Faire des « noeuds » à son mouchoir de formateur

Quelques nœuds en formation, à faire à son mouchoir[1]

En rugby, on dirait revoir ses « fondamentaux », en politique, les « incontournables »; je vous propose pour la formation de parler de « noeuds », comme à son mouchoir, comme dans une corde à grimper, où l’ascension est progressive, facilitée par la présence de noeuds.

En même temps, ce sont des temps, des modalités où se noue l’efficacité de la formation.



[1] Image extraite de http://fr.wikipedia.org/wiki/N%C5%93ud_(lien)

Passer la « frontière »: organisation apprenante et ingénierie requise

Dans un précédent article, nous évoquions la « frontière invisible » dans l’établissement; il s’agit bien souvent de (ne pas) toucher à l’organisation du travail, en (ne pas) favorisant l’élaboration collective, la mise en débat du métier, l’analyse partagée de données et de résultats. Ces « petits pas », lents, mais progressifs, sont les conditions d’une organisation qui apprend d’elle-même, sur elle-même, et pour elle-même.  (voir l’intevention d’Alain Bouvier sur ce sujet).

Cette dimension « moderne », quand bien même dans d’autres organisations elle date de plusieurs (dizaines) d’années, concerne à présent le travail d’établissement et d’école; le « travail d’équipe » ou « en équipe », maintes fois invoqué (comme), parfois réalisé, ne peut se produire sans un minimum d’organisation et une part certaine d’ingénierie.

C’est pourquoi il est intéressant de se pencher sur les ressources développées par exemple chez nos collègues de l’Institut Atlantique d’Aménagement des Territoires (IAAT) de la région Poitou-Charentes, à qui j’emprunte ici la page, pour donner envie.

Au moins, faites-vous une idée. Aprés, nous pourrons en reparler, notamment avec les pages développées sur le site de l’Innovation (rubrique « équipe« ).


Guide méthodologique du travail en commun

guide méthodologique du travail en communLe tableau ci-dessous récapitule l’ensemble des méthodes présentées dans le guide méthodologique :
– pour consulter et télécharger une méthode : cliquer sur le nom de la méthode
– pour consulter ou télécharger l’ensemble des méthodes décrites sur un thème : cliquer sur « télécharger le chapitre ».
– la colonne niveau de difficulté indique, sur une échelle de 1 à 3 étoiles, si la méthode est simple à mettre en œuvre (*) ou plus complexe (***).
– la mention « Conseil » précise qu’il ne s’agit pas d’une méthode mais d’un recueil d’astuces.

Besoins Méthodes
(fiches à télécharger)
Poids du pdf Niveau de
difficulté
Pour…
Collecter
de l’information
sur Internet

Télécharger le chapitre
448 ko
Penser sa stratégie
de recherche
38 ko conseils Rechercher
des informations
Les annuaires 86 ko *
Les moteurs de recherche 68 ko *
Les méta-moteurs de recherche 67 ko *
Penser sa stratégie de veille 41 ko conseils Veiller
des thématiques
et des sites
Les listes de diffusion 45 ko *
Les outils de surveillance 49 ko *
Stimuler les idées
Télécharger le chapitre
800 ko
Le brainstorming 286 ko * Produire
des idées
Les 5 pourquoi 43 ko *
Le CIRCEPT 92 ko *
Métaplan 50 ko * Traiter
des idées
La matrice de découverte 44 ko **
La carte conceptuelle 116 ko *
L’analyse sémantique 42 ko * Lever
des freins
La technique du groupe nominal 65 ko *
Analyser l’environnement
Télécharger le chapitre
345 ko
La grille MOFF 43 ko * Analyser
pour anticiper
Le diagramme Causes / Effets 106 ko *
Le benchmarking 89 ko **
Les cercles de qualité 49 ko **
La méthode de résolution de problèmes 49 ko * Analyser
pour résoudre
La méthode de raisonnement ODSA 51 ko **
Elaborer
une stratégie
prospective

