Baccalauréat

Compréhension écrite
Expression écrite
Compréhension orale
Expression orale
Oral de rattrapage

Ces recommandations valent pour les épreuves terminales, mais aussi pour celles du Bac blanc organisé par la plupart des établissements, et ce dès le premier trimestre. 

Remarques générales :

Compréhension de l’écrit

  • Prenez le temps de lire les textes plusieurs fois. Faites-en de même pour les consignes : vérifiez que vous faites bien toutes les activités qui correspondent à votre série
  • De même, conformez-vous aux instructions et appliquez les consignes. Par exemple, si l’on vous demande de reproduire un tableau, il faut le faire et ne pas se contenter de réponses notées à la volée.
  • Les questions de compréhension sont à traiter dans l’ordre. N’oubliez pas de noter les références des exercices. Cela vous permettra de vérifier que vous n’en avez pas oubliés dans le feu de l’action. 
  • Attention, dans la partie compréhension, on ne vous demande pas forcément un nombre de mots spécifique. Si c’est le cas, il faut noter le nombre de mots que l’on a rédigés.
    Et on ne vous précise pas forcément combien d’items sont attendus par réponse. Ne vous contentez pas de réponses lapidaires, mais sachez faire le tri dans les informations pour ne pas donner de réponses hors-sujet. Elles ne vous pénaliseront pas systématiquement, mais risquent de vous faire perdre un temps précieux.
    Sachez que les questions qui portent sur la synthèse des 2 textes sont à développer davantage que les autres et rapportent généralement plus de points.

N. b. Les questions à faire par les LVA sont toutes à développer plus longuement.

Je suis ce lien pour avoir accès aux consignes les plus courantes et à leur traduction

Expression écrite

  • Les activités d’expression sont à traiter dans l’ordre. Prenez le temps de bien spécifier le sujet que vous avez choisi de traiter si vous aviez le choix entre plusieurs.
  • Ecrivez lisiblement. 
  • Il faut penser à utiliser des mots de liaison (liste indicative consultable en suivant ce lien) pour articuler votre expression, mais attention : trop de mots de liaison peuvent rendre la production artificielle.
  • Conformez-vous aux instructions et appliquez les consignes et respectez la forme. Par exemple, si vous devez rédiger un article, n’oubliez donc pas de lui donner un titre.
  • Rappelez-vous que votre copie doit rester anonyme : n’y mettez aucune annotation qui pourrait permettre votre identification. Par exemple, si vous devez rédiger une lettre, ne la signez pas de votre nom.
  • Prenez le temps de vous relire. Ce temps de relecture est une étape indispensable.
  • N’oubliez pas de compter et d’indiquer le nombre de mots de votre production écrite. On exige de vous un nombre MINIMUM de mots. Rien ne vous empêche si vous êtes en section européenne ou en LVA de proposer une production écrite plus longue.

Grille d’évaluation consultable en suivant ce lien

EXPRESSION ORALE : Grille d’évaluation téléchargeable en cliquant sur ce lien 

Compréhension de l’oral

Un document sonore (éventuellement deux) de 90 secondes maximum

Avant l’écoute – sur votre brouillon
Commencez par regarder le titre. Essayer d’anticiper le contenu du document audio en essayant de trouver des indices. Mobilisez vos connaissances (culturelles, lexicales et personnelles).

  • Essayez de penser aux éléments de réponse que vous pourriez apporter si vous deviez traiter la problématique.
  • Faites une liste des différents aspects qui peuvent être traités dans le document.
  • Pour chaque point de votre liste,  trouver un ou deux mots-clés qui sont susceptibles d’être entendus dans le document audio
  • Vous avez dégagé des pistes, et vous êtes maintenant prêts à écouter le document audio. Faites-le avec un esprit ouvert, sans vous limiter à ce que vous avez anticipé.

