Publié dans Espace 6ème

La promenade des 5 sens de Benjamin

Cher journal

Aujourd’hui ma classe et moi nous avons fait une promenade autour du Collège. Le sujet de la sortie était le toucher l’odorat,la vue et l’ouïe.

J’ai vu des banc verts,des arbres,une pomme de pin et mon ancienne maison.

Nous avons entendu les oiseaux et un bruit de klaxon car Arthur a appuyé sur le klaxon du vélo de Mme Viala .

J’ai touché les escaliers en pierre : c’était râpeux et les arbres rugueux.

Nous avons senti l’odeur des poubelles (l’odeur était malodorante!) On a aussi senti l’odeur du gazole.

Benjamin L. 6ème C

Publié dans Année 2011-2012, Espace 6ème, La rentrée des 6ème C

Ma rentrée en 6ème

Lundi 5 septembre déjà, aujourd’hui c’est la rentrée et me voilà en 6éme C .

Je suis très content car je me suis fait pleins de copains!

J’ai bien aimé manger au self car c’est mieux que lorsque l’on se fait servir . Je crois que manger à la cantine va me plaire énormément .

J’ai rencontré Mme VIALA qui sera ma professeure principale pour cette année.

Avant de franchir le portail, je ne savais pas ce qu’il se passerait, mais maintenant je suis sûr que mon année de 6ème se passera très bien . La seule chose qui me déplaît c’est de finir à 16h30 le jeudi et le vendredi .

Arthur- 6ème C

Publié dans Ecrits 5C

L’interview d’un auteur du Moyen-Age

    Je m’installai à la taverne, et j’attendis. Je vis un homme de taille moyenne que je reconnus aussitôt Henri D’Andely !

 

    « Bonjour Mr D’Andely vous allez bien ?

    – Bonjour ma chère, oui je vais bien mais vous pouvez m’appeler Henri.

    – Très bien, maintenant pouvons-nous passer au questionnaire s’il vous plaît.

    – Bien sûr, répondit-il avec enthousiasme.

    – Alors question numéro une, dis-je en cherchant ma feuille, de quelle origine êtes vous ?

    – Je suis originaire de France et plus exactement de Normandie.

    – Quel genre de poésies aimez-vous ?

    – La poésie à rimes plates, dit-il avec un sourire.

    – Henri pouvez-vous nous parler du poème La Bataille des sept arts  s’il vous plaît.

    – Bien sûr, s’écrie-t-il tout ému, alors j’ai écrit La bataille des sept arts vers 1236-1250, j’ai mis en scène un combat entre deux personnages : Grammaire, et Logique.

    – Intéressant et La Bataille des vins est connue aussi sous le titre de Dit des vins de France.

    – J’ai écrit ce poème peu après 1224, il témoigne du vignoble français de notre époque. Ça se déroule à la table du roi de France Philippe-Auguste qui a envoyé ses messagers rassembler les meilleurs vins blancs.
    – Très bien, merci beaucoup pour toutes ces informations Henri, au revoir !!!

    – Au revoir et peut-être à bientôt, dit-il en fermant la porte de sa taverne. »

 

   Cynthia 5°C

Publié dans Espace 6ème

Ma rentrée en 6ème

Lundi 5 SEPTEMBRE à 8h30, je suis rentré au collège de Boigne , le directeur a dispersé les élèves avec leurs professeurs.

Quand on était dans la classe, notre professeur principal, Mme VIALA, nous a donné notre carnet de correspondance, notre emploi du temps et le règlement intérieur.

Ce que j ‘aime bien aussi c’est qu’ en recréation, vu qu’on est davantage qu’en primaire, il y a plus de personnes donc plus d’amis !

Aussi, ce qui est bien, c’est qu’ au self on peut choisir deux plats.

Ce que je n’aime pas cependant c’est de me réveiller à 7h01!

Charles- 6ème C

 

Publié dans Critiques 4B, critiques 4C, Les critiques de livres

Les écrits des 4èmes


Voustrouverez  à la suite de cet article, les critiques de livres des élèves

de 4ème B et de 4ème C du collège.

Il s’agissait de lire des livres fantastiques pendant les vacances,

et d’en faire une critique construite.

