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Une vie sans examen ne vaut pas la peine d'être vécue

Archive for the 'méthode' Category

Introduction : Y a-t-il un droit de mentir ?

(Accroche) Avoir le droit, c’est avoir l’autorisation, la permission, de faire ou d’exiger quelque chose, conformément à une règle écrite (règle sociale, formelle) ou non écrite (tacite, informelle). Mentir consiste à déformer ou dissimuler volontairement ce que l’on pense être vrai.(1ère réponse) Le mensonge est donc le contraire de la vérité. Il implique un abus de confiance et fait l’objet d’une condamnation morale sévère. La société le sanctionne également lorsqu’il porte atteinte à la communauté toute entière (fausse déclaration lors d’un procès, impôts…). Le mensonge ne saurait a priori être un droit. (2ème réponse)Toutefois, on peut se demander s’il faut toujours privilégier la vérité aux dépens des autres valeurs, tel le bien-être ou la vie humaine. On dit à ce propos que « toute vérité n’est pas bonne à dire » et qu’il existe de « pieux mensonges ». En effet, le mensonge peut être bienveillant, voire nécessaire dans certaines circonstances. Notre conscience peut en venir à prescrire le mensonge pour épargner autrui, ne pas le blesser, lui faire de mal… Dans ce cas, est-il permis de mentir ? le mensonge érigé au rang de droit ? (Problématique)Si nous répondons par l’affirmative, alors il semble que nous nous trouvions devant une aporie puisque les deux alternatives nous condamneraient à faire du/le mal. (Enjeu) Il semble alors que l’on doive choisir entre le bonheur et la vérité. (Plan) Nous montrerons dans un premier temps que le mensonge peut être légitime, puis nous opposerons droit et mensonge pour enfin déterminer si le cas de la politique ne justifie pas l’usage de ce dernier.

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Méthode : introduction-commentaire du texte

PQEP

P comme Présentation : on présente l’extrait à étudier : auteur, oeuvre (soulignée), époque si connue, thème, thèse

Q comme Question : on soulève la question à laquelle la thèse répond ( on peut la mettre à un autre endroit, au début ou juste avant la thèse).

E comme enjeux : quelles conséquences à affirmer ou contredire une telle thèse (montrer l’intérêt du texte)

P comme Plan : du texte !! avoir trouvé une phase par parties vous aide à présenter le plan.

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Méthode : commentaire de texte

Le commentaire est une épreuve tout aussi rigoureuse que la dissertation et nécessité tout autant le cours que cette dernière. Ce n’est donc pas le sujet réservé à ceux qui n’auraient pas révisé leur cours.

C’est un exercice différent du commentaire littéraire. Vous devez montrer l’intérêt philosophique d’un texte (argumentatif) en dégageant sa logique et l’originalité de sa thèse.

1- Commencez pas lire 3 fois le texte afin de vous le familiariser.

2- Trouvez le(s) thème(s) (notion du programme) puis la thèse (ce que l’auteur dit du thème) afin de le relier au cours que vous connaissez.

3- Dégagez la structure du texte, son squelette, sa logique : connecteurs logiques, ponctuations, paragraphes, idées…; trouvez une phrase résumant chaque étape

4- Expliquer linéairement : il faut suivre le déroulement du texte.

Comment expliquer ? : Votre devoir ne doit pas se réduire à une simple paraphrase. Même si elle est tolérée, vous devez surtout approfondir, décortiquer, analyser :

  • les mots clés, concepts, repères
  • les figures de style (ssi elles servent à justifier la thèse)
  • les paradoxes, originalités, difficultés
  • être attentif aux nuances, degrés, superlatifs, procédés restrictifs
  • montrez les difficultés, essayez de les résoudre…

Il faut ensuite discuter le texte, c’est-à-dire prendre du recul, de la distance par rapport au texte afin d’en saisir tout l’intérêt :

  • rapporter la thèse de l’auteur au thème plus général et montrez l’intérêt de celle-ci par rapport : à d’autres thèses, opinions, auteurs, problématiques abordées…
  • trouvez des objections, failles, limites
  • trouvez des exemples pro ou contre

 

Quand vient le moment de la rédaction il faudra réunir ces deux moments : explication et discussion simultanées.

