes les adresses utiles.

Les erreurs à éviter !

– Vous concentrer sur la recherche des aides et négliger le côté commercial (cibles du marché, recherche de clients…).
– brûler les étapes et faire preuve d’un optimisme dans vos prévisions du projet.
– Vous lancer sans préparation et sans un minimum de connaissances (notamment en gestion, comptabilité, marketing…).
– négliger l’expérience et l’avis des professionnels ayant créé le même type d’activité que vous.
– bâcler le plan de financement.
– Vous lancer sans en parler à votre entourage et en ne voyant pas les conséquences de votre projet sur votre famille.
– imiter une création sans avoir mené une réflexion personnelle.

Les sept règles d’Or

1. Faites le point sur vos motivations, votre goût du risque, votre endurance, vos atouts professionnels et extra-professionnels pour cette entreprise.
2. Faites-vous accompagner le plus possible par des professionnels avant et après la création.
3. Ne vous laissez pas décourager par les formalités et obstacles, mais ne les négligez pas.
4. N’attendez pas le client. Allez le chercher par une démarche active et une approche marketing réfléchie.
5. Surveillez la concurrence et ses innovations, pour faire évoluer votre service ou votre produit.
6. Gardez toujours en tête votre échéancier.(échéancier : registre où sont inscrites, à leur date d’échéance, les dettes, les créances.
7. Choisissez vos partenaires, associés, fournisseurs, prestataires avec soin.

A vous de jouer !

par Sarah CARON (3e C)

La Droite en France, idéaux d’hier et d’aujourd’hui

HISTORICITÉ
La Droite en France, idéaux d’hier et d’aujourd’hui

Pour reprendre une vieille expression, « tout fout le camp », y compris le clivage gauche-droite, ce qui rend assez difficile le sujet de cette chronique. Nous sommes apparemment loin du bon vieux temps d’avant-guerre (la Deuxième), où il était possible de distinguer trois, voire quatre droites en France : la légitimiste (nostalgique de l’Ancien Régime), l’orléaniste (droite libérale), la bonapartiste (mélange de conservatisme, de nationalisme et d’idéal de grandeur) et la réactionnaire « populiste » (extrême-droite, louchant parfois vers un fascisme dont les racines sont aussi de gauche). Si elles ont toutes plus ou moins survécu aux aléas de l’Histoire, seules deux ont pu prétendre accéder et se maintenir au pouvoir : la libérale et la bonapartiste, rebaptisée gaulliste. Cette dernière paraît en voie d’extinction rapide depuis la création de l’UMP en 2002.

Ce parti, en position hégémonique sur la droite de l’échiquier politique français depuis 2002, et surtout 2007, n’a pas pour autant été totalement converti aux charmes du libéralisme brutal  prôné en leur temps par Alain Madelin et Patrick Devedjian : culte de la concurrence, exaltation du marché mondial et de la compétitivité, individualisme absolu…Les vieilles valeurs de la Droite (Honneur, Patrie, Travail et Famille) n’étant plus que des antiquités encombrantes bonnes à mettre au musée.  Les derniers défenseurs de ces principes (tels Dominique de Villepin, Philippe de Villiers…) pouvaient aussi recevoir le renfort d’une partie de la gauche dite « républicaine » attachée à une certaine idée de la France et de son pacte social (Jean-Pierre Chevènement).

Il fallut donc toute l’habileté, somme toute très bonapartiste, d’un Nicolas Sarkozy, pour faire une synthèse électoralement présentable de ces valeurs, épicée de quelques références à gauche (Jaurès et Blum), et ainsi conquérir l’Elysée. Tout le problème étant ensuite de ne pas décevoir…

Philippe BOUCHÉ
(professeur agrégé d’Histoire – diplômé de Sciences Po Bordeaux)

Pour en savoir plus, voir l’intégrale de cet article publié à cette adresse.

U.P.M : un partenariat pour les pays de la Méditerranée ?

GÉOPOLIS
U.P.M, créer un partenariat pour les pays riverains de la Méditerranée ?

U.P.M. , un sigle pour : Union Pour la Méditerranée. Une organisation intergouvernementale (O.I.G.) de plus ? Pour quels états ? Avec quels objectifs ?
L’UPM est en réalité un « vieux projet » de l’U.E. puisque c’est en 1995 qu’un premier projet en Méditerranée est envisagé entre quelques pays de l’UE et des états du Sud du bassin méditerranéen. Au programme : créer une zone de libre-échange dans cette région (interface entre l’Euroe et l’Afrique, entre Nord et Sud), établir un espace de développement et de stabilité politique dans une région marquée par de puissants contrastes socio-économiques et la permanence de tensions (actes terroristes, conflits israélo-arabes…)

