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Une vie sans examen ne vaut pas la peine d'être vécue

Archive for the 'langage' Category

Vidéos : la parole 4

Alors ça c’est génial !!!

https://www.youtube.com/watch?annotation_id=annotation_2294028383&feature=iv&src_vid=NRnYXv5nmhQ&v=7QIp3bd5ZpY

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Le cratylisme politique : corriger le monde en se contentant de rectifier son langage

http://www.europe1.fr/emissions/la-morale-de-linfo/le-pouvoir-est-impuissant-sinon-dangereux-quand-il-legifere-au-nom-du-bien-2853547

mes chers mordus de la parole et de ses rouages, cette vidéo est pour vous :)

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vidéos la parole : Parler tout seul / Blasphème

https://www.youtube.com/watch?v=46aqgvcAfcs

http://sites.arte.tv/philosophie/fr/quest-ce-quun-blaspheme-philosophie

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Les animaux parlent-ils ? sont-ils doués du langage ? synthèse de la vidéo

Schéma de Jakobson :

fonctions du langage

Fonctions du langage

http://www.signosemio.com/jakobson/fonctions-du-langage.asp

http://www.sfu.ca/fren270/semiologie/page2_3.html#start

 

7 critères de Benvéniste (par rapport aux abeilles)

  • le message doit être vocal
  • le message doit être transmissible dans l’obscurité
  • le dialogue doit être possible
  • le message doit être reproductible
  • le message doit pouvoir être multiple (sur tous les domaines)
  • le message ne doit pas être dépendant d’un référent extérieur
  • le message doit être analysable

(limites de l’analyse car par rapport aux abeilles)

différences ? la négation, des termes qui ne désignent rien de sensible …?

Sur le schéma de Jakobson et ce qui l’a précédé, et les limites de ce tableau

 

Principales différences entre la communication animale et la communication humaine

Cette section est directement tirée du site de Dr. Martin Beaudoin (Université d’Alberta: http://www.pomme.ualberta.ca/ling/)

 

Différences
Communication humaine
Communication animale
1. Déplacement peut évoquer le passé, le futur, l’absent, l’hypothétique et l’impossible énonce ce qui est lié au présent temporel et spatial (sauf abeilles)
2. Apprentissage nécessaire non nécessaire
3. Base unités arbitraires (sans lien entre le mot et l’objet à décrire) unités iconiques (avec lien entre le signifié et le signifiant)
4. Unités discrètes (divisibles et combinables) graduées (messages indivisibles et non combinables)
5. Mutualité fréquente (les gens se répondent) relativement rare
6. Mensonges, divagations fréquents cas sporadiques de mensonges et pas de divagation
7.Métacommunication métacommunication (les gens expliquent ce qu’ils veulent dire ou corrigent les autres) pas de métacommunication
8. Polysémie prévalente (les mots peuvent avoir plusieurs sens) monosémie

Parmi les caractéristiques présentées dans le tableau ci-dessus, il importe de porter une attention particulière au déplacement qui permet aux humains de parler du passé, du futur, d’imaginer, de supposer, etc. Cette caractéristique des langues naturelles, sur laquelle repose la littérature en général, est extrêmement importante car elle constitue l’une des manifestations les plus intéressantes de la langue.

La nature des unités utilisées se démarquent de celles utilisées par les animaux pour communiquer en ce sens qu’elles sont combinables et servent à former des messages qui peuvent être soit très simples soit très complexes (très longues phrases). Cette caractéristique nommée la double articulation est certainement la plus remarquable des systèmes de communication oraux propres aux humains.

Il est important d’ajouter que la plupart des signes linguistiques sont polysémiques. Prenons par exemple le mot « siège ». Le Petit Robert indique que le mot a trois sens principaux: a) « lieu où se trouve la résidence principale « d’une société, d’une organisation). », b) « lieu où s’établit une armée, pour investir une place forte », et c) « objet fabriqué, meuble disposé pour qu’on puisse s’y asseoir ». Il est donc très fréquent pour un mot d’avoir plus d’un sens (caractère polysémique).z

Finalement, les langues naturelles sont les seuls systèmes permettant la métacommunicaiton qui sert à la définition du code à l’aide du code lui-même. Par exemple, il est possible (et fréquent) pour quelqu’un de définir l’usage d’un terme particulier dans un texte technique par exemple. Cette situation se retrouve très souvent dans les volumes d’introduction à un nouveau champ d’étude nécessitant la définition de notions de base.

http://www.sfu.ca/fren270/semiologie/page2_13.html#start

https://www.youtube.com/watch?v=uDnOyPkF5qs

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Vidéos 4 : la parole – rhétorique (pouvoir de la parole)

