Mémoire de poisson rouge ou d’éléphants… Beaucoup d’enfants et d’adultes ne connaissent pas le fonctionnement du processus de mémorisation du cerveau. Cela peut amener à croire que l’on est nul en mémorisation. En réalité, tout le monde est capable d’apprendre à mobiliser sa mémoire. la mémorisation dépend de l’intérêt, de la motivation, du niveau de difficulté, et de l’état physique et émotionnel.
Ce phénomène de faire plusieurs choses à la fois se développe avec les nouvelles technologies. le problème c’est que le multitâche demande beaucoup plus d’effort au cerveau que de traiter, les unes après les autres, les différentes tâches du quotidien. De plus cela empêche la persévérance : commencer une tâche et aller jusqu’au bout.Alors que la persévérance est un pilier de l’apprentissage, on termine ce que l’on a commencé ! Conseil– N’utilises pas de source extérieure de distraction comme la musique…
Lorsque l’on se dit que l’on aime pas une matière , c’est une stratégie pour éviter la douleur de ne pas y arriver. En général, on aime ce que l’on réussi bien et on a beaucoup plus de mal à aimer les matières où l’on n’est jamais en réussite.
Beaucoup de gens fonctionne avec la pensée magique. Lorsqu’on pose une question ils vont ouvrir le petit tiroir dans leur tête. Si la réponse y est, tout vas bien! En revanche, si le tiroir est vide, catastrophe ! Ce fonctionnement est un automatisme. Le “je ne sais pas” est caractéristique de la peur de se tromper.Apprendre c’est accepter un temps la frustration qu’il peut y avoir entre le “je ne sais pas encore” et le “je sais”. Astuces – Laisse le temps…
Quand la croyance est négative, elle enferme dans un schéma d’échec mais lorsqu’elle est positive, elle enferme tout autant. chacun se retrouve alors piégée dans une obligation de réussite qui peut être très culpabilisant s’il n’y arrive pas. Ses croyances laisse peu de place au talent propre de chacun et ne laisse pas l’opportunité de les cultiver. Petit exercice – Pour vous amuser, faites la liste de toutes les croyances familiales en commençant par “chez nous, on est…”, “puis chez nous,…
Nous avons trop tendance à penser, qu’il faut souffrir pour réussir, y arriver. Si je crois qu’il faut souffrir pour apprendre, il y a de fortes chances que je m’enferme dans un schéma dans lequel les apprentissages seront longs et difficiles. Des efforts sont nécessaires pour se concentrer par exemple mais rien ne sert de souffrir, sinon on finit par se décourager. Et toi, que penses-tu sur toi-même, ton comportement et tes capacités d’apprendre ?
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