La première écoute

Le but de cette première écoute est de comprendre le document dans ses grandes lignes. Elle permet de saisir :

  • De quel type de document audio il s’agit (interview, dialogue, présentation, …)
  • De qui il est question (nom des personnages présents et leur fonction)
  • Le thème ou les thèmes abordés
  • De repérer des éléments chiffrés
  • Tirer des informations de l’environnement sonore de celui ou ceux qui parlent (bruits, sons, …)
  • De vérifier si vos hypothèses de départ sont les bonnes ou non

Cette première écoute permet aussi de repérer l’accent du ou des locuteurs. Essayez de vous souvenir des spécificités majeures de chaque type d’accent. L’accent peut aussi vous permettre de situer le document géographiquement et culturellement.
N’écrivez pas encore à ce stade : concentrez vous sur l’écoute.

Profitez du temps qui vous est laissé après cette première écoute (1 minute), pour prendre vos premières notes au brouillon. Par exemple, vous pouvez préparer le plan sommaire du document audio sous forme de bulles, d’un tableau ou d’une grille  dans laquelle vous pouvez noter les différentes parties et sous-parties que vous avez repérées, …

La deuxième écoute

Vous pouvez commencer à noter au vol ce que vous entendez. Attention à ne pas céder à la tentation d’écrire d’emblée des phrases entières ! Le document sonore peut faire jusqu’à 90 secondes. Vous risqueriez de perdre des informations essentielles.
Mieux vaut noter des mots clés.
La prise de notes peut se faire en anglais ou en français, au choix.

Profitez de la pause intermédiaire d’une minute pour classer les mots, si ce n’est pas encore fait, si possible en remplissant et complétant les bulles, le tableau ou la grille que vous avez notés au brouillon précédemment.
A ce stade, il faut avoir réfléchi à la traduction en français des mots-clés.

La troisième écoute

Elle vous permet de vous concentrer sur les points qui vous paraissent encore obscurs, compléter les éléments qui vous manquent encore , détailler plus encore ceux que vous avez trouvés et réfléchir sur la meilleure façon de rendre en français certains choix grammaticaux dans le document sonore (ex : les modaux, les tournures passives, …)

Il vous reste maintenant dix minutes …

… pour faire un compte-rendu du document audio en français.

Reprenez vos notes, et écrivez en entier les mots en abrégé. Reclassez si nécessaire vos différentes parties et sous-parties.
Préparer la présentation des informations en suivant le plan que vous avez défini après la première écoute.
Soulignez tous les termes qui devront se trouver dans votre compte-rendu.
Assurez-vous que vous pourrez faire des phrases complètes à partir de vos notes car on ne vous demande pas de faire simplement la liste des mots que vous avez compris.
Vérifiez  la cohérence de l’ensemble.
Vous pouvez maintenant préparer votre introduction : type de document, personnages, lieu, thème.

Il ne vous est pas demandé de faire un compte-rendu exhaustif (c’est à dire de noter TOUT ce qui a été dit dans le document audio), mais bien de reprendre ses idées principales.

Vous devez aussi rendre compte du ton et du ou des points de vue  exprimés.

On résume : on doit donc trouver dans le compte-rendu 3 parties.
– la présentation du document : type de document – locuteurs (nom, fonction) – thème
– le contenu : les idées principales
– le ton et le point de vue exprimé par le locuteur

Les pièges à éviter ! 

La rédaction se faisant en français, on a parfois tendance à vouloir broder à partir d’une ou deux choses que l’on a comprises. C’est d’autant plus facile si on connaît le sujet abordé dans le document sonore. Attention ! Il s’agit bien de faire le compte-rendu d’un document audio, donc les informations que vous notez doivent s’y trouver.
On ne vous demande pas non plus de restituer le cours (si le sujet a été abordé pendant l’année).
Par exemple, si le document sonore parle des filles du Président Obama, ce n’est pas la peine de dire dans le compte-rendu tout ce que vous savez sur lui (étiquette politique, date d’élection, éléments biographiques, …). Cela ne vous rapportera pas de points supplémentaires et risque de vous faire perdre un temps précieux.