Au brouillon : dès que vous avez repéré le(s) thème(s), listez les auteurs et concepts vus en classe. Listez les mots repères du texte et ceux qui pourraient vous aider à expliquer le texte. Répertoriez des expressions types pour commenter.

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A faire pour la rentrée !!

Dm facultatif : réaliser des fiches citations de toutes les notions vues depuis le début de l’année.

Réviser en vue d’une interrogation de cours :

[WpProQuiz 4]

Révisez les mots repères : Liste des mots repères vus depuis le début, les comprendre dans  le contexte du cours.

Révisez le cours et les auteurs/textes : cf cours désir ; cours bonheur : Platon Le Banquet; Rousseau La nouvelle Héloise; Flaubert Mme Bovary; Saint Augustin Les Confessions; Schopenhauer Le monde comme volonté et comme représentation; Jean Baudrillard Système des objets ; René Girard La Violence et le Sacré; Marx; John Stuart Mill L’Utilitarisme,  Lettre à Ménécée Epicure, Sénèque, Epictète, Cicéron; Kant « idéal de l’imagination »; Pascal Les Pensées,…

Révisez la méthode du commentaire de texte et en particulier l’introduction.

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Méthode : le commentaire de texte- exos

Il est inconcevable à quel point l’homme est naturellement paresseux. On dirait qu’il ne vit que pour dormir, végéter, rester immobile ; à peine peut-il se résoudre à se donner les mouvements nécessaires pour s’empêcher de mourir de faim. Rien ne maintient tant les sauvages dans l’amour de leur état que cette délicieuse indolence. Les passions qui rendent l’homme inquiet, prévoyant, actif, ne naissent que dans la société. Ne rien faire est la première et la plus forte passion de l’homme après celle de se conserver. Si l’on y regardait bien, l’on verrait que, même parmi nous, c’est pour parvenir au repos que chacun travaille : c’est encore la paresse qui nous rend laborieux.

ROUSSEAU
Essai sur l’origine des langues
chap. IX, note 17

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Dm facultatif TS

Voici un dm facultatif  qui vous permet de réviser votre cours sur le désir et bonheur et de travailler la méthodologie du commentaire de texte.

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La question « qui suis-je » admet-elle une réponse exacte ? Perles, erreurs et corrigé

1- Il faut rester au moins 3 heures !!!! Vous ne pouvez pas réaliser un devoir digne de ce nom en partant avant. Tous les élèves partis avant auraient pu facilement améliorer leur devoir en prenant le temps de développer, corriger leur copie.

2- L’orthographe peut être améliorée en respectant certaines règles de base : les pluriels, les participe passé (mettez au féminin), les fautes les plus courantes : il a tort et pas tord ;  langage et pas language; philosophie et non phylosophie; malgré et non malgrés; Lock, Pascale,  Décarte; un enfant en basage; partial et non partialle;

3- Respectez la forme dissertative : on passe des lignes entre les parties, on va à la ligne à chaque nouvel argument.. cf comment faire une dissertation

4- On ne commence pas une partie par un auteur ni un connecteur logique comme En effet, ou Cependant…

5- Les références doivent être exactes : ne pas se tromper sur l’auteur ni l’oeuvre.

6- Soulignez le nom des oeuvres

7- Les parties du plan doivent être annoncées comme des thèses, c’est-à-dire, par des phrases et non seulement des mots, thèmes.

8- Revoir la forme interrogative indirecte ex: on se demandera si la conscience est-elle…..

9-Il faut toujours expliquer une citation sinon c’est juste pour broder, « faire genre »…

10- distinguez inconscient et inconscience !!!!!

11- Reliez tous vos propos au sujet, à la question posée !! sinon c’est hors-sujet, ce n’est pas au correcteur de deviner votre réponse !!!

12- la question posée n’est pas un problème !!!!!!

13-Les expressions à bannir : « la vie de tous les jours »; « au jour d’aujourd’hui »; (ces deux expressions vous font passer pour des cakes); « moi profond » (femme actuelle); « comme par exemple » (comme=par exemple); « Depuis la naissance de l’humanité »; « depuis toujours »…

14- pas de JE pense, je crois, à mon avis, ma réponse…

15- La question d’autrui chez Sartre n’a rien à voir avec l’inconscient !!!

