On accuse les agriculteurs de polluer et assécher les nappes phréatiques, de produire à outrance au détriment de la qualité, de participer à la stérilisation des sols à force de labours et de pesticides, de doper leurs cheptels aux antibiotiques…

Cultures selon les courbes de niveau et sans labours
C’est vrai, ces travers existent. Ils sont surtout le fait de l’agriculture intensive. On connaît maintenant les dégâts qu’occasionne sur l’environnement et sur notre santé ce type d’agriculture.
Aussi des agriculteurs s’engagent dans une agriculture durable. La base de cette agriculture concerne le travail du sol (vidéo ci-dessous).
Et retrouvez les avantages du semis direct dans ce reportage de France 3.
Pour découvrir les principes de cette agriculture à partir d’exemple :
- une exploitation de vaches laitière,
- l’intérêt de la biodiversité ,
- l’alternance des cultures
- un exemple au Brésil
- des exemples chiffrés avec intrants et extrants
Bref, en résumé, ça donne ça !
Maintenant, si vous voulez tout connaître de cette agriculture, baptisée « agriculture de conservation » par la FAO, il suffit d’aller consulter le dossier très complet qui fait le tour de la question : travail du sol, aspects économiques, synergie avec l’élevage, intérêts et limites.
- semi direct
Pour aller plus loin :
- un rapport du CIRAD (textuel uniquement).
- des extraits du livre « Gestion durable des sols » (contient des illustrations très intéressantes).
- « Le travail du sol pour une agriculture durable », un cours de formation de la FAO (textuel uniquement).
- un dossier sur la conservation des sols avec des détails sur les apports organiques, les techniques de travail du sol, l’utilisation du bois raméal fragmenté.
- Une conférence de Claude Bourguignon, ingénieur agronome, spécialiste des sols.
- Un dossier de l’INRA sur le non-labour (avec des fiches de synthèse et des posters).
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