A droite, dans le menu déroulant, vous aurez accès à leurs nouvelles fantastiques.

Elles ont la plupart du temps été écrites en binômes.

Soyez indulgents avec les erreurs qui restent et les coquilles.

Bonne lecture !

Publié dans critiques 4C, Les critiques de livres

PHAENOMEN : Erik L’Homme – *****

Phénoménal !

Parce qu’ils souffrent de graves troubles du comportement, Violaine, Claire, Nicolas et Arthur sont internés à la Clinique du Lac. Fous ? Idiots ? Bon à rien ? Non, juste différents : Violaine, la meneuse du groupe, voit les « dragons » des gens, sorte de spectres, et peut apprivoiser ces dragons qui influencent le comportement de l’être humain. La timide Claire peut se déplacer à la vitesse de la lumière, en jouant avec l’espace-temps. Nicolas voit les êtres vivant et les objets en couleurs suivant la chaleur qu’ils dégagent, y compris dans le noir. Arthur, le « cerveau » du groupe, mémorise tout ce qu’il entend, observe…

Quand le Doc, le seul médecin qui se soucie d’eux est enlevé par une organisation mystérieuse, ses jeunes protégés partent à sa recherche. Les indices qu’il a laissés les mènent sur la piste d’un des plus grands secrets du XX° siècle…

Ce livre est palpitant. J’ai suivi avec beaucoup de plaisir les aventures de ces quatre adolescents. La résolution des énigmes laissées par le Doc tout au long de l’histoire nous incite à vouloir en savoir toujours plus. On finit même par oublier le dénouement final du livre… Chaque chapitre commence par quelques passages de la vie des personnages, sans jamais donner de nom. Ce qui nous en apprend plus sur leur passé, mais aussi nous dévoile les pensées des personnages. Chaque nom de chapitre est un nom latin suivi de sa traduction. On apprend notamment comment fonctionne le système « Echelon » et comment certaines personnes peuvent tout connaître de la vie des autres, grâce à des systèmes d’écoute.

On voit peu à peu des liens d’amitié se tisser et se renforcer entre les personnages. Ils se livrent à un combat contre eux-mêmes et contre les « démons » qui les hantent. Ce livre est très bien écrit, les deux cents pages se lisent vite, mais suffisent, et aucun passage n’est de trop !

Mais chut, je ne dirai rien de plus… Je suis surveillée, vous êtes surveillés et l’Histoire recèle encore bien des secrets…

Alice, 4C

Publié dans Critiques 4B

Lois Lowry,L’élue ****

Fantastique !

Dans son village où règne la violence, Kira se retrouve seule après la mort de sa mère. Les dirigeants locaux la repèrent pour son don pour la broderie et lui confient une mission : restaurer la Robe du Chanteur, qui, chaque année, sert dans une cérémonie religieuse. Et avec Matt, son ami de toujours, Thomas-le-Sculpteur et Jo-la-Chanteuse, elle va découvrir des secrets et résoudre le mystère de la couleur disparue …

Ce livre est prenant. Personnellement, je n’étais attirée ni par l’histoire ni par la couverture mais je me suis laissée prendre au jeu. Vraiment. J’ai lu ce livre en très peu de temps, portée par les aventures de Kira dans un univers vraiment très original. Suffisamment simple pour être rapidement cerné, et suffisamment riche pour être captivant. Je pense que les lecteurs ou les lectrices ne peuvent qu’être envoutés par cette lecture. C’est le genre d’histoire qui me fait planer, et dont la magie me touche à chaque fois.

Une évasion que je souhaite à tous les lecteurs.

Léa, 19 Avril 2011

Publié dans critiques 4C, Les critiques de livres

Percy Jackson : Le voleur de foudre ; Rick Riordan ****

Magique !

Percy Jackson, élève de 6ème en pension à l’institut Yancy dans le nord de New-York, enfant dyslexique se croyait à peu près normal jusqu’au jour où un de ses professeurs se transforme en monstre en lui demandant de rendre l’éclair qu’il a soit- disant volé. Il apprend alors que son professeur de grec n’est autre qu’un centaure nommé Chiron et que son meilleur ami est un faune engagé pour le protéger. Ils rejoint alors sa mère qu’il lui explique que le dieu de la mère Poséidon est descendu sur terre et a enfanté Percy. Mais il est interdit pour Poséidon, Hadès et Zeus d’avoir des enfants avec des êtres humains. L’éclair de Poséidon a été dérobé mai par qui ? Beaucoup croient que c’est Percy et cela pourrait provoquer la fin du monde..