En ces temps approchant d’élections, il n’est pas inutile d’analyser le choix des armes oratoires de nos chers politiques :)

https://www.youtube.com/watch?v=VQWS_uqDOlo

je vous invite à regarder les différentes vidéos de la chaîne AEQUIVOX

https://www.youtube.com/user/Aequivox/videos

pour la version longue :

https://linguisticae.claudexcorp.com/index_720.html

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Vidéo 2 : la parole

https://www.youtube.com/watch?v=YPUrg_0c6Vw

https://www.youtube.com/watch?v=eumNiOfMvwI

https://www.youtube.com/watch?v=gJ7bIRXfmOk&list=PLL2qQq4Yh1JcSiQEEpbK5iw2Nc25zr8cn&index=13

http://www.podcastscience.fm/dossiers/2011/10/05/dossier-le-langage-chez-lhumain/

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Vidéos 1 : la parole

https://www.youtube.com/watch?v=uDTMKSCWFvg

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Cours sur le langage

Cours sur le langage

Vous trouverez ici un cours sur le langage suivi de questions.

Vous pouvez vous entraîner sur les sujets suivants :

L’art est-il un langage ?

Peut-on tout dire ?

https://chroniquesdunouveaumonde.com/2018/01/22/les-mots-etrangers-intraduisibles-en-francais/ 

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De l’homme à l’animal : différences de degrés ou de nature (ou d’orientation) ?

La question de la différence homme/ animal n’est pas tranchée. Si on a coutume de caractériser l’homme par une complexité cérébrale, jusqu’à quel point une différence de degré ne devient-elle pas une différence de nature ? (ex: eau liquide, solide, gazeux).

Si cela vous intéresse, voici quelques articles sur le sujet :

http://www.hominides.com/html/references/de-l-homme-et-de-l-animal-mensonge-tromperie.php

http://www.saint-thomas.net/fr-program-46-animaux-trop-humains-l-animal-et-l-outil.html

Peut-on parler de langage animal?

Dans sa capacité technique, l’homme semble se singulariser par sa maitrise du feu (entretien) et la fabrique d’armes.

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Plan du cours : La culture

Documents sur la culture

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Le mot culture provient du latin colère et désigne à l’origine le travail de la terre destiné à l’améliorer, à la rendre fertile. La culture est donc la mise en valeur de ce qui est (naturel) mais le terme évoque aussi bien l’enrichissement de l’esprit humain que le travail d’un champ. C’est une activité qui modifie ce qui est donné à l’homme = la nature.

on peut désigner trois sens majeurs =

1- la transformation de la nature 2- l’éducation, l’instruction 3- l’ensemble des modes de vie, tradition, coutumes, moeurs d’une société par lesquelles elle se distingue des autres. C’est donc à la fois un marqueur d’appartenance et de distinction.  Il n’y  a pas de société sans culture et tout homme a en ce sens une culture.

La nature, c’est d’abord le monde dans son ensemble, abstractions faites des transformations que l’homme y a produites : vents, marées, plantes, maladies, mort… L’homme lui-même en tant qu’être vivant fait partie de la nature. Son organisme obéit à des lois physico-chimique. La nature désigne alors l’ensemble des réalités qui existent indépendamment de l’activité humaine.

La culture comprend tout ce qui n’existerait pas sans l’activité humaine : oeuvre d’art, livre, table, marteau,… La culture désigne l’ensemble des réalités matérielles et spirituelles produites par l’homme. Or cette production suppose la transmission d’une mémoire qui n’est plus celle des gènes, mais celle de la tradition. Si la nature est hérédité, la culture est héritage.

Il serait naif de croire que nous pourrons retrouver la nature lorsque nous nous promenons dans les bois ou à la campagne. Cette nature que nous parcourons a été transformée par la  volonté des hommes. Les sols sont labourés, les forêts replantées ou entretenues.

https://www.telerama.fr/idees/philippe-descola-les-achuar-traitent-les-plantes-et-les-animaux-comme-des-personnes,121626.php?fbclid=IwAR2W2vxBpE87lIn714qfU70EB93YykOiTHufq7TKQ4rpbthhauNoXtA-NXc

L’homme fait-il exception ? Peut-on retrouver en lui un ensemble de données naturelles vierges de toute déformation culturelle ? Le naturel renvoie à l’inné, le culturel à l’acquis. L’inné est constitué par l’aptitude que l’homme possède en naissant. L’acquis recouvre tous les savoirs et compétences transmis par l’éducation. En fait, en dépit des apparences, il n’y a pas d’éducation dans les espèces animales : le petit animal acquiert, selon les lois biologiques de l’hérédité, un bagage fixé une fois pour toute et identique pour tous les individus de la même espèce alors que l’héritage culturel se modifie au cours de l’histoire.

