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Cours : Signes d’une bulle immobilière 2

Signes d’une bulle immobilière : Les marchés d’acheteurs

Lorsque les conditions sont favorables aux prêteurs (faible taux de chômage, forte consommation, etc.), les programmes de prêts immobiliers abondent. Les propriétaires profitent de plans de financement attrayants pour améliorer leurs maisons et les vendre avec des bénéfices importants. Les acheteurs deviennent nombreux tandis que la valeur nette des maisons augmente (marché de vendeurs). Cependant, lorsqu’un marché devient saturé de dettes hypothécaires, les prêts diminuent souvent et le nombre d’acheteurs potentiels suit. La valeur nette de la maison diminue naturellement et les bénéfices des ventes diminuent progressivement (marché d’acheteurs). Lorsque la baisse des valeurs se poursuit, on assiste souvent à une vague de propriétaires qui se retrouvent soudainement « sous l’eau » (leur dette hypothécaire est supérieure à la valeur de leur maison) et, dans les cas extrêmes, à une explosion des saisies.

Augmentation du taux de chômage

Des conditions d’emploi favorables entraînent généralement une augmentation des ventes de maisons. Les banques, surtout si elles profitent de prêts hypothécaires en règle, augmentent leurs portefeuilles en proposant davantage de produits de prêt. L’augmentation de la population liée à l’emploi suit souvent. Les acomptes deviennent plus courants dans les achats immobiliers et les valeurs augmentent. Toutefois, lorsque les fronts d’emploi se stabilisent et que les taux de chômage augmentent, une bulle pourrait se profiler à l’horizon. Les travailleurs commencent à se déplacer vers des marchés plus favorables à la recherche de meilleurs emplois, les dépenses de consommation diminuent et le marché est inondé de propriétés disponibles. Les valeurs baissent alors, ce qui marque le début d’une véritable bulle.


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