Télécharger le chapitre
1 182 ko
L’analyse structurelle 381 ko ** Analyser
l’environnement
Les arbres de compétences 109 ko **
MACTOR 298 ko ***
DELPHI 46 ko **
La grille des enjeux 42 ko * Anticiper
les risques
La technique du risque 48 ko *
MORPHOL 177 ko *** Elaborer
des scénarios
Aider à la décision
Télécharger le chapitre
652 ko
La matrice d’Eisenhower 114 ko * Hiérarchiser
les idées
Le diagramme de Pareto 80 ko **
Les arbres d’objectifs 139 ko *
Le diagramme d’affinités 76 ko **
La méthode Philips 6.6 41 ko *
La matrice de compatibilité 54 ko * Choisir les bonnes solutions
Le vote pondéré 46 ko *
Le tableau multi-critères 57 ko **
Planifier le projet
Télécharger le chapitre
487 ko
Le diagramme de GANTT 103 ko ** Identifier les étapes
Le diagramme de PERT 76 ko *** Organiser le projet
La méthode QQCQCCP 47 ko *
La méthode MOSI 147 ko *
Le cahier des charges fonctionnel 62 ko ***
Animer une réunion
Télécharger le chapitre
443 ko
Préparer la réunion 39 ko conseils Maîtriser les phases
de la réunion
Ouvrir la réunion 38 ko conseils
Maîtriser le déroulement
de la réunion
39 ko conseils
Clore la réunion 37 ko conseils
Les rôles et attitudes
de l’animateur
45 ko conseils Maîtriser le rôle
d’animateur
Les outils de l’animateur 48 ko *
Gérer les principaux problèmes 53 ko conseils
La parole est d’or 48 ko * Maîtriser la diffusion
du message
La technique du voisinage 47 ko *

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Evaluez, évaluez, il en restera toujours quelque chose; mais quoi ?

En ces temps d’examens nationaux, juin oblige, mais aussi d’évaluation des projets d’école, des bilans d’étape des expérimentations, d’attention portée (internationalement) aux résultats des élèves, il nous semble intéressant d’élargir notre réflexion à l’acte lui-même d’évaluation et aux pratiques (coutumières) qui s’y réfèrent.

Un principal de nos amis, ancien formateur par ailleurs, pensant à nous, lors de sa première année dans un collège très républicain dans la composition de son public scolaire, a entrepris de faire la recension de tous les actes d’évaluation, par la seule voie de la notation, qui faisait la performance (ou non) de son établissement, en vue d’un débat avec ses enseignants. Pour 18 classes de 26 élèves en moyenne, sur 36 semaines, quelques 15 disciplines présentes, il est parvenu à la somme de 90 000 notes. Etonnant, non ?

Une telle prolifération de notes monocordes semble répandue dans nos établissements, tellement que nous n’y prêtons plus attention (ou intérêt). Les pratiques de cette évaluation notatoire « vont de soi », elles s’imposent à nous plus que nous ne les imposons aux autres. Elles saturent de façon monotone  le temps scolaire, nos échanges et les propos de nos élèves. Et pourtant, nous sommes insatisfaits, nous ne sommes point en accord entre nous, nous constatons des discordances évidentes entre nos prétentions objectives tellement subjectives !. Assurément, nous avons tous besoin de travailler sérieusement sur la variété et la validité des modes, des pratiques et des ressources d’évaluation pour sortir des démesures de la notation.

Evaluer peut rendre fol !

De tels constats nous font toucher du doigt un conflit professionnel vécu par chacun d’entre nous, mais aussi éprouvé par notre institution, collège, lycée. Accumuler des « notes », en sur-abondance, et sans rétrospection atteste que nous cherchons toujours quelque part à nous rassurer. Nous agissons tels des chauve-souris qui dans l’obscurité émettent des faisceaux continus d’ultra-sons pour appréhender les réalités diverses qui se présentent à nous. Finalement, nous sommes aveugles ; nous nous privons,  ou pire, nous nous amputons d’autres « sens » ou techniques qui nous permettraient de mieux nous repérer.