Ajourné de multiples fois, imaginés avec des partenaires différents, il faut attendre l’été 2008 pour voir 43 pays s’associer dans ce qu’il convient d’appeler maintenant UPM. Les 27 de l’UE y participent (à la demande de l’Allemagne…pays aussi peu « méditerranéen » que les états baltes…) ainsi que les pays du Sud et de l’Est du bassin. Les objectifs restent globalement les mêmes : commerce entre les membres renforcé, aide au développement et …contrôle des flux migratoires auxquels se sont rajoutés les inévitables « enjeux environnementaux et énergétiques »

Pourtant les difficultés persistent : la dernière réunion de l’UPM s’est déroulée en juin 2009 à Paris sur le thème du développement durable (seuls 35 pays y participaient), première réunion depuis le « gel du processus » par la Lybie notamment ! Pourquoi ? Des rivalités subsistent : le contrôle du leadership par certains pays du Maghreb (l’Egypte, le Maroc…face à la Lybie), des enjeux sur la fourniture de gaz (l’Italie multiplie les relations exclusives avec la Lybie..), le conflit israélo-palestiniens (l’Etat Hébreu et l’autorité palestinienne sont tout deux membres de l’UPM), la candidature future de la Turquie (pays qui « n’appartient pas au continent européen » – N. Sarkosy, mais de plein-pieds en Méditerranée…

L’UPM est appelée dans ses conditions à multiplier les réunions partielles, sur des sujets anodins…en tendant à devenir une organisation d’aide au développement régionale et laissant de côté ses ambitions politiques alors que les liens culturels, historiques… sont puissants dans cet espace ! Une façon aussi de laisser d’autres puissance y manœuvrer librement telles la République Populaire de Chine ou les Etats-Unis…

Bruno IVANEC
(professeur d’histoire-géographie au Lycée St Luc, Cambrai)

Rappel : au sujet de la Méditerranée, parution du no 111 de la Revue géographique des pays méditerranéens, qui traite principalement des Ville portuaires, Horizons 2020. Les nouveaux enjeux du développement.
Consultable sur http://mediterranee.revues.org (avis repris des Clionautes – BS).

A quoi servent les murs ?

HISTORICITÉ
A quoi servent les murs ?


Alors que les médias se préparent à célébrer le vingtième anniversaire de la chute du Mur de Berlin, survenue en novembre 1989, il est de bon ton de gloser sur ces constructions inutiles et inhumaines, si incompatibles avec notre « Monde sans frontières ».

Il ne manquera pas d’esprits forts pour ricaner et énumérer tous ces murs et murailles qui se sont dressés en vain contre la marche de l’Histoire : les murs d’Hadrien, d’Antonin et autres « limes » romains ? Abandonnés. La Grande Muraille de Chine ? Enfoncée. La Ligne Maginot ? Contournée. Le Mur de Berlin et le Rideau de Fer ? Réduits en pièces détachées pour musées et collectionneurs. La particularité de ces dernières constructions résidait sans doute dans le fait qu’elles n’étaient pas destinées à protéger d’une invasion, mais à empêcher les habitants de l’Est de s’enfuir.

Pourtant, il faut constater que d’autres murs subsistent encore, ou se sont levés depuis : la ligne verte qui coupe Chypre en deux, la zone « démilitarisée » entre les deux Corées, la clôture anti-immigrés de la frontière américano-mexicaine, le « Mur de Sécurité » édifié par Israël autour des territoires palestiniens…Et j’en oublie sûrement.
De fait, notre monde de l’après-guerre froide est plus que jamais tenté par l’enfermement. C’est au nom de la sécurité que les citoyens fortunés se verrouillent dans des quartiers sécurisés un peu partout sur la planète, et que les Etats entendent contrôler leurs frontières. Quoi de plus naturel, au fond ? Vous dormiriez tranquille, vous, dans une maison aux murs poreux, sans porte ni fenêtres fermées, le tout au milieu d’un quartier dangereux ?

Que ces murs soient coûteux et d’une efficacité toute relative a finalement peu d’importance, à côté des emplois créés et du sentiment de sécurité qu’ils procurent.

Philippe BOUCHÉ
(professeur agrégé d’Histoire – diplômé de Sciences Po Bordeaux)

– Le site « Toute l’Europe » propose un dossier très complet surla chute du mur de Berlin
(source Les Clionautes – Cécile DE JOIE)

Ostiane Mathon a consacré une page de son site « Séquence Pédagogique » à la chute du mur de Berlin.

Nicole Mullier, clionaute avertie, nous signale une exceptionnelle vidéo de la Deutsche Welle, en français, pour comprendre tout le dispositif autour du mur de Berlin : « Emmurés » (animation 3D)

Quel est l’âge de Mickey ?

