Brasilia, ville capitale

Brasilia est la capitale du Brésil ; elle compte 2 455 903 habitants.  Située au Centre-Ouest du pays sur un plateau à 1 100 m d’altitude, son climat est de type tropical, avec 22°de température moyenne, pour un taux d’humidité très bas l’hiver (25%).

Construite au centre-Ouest du pays afin de répartir les richesses et éviter les conflits entre Rio de Janeiro et de São Paulo. Contrairement aux autres villes de ce pays, elle ne fait pas partie d’un État, mais du District Fédéral. Brasilia est une véritable capitale politique et administrative. L’urbaniste Lucio Costa a dessiné le plan de cette ville qui vit le jour en 3 ans sous la forme d’un avion. Vu du ciel, les quartiers résidentiels, centres commerciaux, écoles et parcs se situent dans « les ailes de cet avion » et se gèrent seuls ; les habitants n’ont donc pas besoin de voiture.

Les entreprises privées représentent peu de l’activité locale et les industries lourdes et polluantes sont interdites dans la ville. L’architecte  Oscar Niemeyer a construit les principaux bâtiments de Brasilia : le congrès nationale, le ministère des affaires étrangères tribunal et palais de la présidence, ainsi que la cathédrale. La Cathédrale « Notre Dame de l’apparition » est de structure hyperboloïde d’un diamètre de 70 m, obtenue par l’assemblage de 16 colonnes de 90 tonnes chacune, représente deux mains se rejoignant. Les évangélistes Matthieu, Marc et Luc sur la gauche et Jean sur la droite. La cathédrale a été consacrée le 31 mai 1970.
La langue parlée y est principalement le portugais. Les habitants sont appelés « Brasilienses » et les ouvriers « Candagos » ; son origine vient de l’esclavage. Les travailleurs de classes moyenne et supérieure furent désignés comme « Pioneiros ». Les Brésiliens de la nouvelle génération nés à Brasilia, s’appellent entre eux « Calangos », terme qui désigne une espèce de lézard de la région.

Les populations pauvres habitent les abords de la ville dans les favelas. Maisons construites avec des matériaux trouvés et ramassés sur les chantiers de la ville. Feuilles de palmiers tressées, tôles … pour le toit ; planches et poteaux de bois pour la structure. Le sol est en terre, la cuisine s’effectue à l’extérieur de la baraque sur un feu de bois. Les favelas s’étendent et se transforment pour devenir de véritables villes dans la ville. Les habitants s’organisent, on y trouve des boulangers, artisans, écoles, lieux de cultes … mais aussi des gangs qui se disputent le pouvoir et y font régner la terreur.

Références : Wikipédia – Asopa.free.fr/racine/favelas.html – www.journaldunet.com

Garance UBALDI (5ème D)

La mer de glace en péril

De moins en moins épaisse, la couche transparente a perdu près de cent mètres en quelques années. La visite de la célèbre grotte devient de plus en plus difficile. La station française cherche une solution pour sauver cette attraction touristique. Il y a trente ou quarante ans, on montait déjà à bord du train du Montenvers pour atteindre l’hôtel du même nom. Puis, quelques marches suffisaient pour descendre sur la glace. Aujourd’hui, il faut non seulement emprunter un téléphérique depuis le terminus ferroviaire, mais des marches ont été installées afin de pouvoir descendre et visiter la fameuse grotte.

Dans 100 ans, la température moyenne de la planète pourrait augmenter de 2 à 6°C. Au cours du XX siècle,la température moyenne s’est dejà elevéé environ 1°C les resposables du rechauffement climatique sont des gaz comme le dioxyde de carbonne. Ils sont rejetés par les usines, les voitures … dans l’atmosphére ils forment une sorte d’écran qui retient la chaleur et la renvoie vers la terre.

C’est l’effet de serre pour réduire les rejets de gaz à effet de serre. Il faut donc changer notre façon de vivre et ce n’est pas facile car les dangers paraissent lointains! certains pays, comme la France se sont engagés à reduire leur gaz a effet de serre, ils developpent aussi des energies non polluantes comme les éoliennes. Mais les Etats-Unis les plus gros pollueurs refusent de faire beaucoup d’efforts. On peut agir, en effet, les petit geste font les grandes économies.

