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Prix des Incorruptibles : les élèves ont choisi !

Le prix des Incorruptibles est le seul prix de littérature jeunesse, décerné par des jeunes !

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Au collège Berlioz, des élèves de 3e ont lu les 5 romans de la sélection, ont débattu et argumenté leur choix, et ont élu leur préféré.

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Cette année, c’est Argentina, Argentina qui est le grand gagnant !

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Alexandrine, Daphné, Eliane et Julien ont préparé des panneaux présentant les 5 livres pour les portes ouvertes. Les voici en photo pour vous, lecteurs du blog du CDI !

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En attendant le 13 juin et les résultats nationaux, vous pouvez emprunter les livres de la sélection et vous faire votre propre avis (à partir de la 4e) !

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Argentine, Argentina, de Christophe Léon (éditinos Oskar)

« Pascal Forte prépare un article documenté pour le magazine qui l’emploie. Sujet : les enfants volés par les militaires argentins durant la junte. Il s’envole pour l’Argentine à la rencontre d’un de ces enfants devenu adulte, Ignacio Guttierez. Au cours d’entretiens enregistrés, Ignacio dévoile son histoire au journaliste, la vie avec ses parents et grands-parents, son arrivée à Buenos Aires, comment il a été séparé de sa famille, la disparition du père et de la mère, son placement-adoption chez le colonel Guttierez et les années passées chez eux.
Puis la fin de la junte et la fuite des militaires. S’ensuit pour le jeune garçon-homme une recherche d’identité et la découverte au Paraguay d’un frère, Abel, qu’il va tenter de joindre. « 

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Boys don’t cry de Malorie Blackman (éditions Milan)

« Que feriez-vous si vous aviez 17 ans et que votre ex-copine vous amenait un bébé en vous disant qu’il est de vous et que vous devez vous débrouiller avec lui ? C’est ce que va découvrir Dante. « 

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Waterloo Necropolis de Mary Hooper (éditions des Grandes Personnes)

« Londres, 1861. Grace, presque 16 ans, embarque à bord de l’express funéraire Necropolis, en direction du cimetière de Brockwood, pour y dire adieu à un être cher. Elle fera là-bas une rencontre décisive en la personne de Mr et Mrs Unwin, entrepreneurs de pompes funèbres, qui lui proposent de devenir pleureuse d’enterrement. D’abord réticente, la jeune fille finit par accepter leur offre, après qu’elle et sa soeur Lily se retrouvent à la rue.
Toutes deux ignorent encore qu’elles vont devoir faire face aux manigances de cette famille peu scrupuleuse, prête à tout pour s’emparer d’un mystérieux héritage… Un stupéfiant portrait de Londres à l’époque victorienne, un suspens à vous glacer les sangs : autant de points forts de ce roman dont la couleur est le noir et sur lequel flotte en permanence une nappe de brouillard. « 

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Silence, de Benoît Séverac (éditions Syros)

« Nathalie Girard se tourne à nouveau vers Jules et lui met son cahier sous les yeux : – Vous arrivez dans une rave, vous ne connaissez personne, vous n’avez jamais pris de drogue et vous en prenez une dose suffisante pour assommer un cheval ? Vous trouvez cela logique, vous ? Jules ne répond rien. Il évite son regard en fixant les plis des draps sur son lit. Pendant ce temps, le lieutenant Tatger relit pensivement leur dialogue.
– Vous vous doutez que nous allons interroger vos amis ? Vous êtes certain de ne pas vouloir nous dire tout ce que vous savez ? ». Sur son lit d’hôpital, Jules revient tout doucement à lui. Il n’entend plus. Dans le silence avec lequel il va devoir apprendre à vivre, il reconstitue peu à peu la succession des événements qui l’ont conduit là. Pour être en paix avec lui-même, doit-il parler ou se taire ? »

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Rien qu’un jour de plus dans la vie d’un pauvre fou de Jean -Paul Nozières (éditions Trhierry Magnier)

« Il devait surveiller sa petite soeur au square, mais à dix-sept ans comment résister lorsqu’une jolie femme vous demande gentiment de l’aide. Au retour, Elise a disparu… Dix ans plus tard, à l’autre bout de la France, Laura, treize ans, disparaît à son tour. Jean-Alain,  » le pauvre fou  » dit Linlin, est le coupable désigné, obnubilé qu’il est par les jupes, les shorts ultra courts et les décolletés plongeants de la jeune fille.
Jamais, jamais, la vérité n’est aussi simple qu’elle paraît, les pauvres fous le savent, mais qui les entend ? Evoquer la vie des gens, leurs petits secrets, leurs grandes peurs, tresser des destins ordinaires et pourtant singuliers, voici l’art du romancier qui nous mène où il veut. « 


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