Publié dans Année 2014-15

Les créations des 6A du cinquième jour…

La création d’Héloïse :

Dieu dit <<Qu’il y ait des beaux poissons pour la pêche, comme des truites, des perches soleil…>>
Il en fut ainsi. Dieu fit plein de poissons dans les mers, les océans.
Dieu dit <<Qu’il y ait des oiseaux pour qu’ils volent dans le splendide ciel comme des Rouges-gorges, des cygnes …>>. Il en fut ainsi ; Dieu fit plein d’oiseaux dans le ciel.Il y eut un soir, il y eut un matin : cinquième jour.

 

La création de Gauthier C

    

        Dieu dit : « Qu’il y ait des espèces aquatiques et aériennes. » Il en fut ainsi. Dieu fit les grosses bêtes de la mer, les petites bêtes de l’eau et les oiseaux.

       Dieu établit les poissons dans la mer et les oiseaux dans le firmament. Dieu vit que cela était bon.

       Dieu les bénit et leur dit : « Soyez nombreux sous les mers, volez en grand nombre dans le ciel ! » Il y eut un soir, il y eut un matin : cinquième jour.

 

 

 

Publié dans Année 2011-2012, Espace 6ème

Ulysse dans la tourmente…

J’ étais entrain de naviguer paisiblement sur la mer, quand tout à coup Poséidon surgit de nulle part. Tout mon équipage était sur le pont. L’ ébranleur du sol était rouge de colère.
    – » Que me veux- tu encore! lui dis- je. » 
Il se rua vers moi et me cria :
    – « Je vais te tuer ! Et cette fois ce sera la bonne »  
    – « Tu n’ y arriveras jamais. »
Poséidon prit son trident et il déclencha une tempête horrible.

Mon bateau s’est soulevé, j’ ai été projeté en arrière, et par chance je me suis agrippé au bord du navire, mais la puissance de la tempête était telle que je n’ ai pas pu me retenir et j’ ai lâché le bord du navire. Mes marins se sont noyés dans l’ eau salée de l’ enfer. 

Je me suis précipité en arrière et je me suis cogné la tête sur mât. Tout était obscur rien ne bougeait, la nuit arrivait et j’ étais k.O. par terre.
Poséidon se mit à rire:
    – « Ha, Ha, Ha, je t’ ai enfin eu!!!! »
Quelques heures plus tard, je me suis enfin  réveillé et j’ ai compris que j’ étais perdu au milieu de nulle part. Désespéré, je me suis laissé dériver pendant deux jours. Quand tout à coup j’ ai ouvert les yeux et j’ ai compris que j’ avais échoué sur une île. 
                                                                                                      

Paola  6e C

Publié dans Espace 6ème

La légende de Géronimo

Il était une fois un jeune indien nommé Sans-voix. Cet enfant était certes habile à la pêche et à la chasse, mais cependant il ne lui manquait que la voix. Il vivait en Amérique dans une vaste plaine emplie de canyons et de lacs. A côté de sa tribu il y avait un désert si grand qu’on l’avait appelé le désert sans- fin. Le tipi de Sans-voix était partagé en deux parties: le coin « cuisine » (vers la sortie) et le coin « sieste ». Sa mère, « Cuisine-à-donf », passait la plupart de son temps à lui apprendre le langage des signes, pendant que son père, « Bois-sans-soif », allait se boire deux ou trois litres d’eau pour ne lui en ramener que deux dans l’espoir de lui rendre sa voix (car il faut que vous sachiez que dans cette tribu, « être muet » signifiait que l’on avait les cordes vocales bouchées).
Un jour, il y eut une grande sécheresse. Le père de Sans-voix ne put plus ni rapporter ni boire de l’eau, alors, un soir lorsque Sans-voix s’endormit ses parents dirent :
« Nous ne pouvons plus essayer de lui déboucher la gorge, alors je te propose de le faire partir. De toute façon nous allons bientôt en être obligés à cause de la famine qui arrive, annonça tristement son père.
– Oui, tu as peut-être raison ! Nous conduirons notre fils chez le sorcier qui le guidera pour qu’il survive, acquiesça la mère le cœur chargé de larmes.
Le lendemain, ils étaient déjà devant le tipi du sorcier. Au moment où il en sortit, il fut surpris de les voir :
« Que vous arrive-t-il donc mes amis ?, les questionna le sorcier.
– Nous voulons vous demander ce que nous pouvons faire pour laisser notre fils, Sans-voix, partir et se débrouiller seul pour survivre et s’il a de la chance, retrouver sa voix, expliqua le père.
– Eh bien pour cela il ne faut pas appeler les grands esprits, il faut juste qu’il aille voir le « Magicien des 7 diables » », annonça le sorcier.
Sans-voix partit dans l’heure qui suivait. Sa route, vite tracée, était la
suivante :

