L’émission radio
Jeudi 26 mars 2009Sur radio PFM, une émission traitant de notre échange entre Arras et Lagny autour de la Grande Guerre :
http://www.radiopfm.com/spip.php?article1776
avec Clotilde, Julie, Natacha et Louise
Sur radio PFM, une émission traitant de notre échange entre Arras et Lagny autour de la Grande Guerre :
http://www.radiopfm.com/spip.php?article1776
avec Clotilde, Julie, Natacha et Louise
Voici un article paru dans le supplément parisien du Nouvel Observateur n°2308 du 29 janvier 2009
Cliquez sur l’article pour l’agrandir
La brochure de l’office du tourisme d’Arras – Cliquez ici
La brochure de l’office du tourisme de Lagny – Cliquez ici
Aux élèves de la 1ère L1 (lycée Van Dongen)
Pour le vendredi 28 novembre 2008 :
1) Par groupe, vous devez récolter les éléments suivants :
– Que nous apprend l’exposition sur Lagny pendant la Grande Guerre ?
– Sélectionnez quelques documents qui pourraient être reproduits dans le livret sur Lagny pendant la Grande Guerre, à donner aux élèves d’Arras.
2) Apportez également les éléments que vous avez pu trouver sur votre histoire familiale.
Des archives vidéos sur les commémorations de la Grande Guerre (site de l’INA) :
Cliquez ici
[ina]http://www.ina.fr/archivespourtous/popup.php?vue=partenaire&partenariat=4a6dbc05ba4321227327739a7de0ac6f&noresize[/ina]
Un 11 novembre « du côté des victimes »
Aucun de ses prédécesseurs n’avait osé : cette année, ce n’est pas à Paris, devant le tombeau du soldat inconnu, que Nicolas Sarkozy présidera les cérémonies officielles du 11-Novembre. Une halte est certes prévue, au petit matin, sur les Champs-Elysées. Mais seulement pour fleurir la statue de Georges Clemenceau. Une fois l’hommage rendu au Père-la-Victoire, le cortège présidentiel quittera la capitale. Destination ? L’ossuaire de Douaumont, dans la Meuse, à quelques kilomètres de Verdun.
C’est là que sera respectée, à 11 heures du matin, la traditionnelle minute de silence célébrant l’arrêt des combats. Là qu’après avoir arpenté l’une des ailes du monument, où sont conservés les corps de 130 000 combattants français et allemands, le chef de l’Etat prononcera un discours devant les représentants d’une trentaine de pays. Mais sauf surprise de dernière minute, la chancelière allemande, Angela Merkel, ne viendra pas. « Son agenda est surchargé », indique l’Elysée, où l’on assure qu’il ne faut pas voir dans cette absence le symptôme de l’actuel refroidissement des relations franco-allemandes. La preuve ? « Elle est venue à Colombey-les-Deux-Eglises le mois dernier. »
Comme Lascaux a ses grottes, Arras a sa carrière Wellington…
vendredi 31.10.2008, 05:00 – La Voix du Nord
Si l’on se rend depuis 1950 aux grottes de Lascaux, pour savoir comment vivaient les hommes il y a quinze mille ans de ça, on descend depuis avril dernier dans la carrière Wellington pour comprendre pourquoi leurs descendants sont morts, il y a quatre-vingt-dix ans, victimes de la barbarie de la Grande Guerre…
Creusé au Xe siècle dans les entrailles de la cité, pour en extraire craie et pierres de construction, ce vaste gruyère long de quelque 22 km est investi fin 1916 par des tunneliers néo-zélandais, entreprenant d’y ériger une ville sous la ville. L’électricité est installée, l’eau courante fournie par des canalisations et l’on y dresse un hôpital de campagne, une chapelle, un cabinet de dentiste, des cuisines, des latrines, des chambres… Les Britanniques envisagent de lancer, six mois plus tard, une gigantesque offensive de diversion, destinée à faciliter la rupture des lignes ennemies entre Soissons et Reims. Et à préparer une autre offensive, que l’on promet décisive, sur le chemin des Dames. Quelque 24 000 soldats campent donc là, à 20 m de profondeur. Dans des quartiers qu’ils baptisent Glasgow, Liverpool ou Manchester, à l’instar des Néo-Zélandais ayant reproduit dans ce patchwork souterrain leur Auckland, Nelson et Wellington. Le 9 avril 1917, à 5 h 30 du matin, alors que le beffroi et les places ne sont plus que cendres, et que la cité atrébate est depuis une semaine victime d’un bombardement intensif destiné à annihiler toute riposte allemande, les soldats s’élancent à l’assaut de la colline de Vimy. Les combats font rage. Le conflit s’enlise. Cent mille hommes tomberont. Pas un manuel scolaire n’y consacre une seule ligne. La Bataille d’Arras constitue pourtant la seule victoire alliée de 1917….
Lagny-sur-Marne : exposition sur la Grande Guerre
Expo 14-18
Plus de 300 documents, objets, armements, décorations, souvenirs…
Du lundi au samedi de 9h à 12h et de 14h à 18h
Nocturne le lundi 10 novembre de 21h à 22h
Hôtel de Ville de Lagny sur Marne – Entrée libre
Inauguration le vendredi 7 novembre à 19h
Récoltez des articles sur ce conflit, procurez-vous ces numéros hors-série.
Par exemple, Le Monde vient d’en sortir un (« 14-18 : les traces d’une guerre »).
Hors série du Monde :
Outre des présentations de synthèse sur les mots de la guerre, la photo, le cinéma, ou les fusillés, ce hors-série richement illustré comprend des documents inédits notamment des correspondances du front et de l’arrière (un médecin à Verdun, une jeune fille allemande…), un grand entretien avec l’historien Antoine Prost et un autre avec le président du Sénégal Abdoulaye Wade.
Autres exemples :
mercredi 10 septembre 2008 – La Voix du Nord
Deux jeunes majeurs de la mouvance néonazie, dont l’un déjà condamné pour des faits similaires, seront présentés ce mercredi à un juge pour une probable mise en examen dans l’enquête sur la profanation en avril de 148 tombes musulmanes près d’Arras. Les huit autres jeunes, dont deux jeunes filles et deux mineurs, interpellés hier avec eux dans le Pas-de-Calais, ont été libérés, d’après Brigitte Lamy, procureur de la République de Béthune.
Les deux suspects, âgés d’une vingtaine d’années, pourraient être mis en examen pour violation ou profanation de sépulture en raison de l’appartenance à une race ou une religion et pour dégradation de biens appartenant à autrui en réunion.
Du matériel informatique a notamment été saisi au cours de perquisitions et sera « exploité », a ajouté Mme Lamy qui devrait requérir leur placement en détention provisoire des deux suspects.
L’un d’eux avait déjà été condamné en mai 2007 à 2 ans de prison, dont un ferme, pour la profanation en avril 2007 de 52 tombes musulmanes du même cimetière.
Lors de son procès, pour lequel il comparaissait avec un autre jeune majeur condamné à la même peine que lui, il avait expliqué n’avoir « jamais été un adorateur de Hitler ». Il avait reconnu au cours de l’enquête être mu par des pensées « anti-racaille, anti-lascars ».