J’ai vu le film qui est passé à la télé il y a quelques jours et je l’ai trouvé magnifique ! C’est pourquoi je suis allé le plus vite possible acheter le livre. Le livre n’a complètement rien a voir avec le film mais il vraiment très bien quand même. Je l’ai dévoré en quelque jours malgré mon peu de temps libre, tellement j’étais captivé par l’histoire. J’ai par dessus tout adoré que cela se passe en plein Amérique, mais discrètement,  et on se dit qu’il pourrait se passer la même chose sans que on le sache.

Malgré le retour sur des connaissances mythologique on comprend très bien ce livre. Comme personnages il y a Percy qui est un enfant comme les autres mais dès qu’il apprend que c’est un sang-mêlé il devient un héros. Grover est un faune, au départ c’est le meilleur ami de Percy.  Il est aussi très ami avec. Annabeth, la fille d’Athéna. C’est un garçon manqué, elle est très forte en combat.

Les dialogues sont humoristiques, le scénario bien ficelé, les aventures font rêver.  Pour finir je vous conseillerais juste de lire ce passionnant bouquin.

Le Critiqueur-31 Mai 2011

Publié dans Critiques 4B

Le scarabée d’or • Edgar Allan Poe ***

Captivant !

Legrand croit à un signe de mauvaise augure quand il découvre ce mystérieux scarabée à tête de mort, couleur brillante avec quelques tâches noires figurant des yeux à la bouche. Mais Legrand, qui s’en est allé sur l’île de Sullivan, croit soudain en sa bonne fortune. Non sans aventures.

A peine le scarabée découvert dans une couche de sable que l’étrange insecte l’envoie sur les pas du capitaine Kidd.

Une chasse au trésor est lancée pour résoudre cette énigme ! Je m’arrêtais de lire mais j’eus envie de tourner la page.

C’est un livre très bien écrit, tout en étant accessible à une grande tranche d’âge malgré quelques passages compliqués. Les oeuvres de Edgar Allan Poe sont très bien rédigées comme « le portrait ovale », « Wiliam Wilson »…

Malgré le début de l’histoire un peu difficile, je me suis plongé dans le livre, dans cette fameuse énigme.

Allan Poe a su apporter un caractère différent à chaque perssonnage.

Les dialogues sont pleins d’enthousiasmes (Les caractères de Legrand et de Jupiter sont totalement différents ) L’écriture est propre. Poe a su mettre de l’action dans ces 62 pages.

Entre intrigue et aventure, une œuvre captivante.

Emmanuel, 4B

Publié dans Critiques 4B

Les Dents De La Nuit- S.COHEN-SCALI * * * *


Assez vampirique !

Ce livre regroupe des histoires de vampires. La couverture de ce livre était attirante mais j’ai eu peur d’être déçu car les nouvelles du début n’étaient pas assez bien. Le livre ne parle pas seulement du fameux Dracula qui est peut-être le plus célèbre des vampires mais qui est loin d’être le premier ni le dernier.

L’ouvrage est séparé en deux parties : la première partie, intitulée « nouvelles classiques », regroupe des nouvelles antérieures à 1897 : celles de Théophile Gautier, de Guy De Maupassant et de bien d’autres. Je précise que les vampires des nouvelles classiques ont une dimension romantique qui atténue leur cruauté. La deuxième partie s’intitule « nouvelles contemporaines ». Les vampires contemporains, ceux de Matheson, de Bradbury, de Ed Gorman, … génèrent davantage la peur et d’angoisse.

Dans les nouvelles contemporaines, le texte de Stephen King est une illustration parfaite du genre : dans La Rapace nocturne, on ressent l’angoisse de ce journaliste(le héros) à la poursuite d’un vampire pilote d’avion, cruel et sanguinaire. Malheureusement, la nouvelle n’a pas pu être présentée en intégralité, car elle est quasiment de la longueur d’un roman à ce qu’il paraît. Il n’y a donc que la fin de la nouvelle.