Préférer la marche a pied,le vélo ou le bus ,quand c’est possible. Les européens utilisent  leur voiture une fois sur deux, pour des trajets de moins de 3 kilometres ou l’effet de leur chaleur, les océans se dilateront : leur niveau pourrait monter d’un métre les gens qui habitent sur des iles et prés de la mer devront deménager! Paris aura les pieds dans l’eau a cause de grandes innondations. Certaines régions du monde seront exposées à d’avantage de pluies, de tempètes et innondations. En Asie,par exemple,les moussons seront plus fortes et plus longues d’autres régions souffriront de la sécheresse. Cela augmentera les famines et la mortalié,  des maladies graves vont faire leur apparition ou certaines deja présentes mais vont s’aggraver.  l’ours blanc est choisi comme l’enblème animal du rechauffement climatique. la fonte des glaces ne permettrait plus à l’ours blanc de se retrouver sur la terre ferme et pourrait se noyer ou mourir de faim.

Pour éviter des dommages irréversibles nous devons stopper l’augmentation de la température qui ne  pourra être superieur a 2°C par rapport au valeur de l’ère préindustrielle ; c’est faisable si nous limitons les émissions de gaz à effet de serre mais principalement le Co2 pour y arriver,nos devons replacer nos sources d’énergie comme le pétrole et le charbon par des alternatives meilleures pour le climat et notre survie sur terre.

Antoine DELPORTE & Frédéric WASTEELS (4e E)

L’affaire Farewell : quelle affaire !

Résumé de l’affaire
En pleine guerre froide, dans les années 1980, au début des années 1980 pour être plus précis, un géant réseau d’espionnage commence alors… L’histoire se passe à Moscou avec un colonel du KGB, Sergueï GRIGORIEV. Ce colonel qui est déçu du régime de son pays, prend alors contact avec un jeune ingénieur, Pierre Froment, en poste à Moscou, pour changer le système. Il lui remet des informations confidentielles qui ne tardent pas à intéresser les services secrets occidentaux…

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Au début des années 1980, La guerre froide bat son plein. En plein dedans ! L’URSS a envahi l’Afghanistan et la Pologne est sous tension ! De quoi avoir la pression ! Officier de renseignement, déçu par le système, Vetrov (interprété par Emir Kusturica dans le film) prit contact début 1981 avec des amis français de Thomson-CSF (Des potes à lui), qu’il avait connu dans les années 60 à Paris, afin de livrer des documents à la DST, le service de contre-espionnage français.
Un des ingénieurs de Thomson (interprété par Guillaume Canet dans le film), du nom de Xavier Ameil, assuma les premiers rendez-vous à Moscou, avant de laisser la place, en mai 1981, à un professionnel du renseignement, “PF”, attaché militaire adjoint à l’ambassade de France à Moscou.

Au total, près de 4000 documents soviétiques furent transmis à la DST. Grâce à cette taupe au sein du KGB, les Français découvrirent des plans entiers du dispositif de pillage scientifique et technologique des Soviétiques à l’Ouest ! Le président François Mitterrand en informa le président Ronald Reagan lors du sommet d’Ottawa en juillet 1981. La CIA et la DST travaillèrent sur l’ensemble des informations collectées, découvrant les faiblesses technologiques de l’URSS. « Farewell » disparut un jour de février 1982 à Moscou, arrêté pour une affaire de meurtre d’un milicien et de tentative d’assassinat de sa maîtresse. Condamné à 12 ans de goulag, Vetrov ne fut démasqué qu’en 1983 comme « traître », après l’expulsion par François Mitterrand de 47 « diplomates » russes en poste à Paris. « Farewell » fut exécuté.

Une manipulation des Soviétiques ou des Américains ?