. Les montagnes de sable
. Les sous-sols au 50°C
. La prairie du nord
. Le puits du gouffre
. La forêt buissonneuse
. Village des Arnachts
. Tipi du magicien
. Galerie du magicien

Il prit la route des montagnes de sable. Une fois arrivé, il aperçut le premier diable : c’était un serpent !
Il sortit son arc et une flèche, tira, mais vit avec désespoir que le serpent ne mourait pas. Il dut donc l’avoir par la ruse « du plus fin ». Elle consistait à faire dire à l’autre le mot « défaite ». Sans-voix engagea la bataille. Le diable essaya en vain e résister mais, au bout de quelques minutes, il prononça lui même le mot interdit. Sans-voix put ainsi le tuer.
Un deuxième diable l’attendait dans les sous-sols. Malheureusement pour celui-ci notre indien possédait le produit paralysant d’une fleur nommée la « Bipish ». Le jeune indien jeta son produit sur son adversaire qui se figea en moins d’une seconde. Il fit de même avec les quatre diables suivants qui restèrent pétrifiés à l’endroit de leur rencontre avec l’indien. Arrivé au septième diable, il n’avait plus de produit, mais ne le voyant pas venir, il se dit que ce n’était pas grave. Soudain, le septième diable sortit d’un rocher. Il avait l’air d’ une sorte de loup à long cou et à trois têtes. Sans-voix put remarquer que le monstre avait la peau écailleuse. Ce dernier arriva et dit :
« Hum ! Tu m’as l’air délic…ssS…ieux ! »
Sans-voix reconnut son accent car il était identique à chacun des diables qu’il
avait vaincu. Puis, sans crier garde, Séfére (excusez-moi j’ai oublié de préciser
que les diables s’appelaient Unfére, Defére, Trofére, Quafére, Cinfére, Sifére et
Séfére) attaqua Sans-voix qui esquiva difficilement son attaque. Le combat fut
rude mais un vainqueur apparut : Sans-voix. Le vainqueur de la lutte continua
sa route jusqu’au moment où il distingua la galerie du magicien. Sage-futé
(oups, le magicien s’appelait Sage-futé) vint et demanda à Sans-voix ce qu’il venait faire chez lui.
« Je viens retrouver ma voix, annonça le petit indien en langage des signes.
– D’accord, dit Sage-futé, tu as réussi à arriver jusqu’ici en combattant mes dia-bles. Tu vas donc pouvoir retrouver ta voix mais auparavant ouvre la bouche. »
Sans-voix s’exécuta. Le magicien lui fit avaler une potion miraculeuse qui lui fit retrouver sa voix.
« Maintenant pars !, annonça sèchement le magicien.
– Bien », répondit Sans-voix.
En chemin, il rencontra un troupeau de bisons qui le poursuivit aussitôt.
Sans-voix et le troupeau arrivèrent à un canyon. Sans-voix sauta sans hésiter dans le vide tout en criant : « GÉRON?MO !». Il atterrit au milieu d’un lac qui se situait à un kilomètre de sa tribu.
Le soir, il atteignit sa tribu et trouva ses parents en train de préparer le repas. Il se dit :
« Chic je vais enfin manger ». En le voyant arriver ses parents s’exclamèrent :
« Sans-voix, enfin te voilà !
– Papa, maman, hurla Sans-voix en se précipitant dans les bras de sa mère et de son père.
– Mais … mais … mais tu parles !
– Oui, j’ai trouvé le « Magicien des 7 diables » qui m’a donné une voix.
– As-tu entendu le cri qui disait « Géronimo » ?
– Oui papa, mais pourquoi cette question ? questionna Sans-voix
– Parce que le sorcier a décidé de nommer Géronimo le pousseur du cri, lui avoua son père.
– Eh bien en fait c’était moi, expliqua Sans-voix à ses parents.
– D’accord Géronimo !», s’exclamèrent les parents de l’ancien Sans-voix. Et Géronimo vécut heureux en compagnie de ses parents.

