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Un chef d’entreprise au lycée Julliot-de-la-Morandière
M. Varin, gérant propriétaire de la SARL Voilerie Granvillaise, est venu rencontrer les étudiants de 1ère année du BTS Technico-commercial option nautisme.
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Rencontre Iguana Yachts
Mercredi 21 novembre, les BTS TC2 ont rencontré M. Brugidou de l’entreprise Iguana Yachts
Les Galton’s et leur inventeur chez les BTS Nautisme
Le goût d’entreprendre transmis aux jeunes
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Devant des étudiants en nautisme, John Galton a décrit la génèse de sa béquille de bateau.
Sixième semaine du goût d’entreprendre à Granville, deux rencontres entre chefs d’entreprise et élèves. Sébastien Bellétoile s’est présenté devant des 3e, John Galton devant des BTS.
La béquille de bateau de la SARL Les Galton’s
À 35 ans, John Galton est l’heureux inventeur d’une nouvelle béquille de bateau « pour échouer en toute sécurité », explique-t-il. Une invention qui a tout naturellement incité Corinne Doliays, professeur au lycée de la Morandière et le solliciter pour le faire intervenir devant sa classe de BTS Technico commercial « Nautisme et services associés ». « Les étudiants sont demandeurs de ce genre d’intervention », affirme-t-elle.
Introduit devant la classe par une représentante de la CCI de Granville, porteur de la Sixième semaine du goût d’entreprendre, John Galton a commencé par présenter à son auditoire son parcours. « J’ai suivi une formation généraliste. Après un IUT Technique de commercialisation, j’ai continué en école supérieure de commerce. »
L’idée de mettre au point cette béquille de bateau, il l’a eu presque « par hasard ». « J’étais dans l’immobilier depuis dix ans et à mes heures perdues, je faisais du bateau à Chausey. Je voulais un outil de la sorte. J’ai fait des recherches. Je n’ai rien trouvé, alors je me suis lancé ! » Il n’a de cesse de dire que son projet était simple. « Ça plaît plus facilement aux gens. »
En septembre 2010, sa béquille est au point, il finit par déposer son brevet. Et tout s’enchaîne. « J’ai même fait le salon nautique l’année dernière, où je suis resté discret, car il faut protéger son idée. »
La chance de John Galton, selon lui, c’est d’avoir pu s’autofinancer. Un étudiant de demander : « Mais combien vous a-t-il fallu réellement ? » Sa réponse : « 18 000 €, ce qui n’est pour ainsi dire rien pour lancer une entreprise ! » Sa clef de la réussite ? « Avoir un modèle économique peu onéreux, et se bouger pour faire parler, sur Internet, dans la presse, etc. »