16- « Freud tente donc avec acharnement de prouver sa thèse.. »; « envoyés loin dans l’inconscient »; « le garçon de café pense être garçon de café donc il est garçon de café »… et s’il pense être une betterave ??

17- le moi « juge et jugé » n’a rien à voir avec autrui ! justement il est partial car il se juge lui-même !

Si besoin vous trouverez tous les conseils de méthode dans la catégorie prévue à cet effet !

Introduction

« Qui suis-je » ? Je semble être le mieux placé pour me poser la question et y répondre. La réponse me semble évidente : je connais mon état civil, ma généalogie, mon passé, mes goûts, mes pensées… Mais tout comme Roméo qui s’il ne s’appelait plus Roméo, conserverait encore les chères perfections qu’il possède », je ne me réduis pas à mon nom qu’il soit Montague ou celui de la rose. Et mon identité ne saurait pas davantage se réduire à mon ADN car l’expérience me prouve qu’il n’est pas rare de ressentir cette étrangeté, cette altérité en moi, de me surprendre, me méconnaître. Et c’est souvent lors d’une crise identitaire (adolescence, quarantaine), une remise en question, quand on ressent des remords, quand on est surpris du regard d’autrui sur soi, qu’on en arrive à poser cette question « Qui suis-je? ». Car on vit la plupart du temps comme si la réponse allait de soi, comme si notre identité ne posait pas problème, comme si elle était de l’ordre du bien connu. Il semble alors qu’on soit à la fois le mieux placé pour répondre de manière exacte à la question « qui suis-je » mais aussi le moins bien placé puisque juge et partie, on manquerait inévitablement d’objectivité, et sans aucune possibilité de vérifier, de sortir de soi pour savoir si l’on est bien ce que nous croyons être. Condamné à se voir sous le prisme de la subjectivité, on ne pourrait jamais être certain de l’authenticité du portrait que l’on fait de soi.

Peut-on alors répondre de manière exacte à cette question ? Il semble que nous soyons devant trois problèmes que nous étudierons à la faveur de trois axes :

Tout d’abord, peut-on être sûr de la réponse ? Peut-on avoir une quelconque certitude quant à la connaissance de soi ?

Nous verrons, ensuite, la réponse sera-t-elle conforme à la réalité ? Si c’est moi qui y répond, il faut pouvoir comparer ! Or comment comparer si nous l’objet et le sujet de la question se confondent ?

Enfin, la réponse ne risque-t-elle pas d’être approximative, incomplète, variant au gré de mes changements (physiques, moraux, …) ? Comment répondre de manière exacte si je change sans cesse ? Comment rester identique, exact malgré les changements ? Mon identité est-elle mise en péril sans cette exactitude ?

I Je peux répondre avec certitude que je suis (ce que je suis, mais pas qui je suis)

-Seul l’homme se pose cette question et peut y répondre parce qu’il a une conscience (contrairement aux animaux). Cf. « Posséder le Je », l’enfant troisième personne…ex : test du miroir

-Mais s’il peut répondre facilement lorsqu’il s’agit de dire ce qu’est un objet, en revanche il semble voué à se décrire de manière non exhaustive (à l’infini). On peut donner l’essence d’un objet, sa définition, sa fonction; ce qui est impossible pour l’homme. Le définir reviendrait à lui coller des étiquettes, des stéréotypes, à l’identifier à. La réponse ne serait donc pas exacte, mais dirait ce qu’il est, comme autre chose, ce qu’il a en commun, ce qu’il partage avec d’autres. Cf. Sartre coupe-papier; essence/existence; Beauvoir féminisme…

-Je peux répondre avec certitude que je suis. Ma pensée me révèle mon existence comme chose pensante, dont la grandeur est de se savoir misérable (fini), dont la dignité est de faire l’unité dans ses représentations.

Transition =Mais cette vérité indubitable est partagée avec tous les hommes quand ils pensent; elle est anonyme, impersonnelle parce qu’universelle (essence humaine) Descartes (cogito), Kant (pas unicité); sommes-nous voués à ne pas nous connaître ? que savons-nous de nous ?