Un autre écueil, surtout si le support est un document vidéo, est de se concentrer sur le contenu des images et négliger le contenu sonore. On ne vous demande pas de décrire ce que vous avez vu, mais bien de faire le compte-rendu de ce que vous avez entendu et compris.
Les images sont parfois trompeuses ! Elles peuvent vous induire sur de fausses pistes.

Bon à savoir : les fautes de français ne sont pas pénalisées. Cela ne vous dispense pas de vous exprimer dans une langue correcte.

Expression orale

Je suis ce lien pour accéder à la page “S’exprimer à l’oral”

LV1 – Série S et ES – Vous avez une préparation de 10 minutes. Vous avez ensuite 5 minutes de prise de parole en continu et 5 minutes en interaction avec votre professeur.

L’épreuve orale est avant tout destinée à montrer que vous êtes non seulement capable de parler, mais aussi de communiquer. N’ayez pas peur de vous exprimer ! Pour cela, prenez l’habitude de participer à l’oral dès le début de l’année.
On attend aussi de vous que vous montriez ce que vous avez retenu des textes et documents étudiés en classe : il faut donc en connaître le contenu et maîtriser le vocabulaire qui s’y rattache.
Apprenez des phrases types, réutilisables pour chaque notion, et mémorisez des mots de liaison.
Tout l’échange se fait en anglais, des formules de politesse d’entrée à celles de sortie.

Parler en continu : Dans l’idéal, on attend un discours argumenté, informé et qui présente de manière pertinente un point de vue sur la notion que vous présentez.
Chacun des quatre notions doit pouvoir être expliquée, pas forcément de manière exhaustive mais il faut  que cette explication débouche sur une problématique, c’est à dire un problème que vous jugez intéressant. Vous allez tenter de répondre à ce problème en vous servant de ce que vous avez étudié en classe (textes, documents iconographiques, documents audio et vidéo, …). Une problématique bien cernée vous permet de dégager un plan structuré qui va comprendre :
– une introduction (la définition de la notion par un ou deux mots clés – la problématique – la présentation du plan)
– un développement qui comprend deux ou trois idées principales , à articuler avec des mots de liaison bien choisis, et illustrées d’exemples.
– une conclusion
On attend de vous une opinion personnelle sur le sujet soulevé.

Il faut faire de réels efforts pour être compréhensible : le niveau de langue doit être bon, la prononciation correcte, tout comme l’accent. Le débit doit être aussi normal que possible. Si vous vous rendez compte que vous avez fait une erreur (que ce soit sur la syntaxe ou la prononciation), n’hésitez pas à vous auto-corriger.
Bon à savoir : quand vous préparez votre oral à la maison, vérifiez sur les dictionnaires en ligne la prononciation des mots difficiles. Entraînez-vous à faire votre présentation devant un auditoire (famille, copains, …) ou à vous enregistrer avant le jour J.

Parler en interaction : Il faut pouvoir réagir à ce qui est dit ou demandé, donc il faut faire un effort d’écoute et de compréhension. L’interrogateur va vous demander d’apporter des précisions, des explications sur ce que vous avez dit, sur ce que vous pensez, …  Si vous êtes perdu, il va sans doute vous poser des questions plus abordables. Gardez à l’esprit qu’il n’est pas là pour vous piéger, mais bien pour juger de ce que vous êtes capable de produire à l’oral. Il faut savoir argumenter et défendre son point de vue, certes, mais aussi interagir.
Quelques phrases bien utiles :

