« Mon cœur s’ouvre à ta voix, comme s’ouvrent les fleurs aux baisers de l’aurore… » Combien de chanteuses ont interprété cet air de Samson et Dalila, d’une sensualité toujours délicieuse ? A l’instar de la Bacchanale du troisième acte, c’est aussi un arbre superbe qui cache une forêt de merveilles dans cet opéra créé à Weimar en 1877, dix ans après le début de sa composition.
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