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Category Archives: Non classé

« Muette » d’Eric Pessan

muette

Pessan, Eric. Muette. © Albin Michel, 2013

 

« Petites scènes capitales » de Sylvie Germain

petites scènes capitales

Germain, Sylvie. Petites scènes capitales. Albin Michel, 2013

« La nostalgie heureuse »d’Amélie Nothomb

La-nostalgie-heureuse

Nothomb, Amélie. La Nostalgie heureuse. ©Albin Michel, 2013

 

« Magasin général.8, Les femmes » de Régis Loisel et Jean-Louis Tripp

magasin général8

Loisel, Régis ; Tripp, Jean-Louis . Magasin général.8, Les femmes. © Casterman, 2012

 

 

« Liberté & Cie : quand la liberté des salariés fait le bonheur des entreprises  » d’ Isaac Getz et Brian M. Carney

liberté & compagnie

 

Getz, Isaac ; Carney, Brian M.
Liberté & Cie : quand la liberté des salariés fait le bonheur des entreprises .
© Flammarion, 2013. (Champs. Essais, n° 1065 ).

« Gitans, « Tsiganes, Roms… : idées reçues sur le monde du voyage » de Marc Bordigoni

gitans, tziganes

Bordigoni, Marc . Gitans, Tsiganes, Roms… : idées reçues sur le monde du voyage .
© Le cavalier bleu, 2013. (Idées reçues. Grand angle )

« Lucia Antonia, funambule » de Daniel Morvan

lucia antonia

Morvan, Daniel. Lucia Antonia, funambule. © Zulma, 2013

« La lettre à Helga » de Birgisson Bergsveinn

lettre à Helga

Bergsveinn, Birgisson ; trad. de l’islandais par Catherine Eyjólfsson
La lettre à Helga. © Zulma, 2013

***

« Revenants » d’ Olivier Morel et Maël

revenants

Morel, Olivier ; Maël . Revenants . © Futuropolis, 2013

« Une histoire d’hommes » de Zep

une histoire d'hommes

Zep. Une histoire d’hommes. © Rue de Sèvres, 2013

manuels de première 2013-2014

manuels et fournitures première 2014

manuels de terminale 2013-2014

manuels et fournitures terminales 2013

 Printemps des poètes 2013

LES VOIX DU POEME
(poèmes à déclamer et/ou à chanter)

au CDI du 9 au 24 mars (et au-delà)

à voir et à entendre

 – une exposition de poèmes et chansons

vous pouvez participer en :

– inscrivant sur une affiche-poème ou un marque-page le poème ou la chanson de votre choix
(matériel à disposition au CDI)
– proposant une composition plastique
– participant à une brigade d’intervention poétique
(mise en voix et/ ou en musique de poèmes)

toute autre proposition est la bienvenue

une boîte à idées est à votre disposition au CDI pour cela

adressez-vous dès à présent aux documentalistes !

Un peu de littérature tchèque…

Pour ceux qui sont curieux de découvrir des classiques ou des auteurs contemporains de la littérature des pays visités dans le cadre du projet Comenius Europesco.

Ces livres sont disponibles au CDI.

Zelenka, Petr / Janecek, Jaromir. Petites histoires de la folie ordinaire : République tchèque. Montreuil-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) : Ed. théâtrales, 2008. 91 p. (Traits d’union)

Résumé : Petr, un trentenaire, tente d’avoir prise sur le monde qui l’entoure : il veut récupérer son ex-petite amie qui va bientôt se marier, survivre aux réunions familiales, ne pas devenir fou au vu des inventions érotiques de Moustique, son meilleur ami. Ce texte explore la situation de l’homme dans un monde dont les cadres ont éclaté.

Cote : 8 ZELE – 21e

 

Lemaire, Gérard-Georges. Le goût de Prague. Mercure de France, 2003. 118 p. (Le petit Mercure).

Résumé : Anthologie de textes littéraires variés sur une ville qui a inspiré de nombreux écrivains. Ce voyage littéraire s’effectue à travers des romans, nouvelles, pièces de théâtre, poèmes, journaux, guides touristiques anciens, d’auteurs et d’époques très divers. Petit cahier d’informations pratiques.

Cote : 8 LEMA – anth

 

Kundera, Milan. L’insoutenable légèreté de l’être. Gallimard, 1989. 475 p.