En conclusion, les nouvelles contemporaines m’ont bien plu. Mais parmi les classiques, on retrouve trop le romantisme du vampire, c’est ce qui me gêne. On ne retrouve pas assez le thème du vampire. Ce sont davantage des nouvelles à l’eau de rose que des nouvelles fantastiques. Comme celle de Théophile Gautier par exemple, où un prêtre tombe amoureux d’une femme vampire. Par contre dans la nouvelle d’ Alexis Tolstoï : La famille de Vourdalak, on retrouve encore le romantisme mais on ressent aussi la peur et l’angoisse. Les scènes, dans les nouvelles classiques où le vampire va sucer le sang de sa victime, n’apparaissent presque jamais. Toutefois, on perçoit un peu la terreur mais souvent, quand le vampire arrive, le personnage s’évanouit et l’auteur ne nous raconte presque jamais le moment le plus important de la nouvelle. En conclusion, les classiques ne m’ont pas plu

Emré.

Publié dans Critiques 4B

L’ordinatueur , Christian Grenier **

Mortel !

Dans cette histoire l’héroïne est surnommée « Logicielle ». Elle est inspectrice de police. Des gens meurent devant leur ordinateur. Logicielle pense que c’est « l’omnia 3 » qui est le suspect, n°1. « L’omnia 3» est un ordinateur très sophistiqué. Ses initiales signifient « Ordinateur à Mémoire Neuronique et à Intelligence Artificielle » et 3 indique sa génération. Avec son ancien collègue à la retraite, Germain, Logicielle va enquêter sur ces morts mystérieuses ».
En lisant ce roman je n’ai pas pu me glisser dans la peau du personnage, c’est ce qui m’a le plus déplu. Je trouvais très intéressant de lire un roman sur les ordinateurs car ce sont des machines que l’on utilise très souvent, et c’est la raison pour laquelle j’avais choisi ce roman mais je ne l’ai pas aimé. Ce n’est pas mon genre de livre, j’en suis déçue. La prochaine fois, je ferai mieux mon choix. Cependant, cela m’apprend aussi à découvrir d’autres lectures que celles que je lis habituellement, mais je ne le ferai pas souvent !

Mina B

Publié dans critiques 4C, Les critiques de livres

Le horla- Guy de Maupassant ****

Fou !

Ce récit raconte l’histoire d’un homme, poursuivi par un être invisible, le hantant jour et nuit, prenant indiciblement le contrôle de ses actes et de sa volonté.

L’histoire se déroule à Paris, Rouen et au Mont Saint-Michel.

et est raconté sous forme de journal, écrit par le protagoniste principal.

– Dans ce livre, l’auteur traite le thème de la folie et du double,

L’atmosphère y est très prenante, et s’installe rapidement, On a plaisir à suivre le héros, et l’avancée de l’être invisible dans son esprit.

Le registre de langue est courant, hormis quelques mots plus difficiles mais qui ne gâchent en rien le lecture. Les dialogues ne sont pas très nombreux

J’ai beaucoup aimé ce livre, pour son suspense et son intrigue.

Martin, 4C

Publié dans Critiques 4B, Les critiques de livres

Le violon de crémone et Les mines de falun, Hoffmann ***

Un violon qui tombe à l’eau !!!!!


Théodore, le conseiller Krespel arrive dans la ville de H. Un soir, alors que tout le monde est assemblé sous sa fenêtre, s’élève une belle voix de femme qui chante dans la nuit. C’est la voix de la belle Antonie qui chante pour la dernière fois. Le conseiller Krespel lui interdit alors de chanter car il est jaloux.

Je n’ai pas eu l’impression de lire du fantastique. L’histoire était compliquée à comprendre. Cependant, j’ai apprécié les personnages car ils avaient des drôles de noms et les noms des villes aussi. Les phrases ne sont pas assez aérées. Les 60 pages sont longues à lire.

Dans la seconde nouvelle,  « Les mines de Falun », un vieux mineur séduit un jeune marin pour aller travailler dans les mines de Falun. Hélas il tombe sous le pouvoir de la géante Reine des métaux. Il meurt dans ces mines.

