Déjà s’annonce le temps des fêtes et des excès gastronomiques. J’en profite donc pour faire « remonter » cet article – qui pourra incidemment aider mes élèves de Seconde en vue de leur prochaine évaluation.
—
Plusieurs études assez récentes soulignent que toute volonté de développement durable est vaine si la consommation de viande n’est pas urgemment freinée ! C’est en tout cas ce que l’on peut lire dans un article du journal Le Monde rappelant quelques évidences difficiles à avaler :
(…) Un repas avec viande et produits laitiers équivaut, en émissions de gaz à effet de serre, à 4 758 km parcourus en voiture, contre 629 km pour un repas sans produits carnés ni laitiers. Pour protéger la planète, il est donc aussi efficace – sinon plus – de se priver de viande que de rouler à vélo ou de baisser le chauffage.
L’élevage est, de fait, responsable de 18 % des émissions totales de gaz à effet de serre, davantage que les transports, selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Il est, de plus, responsable d’autres dégradations : pollution des eaux, érosion des sols, perte de biodiversité…
La production de viande capte en outre des ressources considérables en terres et en eau. Elle mobilise 70 % des terres arables. Environ 9 % des quantités d’eau douce consommées chaque année y sont consacrées.
Dans toutes leurs projections, les experts désignent l’augmentation de la demande de viande comme un des principaux facteurs des pénuries à venir. (…)
—
Pour lire la suite, voici un lien vers l’article dans sa totalité. Je vous conseille de jeter un œil aux liens consacrés à ce chapitre que vous pouvez trouver sur mon « scoop.it » (un service qui me permet de collecter des pages liées à vos programmes d’histoire et de géographie). Vous y trouverez des indices précieux pour votre prochaine évaluation.
Commentaires récents