Résumé : Tomas, chirurgien, grand coureur de femmes, reçoit un jour, chez lui, un être fragile et touchant, Tereza. Pour elle, il abandonne sa carrière à l’étranger, retourne dans son pays occupé par les Russes, où il est proscrit…

Cote : 8 KUND – 20e

 

Bonne lecture !

Un peu de littérature bulgare…

Pour ceux qui sont curieux de découvrir des classiques ou des auteurs contemporains de la littérature des pays visités dans le cadre du projet Comenius Europesco.

Ces livres sont disponibles au CDI.

Yovkov, Yordan. Légendes du Balkan : et autres récits. Esprit des péninsules, 1999.

Résumé : Compilation de nouvelles d’un des principaux auteurs bulgares. Écrits vers les années 20, ces récits se situent dans un passé mythique – l’occupation ottomane – et un lieu symbolique, le Balkan, en bulgare «vieille montagne», où se réfugièrent les fameux haïdouks mi-rebelles, mi-brigands, combattant pour l’indépendance nationale. Eperdu d’amour, l’un d’eux, Chibil, recherché par toutes les brigades ottomanes, descend tranquillement la montagne à la rencontre de son destin. Pour Bojoura, belle Tsigane asservie par la passion, la mort est – comme souvent chez Yovkov – la seule issue.

Cote : 8 YOVK – 20e

Dimova Théodora. Mères. Ed. Des Syrte, 2006.

Résumé : Plusieurs narrateurs adolescents sont confrontés au destin de leurs parents : Andreia, dont la mère est proche de la folie ; Lia, dont le père refuse l’argent de la mafia qui permettrait pourtant à sa fille de réaliser son rêve de danseuse ; Dana, vivant seule avec son père alcoolique ; et Alexandre, enfant adopté en mal d’amour. Prix du concours Razvitié 2005.

Cote : 8 DIMO – 21e

 

Bonne lecture !

Un peu de littérature italienne…

Pour ceux qui sont curieux de découvrir des classiques ou des auteurs contemporains de la littérature des pays visités dans le cadre du projet Comenius Europesco.

Ces livres sont disponibles au CDI.

Calvino, Italo. Le baron perché. Seuil, 1960. 283 p.

Résumé : un jour d’été, le jeune Côme Laverse du Rondeau quitte la table et grimpe sur un arbre dont il ne redescendra jamais. Du haut de son perchoir, il observe le monde.

Cote : 8 CALV – 20e

 

Levi, Primo. Si c’est un homme. Presses Pocket, 1987. 314 p. (Pocket, 3117).

Résumé : Le 13 décembre 1943, Primo Lévi, citoyen italien de race juive, âgé de 24 ans, est fait prisonnier par la Milice fasciste. Il est déporté au camp de concentration d’Auschwitz en février 1944. Témoignage bouleversant sur l’extermination des Juifs d’Europe.

Cote : 8 LEVI – 20e

 

Saviano, Roberto. Gomorra : dans l’empire de la camorra. Gallimard, 2009. 548 p.

Résumé : Naples et la Campanie sont dominées par la criminalité organisée – la camorra – sur fond de guerre entre clans rivaux et de trafics en tout genre : contrefaçon, armes, drogues et déchets toxiques. C’est ainsi que le Système, comme le désignent ses affiliés, accroît ses profits, conforte sa toute-puissance et se pose en avant-garde criminelle de l’économie mondialisée. Porté à l’écran par Matteo Garrone, Gomorra a été récompensé par le Grand Prix du Festival de Cannes en 2008.

Cote : 8 SAVI – 21e

Bonne lecture !

vendredi 13 janvier 2012 : rencontre avec Jeanne Benameur

Le vendredi 13 janvier 2012 , Jeanne Benameur a rencontré ses lecteursà la bibliothèque municipale .

Une vingtaine de personnes, également réparties entre  jury lycéen et  jury adulte, avaient fait le déplacement.


D’entrée de jeu, Jeanne Benameur casse les conventions, en délaissant la posture sage pour s’asseoir sur (et non derrière) la table  qui lui est proposée. Ce faisant, elle interpelle déjà son auditoire, comme elle le fera durant une heure, par un discours militant et engagé, qui tranche avec sa voix douce, calme et posée.
Avant toute chose, elle remercie : ceux qui lui ont accordé ce prix, qui sont venus à sa rencontre, bien sûr, mais aussi ceux et celles qui sont à l’origine « des insurrections singulières » : les ouvriers licenciés de Sassilor, avec lesquels elle a échangé et partagé une expérience humaine forte et précieuse, lors d’ateliers de parole et d’écriture.

