Dans la peau d’un noir, J.-H. Griffin.

Français?: Dans la peau d’un noir, J.-H. Griffin.

1 ) A quel genre littéraire appartient cette œuvre ? Quels éléments de l’œuvre vous permettent-ils de répondre ?

C’est un genre autobiographique, car on peut le voir dans sa préface qui nous expliquent les raisons pour lesquelles Griffin s’est transformé en noir, en y ajoutant des dates et des lieux précis, puis pour présenter l’auteur on fait une biographie de lui à ses débuts de vie jusqu’au moment où il devient écrivain.

Ainsi pour montrer que c’est un genre autobiographique, l’auteur nous présente son début de texte en journal, car on peut voir les dates qui s’en suivent à chaque début de nouveaux texte.

L’auteur au cours de son parcours écrira jour après jour, l’auteur alors privilégiera la sincérité et l’analyse immédiate des événements et de ses réaction.

On peut aussi constater que l’auteur utilise le «? je?» qui domine le récit à la première personne.

On peut aussi voir que l’auteur utilise les verbes du passé comme le passé simple et l’imparfait ce qui nous marque un temps chronologique.

Avec tous ces éléments le livre respecte bien le pacte autobiographique.

2 ) Quels sont les éléments sur lesquels l’auteur  appuie ? Que veut-il montrer ? Que pense le lecteur après la lecture de cet ouvrage ? Que pensez-vous ?

Les éléments sur lesquels l’auteur s’appuie c’est qu’on peut voir au début du texte J-H Griffin se pose plusieurs questions sur la discrimination des Noirs, il pose une question parmi toute celles-ci :

«? Un blanc se transformerait en noir, comment s’adapterait-il à sa nouvelle condition???»

Toutes ces questions vont se ré-intensifier lorsqu’il va voir un rapport qui indique une tendance au suicide de plus en plus marqué chez les noirs du sud, ceux qui va poser problème pour l’auteur, cela va être un déclencheur dans la vie de Griffin car pour connaître la vérité sur le problème des noirs, il va devenir lui même noir, un métamorphose incroyable qui se réalisera en cinq jours à l’aide d’un docteur de la Nouvelle-Orléans.

L’auteur veut ainsi nous montrer tout le calvaire que subissent les noirs à cette époque, en passant de l’hostilité et des propos racistes subis par les blancs, aussi de la façon dont les noirs se comportent entre eux, les lieux et les manières dont ils sont obligés de vivre.

La lecture du livre provoque chez le lecteur de l’émotion, et de l’indignation en voyant tous les actes injustes que les noirs subissent à cette époque, de cette façon le lecteurs peut, peut-être, sentir une sorte de révolte chez lui envers les blancs de l’Amérique et à la mentalité à cette époque mais en même temps une compassion pour les noirs, et pour l’auteur qui lui a vécu la souffrance de la ségrégation raciale, et de sa solitude tout au long du livre.

Moi, je pense que ce livre est un très bon moyen pour montrer toutes les injustices et les calvaires que les noirs ont dû subir, car c’est un témoignage authentique d’un homme, qui de base blanc, se transforme en noir pour vivre le quotidien de ces personnes à cette époque. Je me suis sentie très proche de l’auteur lors de ses moments d’angoisses et de peur car on compatit à la souffrance qu’il a lorsqu’il est face à une injustice, j’ai eu un sentiment de révolte au point que si je pouvais l’aider dans ces moments je serais venue, mais vu que c’est un roman autobiographique, toutes ces choses se sont produites et on peut seulement espérer que cela permet de se rendre compte de certaines choses et je pense que le but principal est de ne pas détester les habitants de l’Amérique mais de ne plus reproduire ce genre de choses car cela est absurde et immoral.

3 ) Quels sont les événements marquants sur lequel Griffin insiste ? Quelle image de l’Amérique ce texte donne-t-il ?