J’ai davantage aimé cette histoire car j’ai eu l’impression de lire du fantastique. L’histoire était assez facile à lire. J’ai bien aimé les personnages car ils avaient des drôles de noms comme dans la précédente histoire. Les phrases ne sont pas assez aérées mais les pages ont été un délice à lire car c’était très intéressant.

Guillaume

Publié dans Critiques 4B, Les critiques de livres

Entretien avec un vampire Anne Rice ***

Profond

Louis,un vampire, raconte son histoire fantastique à un jeune journaliste lors d’une nuit.

Une histoire dure et sans espoir. Cet être impressionnant relate le rejet de sa nature, son envie de faire du bien au cœur du mal, son expérience du sang, ses inquiétudes, sa transformation, son besoin de s’accrocher aux autres vampires, son entêtement à tout connaître sur le diable et sur dieu …

Un livre intellectuel, arrêté a temps avant le trop. Beaucoup de remises en question : existe-t-il un être suprême ? si oui qui est-il ? Y a-t-il des degrés dans le mal et la souffrance?

Grâce à Anne, on entrevoit un monde différent de ce que l’on connaît, aussi attrayant qu’effrayant.

Je m’attendais à quelque chose de bien, comme tout ce qui parle de vampires et que je connais déjà, et jen’ai pas été déçue!

Moi qui fuis les livres ou les films qui finissent mal, j’ai su accepter cette fin avec une impression de délivrance.

En résumé : un livre profond !

Marie-Léa17Mars 2011

Publié dans Critiques 4B, Les critiques de livres

Les portes du diable; Anthony Horowitz ***

Diabolique!

Mme Crow, l’amie de la mère de Martin, décide de s’occuper de lui après la mort de ses parents, à Lesser Maling. Là, des choses étranges vont avoir lieu presque tous les soirs: on va entendre parler des «Portes du diable» et des évènements diaboliques vont se produire.

Dès que j’ai commencé à lire l’histoire, j’étais vraiment pris dedans.

Son genre fantastique avec des chiens fantômes, des squelettes qui s’animent, m’a beaucoup plu.

C’est très bien ficelé entre le réel et l’irréel.

Ce livre nous explique un peu les choses de la vie dont une très importante: il ne faut pas faire confiance à n’importe qui.

Je trouve que Mme Crow est particulièrement odieuse avec Martin ainsi que Mathew, car il fait faussement croire à Martin qu’il l’aidera.

Martin lui, est trop mince, trop gentil.

Les dialogues sont rédigés de façon à maintenir le suspense.

En conclusion, cette histoire est captivante et quand on l’a commencée, on a envie de savoir la fin.

ALESSIO C17 Mars 2011

Publié dans critiques 4C, Les critiques de livres

Trois nouvelles extraordinaires ; Edgar Allan Poe * * *


Mortellement ennuyeux …

La couverture du livre ne m’inspirait pas tellement mais c’est en lisant les titres de ces trois nouvelles et leurs petits résumés sur la quatrième de couverture que j’ai décidé de lire ce livre. Je n’ai pas accroché, et j’ai dû parfois relire certaines phrases car je pensais à autre chose en le lisant ! J’ai commencé par la nouvelle «  Double assassinat dans la rue Morgue » : son titre m’inspirait c’était une nouvelle policière et j’aime bien ce genre de livre. Je cite «  Deux femmes sont mystérieusement assassinées rue Morgue ». Je m’attendais à une nouvelle pleine de rebondissements, à une enquête qui nous plonge dans l’histoire et qui nous ramène à la même place que le policier qui mène l’enquête. Eh bien non… La nouvelle a mis au moins onze pages a démarrer réellement… Durant ces onze pages, il ne se passe rien et on s’ennuie à mourir ! C’est juste au milieu de la onzième page que commence l’enquête … Le narrateur et son ami découvrent en lisant la Gazette, le terrifiant « Double assassinat dans la rue Morgue » ! Ils vont alors mener leur enquête puisque la police stagne , et vont découvrir le meurtrier … Qui est un orang outang ! Léger non ?! … L’animal se serait échappé de chez lui et furieux, serait allé tuer deux femmes. Il serait passé par la fenêtre … ! Dans une nouvelle policière, on est censé avoir peur, personnellement ici j’ai plus eu envie de rire quand ils ont découvert l’assassin que de frissonner de peur !