Le débat qui s’engage alors, à l’image de son livre, déborde du cadre littéraire pour investir le social et le politique. 

Le discours est engagé,   quand elle dénonce l’absurdité d’un monde qui sacrifie les hommes sur l’autel du profit, engagé et salutaire, quand elle s’adresse aux jeunes pour leur dire de ne pas avoir peur, d’oser quoi qu’il advienne, car, étant tous mortels « qu’a-t-on de mieux à faire sur Terre que de vivre chaque instant le plus intensément possible ? »

Engagée, elle l’est encore quand elle parle d’écriture, de l’extrême exigence qui est la sienne dans ce qu’elle donne à lire, de la force des mots pour briser les carcans et se trouver soi-même, à l’instar de son héros Antoine, de l’importance de la culture de la plus haute sphère de l’état au public le plus socialement défavorisé – les manques les plus criants n’étant pas toujours là où on le penserait … Professeur de lettres dans le 9.3. pendant longtemps, elle sait de quoi elle parle.

 

Jeanne Benameur prête sa voix aux plus humbles, aux plus malmenés par la société, aux plus malconnus aussi.

Elle exhorte chacun à dépasser ses peurs pour aller à la rencontre de l’autre.
Insurgée jusqu’au bout des mots, sans jamais élever la voix…

Dans le public, elle n’aura laissé personne indifférent. Et si beaucoup sont restés silencieux, tout entier dans l’écoute, au cours de cette rencontre, les discours qui ont ponctué la remise officielle du prix lui disent assez bien à quel point, par la lecture de son roman avant même la rencontre, son message a été compris et apprécié :

discours d’Anne-Marie Golse, adjointe à la culture, pour la municipalité

et très beau discours des élèves représentant le lycée.

La voix et les mots de Jeanne Benameur, neuvième – et non des moindres – lauréate de notre prix littéraire, nous conforte, s’il en était besoin, dans l’envie de poursuivre l’aventure, de susciter d’autres lectures, d’autres débats, d’autres rencontres, toutes singulières et passionnantes.

Discours lycéen à Jeanne Benameur

    Nous sommes très contentes de vous rencontrer et de vous remettre ce prix . Les Insurrections singulières est un livre qui nous a vraiment  beaucoup plu.
    D’abord parce qu’Antoine, votre héros, bien qu’il ait quarante ans, se pose des questions que l’on peut se poser à tout âge : « qui suis-je ? », « où vais-je ? », « pourquoi je suis là ? » On peut voir en lui un éternel adolescent, qui a beaucoup de mal à se trouver.
    Ensuite parce que l’histoire nous concerne tous : elle parle d’un problème très actuel auquel nous pouvons tous un jour être confrontés : le chômage et la délocalisation.  Dans une écriture lumineuse, vous donnez la parole au milieu ouvrier, tant dans l’amour du travail bien fait, que dans l’espoir toujours vivace d’une belle vie, et la peur de tout perdre brutalement lorsque l’usine ferme ses portes. Vous redonnez une consistance à des humains rendus complètement anonymes et abstraits par la mondialisation. Alors que l’usine,  personnifiée dans votre récit, apparaît comme écrasante. Les hommes bougent, tombent, pas elle. Vos mots éclairent toutes ces vies suspendues aux aléas de la course aux profits.
    Mais face à cette réalité, vous montrez aussi que l’insoumission, l’insurrection de l’individu reste toujours possible : pour Antoine, ce sera, après la lutte syndicale, de partir au Brésil sur les traces de Jean de Monlevade, responsable indirect de la délocalisation.
    Ce voyage s’inscrit pour lui dans la quête de modèles, comme a pu l’être son père, et comme peut l’être son ami Marcel, qui l’accompagne. Serait-il parti sans lui ? Rien n’est moins sûr. Sa rencontre avec Marcel est déterminante : il l’introduit dans le monde des livres et du langage, monde auquel jusqu’à présent il pensait ne pas avoir droit, qu’il n’en valait pas la peine.
    Nous avons particulièrement apprécié la subtilité que vous avez su établir entre le parcours du personnage et l’évolution de son langage, évolution que l’on retrouve dans l’écriture même du livre. Au début le style, par des phrases courtes, crée une atmosphère lourde, pesante. Il faut s’accrocher. Et au fur et à mesure, tout s’éclaire.
    C’est un beau livre, bien écrit, émouvant, un élan de vie pour se libérer des carcans qui oppressent. Vous mêlez avec humanisme et tolérance une quête politique, sociale, syndicale et le parcours d’un homme qui peine à définir sa place dans le monde, tant dans sa vie amoureuse que professionnelle.
    Vous avez fait un merveilleux travail et nous vous en remercions, car, grâce à lui, c’est un vrai moment de plaisir que nous avons eu à lire votre roman.