On peut voir au début de la transformation de Griffin que l’homme subit la sombre réalité de l’hostilité des blancs face aux noirs.

Comme dans le passage lorsque que Griffin prend le bus à la page 37-38, il va vouloir laisser sa place à une vielle femme blanche, une erreur ultime qu’il va commettre pour ses semblables car un noir ne doit jamais laisser sa place à une personne blanche ce serait une preuve de soumission à l’égard des blancs et leur donner la victoire, l’auteur va alors regarder longtemps la femme blanche, voulant faire preuve de bonne attention la dame va pourtant lui répondre nonchalament en lui demandant pourquoi il regarde, Griffin se sentira honteux par la suite alors qu’il sait très bien qu’il n’y est pour rien, c’est à cause de sa couleur de peau.

On a ce même genre d’action à la page 57-61 lorsque qu’il se fait poursuivre par un homme blanc en le menaçant et l’insultant pour le provoquer et qu’il y ait agression.

Lorsque J-H Griffin en suivant les actualités sur une affaire de lynchage qui fut jugée de manière très injuste décide d’aller dans le Mississippi pour voir si les blancs respectent les noirs, il va faire plusieurs rencontre qui vont lui montrer l’hostilité et la haine des blancs contre les noirs comme dans le passage où il essayera de vendre son chèque de voyage mais on lui refusera parce qu’il est noir à part une seule femme qui occupe une librairie catholique.

Quand Griffin ira par la suite dans le hall de la gare des autocars, il ira au guichet directement mais la femme qui vend les billets s’avère raciste, elle lui montrera sa haine à Griffin en le regardant d’un «?œil haineux?» elle lui parlera de façon violente.

Il va ainsi faire face à de nombreuses discriminations dûes à sa couleur de peau lors de son trajet, entre les regards haineux et l’interdiction de faire comme les personnes blanches comme d’aller aux toilettes va révolter Griffin et toutes les personnes qui se trouvent dans l’autocar.

Lorsqu’il arrive en Mississippi il va se rendre compte de l’enfer perpétuel que subissent les noirs, ils se font insulter, agresser, vivent dans des lieux grotesques.

Par la suite quand Griffin va retourner au Mississippi à Mobile, il va rencontrer dans la soiré des automobiliste blancs qui le transportent mais avec des idées malhonnêtes en lui posant des questions obscènes sur sa vie sexuelle à cause de sa couleur de peau.

Pendant son séjour à Mobile Griffin va se rendre compte de l’angle privilégié qu’ont les blancs quand il l’était, maintenant vu qu’il est noir, une différence énorme se fait devant lui, seulement par rapport à sa couleur de peau.

A la page 160-164 il va faire la rencontre d’un automobiliste blanc qui voudra bien le transporter, Griffin se méfie mais en voyant qu’il avait l’air honnête finit par monter dans la voiture, il commence à parler, Griffin pense avoir trouver enfin un honnête homme blanc jusqu’à ce que l’automobiliste montre son côté le plus sombre en lui posant un question déplacée sur sa femme «?Est-ce qu’elle a déjà été sautée par un homme blanc???» ceux qui va montrer au fil de la discussion entre l’automobiliste et Griffin sur le trafic des femmes noirs aux hommes blancs, ceux que Griffin ne suivra absolument pas cette avis.

On peut voir aussi à la page 189-192, Griffin qui explique son changement de situation en redevenant blanc, tout les plaisirs réservée aux blancs comme parler avec eux, les échanges de sourires, manger dans des grands restaurants, l’accès aux toilettes, et un lieu convenable même luxueux où dormir, tout ça Griffin pouvait y avoir droit, mais maintenant il y a ce barrage entre lui et les noirs qui s’était fait, il reçoit la même hostilité des noirs face à lui, non pas pour la personne mais par sa couleur de peau qui était redevenue blanche, comme il avait vécu la même chose des blancs quand il était noir.