Eva Thomas , 30 avril 2011

Publié dans Critiques 4B, Les critiques de livres

GOLEM Tome 1 à Tome 2: ****

Entre policier et science fiction

On m’avait offert le tome 1 et 2 de Golem. Avant qu’il ne prenne la poussière sur mes étagères quelques années durant, je me suis enfin décidé à le lire.

En fait, je ne l’ai pas lu mais dévoré. Le livre commence dans un endroit plutôt insolite pour un roman de science fiction: les banlieues parisiennes, un fantôme dans les caves des HLM qui hante leurs habitants et, en trame de fond un complot mondiale…

Bref Golem est un livre sympa entre policier et science-fiction à mettre dans toutes les mains !


Valentin R 4°b

Publié dans critiques 4C, Les critiques de livres

Percy Jackson le voleur de foudre ; Rick Riordan *****

Passionnant !

Persée Jackson, dit Percy, douze ans vit à New-York. Il a été exclu de sept écoles. Il est dyslexique et lit parfaitement bien le grec ancien. Il n’a pas connu son père avant ses douze ans. Il possède une épée qui se transforme en stylo-bille. Il a des pouvoirs décuplés (10 fois plus puissants) dans l’eau et il est un demi-dieu. Son père est Poséidon, dieu des mers, maître des tremblements de terre et des tempêtes, père des chevaux. Sa mère, Sally l’emmène dans une colonie étrange : elle s’appelle la colonie des sang-mêlé (demis-dieux). En apprenant qu’il est le fils de Poséidon, (l’éclair primitif de Zeus ayant été volé) Percy est le suspect principal. Il va devoir le retrouver pour d’innocence.

Depuis qu’Alice et Laurine ont présentés ce livre à la classe, j’ai eu envie de le lire. Dès que j’ai commencé ma lecture, il m’a plu et m’a passionnée du début à la fin. Il est raconté à la première personne du singulier et on se met dans la peau du personnage principal assez vite. Je trouve que Rick Riordan écrit bien, c’est fluide.

Cette histoire mélange époque mythologique et contemporaine. Tout au long du roman, Percy et ses amis vont devoir combattre des monstres, tous différents.

Les dialogues entre Anabeth et Percy sont remplis de d’humour, ils se taquinent presque tout le long du roman. Les 473 pages passent assez vite. J’ai déjà commencé le second livre « Percy Jackson, la mer des monstres »qui est même un peu mieux.


Charline-21 avril 2011.

4°C

Publié dans critiques 4C, Les critiques de livres

L’étrange cicatrice de Florence Aubry **

Décevant !

L’histoire est à peine crédible : Tom, passionné de planche à voile se blesse le pied à cause d’un étrange disque trouvé sur la plage. Soudainement, notre petit Tom est devenu extralucide. Comme si un simple objet métallique pouvait vous permettre de voir n’importe qui, n’importe où, n’importe quand… et seulement en vous esquintant la plante du pied.

Cependant, le cadre réaliste est assez bien mis en place ainsi que les personnages : une petite ville proche d’un lac comportant une base nautique, une vieille folle habitant une maison à l’écart et recherchant une quelconque information sur l’étrange disquette, un père drogué et une mère fada de gourmandises.

En bref : Les personnages ont une personnalité proche des gens d’aujourd’hui (qui n’aime pas les bonbons ?? ) ce qui encre bien le décor, mais, l’ invraisemblance du phénomène naturelle « gâche » la frappante réalité de l’histoire. Décevant.


Paul, 4ème C

Publié dans Critiques 4B, Les critiques de livres

Le singe de Stefan King **

Décevant !

Le singe, de Stefan King ne m’a pas spécialement plu : la couverture ne m’a pas donné envie de lire ce livre, mais vu que je savais que il ne fallait pas juger un livre à son illustration et que j’avais déjà entendu parler de Stefan King (plutôt positivement), je me suis lancé dans la lecture .