Il nous faudrait faire ensemble la part entre la chimère de l’objectivité recherchée en évaluation et le paradoxe que l’évaluation n’existe que par la subjectivité. Il ne s’agit pas d’évacuer la subjectivité, mais plutôt de faire avec, en tout refus de l’arbitraire toujours endémique dans les opérations évaluatives.

Ainsi, nous pourrions par exemple nous appuyer sur les constats contrastés, contradictoires, de l’analyse faite par Jean Cardinet, en 2002, à a la suite celle de Jacques Weiss, en 1984 :

1- l’objectivité de l’évaluation est nécessaire : rendre plus explicite les objets et l’objectif de l’évaluation vaut tout autant pour l’évaluateur que pour l’évalué. C’est même une des conditions premières de l’évaluation.

2- L’objectivité de l’évaluation est souhaitée : car comment expliquer que des évaluations de mêmes réalités conduisent à des décisions différentes ? Les évaluations sont plus souvent rapportées à la personne qu’aux compétences.

3- L’objectivité de l’évaluation est impossible : malgré les programmes, les objectifs d’apprentissage sont différents selon les enseignants ; les performances évaluées sont différentes ; les conditions d’observation sont différentes ; les exigences sont différentes ; le sens de l’évaluation est différent selon les contextes.

4- L’objectivité de l’évaluation est à rejeter : une exhaustivité des critères, des indicateurs déboucherait sur une standardisation extrême : « le flou des échelles d’appréciation est le jeu de l’engrenage pour éviter que la machine ne se bloque » (Perrenoud, 1984)

Il importe, pour sortir de l’impasse, de consentir à :  se concentrer sur des instruments permettant une interprétation clinique, partager des banques d’items étalonnés, favoriser des portfolios, et… donner du sens à l’observation, ensemble mais subjectivement et en « méta-cognition » de nos procédures personnelles.

La subjectivité est nécessaire, si elle est prudente et réflexive.

Nous pouvons donc nous autoriser ensemble à réintroduire et travailler avec notre subjectivité ; non pour être « sujet » mais bien acteur et responsable de nos actes, « auteurs » même de supports favorisant la clarté.

En guise d’exergue, nous allons alors nous appuyer sur la  définition de J. M. de Ketele (1989) : évaluer implique :

recueillir un ensemble d’informations suffisamment pertinentes valides et fiables

examiner le degré d’adéquation entre cet ensemble d’informations et un ensemble de critères adéquats aux objectifs fixés au départ ou ajustés en cours de route

en vue de prendre une décision évaluative, il nous revient par suite de réfléchir sur :

1- le choix du type de décision et de l’objectif de l’évaluation

D’abord, identifier le type de décision qui pourrait être prise au terme de l’évaluation :

Soit :

Sanction positive o

Sanction d’attente  o

Sanction négative o

Ou bien :

éclaircissement   o

Encouragement o

Orientation o

Ou encore :

Certification o

Classement o

Sélection o

La détermination de l’objectif est souvent partagé, flou ou …subjectif.

En toute hypothèse, jetez un coup d’œil sur le « triangle des objectifs de  l’évaluation ».

TRIANGLE des objectifs de l’évaluation

Si vous aimez vous déplacer à deux dimensions sur un triangle, ne serait-ce même qu’une pyramide, vous pouvez aller jeter un coup d’œil sur le « triangle pyramidal » que nous vous proposons à propos des relations entre des objectifs multiples, se traduisant en fait non seulement d’évaluation et d’appréciation, mais de mesures, voire de certification, d’orientation.

A noter, en lisant bien ce triangle, que tout ce qui est en dessous des pointillés signifie des visées et des procédures qui peuvent être quotidiennes, en continuité ; avec patience et même insistance. Cependant, que ce qui est au dessus des pointillés, avec des mesures, des certifications, des classements, aboutissant par la notation à la sélection, n’a de sens qu’à terme : après un temps prolongé d’enseignement et de mesure  quotidienne d’évaluation.