Tous ces événements marquants rendent une image très péjorative de l’Amérique à cette époque en montrant l’hostilité que ressentent les blancs sur les noirs, et inversement.

4 ) En quoi peut-on dire que ce texte comporte une dimension argumentative ? Justifiez votre réponse en vous appuyant sur des exemples précis de l’œuvre.

On peut dire que ce texte comporte une dimension argumentative car dans la page 54-55, le passage où Griffin se trouve dans le restaurant Y.M.C.A, il fit connaissance de personnes aisées, et ils commencent tous à parler du problème de la ségrégation des noirs, un vieux monsieur qui est gérant du restaurant prend la parole pour exprimer son mécontentement en parlant que tout noir devrait s’unir ensemble au lieu de ressembler d’avantage à un stéréotype de l’homme noir classe ayant «?les cheveux aplatis, lissés, et ressembler à Rudolph Valentino?»

Ce que les blancs savent très bien, c’est ce qui est dit de désastreux pour le vieux monsieur car les noirs en faisaint cela pour se démarquer des autres vont juste à l’encontre de leurs propres intérêts.

Il y a aussi un autre passage dans le livre qui exprime une dimension argumentative, dans la page 66-69, c’est un long dialogue entre le vieux monsieur qui s’occupe du restaurant Y.M.C.A, Griffin, et Mr. Gayle.

Ils parlent de «?l’injustice sociale?» et de la ségrégation raciale pour le travail, les études, et les droits humains que devrait avoir tout homme sans exception.

Le vieux monsieur disait que même si un noir a fait des études brillantes, il ne pourra jamais accéder au travail de prestige réservé habituellement aux blancs. Et en parlant aussi que le blanc se rend supérieur au noirs. Tout plein de droits que devraient avoir les noirs se font retirer par les blancs, car leurs arguments seraient que un noir n’ai pas à la hauteur de ses tâches.

On peut voir encore une autre dimension argumentative dans le texte à la page 74-76, là c’est seulement Griffin qui parle de ce qu’il ressent par rapport à la société actuelle qui est hypocrite car le noir est traité comme il dit d’un «?citoyen de deuxième ordre?». Il parle de toutes les injustices que le noir doit faire face, à la recherche d’emploi, aux injures répétées, aller dans des lieux où les blancs sont les seuls ayant le droit d’y aller. Cela touche dans l’amour propre le plus profond, pas seulement chez Griffin, mais pour tous les noirs. D’ailleurs dans ce passage Griffin dit une phrase pertinente par rapport au racisme qui se fait chez les noirs «?Ce n’est pas parce que vous êtes Pierre ou Paul qu’ils agissent ainsi à votre égard, ils ne savent même pas qui vous êtes. Ils s’attaquent à votre qualité de Noir.?»

Il a remarqué cela Griffin, comme dans le passage où il était dans le bus et le chauffeur a refusé de le laisser passé tout ça à cause de sa couleur de peau. Toutes ces personnes jugent Griffin alors que s’ils savaient tous qu’il était en fait à la base un homme blanc, leurs comportements seraient totalement différents. Et pourquoi ? A des idées préjugés que les blancs se font sur les noirs, tout cela produit une méfiance chez les noirs pour les blancs. Il y’a aussi ce parallèle entre la vie des blancs et la vie des noirs qui est différenciée clairement, ce qui ne fait qu’accroître la souffrance des noirs.

A la page 135-147, il y a une dimension argumentative car dans ce passage Griffin se fait transporter par plusieurs automobilistes dans la soirée.

En fait l’idée principale pour certains de ces blancs sont d’assouvir leur curiosité morbide de la vie sexuelle des noirs. Griffin explique ainsi comment les noirs sont présentés ainsi vulgairement par les blancs, il les définissent comme une «?image stéréotypée du Noir, machine sexuelle inépuisable, aux organes génitaux énormes et à l’expérience très étendue et très variée?» Griffin se fait ainsi harceler de questions obscènes par les automobiliste, où ils tiennent des propos faux sur les noirs, leur vie sexuelle et la façon dont ils éduquent leurs enfants.