Découvrez la littérature polonaise avant le prochain déplacement en Pologne !

En lien avec le projet Comenius Europesco, le CDI met à disposition des ressources pour les élèves et professeurs participant aux activités culturelles.

Sur le patrimoine mondial de l’UNESCO :

Nous avons sélectionné et exposé pour vous une sélection de livres sur le patrimoine mondial (pour compléter les ressources en ligne).

Elles sont disponibles aussi pour les élèves effectuant des recherches documentaires sur le patrimoine européen.

De la littérature européenne :

Nous vous invitons à découvrir des auteurs phares de la littérature polonaise actuelle :

Odija, Daniel, La scierie. (182 p.) : L’histoire de l’ascension et de la chute de Jozef Mysliwski est celle d’un carriériste cynique et désabusé. En Pologne, après la chute du communisme, cet homme fruste et rusé décide de faire fortune par tous les moyens : d’abord avec un élevage de renards, puis avec une scierie. Il emprunte de l’argent et engage un jeune représentant sans réaliser que ce dernier est encore plus roublard que lui.

Stanny, Janusz, Le petit monde du peintre roux. (32 p.) : Publié en Pologne en 1961, cet ouvrage est une invitation au bonheur créatif. Le peintre roux n’a pas de maison, il s’en dessine une à son goût, il pleut, il se fait un parapluie, il fait un peu trop sombre, il dessine une ampoule…

Stasiuk, Andrzej,  Le corbeau blanc. (304 p.) : Un groupe de marginaux de Varsovie décide de tenter l’aventure vers les Bieszczady, légendaire Far-East montagneux qui sépare la Pologne orientale de l’Ukraine. Quatre d’entre eux, le narrateur, Bandourko, le Petit et le Jars, se connaissent depuis l’école primaire ; le cinquième, Kolka, est un solitaire ombrageux qui les a rejoints et va précipiter leur chute.

Mysliwski, Wieslaw,  L’art d’écosser les haricots. (384 p.) : Le narrateur, vieux gardien d’un village de vacances, reçoit un jour la visite d’un inconnu qui souhaite lui acheter des haricots. Pendant qu’ils les écossent ensemble, le maître des lieux raconte, dans une sorte d’improvisation savante, les événements et les rencontres qui ont marqué sa vie. Un roman philosophique lauréat du prix Nike (prix littéraire le plus prestigieux de Pologne).

Szpilman, Wladyslaw. Le pianiste. (252 p.) : Septembre 1939. C’est l’invasion de la Pologne, décrétée par Hitler. Varsovie est écrasée sous les bombes. Le pianiste Wladyslaw Szpilman est contraint avec ses parents, son frère et ses sœurs de rejoindre le ghetto nazi recréé au cœur de la ville pour les juifs. Là, il va subir l’horreur au quotidien. Miraculeusement rescapé de l’enfer, grâce à un officier allemand mélomane, le pianiste témoigne au lendemain de la victoire alliée…

Rappel : à tout moment, vous pouvez rejoindre l’équipe Europesco pour participer à une activité qui vous intéresse ! 😉

« Ilium » de Dan Simmons

Simmons, Dan ; trad. Brèque, Jean-Daniel .- Ilium .- © Pocket, 2008 .- (Pocket. Science-fiction, n° 5858)

Lycée Cornat : le blog du CDI est enfin créé !

Conçu pour être :
– un espace de communication sur les activités et actualités du CDI, et au delà (j’espère) du lycée
– un lieu d’échange par votre participation , suggestions et messages que vous voudrez bien y déposer.

Ouvert à tous, élèves, professeurs, parents, visiteurs occasionnels, les règles à y respecter sont, bien sûr (revoyez vos cours de seconde !):
– les droits d’auteur
– les droits et respect de la personne
– que les messages soient en rapport avec le sujet abordé

Bon, d’accord, pour l’instant, il est vide . J’apprends pas à pas la technique, mais ça ne fait que commencer…

A bientôt

Isabelle Grout, documentaliste

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