Prenons appui sur le « socle commun »

Les compétences désignées pouvant être revues dans les pages qui suivent, notamment en ce qui peut inspirer notre façon de traiter la compétence dans la progression des élèves par des critères adéquats, des formes variées qui peuvent être d’inventaire,ou check-lists brèves, de questionnaires, de formes interrogatives aussi bien que dans la correction de copies demandées aux élèves dans les épreuves plus professionnelles, ainsi que dans les formes d’évaluation projective ou par tri.

La référence aux sept modes de présentation de l’évaluation peut permettre de traiter la variété des connaissances, capacités et attitudes citées dans la richesse du socle commun, en évitant le seul recours à une notation qui peut être abstraite sinon subjective, mal interprétable par les élèves.

La régulation des moyens pratiques consultables ci-après peut permettre de résoudre les difficultés d’harmonisation rencontrées dans la pratique lors de la mise en œuvre du « socle commun ».. Des difficultés tenant souvent à la disparité des profils d’élèves, mais aussi des potentiels identifiés, enfin des possibilités offertes, éventuellement attrayantes,  des disciplines. Par exemple, se satisfaire de connaissances en vocabulaire (domaine 1), l’un se satisfait de 100 alors que l’autre de plusieurs centaines. Ou peut-il y avoir entre plusieurs enseignants une idée du socle qui pour certains se limitent à une centaine et pour d’autres estiment à plusieurs centaines ; en évaluation opératoirement différenciée.

Par la référence pratique et concrète, le risque d’excès et d’écarts dans l’application des données du socle aux élèves -réduire à l’optimum l’ensemble des exigences cognitives et actives –  peut être conjuré d’une façon positive : en vu d’être accordé à chaque enseignant, à chaque discipline, mais aussi à chaque élève.

Avant de regarder du côté des exigences requises et des moyens concrets pour les atteindre, il peut être juste, au préalable, de réfléchir aux choix des critères et des indicateurs qu’il nous faut mettre en œuvre, selon les possibilités et de situations, et de voies d’évolution.

Inventaire des possibilités de situations et de voies d’évaluation

Il est intéressant pour chaque enseignant de prendre connaissance, en un parcours rapide ou en s’attardant parfois, de cet inventaire  (en forme de « clavier »)  afin de saisir la multiplicité des situations ou voies d’évaluation qu’il peut emprunter ;   nous pourrions ainsi éviter l’usure et la réduction consécutives à l’emploi de modalités trop habituelles.

Cet inventaire peut aussi attirer l’attention sur la pluralité des variables dont le professeur peut être tenté d’apprécier l’intensité ou l’émergence dans la voie ou situation choisie ou à choisir, inédit ou oublié, selon des critères et des stratégies adaptées sur lesquels nous reviendrons.

Bonne chance et bon choix ! Profitez des bonnes occasions et cochez doctement !

Quelle que soient les modalités concrètes que nous choisissons de mettre en œuvre, il nous faudra également réfléchir sur les choix des critères, des indicateurs et des stratégies, ainsi que l’adéquation entre indicateurs et critères adoptés.

Le choix des critères

Les critères d’appréciation de paliers ou de résultats atteints dans l’acquisition des connaissances, des capacités, des savoir-faire, d’attitudes dans l’activité scolaire  peuvent être selon les cas et les objectifs de :

Clarté  o

Exactitude o

Soins o

Conformité o

Efficacité o

Efficience par rapport aux moyens o

Pertinence o

Cohérence o

Adhésion aux valeurs o

Originalité  o

Il est opportun de pouvoir renouveler nos choix nécessaires sur quelques critères non standards, selon quelques précautions, à condition qu’il soit :

xpertinents

xindépendants les uns des autres

xpeu nombreux pour être réalisables

xpondérés

Le choix des critères, adapté à chaque travail d’élève, participe du processus d’évaluation (et non de contrôle), phase délicate et difficile, toujours subjective pour l’enseignant.