Souvent les combats
sont récompensés
par une chose cherchée
qui nous donne une voie.

Fin

Arthur B. 6èmeC

Publié dans Année 2011-2012, Espace 6ème

L’Iphigénie de Vanille

 

Agamemnon avait une fille, Iphigénie. A ses douze ans, Agamemnon entendit la voix d’Artémis qui imposait:
« Agamemnon, emmène ton enfant, ton unique fille au croissant fertile et dès ton arrivée, tu creuseras pendant cinq jours non-stop. Une fois fini, tu attacheras ta fille et la pousseras dans le trou et tu le reboucheras.
-Oui mais quand?
-Ce soir pendant que ta femme dort. »
Ne pensez pas qu’elle est cruelle, non, elle veut juste tester Agamemnon, mais vous verrez après!!!
Il est minuit, tout le monde dort dans la maison… ou presque.
Agamemnon sort de son lit doucement. Il réveille sa fille et ils sortent de leur maison. Deux jours après, ils arrivèrent au croissant fertile. Une fois arrivé, Agamemnon eut une vision. C’était Artémis, elle le félicite:
-« Bravo, tu as franchi la première étape. Voici votre maison pour votre « séjour ».
-Merci, mais que ferais-je d’Iphigénie pendant que je creuserai?
-Elle creusera avec toi. »
Une fois remis de sa mission, Agamemnon vit une gigantesque maison. Ils entrèrent et virent une énorme pièce avec un lit deux places, une cuisine et un canapé… et bien sûr deux pelles! Ils étaient tellement fatigués qu’ils tombèrent par terre!!!
Le lendemain, à cinq heures du matin Iphigénie et Agamemnon étaient déjà en train de creuser. Puis, toujours en creusant Iphigénie demanda:
-« Père, pourquoi sommes-nous en train de creuser ici?
-Ne pose pas de questions et creuse! ordonna son père. »
Et cinq jours passèrent. Agamemnon eut une nouvelle vision :
-« Bravo, une étape de plus mais maintenant la plus dure. Tu vas devoir lier ta fille pour ne pas qu’elle bouge et ensuite tu la pousseras et reboucheras le trou.
-Même si c’est dur je le ferai.
-Bien. »
Alors, il se réveille et dit à sa fille de venir. Il lui donna un somnifère, puis il la lia et la traîna vers le trou et annonça :
-« Ô Artémis, je vais sacrifier ma fille pour toi. Voila mon signe de fidélité. »
Il la poussa et prit la pelle. Il n’eut pas de vision cette fois mais Artémis était bien devant lui :
-« Non ne fais pas ça, lâche cette pelle et récupère ta fille.
-Mais j’ai fait ce que vous m’avez dit de faire!
-Oui mais c’était un test pour voir si tu me restais fidèle même en ayant une fille. Je te félicite!
-Alors la seule étape était celle de voir si j’étais capable de tuer ma fille pour vous?
-Exactement! Et pour te remercier de ta fidélité, voici une biche blanche à sacrifier à la place. »Vanille- 6ème C

Publié dans Année 2011-2012, Espace 6ème

Iphigénie

La femme d’Agamemnon lui donna une fille : Iphigénie
Pour l’anniversaire de ses douze ans son père lui fit un gros gâteau. Ils se mirent à le manger quand, tout à coup, une lumière bleue jaillit de derrière la porte de la cuisine. Agamemnon alla voir en courant : c’était , la déesse Artémis. Elle lui dit:
« Tu sacrifieras ta fille, ton unique fille, ta seule fille. Si tu le fais, ta descendance sera éternelle.
-Mais je perdrais ma première fille !!
– Oui mais si tu ne le fais pas tu n’en auras qu’une alors que si tu la sacrifies, tu auras une descendance pour l’éternité !
-Je vais en Parler à ma femme, répondit Agamemnon.
Il retourna dans la pièce à côté. Iphigénie et sa mère demandèrent en cœur:
 » C’était quoi??!!
-C’était la déesse Artémis! avoua Agamemnon
-Que voulait-elle ?interrogèrent ensemble les deux filles.
-Elle voulait que je… que je sacrifie Iphigénie.
-Et que lui as tu répondu ???!!!
-Je lui ai dit que j’y réfléchirai car il y a une récompense à la clé.
– Laquelle ?
-On pourrait avoir autant d’enfants que l’on voudrait.
-Mais c’est notre seule enfant depuis 69 ans ! Il faut la protéger !! s’indigna la mère.