Dès notre naissance, notre société nous éduque (langue, moeurs, techniques, repères spatiaux temporels, gestes…). Le donné biologique lui-même est transformé : tatouage, coiffure, piercing, maquillage, chirurgie… Claude Lévi-Strauss rapporte que parce que son visage n’était pas tatoué, on eu d’abord du mal à le considérer comme « humain » dans une société amazonienne.

Cette assimilation, commencée dès la naissance, nets ni vraiment volontaire, ni vraiment consciente. Souvent la culture se fait seconde nature => ex: avoir faim à midi, ressentir telle émotion… Il ne faut donc pas confondre le spontané et le naturel. La majeure partie de nos comportement est ainsi d’emblée collective (normes et pratiques).

L’anthropologie monte que que si aux ours des premiers années, l’enfant se développe à l’écart de tout environnement culturel, il ne manifeste aucun des caractères que l’on attend de l’humanité (cf. L. Malson et les enfants sauvages J.Itard).

L’exemple de Robinson Crusoe (Daniel Defoe) montre l’importance pour l’homme de conserver sa culture pour rester « humain » (jardin, calendrier, habit, ami,outils…).

« Une sorte de révélation me vint à l’hôpital. J’étais malade à New York. Je me demandais où j’avais déjà vu des demoiselles marchant comme mes infirmières. J’avais le temps d’y réfléchir. Je trouvai enfin que c’était au cinéma. Revenu en France, je remarquai, surtout à Paris, la fréquence de cette démarche ; les jeunes filles étaient Françaises et elles marchaient aussi de cette façon. En fait, les modes de marche américaine, grâce au cinéma, commençaient à arriver chez nous. C’était une idée que je pouvais généraliser. La position des bras, celle des mains pendant qu’on marche forment une idiosyncrasie sociale, et non simplement un produit de je ne sais quels agencements et mécanismes purement individuels, presque entièrement psychiques. Exemple : je crois pouvoir reconnaître aussi une jeune fille qui a été élevée au couvent. Elle marche, généralement, les poings fermés. Et je me souviens encore de mon professeur de troisième m’interpellant : « Espèce d’animal, tu vas tout le temps tes grandes mains ouvertes ! » Donc il existe également une éducation de la marche.
Autre exemple : il y a des positions de la main, au repos, convenables ou inconvenantes. Ainsi vous pouvez deviner avec sûreté, si un enfant se tient à table les coudes au corps et, quand il ne mange pas, les mains aux genoux, que c’est un Anglais. Un jeune Français ne sait plus se tenir : il a les coudes en éventail il les abat sur la table, et ainsi de suite (…).
Je conclus que l’on ne pouvait avoir une vue claire de tous ces faits (…) si on ne faisait pas intervenir une triple considération au lieu d’une unique considération, qu’elle soit mécanique et physique, comme une théorie anatomique et physiologique de la marche, ou qu’elle soit au contraire psychologique ou sociologique. C’est le triple point de vue, celui de « l’homme total » qui est nécessaire ». (Marcel Mauss, La notion de technique du corps, in Les techniques du corps (1934), Sociologie et anthropologie, PUF, 1950 (1985), pp.368-369)
« L’homme reçoit du milieu, d’abord, la définition du bon et du mauvais, du confortable et de l’inconfortable. Ainsi le Chinois va-t-il vers les œufs pourris et l’Océanien vers le poisson décomposé. Ainsi, pour dormir, le Pygmée recherche-t-il la meurtrissante fourche de bois et le Japonais place-t-il sous sa tête le dur billot. L’homme tient aussi, de son environnement culturel, une manière de voir et de penser le monde. Au Japon, où il est poli de juger les hommes plus vieux qu’ils ne paraissent, même en situation de test et de bonne foi, les sujets continuent de commettre des erreurs par excès. On a montré que la perception, celle des couleurs, celle des mouvements, celle des sons – les Balinais se montrent très sensibles aux quarts de ton par exemple –, se trouve orientée et structurée selon les modes d’existence. […]
L’homme emprunte enfin à l’entourage des attitudes affectives typiques. Chez les Maoris, où l’on pleure à volonté, les larmes ne coulent qu’au retour du voyageur, jamais à son départ. Chez les Eskimos, qui pratiquent l’hospitalité conjugale, la jalousie s’évanouit, comme à Samoa ; en revanche, le meurtre d’un ennemi personnel y est considéré normal, alors que la guerre, – combat de tous contre tous, et surtout contre des inconnus – paraît le comble de l’absurde ; la mort ne semble pas cruelle, les vieillards l’acceptent comme un bienfait et l’on s’en réjouit pour eux. Dans les îles d’Alor le mensonge ludique est tenu pour naturel : les fausses promesses à l’égard des enfants sont le divertissement courant des adultes. Un même esprit de taquinerie se rencontre dans l’île de Normanby où la mère, par jeu, retire le sein à l’enfant qui tète. La pitié pour les vieillards varie selon les lieux et les conditions économico-sociales : certains indiens, en Californie, les étouffaient, d’autres les abandonnaient sur les routes. Aux îles Fidji, les indigènes les enterraient vivants. Le respect des parents n’est pas moins soumis aux fluctuations géographiques. Le père garde le droit de vie et de mort en certains lieux du Togo, du Cameroun, du Dahomey ou chez les Négritos des Philippines. En revanche, l’autorité paternelle était nulle ou quasi nulle dans le Kamtchatka précommuniste ou chez les aborigènes du Brésil. Les enfants Tarahumara frappent et injurient facilement leurs ascendants. Chez les Eskimos – encore eux – le mariage se fait par achat. Chez les Urabima d’Australie un homme peut avoir des épouses secondaires qui sont les épouses principales d’autres hommes. À Ceylan règne la polyandrie fraternelle : le frère aîné se marie et les cadets entretiennent des rapports avec la femme. La prohibition de l’inceste est un fait de toutes les sociétés mais aucune ne le définit de la même façon et ne fixe identiquement les exclusives. L’amour et l’attention de la mère pour l’enfant s’effaçaient dans les îles du détroit de Torres et dans les îles Andaman où le fils et la fille étaient offerts volontiers aux hôtes de la famille, comme des cadeaux, ou aux voisins, en signe d’amitié. La sensibilité dite « masculine » ici, peut être, ailleurs, une caractéristique « féminine » comme chez les Tchambuli, par exemple, où la femme, dans la famille, domine et assume le rôle de direction. […]
Avant que l’homme n’ait suffisamment promené une curiosité scientifique en tous les points de la terre, il était périlleux de proposer un schéma des invariants de l’humanité. Il est moins présomptueux aujourd’hui de se risquer à l’entreprise. Il n’est pas, on vient de le voir, de « nature » humaine au sens où il existe des « natures » chimiques, lesquelles admettent, une fois pour toutes, des définitions par propriétés. Mais il demeure que l’homme, en société, actualise des possibilités qui le différencient sans conteste de l’animal supérieur. »
Lucien MALSON, Les enfants sauvages (édition 10/18, 1964, pp. 27-35)