La première apparition de Mickey ne date pas d’hier ; c’était le 18 novembre 1928 ! La souris la plus connue de la terre est née dans Steamboat Willie, un film d’animation d’une durée de sept minutes environ. Cette première apparition de Mickey Mouse n’a donc duré que quelques minutes mais a laissé le public pantois, enthousiasmé par l’effet sonore mis au service du comique. Pour la première fois, un film d’animation utilisait une bande-son synchronisée. Mickey Mouse apparaissait déjà en petit matelot, mais il ne devint vraiment célèbre que lorsque Walt DISNEY lui prêta sa voix. Il donna à son personnage cette voix originale jusqu’en 1946, année au cours de laquelle il désigna Jim MacDonald pour le remplacer (en raison d’un problème de toux chronique dû à la cigarette). Jim MacDonald est ensuite remplacé par Wayne Allwine, à partir de 1983.Lorsqu’on l’interroge sur l’identité de son persoaaneg, Walt DISNEY déclarait : « L’idée de ce petit rongeur me trottait dans la tête. Une souris est après tout un personnage sympathique malgré la frayeur qu’elle inspire à tout le monde, y compris à moi.« 

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x7g7dq_steamboat-willie-1928_shortfilms[/dailymotion]

Une légende raconte d’ailleurs à ce sujet que Walt DISNEY avait choisi une souris parce que son studio en était infesté… Mickey Mouse, la célébrissime souris croquée en trois coups de crayons par Ub Iwerks a donc soufflé, en 2008, ses 80 bougies tout comme sa compagne, l’adorable Minnie ! Véhiculant des valeurs morales, Mickey est devenu à ce point emblématique que les trois cercles qui forment le dessin de sa tête sont désormais indissociables de la marque Disney.

Mickey n’a pas eu tout de suite les signes distinctifs qui ne le quitteront plus : les gants blanc, la culotte rouge et… une voix de fausset ! En 1930, il envahit de nouveaux supports : le comic strip, les jouets avec une poupée à son effigie et le livre. La même année, Mickey perd son dessinateur puisqu’Iwerks part créer l’Iwerks Studio. Walt DISNEY le remplace alors pour la bande dessinée par Floyd Gottfredson, et pour les courts métrages, par David Hand qui travaille sur les Mickey Mouse jusqu’à la fin de l’année 1932.

En 1932, Mickey part à la conquête du monde. « Le Journal de Mickey » paraîtra pour la première fois en 1934 en France. Mais à mesure que grandit sa popularité, son influence évolue et à la demande des parents, il est contraint d’abandonner toutes mauvaises actions pour s’imposer comme un modèle de bonne conduite. Un rôle qui le contraint à céder la place à des personnages plus « humains » comme Donald, Picsou, Pluto, Dingo

Très tôt, les distributeurs de films comme Pathé, présent des deux cotés de l’Atlantique, diffusent les courts métrages de Mickey dans le monde entier. Le public est rapidement conquis par ce personnage joyeux et attendrissant. On peut toutefois noter une différence de traitement entre les courts métrages et les bandes dessinées. Les films sont plus axés sur la comédie tandis que les bandes dessinées et plus tard les livres incluent en plus une grande part d’aventure. Mickey est souvent sur le papier un explorateur, un aventurier parti à la recherche de trésor ou de « gloire » (plutôt de dépassement de soi). Cette divergence s’accentuera encore plus à la fin des années 1930.

Walt Disney décide de poursuivre jusqu’en 1943 la production des courts métrages regroupés sous le titre Mickey Mouse, même si Mickey n’y fait que de brèves apparitions. La Seconde guerre mondiale force les studios à éclipser légèrement Mickey au profit de personnages « plus proche des hommes » comme Donald, qui est utilisé dans des films de « propagande »..

Une page se tourne dans la deuxième moitié des 70’s, avec le départ à la retraite de Gottfredson. Mickey obtient une étoile sur le Hollywood Walk of Fame le 18 novembre 1978, en l’honneur de son 50e anniversaire ainsi qu’une plaque dans le Broadway Theatre (ex-Colony Theater) où eut lieu la première de Steamboat Willie en 1928. C’est le premier personnage animé à recevoir cette distinction. Et puis surtout, il revient au premier plan pour ne plus le quitter. Des parcs d’animations à son nom, des long-métrages, des produits dérivés par milliers… Mickey Mouse est plus que jamais la marque de fabrique de Disney.

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x8doi0_mickeys-magical-party-la-fete-magiq_travel[/dailymotion]

Pour en savoir plus :

– la page consacré à ce 80eme anniversaire [Europe1.fr]

– l’article complet de Wikipedia

– « Une souris à l’agonie ? » un article original du site evene.fr

buy windows 11 pro test ediyorum