Une lampe dans une pièce sombre, vos mains, et vous pouvez projeter sur le mur des créatures du monde entier !
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Voici quelques modèles d’ « ombres chinoises » rassemblés pour vous. Cliquez sur les images pour les agrandir !
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Lequel sera votre préféré ?
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Sur le site Momes.net, il y a même un jeu à imprimer avec 16 animaux : clic !
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Et au fait, pourquoi dit-on « ombres chinoises » ? En fait, c’est l’expression du langage courant pour « théâtre d’ombres », qui consiste à projeter sur un écran, des ombres produites par des silhouettes découpées, des silhouettes d’acteurs, des jeux de mains, que l’on interpose dans le faisceau lumineux qui éclaire l’écran. C’est un art qui vient de Chine et d’Indonésie, très répandu au Cambodge, en Inde, Syrie, Thaïlande, Iran, Grèce, Turquie ! Les plus connues sont probablement les ombres chinoises Pi ying et les wayang kulit d’Indonésie.
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Le théâtre d’ombres a des origines très anciennes : plus de 2000 ans ! La tradition fait de l’Inde ou de la Chine son lieu de naissance (la fameuse « ombre chinoise »). C’est de là qu’à la faveur des grandes migrations il aurait gagné le Proche-Orient pour ensuite arriver en Europe. Le répertoire ancien reprenait des légendes traditionnelles ou religieuses, des drames ayant eu lieu entre des dieux, des histoires magiques… puis il est rapidement devenu un spectacle populaire !
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En France, le théâtre d’ombre a été introduit au château de Versailles il y a près de 250 ans. Le film d’animation Les aventures du Prince Ahmed de Lotte Reininger et les films de Michel Ocelot Les contes de la nuit, Princes et Princesses en sont les descendants. (Source : Wikipédia)