Dès le départ, les services français se demandent s’il ne s’agit pas d’une manipulation des Soviétiques… Mais la teneur des documents que « Farewell » fournit, en masse, les convainc vite que leur source ne bluffe pas.. Raté ! 70% des documents concernent les Etats-Unis. Ils révèlent le caractère systématique et organisé du pillage scientifique du KGB à l’Ouest, qui permet des économies considérables à l’URSS, chiffrées à 6,5 milliards de francs (un milliard d’euros) entre 1976 et 1980. Vetrov livre aussi l’identité de 222 officiers du KGB de la « ligne X » (espionnage scientifique et technique à l’étranger) agissant sous couverture diplomatique à l’Ouest et de 70 agents clandestins. Paris expulsera 47 de ces “diplomates” en avril 1983.

L’affaire « Farewell » a des effets en cascade !

« L’affaire Farewell » a des retombées énormes. Le premier effet est un réchauffement des relations entre Paris et Washington en 1981. En transmettant, à partir de mi-1981, les informations de « Farewell » aux Américains, les Français ont marqué des points.

En second lieu, côté américain, les documents de « Farewell » ont été utilisées de manière très machiavélique. Gus Weiss, ancien membre du Conseil national de sécurité à la Maison-Blanche, sous Ronald Reagan, a raconté comment la CIA et la Maison Blanche ont monté une vaste opération d’intoxication des Soviétiques. Elles ont notamment laissé le KGB dérober des logiciels américains auparavant piégés, qui ont fini par provoquer des dégâts majeurs en URSS, par exemple en faisant exploser un gazoduc soviétique… . « Un plan brillant » commentera Richard Allen, l’ancien conseiller à la sécurité nationale de Reagan.

La Maison-Blanche a aussi lancé, au bluff, des projets militaires délirants de défense anti-missiles, comme « la guerre des étoiles » en 1983, surenchère que les Soviétiques ont dénoncé sans avoir les moyens de la suivre. Et les Américains le savaient parfaitement…

Le film a été tourné en Ukraine(à Kiev et Kharkov) pour la partie estivale et en Finlande ( à Helsinki) pour l’hiver. Le réalisateur de ce film est Christian CARION qui a aussi réalisé « Merry Christmas » qui est un film que je recommande autant que « L’affaire Farewell » !

Sarah CARON (3ème C)

Les Provinces-Unies au XVIIe siècle

« Provinces-Unies » est le nom que prirent les sept provinces du nord des Dix-sept Provinces ou Pays-Bas espagnols en 1581 jusqu’à la création par les Français de la République batave et du Royaume de Hollande.

Les Provinces-Unies naissent des suites d’un conflit mené avec détermination par Guillaume d’Orange contre la domination espagnole. En s’en détachant, elles se sont peu à peu organisées, pour finalement connaître un formidable essor économique et culturel. Malgré leur lente décadence, leur rayonnement s’est ancré dans l’Histoire, et reste profondément gravé dans l’actuelle culture néerlandaise.

Les sept provinces : Hollande (ancien comté) / Zélande (ancien comté) / Overijssel (ancienne seigneurie) / Frise, (ancienne seigneurie) / Groningue (anciennes seigneuries de la ville et des Ommelanden officiellement appelé les « États de la ville et des Ommelanden) / Gueldre (partie de l’ancien duché de Gueldre) / Utrecht (ancienne seigneurie, évêché).

20 mars 1602
Les Provinces-Unies fondent la Compagnie des Indes orientales.
Afin d’établir un monopole commercial sur les mers indoues, les Hollandais fondent la compagnie des Indes orientales. Ils cherchent ainsi à chasser les Portugais du territoire. Dès 1619, la compagnie fondera la ville de Batavia, puis s’emparera de Malacca et de Ceylan. Les principales marchandises transportées seront les épices, une véritable source de richesse pour les Provinces-Unies. En quelques années, la compagnie se dotera d’une immense flotte, aussi bien commerciale que guerrière. Elle ne se limitera pas au trafic commercial puisqu’en 1652, elle colonisera le Cap, en Afrique du Sud. Peu à peu, elle apportera une prospérité économique considérable aux Provinces-Unies.