Alors la lumière bleue surgit à nouveau, non pas dans la cuisine mais devant Agamemnon. La déesse Artémis dit alors:
« Tu as réfléchis à ma proposition?
-Je n’ai pas eu le temps, et ma femme n’est pas d’accord.
Artémis se tourna alors vers elle et dit:
-Pourquoi n’es- tu pas d’accord?
-C’est le seule enfant que j’ai eue.
-Si tu acceptes, tu en auras autant que tu en voudras.
-S’il te plait…. rétorqua Agamemnon.
-J’accepte ! répondit sa femme »
La déesse se tourna vers Agamemnon et dit :
« Tu l’emmèneras demain à la montagne des dieux.Tu la ligoteras, tu creuseras une journée, tu mettras le feu au fond du trou et tu la jetteras dans le trou le plus vite possible. »
Le lendemain matin Agamemnon, partit avec sa fille à la montagne des dieux . Il la ligota creusa un trou pendant une journée alluma un feu au fond. Mais, au moment où il allait la jeter, la lumière bleue devant lui l’aveugla. Il retint sa fille : c’était Artémis. Elle lui dit :
« Ne jette pas ta fille unique, je vais la remplacer par une biche »
Il déligota sa fille et ficela rapidement la biche qu’Artémis venait de faire apparaître.
Ils rentrèrent ensuite tous les deux et Agamemnon ramassa des bais pour les offrir à sa femme. Quand ils arrivèrent, elle se demanda pourquoi il revenait avec Iphigénie, mais elle était contente.
Artémis vint leur dire qu’ils auraient des enfants tant qu’ils en voudraient.
Ils vécurent heureux pour leur vie entière

Aurélie B. 6ème C

Publié dans Année 2011-2012, Espace 6ème, La boîte de Pandore

Pandore

Mais un jour Pandore ouvrit la boîte et tout ce que la boîte contenait sortit et la mort qui était présente envahit Pandore mais, vu que Pandore est immortelle, la mort la renvoya au palais de Zeus.

« Comment ?! Que me dis-tu là ? Tu as osé ouvrir cette boîte !?

– Oui mais je ne savais pas que …,affirma Pandore avec désolation.

– Tu as fait ce qui est interdit : tu vas donc être sanctionnée !, coupa Zeus.

– Je … je …>> bafouilla Pandore. »

Pendant un moment ce fut le silence. Puis Zeus qui avait réfléchi à la sanction, reprit :

« Je t’ai créée donc je peux te  »décréer » : ta sanction sera que plus rien ne vivra dans le  »royaume », si l’on peut s’exprimer ainsi, où que tu vivras. Tu seras seule et bien sûr tu seras traitée comme une traîtresse et tu ne seras plus que tolérée par Prométhée, s’exclama Zeus.
Et tu seras MORTELLE et non IMMORTELLE, vociféra à nouveau Zeus.

– Mais … mais … , hésita Pandore bouleversée.

– Oui, et tu te nourriras juste de ce que le sol te donnera. Par exemple, tu mangeras des serpents, ceux que Dieu a bannis, répondit Zeus.

– Oh merci, merci !, s’exclama Pandore avec joie.

– Comment ? ça te fait rire ?, questionna Zeus.

 – Non, mais je préfère ça à la mort : répondit Pandore.

 -Bien et maintenant file ! Pars loin d’ici, sur le sol où vivent les mortels, »dit Zeus.

Arthur 6ème C

Publié dans Année 2011-2012, dialogues racisme, Espace 6ème

Dialogue sur le racisme-

La nuit de noël Vanessa demande à son père…

« Papa peux-tu me dire ce qu’est le racisme…?

-Vanessa le racisme est quelque chose à ne pas faire par exemple : lorsqu’une personne blanche dit à une personne noire «retourne de là où tu viens, on ne veut pas de toi !» Voilà qu’est que le racisme. Je te le redis Vanessa le racisme est quelque chose à ne pas faire !

Vanessa demande à son père :

-Pourquoi les blancs n’aiment-ils pas les noirs? Ils ne leur ont rien fait.

-Je pense que les racistes croient que les noirs sont méchants, pourtant ils ne le sont pas.

-Merci papa.

Et Vanessa remonte dans sa chambre.