L’histoire parle d’un personnage qui, étant petit, trouve un singe avec des cymbales. Il trouve très amusant ce jouet mais, quelque mois plus tard, il se rencontre que le singe est maléfique. Paniqué il le jette dans un puits . 20 ans plus tard, en vidant le grenier avec ses deux enfants, il découvre avec horreur…le singe !

Même si le livre est très court et que l’histoire n’est pas longue, que sa lecture n’est pas difficile à démarrer, j’ai été déçu. Je ne me suis pas identifié au personnage . Mais je l’ai lu à un moment où je n’avais pas envie de livre scolaires , c’est pour cette raison que je l’ai lu très vite et probablement que j’ai trouvé ce livre, décevant .

Benjamin, 4B

Publié dans Critiques 4B, Les critiques de livres

Marche ou crève, Stephen KING * * * * *

Captivant

Garraty, jeune homme du Maine (état du nord-est des États Unis), a été sélectionné pour « la longue marche », le sport national, où cent concurrents prennent le départ à la frontière canadienne pour se rendre dans le New Hampshire. La vitesse de marche est obligatoirement à plus de 6,5 km/h sous peine de recevoir un avertissement car au bout de trois avertissements (= un arrêt de 2 min environ) le marcheur prend son ticket ( il se fait fusiller), la fin de la marche est déterminée par la mort de 99 personnes sur les cents.

Décidément, « Marche ou crève » est la seule morale qui puisse coller à ce polar. Tout le stress, la peur de mourir, chaque détail rend ce livre frissonnant. La folie y est très présente, exprimée indirectement par des yeux vides, des phrases répétées de plus en plus fortes jusqu’à l’effondrement, et avec ces discutions qui virent a des sujets improbables, avec des soldat aux regards fermés sans aucunes expressions, des rebellions, …

Les personnages sont tous différents les uns des autres, et l’on se reconnaît dans certains, ce qui donne l’impression de vivre l’effort, la fatigue, la chaleur du soleil, le froid de la nuit. On s’imagine très simplement marcher tels des zombies à côté d’eux dans la brume, la forêt au bord des champs, sur l’autoroute grâce au décors réalistes plantés par l’auteur.

De plus on ressent intensément la pression de la foule omniprésente, du tohu-bohu qu’elle engendre.

Malgré le sujet: « la longue marche », le livre se base plutôt sur le mental, qui est, pour le moins, complexe. C’est un sujet plus ou moins direct entre la plupart des marcheurs.

Personnellement, j’ai trouvé ce polar génial il a été difficile de me faire décrocher pour dormir, manger, … marcher !

Eléonore, 4B

Publié dans critiques 4C, Les critiques de livres

Bilbo le hobbit : J.R.R. Tolkien *


Bilbof !

La première de couverture ne m’inspirait pas vraiment, mais l’auteur de ce livre a attiré mon intention. J.R.R. Tolkien est le créateur du « Seigneur des Anneaux » ! J’ai donc couru pour avoir le livre en première.

En vérité, je n’ai jamais lu le Seigneur des Anneaux, mais j’en ai tellement entendu parler positivement que je me suis laissée tenter.

J’étais donc très motivée pour le lire, mais malgré moi, plus j’avançais dans les chapitres, plus le l’histoire me paraissait interminable. Je redoutais chaque soir d’ouvrir mon livre. Ce devait être la première fois de ma vie que je mettais si longtemps à lire un bouquin. Je devais me concentrer pour comprendre l’histoire car j’ai dû reprendre plusieurs fois certains passages où je pensais à autre chose.

Bilbo le hobbit est donc l’histoire d’un hobbit à qui il arrive une aventure, et justement, pas la moindre. Il est le digne héritier de ce genre de compte, où l’on sait dès le début que le héros ne mourra pas, et qu’il réussira son périple. Un jour où il s’occupait à faire des ronds de fumée, un grand magicien nommé Gandalf débarque chez lui avec treize nains et lui narrent des centaines d’histoires de dragons, trésors et gloire. Bilbo part donc à l’aventure avec eux pour récupérer le trésor gardé par le redoutable dragon « Smaug ». Il croisera ainsi des trolls affamés, un homme – ours, des araignées malfaisantes, des elfes curieux, des loups diaboliques, mais il jouera aussi au jeu des énigmes, il chevauchera des tonneaux, parlera à un dragon… entre autres.