  • Vous n’avez pas saisi la question : Sorry, I didn’t hear your question. Could you repeat it (slowly), please ?
    I’m not sure that I understand your question. Could you be more specific ?
    Do you mean that …
    I’m afraid, I’m not with you. Would you mind rephrasing your question, please ?
  • Vous avez du mal à exprimer votre idée : I’m afraid I can’t find the right word but I mean that …
    I find it difficult to explain it in English but I am going to try …
  • Vous n’avez pas vraiment réfléchi à la question : I’m afraid I do not have a specific idea about it, but I’ll try to express my point of view.
    I have never really thought about that but in my opinion,
    I do not have any particular knowledge on this subject (=topic) but it seems to me that …
  • Vous n’êtes pas sûr(e) de ce que vous avancez : I’m not sure but I think that …
    I don’t know exactly but I believe that …
    How shall I put it …
    Perhaps, we could say that …
    I can’t help thinking that …
  • Vous souhaitez apporter une nuance, compléter ou changer d’avis : There is something else I would like to say …
    I would like to add that …
    Maybe we could say that …
    I would like to mention the fact that …
    I accept your point of view because …
  • Vous voulez expliquer un choix, un point de vue : What I liked most in this scheme was that …
    What I really found interesting / challenging / fascinating / surprising / shocking / disgusting was the fact that …
    What struck me most was that …
    I found it particularly motivating / challenging / to …

Les écueils à éviter :
Ne pas préparer de plan et faire une présentation fourre-tout
Vouloir tout rédiger
Lire ses notes (on attend de vous de la spontanéité)
Ecouter ce que dit l’autre candidat
Ne pas tenir compte des questions de l’examinateur

Pour savoir comment vous serez évalués et notés, suivez ce lien

Oral de rattrapage

Vous ne devez pas présenter de listes de textes, mais vous allez être interrogé sur les notions travaillées pendant l’année.
L’examinateur va vous présenter deux documents inconnus qui illustrent ces notions.
Ces documents peuvent être une image publicitaire, un dessin humoristique, une photographie, une reproduction d’une œuvre plastique, un slogan, un titre d’article de presse, une question vous invitant à prendre position sur un sujet d’actualité ou un phénomène de société ou même une citation.
Je suis ce lien pour réviser la façon de commenter un document iconographique.

L’épreuve se déroule en deux parties : les 10 premières minutes sont consacrées à la production orale en continu. Elle débouche sur une discussion de 10 minutes avec votre examinateur. Vous choisissez l’un des deux documents (prenez celui qui se rattache à la notion que vous maîtrisez le mieux). Vous avez maintenant 10 minutes pour préparer votre oral. 

Première partie de l’oral du 2ème groupe d’épreuves :

Attention, on ne vous demandera pas un commentaire formel mais une simple description ne suffira pas (n’oubliez pas, la partie ‘oral en continu’ doit durer dix minutes!) On attend de vous que vous parliez librement. Voici quelques étapes possibles :

a) introduisez le document iconographique :

  • type (ex : cartoon, dessin humoristique, publicité, etc … )
  • artiste
  • date de création
  • sujet (sans trop entrer d’emblée dans les détails)

b)  Dites à laquelle des quatre notions (Mythes et Héros, Idée de Progrès, Formes et Lieux de Pouvoir, Espace et échanges)  vous le rattacheriez. 

c) Donnez votre définition de la notion. 

d) Terminez votre introduction en expliquant quel problème est soulevé et essayez de trouver une problématique en lien direct avec le sujet illustré par le document iconographique. 

C’est cette problématique que vous allez développer ensuite, idéalement en suivant un plan organisé et articulé de manière logique grâce notamment à des mots de liaison. 
Il va falloir illustrer votre propos en vous servant des éléments de l’image. 

Votre conclusion va récapituler votre développement, et dans l’idéal, débouche sur une réponse possible à la problématique que vous avez annoncé dans l’introduction. 