II Mais ma réponse peut manquer d’objectivité et d’impartialité (besoin de la médiation d’autrui)

-moi juge/jugé; juge et partie; sur/sous estime; Narcisse; partial,

-on peut se mentir à soi-même, se leurrer, croire qu’on a une essence définie, qu’on peut répondre exactement à la réponse qui suis-je, comme le garçon de café; mais c’est preuve de mauvaise foi, cela cache une angoisse d’assumer de n’être rien, ou de pouvoir tout être, la liberté. Prétendre qu’on peut répondre exactement cache une volonté de ne pas se poser la question, se remettre en cause, c’est se chosifier.

-besoin du regard d’autrui , médiateur entre moi et moi-même; honte; enfer c’est les autres; Sartre; la question peut être posée à autrui mais il ne faut pas se réduire à sa réponse. Elle n’est pas exacte, il faut combiner deux réponses, regards : le sien et celui d’autrui afin de mieux se connaître. Poser la question à autrui est donc salvateur et instructif. (pas unité), mais réponses multiples

Transition :Mais nous devons nous poser la question et tenté d’y répondre malgré les difficultés pour pouvoir répondre de ses actes et acquérir la liberté.

III Et la question « qui suis-je » est sans cesse à reposer car mon identité change, ne se dévoile pas immédiatement et s’affirme dans l’action.

-réponse partielle car connaissance incomplète de soi : surprise, étonnement, regret… et changements => identité personnelle à construire, unité, unicité, ipséité, mémoire, conscience  Locke; fou, amnésique « hors de soi » j’ai changé »; réponses multiples, puzzle

la réponse ne peut être exacte car la question est mal posée : l’identité n’est pas identique, elle change or « qui suis-je? » présuppose une fixité, une stagnation. On devient, on a à être bien plus qu’on est. Une chose est, le sujet existe. La question est à poser sans cesse au cours de la vie, seule la mort pourra fournir une réponse exacte mais toujours au passé. C’est donc une question qui ne peut être posée par la personne au présent, puisque lorsqu’elle pourrait y répondre (essence figée), elle ne peut plus (elle est morte).

-l’inconscient nous empêche de nous connaitre totalement… Freud mais on peut s’approcher de la réponse en travaillant sur soi, introspection, psychanalyse.

-La question prend son sens quand la situation accule l’individu; lorsque la situation l’oblige à s’affirmer contre, lui fait obstacle. On s’identifierait alors plus contre qu’à quelque chose ou quelqu’un. L’affirmation du sujet serait effective dans l’opposition. Ainsi l’action de transformer le monde (l’objet qui s’oppose à moi), la révolte, le combat l’oppression seraient autant de moyens et d’occasions pour le sujet de se poser la question « Qui suis-je » et d’y répondre par l’action et le projet de son existence. « Nous n’avons jamais été aussi libres que sous l’occupation » Sartre.

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Méthode : Comment faire une introduction de dissertation ?

A2RPEP

Retenez cela, c’est un moyen mnémotechnique (une technique pour mémoriser) pour ne pas oublier des étapes dans votre introduction.

A pour ACCROCHE : vous devez introduire le sujet, amener le lecteur au(x) thème(s) dont vous allez parler. Même si un peu d’originalité est tolérée, ne vous lâchez pas trop et surtout évitez toutes les phrases « bateau » comme:

« De tous temps, les philosophes se sont interrogés sur… » (les philosophes ont soutenus des théories très différentes, certaines concepts comme la conscience n’existaient pas dans l’Antiquité par exemple, vous ne savez pas si tous les philosophes en ont parlé…)

« C’est une question très complexe » »très intéressante » : Si on vous pose la question, on se doute que ce n’est pas simple (c’est tout l’intérêt d’ailleurs); et le correcteur n’est pas dupe, ce n’est pas une question qui vous réveille la nuit… donc pas besoin d’en faire trop, de flatter le correcteur, il n’est pas sensible à cette tentative à peine voilée de l’attendrir et de susciter sa compassion, tolérance ou indulgence sur le devoir qu’il a entre les mains. Il faut être sobre, honnête (ne dîtes pas non plus que vous vous en fichez…).