Le choix des indicateurs

Pour fixer à quels degrés d’intensité ou de qualité les critères sont atteints, l’évaluateur doit disposer de quelques indicateurs, dont l’application sur :

xles faits, à constater

xles représentations

offrira des indications quantitatives (du genre %) ou qualitatives (du genre platonique bien, bon, juste, vrai , mais aussi passable)

Le choix de la stratégie

Nous pensons pouvoir seulement évaluer par des devoirs, des interrogations et des contrôles. Mais il importe de pouvoir enrichir nos façons de faire grâce à une variété de méthodes de recueil d’informations : interview,  sur questionnaires, par étude documentaire, par observation, sur des graphiques ou tris, par métaphores ou significations. On pourra tapoter sur le « clavier » ou inventaire des instruments d’évaluation.

Il faut bien sûr d’abord s’assurer de la validité et de la fiabilité de la stratégie à l’objectif visé et aux personnes concernées.

Enfin, un retour sur l’examen de l’adéquation entre indicateurs et critères. La question du sens au terme de l’évaluation exprimée. En celle-ci, l’évaluateur donne du sens au processus (comme le juge devant des faits similaires) ; et il le fait dans la conscience responsable de la subjective. Comme on vient de le voir, la subjective implique des prises de choix, obtenus et exprimés dans la clarté, mais en « loyale subjectivité ». Et c’est parce qu’il y a subjectivité qu’on peut alors parler d’évaluation.

Reconnaissons que le  problème de la plupart des évaluations n’est pas leur subjectivité, mais le flou dans lequel elles se déroulent. Soyons clairs et éclaircissons, mais en nous gardant d’être péremptoires et définitifs. Nous ne faisons pas de jugement.  Nous donnons des indications de repérage et des stimulations positives.

Et souvenons-nous, avec Charles HADJI, que l’évaluateur est un tisserand funambule[1] :

o capable de juger ce qu’il est et ce qu’il fait, avec une distanciation critique à l’égard de la réalité

o mais incapable de connaître exhaustivement la réalité et d’en prévoir l’évolution avec certitude

o c’est un choix et un pari : il est acteur dans cette dynamique évolutive ; un pari en ce qu’il peut concevoir un état des choses meilleur.

Il est tisserand, parce qu’il met en lien. Et il tisse d’abord un message accessible, palpable et lisible pour qui le reçoit.

Mais il est funambule : se mouvoir dans un espace entre un être en mouvement et un devoir-être difficile à cerner, en chaque élève, en chaque classe, en chaque amphi !

Ressources pour « conduire le changement », quelques pistes

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Ces temps de « vacances » nous permettent de replonger dans des ressources ou documents divers générés dans les moments de formation et d’accompagnement des groupes. Un moment pour travailler ses points d’appuis et quelques autres références.

Au cours d’une journée intense de travail consacrée à la conduite de changement dans les dispositifs de formation et d’accompagnement des établissements du réseau de la Fondation d’Auteuil, j’avais consacré un rôle plein et entier à la consignation des références évoquées, explicites ou lancées parfois à la volée.

Je vous propose de partager cette moisson, pas forcément originale, mais toujours utile pour s’enrichir de références plus théoriques ou plus métaphoriques selon les cas.

Chacune à leur manière renseigne sur le questionnement de nos pratiques, sur nos représentations de nos fonctions dans l’institution, sur les prospectives que l’on se construit pour mieux appréhender les mois ou années prochaines.

Ressources informationnelles

Ressources relatives à la conduite du changement

  • GAUTHIER Roger-François , voir sa conférence à l’attention des personnels de direction de mars 2009, filmée, portant sur « Administrer » un « système d’éducation ». Quel sens donner aux mots ?

http://www.esen.education.fr/…/?idRessource=962&cHash=025c0ee1b3&p=1

Ressources métaphoriques sur le changement

Ressources relatives à l’ingénierie pédagogique et l’ingénierie de formation

Il a également été fait référence à :

Preuve s’il en est que l’éducation appartient bien aux « sciences humaines », et que la convergence nous rend plus riche. Bonnes découvertes.