9 avril 1609
Une trêve est signée avec l’Espagne.
Sous l’impulsion du grand pensionnaire (grand gouverneur) Oldenbarnevelt, une trêve de douze ans est signée entre les Provinces-Unies et l’Espagne. Le prince d’Orange Maurice de Nassau, stathouder de plusieurs provinces et les calvinistes sont loin d’approuver cet accord. Un conflit les opposant à la bourgeoisie républicaine, qui soutient Oldenbarnevelt, naît alors. Ces troubles intestins mèneront à l’arrestation d’Oldenbarnevelt par Maurice de Nassau. Le grand pensionnaire sera décapité en 1619. Les Orangistes domineront alors les Provinces-Unies pour de longues années.

Le XVIIe siècle est considéré comme le siècle d’or des Provinces-Unies : le pays est alors à la tête d’un puissant empire colonial et commercial. Les villes attirent les aventuriers et les ouvriers de toute l’Europe. La réputation de tolérance et de liberté fait des Provinces-Unies un foyer intellectuel et culturel de premier ordre.

Source : Wikipédia, Linternaute et deux.fr.

Béatrice WLOCH (4ème C)

Constantinople, capitale d’Empire

Née d’une colonie grecque, Byzance prend de plus en plus d’importance au cœur de l’Antiquité. La cité dispose d’un emplacement privilégié, s’élevant sur la rive occidentale du Bosphore, un détroit qui relie l’Europe à l’Asie. Attisant les convoitises, elle est souvent détruite et pillée, avant d’être finalement intégrée à l’Empire romain.

En 324, l’empereur Constantin le Grand décide que Byzance est parfaite pour y installer la nouvelle capitale de l’Empire. Elle est surnommée la « Nouvelle Rome ». La ville de Byzance devient Constantinole en hommage à l’empereur romain Constantin Ier, qui choisit d’en faire la capitale de l’empire dés 330.

Elle s’impose rapidement comme la deuxième ville de l’empire jusqu’à la chute de Rome.
Sous l’impulsion de son fondateur, elle devient rapidement le centre de la religion chrétienne et de l’Empire romain. Mais à la mort de l’empereur Théodose Ier, en 395, le territoire est partagé entre ses deux fils. L’Occident et l’Orient sont à nouveau séparés. Constantinople devient alors la capitale de l’empire Byzantin.

Tandis que Rome et l’Occident cèdent sous le poids des Barbares, Constantinople rayonne de plus en plus. Durant tout le Moyen-Âge, elle apparaît comme un prolongement de l’Empire romain, où la culture, l’architecture, la population et le commerce se développe,  notamment sous Justinien. En quelques décennies, la ville antique devient une des plus grandes métropoles de l’Orient romain grâce à son rôle politique et à ses activités économiques et aux incitations financières impériales. L’église de la Sagesse Sacrée (Sainte-Sophie) fut un des plus grand édifice religieux de l’antiquité et sa coupole restera longtemps la plus imposante jamais construite.

Repoussant toutes les tentatives d’invasions étrangères, elle fait difficilement face aux épidémies, aux tremblements et aux  désaccords d’une population d’origines diverses.
Moins peuplée, elle n’en reste pas moins la plus belle ville chrétienne et devient vite l’étape privilégiée des croisés.

Lorsque la Quatrième croisade fut détournée par les Vénitiens , la ville est mise à sac en 1204. La cité perd alors définitivement ses ressources commerciales au profit des Vénitiens et des Génois, puis l’Empire se scinde en trois états: le Despotat d’Epire, l’Empire de Nicée et l’Empire de Trébizonde.

En 1261, les forces de l’empire de Nicée conduites par Michel VIII Paléologue la reprennent. Mais elle est vidée de toutes ses richesses, de ses habitants et aux trois quarts en ruine. En 1355 les Turcs ottomans, qui se sont déjà emparés de la totalité de l’Anatolie, passent en Europe et s’emparent en quarante ans de la Péninsule des Balkans : Constantinople est encerclée le 29 mai 1453, Constantinople est prise par les forces ottomanes conduites par Mehmet II. Le dernier empereur romain Constantin XII Dragasès meurt sur les remparts en défendant sa ville qui va devenir Istanbul sous la domination turque.