« Depuis des millénaires(ou autre nuit des temps), sur cette planète, les hommes… » : ce n’est pas une bande-annonce du dernier film hollywoodien, le but n’est pas de faire voyager le correcteur dans une machine temporelle, et surtout les hommes ne se sont pas toujours interrogés, comportés etc… ça non plus vous ne le savez pas.

Si vous n’avez pas d’inspiration, laissez quelques lignes et attendez d’avoir fini de rédiger votre devoir et revenez-y à la fin.

2R pour 2 REPONSES : Il faut justifier qu’on se pose la question et que la réponse ne va pas de soi. Autrement dit, rien de tel que deux réponses contraires (voire contradictoire) pour montrer que la question nécessite d’être posée et approfondie soit que vous ayez besoin de deux copies doubles référencées, argumentées pertinentes et sans fautes d’orthographe pour y répondre :)

On privilégiera des expressions comme « Il semble que au premier abord… Néanmoins… »; « Dans un premier temps, il semblerait que…Cependant »

P comme PROBLEMATIQUE: La problématique récapitule ce que les deux réponses ont mise en évidence. La question que l’on vous pose fait problème car la réponse ne semble pas univoque. La problématique ne doit donc pas poser une question dont la réponse attendue est évidente, ou définitive, une. Mais bien plutôt amenez à une contradiction qui justifie une réflexion, un développement, un approfondissement. Si on vous pose la question, ce n’est pas pour réciter mais au contraire pour examiner que vous êtes capables de voir que apparemment, dans un premier temps, il n’y a pas de solution.

Ceci est difficile parce que à contre-courant de tout ce qu’on vous a demandé jusqu’à maintenant. Dans les autres disciplines, on vous posait une question qui attendait une seule réponse (que vous aviez appris dans votre cours). Ici, la capacité qu’on attend de vous, c’est celle d’être assez ouvert d’esprit pour imaginer d’autres réponses, de tolérance pour admettre qu’à une question, votre réponse n’est pas la seule réponse possible. Votre devoir aura pour but de développer les avantages et inconvénients de chaque réponse et d’en choisir une (la plus convaincante).

E comme Enjeu : Chaque réponse n’est pas seulement théorique mais a des conséquences (pratiques) et implique d’autres notions. Ainsi, par exemple, « La conscience peut-elle être un fardeau ? » Si on répond oui, alors l’homme étant défini par sa conscience a comme alternative de vivre sans conscience (morale) (est-ce seulement possible?) ou d’être malheureux, privé de liberté ou d’une connaissance objective et complète de lui-même. Dégagez les enjeux vous permettra de trouver votre troisième partie et d’essayer de dépasser le problème.

MVLIB ( morale, vérité, liberté, identité, bonheur)

P comme Plan : Cette étape est la plus simple. Vous devez simplement annoncer les trois axes (thèses) que vous allez traiter.

exercice : ce qu’il faut éviter

Document introduction à éviter

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Universel/Général/Particulier/Singulier

Universel : qui s’applique à tout l’univers en tous temps et en tous lieux. Utilisé comme substantif, ce terme désigne une idée ou une valeur considérées comme un type idéal pour tous.

Général : qui sensé valoir pour tous les êtres appartenant à un même ensemble, à un même genre. A la différence de l’universel, le général admet des exceptions.

Particulier : qui ne concerne qu’un individu ou quelques individus d’une même espèce. Le particulier s’oppose à l’universel.
Singulier: qui s’applique à un sujet unique.

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Or taux graff :)

Île ait un porc temps deux soit niais vautre or taux graphe, queue se soie poor in ex amen où in con court, voue ce rez cata l’eau gué part mis laid mots vais hell eve haie voue riz quai deux naître pas ham beau chez.  Voix si in lit hein poor voue an trait né, né site pas   !!!

Comme an ces part con taie lait faux te deux set s haie :)

Bond coup rat je :) !

http://www.lemonde.fr/education/article/2015/09/23/trop-d-etudiants-faches-avec-l-orthographe_4767764_1473685.html

voix si in lit hein scie voue haie c’est yeah deux cas chez veau faux te an plat j an sure un terre net !

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