Ce que l’on peut faire en vue de la première partie de l’oral du 2ème groupe d’épreuves : 
– préparer une définition de chaque notion. Cette définition doit être suffisamment étoffée. 
– Réfléchir à trois ou quatre problématique possibles pour chaque notion
– Réviser les principaux mots de liaison 
– Revoir comment aborder un document iconographique
 Relire les conseils pour gagner en authenticité à l’oral

Deuxième partie de l’oral du 2ème groupe d’épreuves :

Il faut pouvoir réagir à ce qui est dit ou demandé, donc il faut faire un effort d’écoute et de compréhension. L’interrogateur va vous demander d’apporter des précisions, des explications sur ce que vous avez dit, sur ce que vous pensez, …  Si vous êtes perdu, il va sans doute vous poser des questions plus abordables. Gardez à l’esprit qu’il n’est pas là pour vous piéger, mais bien pour juger de ce que vous êtes capable de produire à l’oral. Il faut savoir argumenter et défendre son point de vue, certes, mais aussi interagir.
Quelques phrases bien utiles :

  • Vous n’avez pas saisi la question : Sorry, I didn’t hear your question. Could you repeat it (slowly), please ?
    I’m not sure that I understand your question. Could you be more specific ?
    Do you mean that …
    I’m afraid, I’m not with you. Would you mind rephrasing your question, please ?
  • Vous avez du mal à exprimer votre idée : I’m afraid I can’t find the right word but I mean that …
    I find it difficult to explain it in English but I am going to try …
  • Vous n’avez pas vraiment réfléchi à la question : I’m afraid I do not have a specific idea about it, but I’ll try to express my point of view.
    I have never really thought about that but in my opinion,
    I do not have any particular knowledge on this subject (=topic) but it seems to me that …
  • Vous n’êtes pas sûr(e) de ce que vous avancez : I’m not sure but I think that …
    I don’t know exactly but I believe that …
    How shall I put it …
    Perhaps, we could say that …
    I can’t help thinking that …
  • Vous souhaitez apporter une nuance, compléter ou changer d’avis : There is something else I would like to say …
    I would like to add that …
    Maybe we could say that …
    I would like to mention the fact that …
    I accept your point of view because …
  • Vous voulez expliquer un choix, un point de vue : What I liked most in this scheme was that …
    What I really found interesting / challenging / fascinating / surprising / shocking / disgusting was the fact that …
    What struck me most was that …
    I found it particularly motivating / challenging / to …

Bon à savoir : La note obtenue à l’oral de rattrapage est affectée de la totalité du coefficient de l’épreuve de LV1 ou de LV2 correspondante. Par exemple, en série ES, la note obtenue est ainsi affectée d’un coefficient 3 si vous passez votre LV1 et d’un coefficient 2 s’il s’agit de votre LV2.

Pourquoi choisir ou non l’anglais au rattrapage ? 

Vous allez au rattrapage et vous vous demandez si l’une des deux matières que vous allez choisir à l’oral doit être l’anglais.
Il faut savoir que les notes obtenues lors des oraux de rattrapage remplacent celles des premières épreuves si elles sont supérieures, si l’ensemble de votre moyenne au Bac passe au dessus de 10 vous obtiendrez votre Bac.
Si vous avez obtenu une bonne ou très bonne note d’anglais aux épreuve du 1er groupe, obtenir au rattrapage une note semblable ou un petit peu supérieure ne vous apportera que quelques points, voire aucun.

On choisit l’anglais au rattrapage non pas parce qu’on est à l’aise, voire très à l’aise dans la matière. On le choisit parce qu’on a eu de bons résultats pendant l’année et une note relativement basse aux épreuves du groupe 1. On peut logiquement espérer une (bien) meilleure note aux épreuve du groupe 2.

Il faut tenir compte aussi du coefficient affecté à cette note de rattrapage. Si l’on hésite entre plusieurs matières, mieux vaut choisir celle à fort coefficient si l’on a beaucoup de points à rattraper.

(Un grand merci à ma collègue, Mme F. pour ses suggestions et conseils)