Erwan REBOURS (5eme C)

L’armée romaine

I. Le recrutement dans l’armée romaine

Sous la république, le cens était un dénombrement qui servait de base au recrutement. Les jeunes espoirs romains (jeunes patriciens) et les Étrusques ou les italiques d’Ethnie ayant porté les armes contre Rome n’ont pas le droit d’entrer dans l’armée.
Jusqu’en -107, les troupes étaient constituées par convocation, une fois l’an, des petits propriétaires, qui avaient les moyens de s’acheter leur équipement de légionnaires et constituaient une armée de guerriers-citoyens. Le recrutement se généralise, même si certaines unités restent mono-ethniques. Désormais, les non-possédants peuvent être engagés sur la base du volontariat. Les esclaves ne sont engagés qu’en cas d’urgence.
Les congés n’ont lieu que tous les deux ans. Cela assure à la fois une armée nombreuse de vétérans bien formés. Les troupes auxiliaires, elles, sont dues par les états ou les peuples inféodés.

Après la réforme de Marius, la troupe recevait la solde Les auxiliaires étaient moins bien payés que les légionnaires eux-mêmes moins bien payés que les Prétoriens. Sous Jules César les légionnaires recevaient 225 deniers par mois, contre 300 pour un prétorien. Domitien les augmenta et elle passa à 300 pour les légionnaires. Sûrement à cause de l’inflation durant le second siècle, Septime Sévère la passa à 500 pour le légionnaire. D’autre part, suivant son grade, chaque soldat avait le droit à une part de butin en cas de victoire militaire. Il pouvait également espérer des primes exceptionnelles pour des événements importants.

II. L’organisation de l’armée romaine

L’armée romaine est organisée en légions et son général en chef est l’empereur.
Subdivision d’une légion :
•    une centurie est composée de 80 à 100 légionnaires, dirigée par un centurion (officier subalterne).
•    une cohorte est composée de 6 centuries (2 de jeunes, 2 d’âge mûr et 2 de légionnaires expérimentés), sauf la 1ère cohorte qui est composée de 5 groupes de 160 hommes,
•    une légion est composée de 10 cohortes numérotées de I à X (la 1ère est la plus prestigieuse et la plus nombreuse) : cela représente environ 6 000 légionnaires. La légion est commandée par un légat (général d’armée), 6 tribuns et une cinquantaine de centurions.

Par exemple, l’armée romaine durant le siège d’Alésia était composée de 12 légions, soit près de 70 000 légionnaires (dont certains étaient d’ailleurs des gaulois). Ils parviendront par leur siège à soumettre les 80 000 gaulois retranchés dans leur oppidum et résisteront aux 24 000 fantassins et 8 000 cavaliers de l’armée de secours gauloise.

III. La vie du soldat romain

1. La discipline et l’entraînement
La discipline et l’entraînement des légions se manifestent également dans ses déplacements, et notamment dans ses cadences de marche. Cette rapidité de déplacement (inégalée jusqu’à la Révolution française) donne de grands avantages opératiques à la légion romaine : elle permet de réunir deux fois plus de troupes que l’ennemi en un endroit déterminé, avant qu’il puisse réagir. Sous l’Empire, pour les légionnaires, cette cadence est possible grâce à un entraînement ayant lieu au moins trois fois par mois, à date fixe.

L’alimentation du soldat est frugale, elle est à base de blé. Le repas type se compose de pain (1kg par jour), parfois de fromage et d’un 1/2 l de vin.

2. Les récompenses militaires
pour les soldats et les officiers: habituellement ils reçoivent des décorations comme des bracelets, des colliers, ou des médailles phalerae et surtout des couronnes décernées pour des actions d’éclat:
•    le titre d’imperator
•    des actions de grâce,
•    des ovations,
•    des triomphes.

Valentin ZÉNOUDA (5ème C)

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