Si on parle de nature humaine, on prétendra désigner des caractères fondamentaux de tous les hommes, sans exception, sans distinction de cultures, de races, d’époques. Peut-on le cerner dans une essence ? L’extrême diversité des modes de vie, des croyances et des apparences physiques sont telles que les hommes semblent n’avoir rien en commun. Si l’homme est un être culturel par opposition à l’animalité naturelle, chaque société humaine est culturelle à sa façon.

Comment dans ces conditions parler d’une essence universelle de l’homme ? Comment définir l’humanité ?

L’ethnocentrisme se caractérise par la survalorisation d’un prétendue définition de ce que doit être l’humanité « normale ». Elle se rencontre dans à peu près toutes les sociétés. L’ethnocentrisme considère comme exclusives ou supérieures les valeurs de son groupe (grecs/ barbares; européens/sauvages…). Il détermine même la volonté de transformer ( baptème, colonisation, esclavage…) ou détruire (ethnocide). Les scientifiques du 20è siècle se sont délivrés peu à peu d’un évolutionnisme qui considérait trop facilement des sociétés comme primitives (état antérieur à la culture).

 

La reconnaissance du relativisme (à chacun sa culture, ses évidences, ses croyances) peut sembler salutaire : n’érigeons pas nos réactions spontanées en valeurs universelles.

On reconnaît que le projet même de hiérarchiser les cultures ne peut s’appuyer sur aucun critère acceptable puisque ce qui semble prioritaire pour l’une ( le développement technique) ne le sera pas pour une autre (qui privilégie par ex l’équilibre avec l’environnement). Une reconnaissance des diversités culturelles s’impose. Mais faut-il par conséquent admettre, dès lors que tout est culturel, et qu’il est impossible de classer les cultures, que « tout se vaut » ?

Ce relativisme en viendrait à supporter ou à s’interdire de déplorer des comportement incompatibles avec le respect de la personne humaine et de son intégrité. Certaines pratiques culturelles (excision, condition soumise des femmes, prostitution des enfants…) ne sont-elles pas condamnables au nom de valeurs universelles ? On ne peut en même temps critiquer la traite des esclaves telle que l’Europe ou les Etats unis l’ont pratiquée, et admettre le maintien d’attitudes qui bafouent quotidiennement la dignité humaine.

Peut-être y a-t-il une manière légitime de nier l’idée d’une nature humaine sans tomber dans le relativisme pour autant. C’est de la refuser au nom de la liberté. l’homme ne nait pas achevé, déterminé, mais est la somme des ses actes. (cf. éducation).

https://www.youtube.com/watch?v=Nk_qI2HkAYI

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