Le livre est plutôt bien écrit et pas trop difficile à comprendre, il faut juste être concentré. Je n’ai pas grand chose à dire, à part que l’histoire est très décevante. Dorénavant je ne pense pas lire le Seigneur des Anneaux tout de suite, en tout cas je laisse le temps de me remettre de Bilbo le hobbit.

Laurine

Publié dans Critiques 4B, Les critiques de livres

Le Singe suivi du chenal ; Stephen KING 4/5

Intriguant

Hal vient de perdre sa tante, il doit donc vider sa maison. Là, il  retrouve un singe (un jouet). Hal se rappelle alors de son enfance. Il  se souvient que,  à cause de ce singe, plusieurs personnes sont mortes comme sa nounou,  sa mère, des amis de Hal et d’autres encore…Hal s’était pourtant débarrassé de l’objet maléfique, il se demande alors comment il est arrivé ici.

L’intrigue du roman m’a beaucoup plu. Ce qui m’a donné envie de le lire jusqu’au bout. Stephen KING est mondialement connu pour ses romans d’horreur et fantastiques.

C’est donc un roman fantastique : l’intrigue est surnaturelle mais on se laisse facilement prendre par l’histoire.

Comme tous les livres de Stephen KING nous avons du mal à distinguer le surnaturel du réel. La description des faits m’a permis de bien ressentir ce que Hal éprouvait.

L’intrigue est tellement forte que je me suis plongée dans le roman.

Je conseille ce roman à tous ceux qui aiment les intrigues fantastiques.


Nadine S- 17 mars 2011

Publié dans Critiques 4B, Les critiques de livres

Terre des monstres- M.Cornish ****

MONSTRUEUX


Tout commence par une bagarre entre Rosamonde et  Gosling à l’orphelinat de Mme Opéra. Ils se battent car Gosling appelle Rosamonde « Rosie ». C’est Rosamonde qui perd la bagarre et qui part à l’infirmerie. Mr Fransitart
en le  voyant  dans cet état, lui confie un secret : il a déjà tué un monstre. Quelques jours après, Rosamone est adopté pour qu’il devienne lanternier entre la terre des monstres et leur terre.

Pendant  la lecture de « Terre des Monstres » j’ai été avalé tout cru par le livre. Malgré les personnages un peu vieux, ce livre était fort intéressant. Il
me rappelle un livre qui s’appelle « l’apprenti épouvanteur ». Il est aussi monstrueux que celui là.

Entre réalité et irréalité, mortalité et immortalité ce roman est. . .oui MONSTRUEUX

A

Yoann- 4C

Publié dans Critiques 4B, Les critiques de livres

10 Nouvelles recueillies par Alain Grousset de l’Antiquité à nos jours. **

NAVRANT

10 nouvelles, de l’encre, des pages et un présentateur, voilà qui suffit pour écrire un recueil … Malheureusement ! N’aimant pas d’entrée le fantastique, je me suis convaincue que dix nouvelles seraient plus agréables à lire qu’un gros livre. Ayant été attirée par la couverture sombre et mystérieuse, je me décidai enfin à l’entamer. Parmi les histoires de maisons hantées, de loups garous, de vampires et autres fantômes, une seule m’a plu : Popsy

C’est l’histoire d’un dénommé « Sheridan », un joueur avide qui a perdu une petite fortune aux cartes. Désespèré, il accepte de liquider ses dettes en kidnappant des enfants pour « le turc ». Dans un centre commercial, il repère un enfant, qui est certainement diffèrent, car il réclame un certain Popsy…

L’histoire est bien ficelée et le lecteur est tenu en haleine jusqu’à la fin. On peut observer toute l’inventivité de Stephen King dans cette nouvelle.

Pour en revenir aux autres histoires, à part celle de Maupassant, de Guillaume Apollinaire, ou encore, comme j’ai deja citée, celle de Stephen King, les autres nouvelles sont sans grand intérêt : les intrigues sont ennuyeuses et la chute est trop prévisible.

Si l’auteur, Alain Grousset, a jugé ces nouvelles comme « faisant peur et frissonner », il devrait plutôt rassembler des contes pour enfants…


Julie,19/04/2011