Le père de Vanessa l’arrête aussitôt,

-Vanessa viens me voir, pourquoi m’as tu posé cette question?

– Euh……

Vanessa ne sait pas quoi répondre.

-Qu’est ce qui se passe Vanessa ?

Vanessa tremble…

-Ba….je ne….sais pas… A l’école j’ai entendu quelqu’un dire : «sale raciste» voilà pourquoi je t’ai posé cette question.

-Vanessa tu viens ! On va manger le gâteau.

-Oui attends papa je vais chercher quelque chose

-Vanessa que vas-tu chercher ?

– Ah ça c’est une surprise ! Tu la verras tout à l’heure.

-D’accord mais fais vite : tout le monde t’attend !

– Oui papa.

Quinze minutes plus tard, Vanessa arrive avec une boîte dans la main.

-Je voulais te donner un cadeau.

-Ah super j’aime bien les cadeaux .Qu’est que c’est?

-Et bien ouvre-le, tu verras !

Une fois le paquet ouvert, son papa découvre une montre.

– Merci beaucoup Vanessa c’est très gentil.

-Regarde bien au fond du paquet ! dit Vanessa

Le père regarde et il trouve un mot contenant :

 

Mon cher papa, comme tu le sais déjà, je t’aime très fort. En cette veille de noël la neige recouvre les arbres mais rien ne pourra m’empêcher de t’aimer un petit peu plus tous les jours !!!!!

 

– Merci Vanessa c’est très gentil et joli.

Et pour finir il la serre dans ses bras.

JOYEUX NOËL !!!!!

Camille, 6ème C

Publié dans Année 2011-2012, Espace 6ème, la promenade des cinq sens

Une balade extraordinaire

Jeudi 16 Septembre

 

                Cher journal,

               Ce matin, avec ma professeure de français nous sommes allés nous promener autour du grand collège. Nous nous sommes assis sur des magnifiques pierres et nous avons fermé les yeux. On entendait le chant des oiseaux. C’était très agréable. Après, nous sommes allés vers les arbres géants. Ca sentait bon!!!

               Le paysage était très coloré. J’ai vu des oiseaux colorés, de grands arbres, des feuilles rousses…

J’ai adoré cette balade!

 

Mégane, 6ème C

Publié dans Espace 6ème

La promenade des 5 sens de Benjamin

Cher journal

Aujourd’hui ma classe et moi nous avons fait une promenade autour du Collège. Le sujet de la sortie était le toucher l’odorat,la vue et l’ouïe.

J’ai vu des banc verts,des arbres,une pomme de pin et mon ancienne maison.

Nous avons entendu les oiseaux et un bruit de klaxon car Arthur a appuyé sur le klaxon du vélo de Mme Viala .

J’ai touché les escaliers en pierre : c’était râpeux et les arbres rugueux.

Nous avons senti l’odeur des poubelles (l’odeur était malodorante!) On a aussi senti l’odeur du gazole.

Benjamin L. 6ème C

Publié dans Année 2011-2012, Espace 6ème, La rentrée des 6ème C

Ma rentrée en 6ème

Lundi 5 septembre déjà, aujourd’hui c’est la rentrée et me voilà en 6éme C .

Je suis très content car je me suis fait pleins de copains!

J’ai bien aimé manger au self car c’est mieux que lorsque l’on se fait servir . Je crois que manger à la cantine va me plaire énormément .

J’ai rencontré Mme VIALA qui sera ma professeure principale pour cette année.

Avant de franchir le portail, je ne savais pas ce qu’il se passerait, mais maintenant je suis sûr que mon année de 6ème se passera très bien . La seule chose qui me déplaît c’est de finir à 16h30 le jeudi et le vendredi .

Arthur- 6ème C

Publié dans Espace 6ème

Ma rentrée en 6ème

Lundi 5 SEPTEMBRE à 8h30, je suis rentré au collège de Boigne , le directeur a dispersé les élèves avec leurs professeurs.

Quand on était dans la classe, notre professeur principal, Mme VIALA, nous a donné notre carnet de correspondance, notre emploi du temps et le règlement intérieur.

Ce que j ‘aime bien aussi c’est qu’ en recréation, vu qu’on est davantage qu’en primaire, il y a plus de personnes donc plus d’amis !

Aussi, ce qui est bien, c’est qu’ au self on peut choisir deux plats.

Ce que je n’aime pas cependant c’est de me réveiller à 7h01!

Charles- 6ème C