Par la suite Griffin va s’exprimer de ses idées et de ses valeurs à un automobiliste blanc pour lui détourner tout les préjugés faits des blancs sur les noirs, ce qui fera changer l’avis de l’automobiliste, Griffin a ainsi convaincue l’automobiliste.

5 ) En quoi les choix stylistiques de l’auteur sont-ils liés à la dimension argumentative de son texte ?

Les choix stylistiques de l’auteur sont liés à la dimension argumentative de son texte car J-H Griffin utilise des dialogues pour faire passer ses arguments pour défendre la cause des noirs il le fait sous forme de dialogue avec d’autres personnages, le dialogues est un moyen essentiel utilisé chez l’auteur pour confronter ainsi les idées. Ainsi l’auteur fait passer tout un tas idées et de valeurs pour faire réfléchir les lecteurs. L’auteur va aussi y mettre dans ses dialogues des questions directes qui sont des phrases interrogatives, pour permettre ainsi aux lecteurs de s’impliquer dans ses débats et de y réfléchir.

Mais aussi lorsque que Griffin emploie le «?je?» pour dire aux lecteurs ce qu’il ressent, ses pensées et ses valeurs, le lecteur ainsi et plus attentif ou appliqué à ce qu’il va dire l’auteur.

Il utilise aussi des termes péjoratifs qu’on qualifie les noirs par les blancs pour ainsi éprouver chez le lecteur de l’indignation.

6 ) Dans quelles circonstances ce texte a-t-il été écrit ?

Ce texte a été écrit bien après l’abolition de l’esclavage mais cela ne signifie pas la fin des discriminations raciales en particulier dans les États du Sud comme il est montré dans le livre. Il y a eu aussi en 1955, une jeune femme noire du nom Rosa Parks qui a refusé sa place à un blanc dans un bus, elle fut par la suite arrêtée par la police d’Alabama, ce qui a incité Martin Luther King après ce geste de résistance à faire un combat pour l’égalité et stopper cette ségrégation .

7 ) Que pensez-vous de ce texte aujourd’hui ? Vous paraît-il encore avoir un sens ?

Je pense aujourd’hui que ce texte est un exemple à suivre pour toute intolérance non justifiée, je pense que ce livre à encore un sens aujourd’hui car cela permet de rendre compte sur certaines personnes à quel point les noirs ont souffert pendant cette époque, et qu’on n’oublie pas cela, et que même aujourd’hui il y a encore des discriminations sur les couleurs de peaux, les origines, ou la religion, où même toute l’apparence de la personne, ce que je trouve réellement dommage que certains ne réfléchissent pas aux actes qu’il peuvent commettre, à quel point une personne peut-être rabaissée dans son estime et souffrir réellement de ça, je trouve ce livre authentique car rien ne vaut de montrer des histoires réelles pour faire comprendre aux gens qui dépassent les limites, le but c’est de ne plus reproduire cela.

8)Faites des recherches sur la question de l’esclavage aux États-Unis, et sur les différences entre états du Nord et états du Sud qui s’illustrent dans ce texte. Présentez ces recherches.

L’esclavage aux Etats-Unis (1619-1865) commence peu après l’installation des premiers colons britannique et Virginie.

Ils étaient pour ainsi dire «?arrachés?» dans leurs pays auprès de leurs famille et emmenés en Amérique dans les pays du sud pour faire du travail manuel intense sur les plantations. Dans les états du sud, le nombre d’esclaves est bien plus élevé. Les esclaves ne sont pas éduqués qu’il s’agisse de l’anglais ou de la religion car ils ne sont pas considérés comme des êtres humains comparés aux états du nord, ce qui s’illustre bien dans le texte car dans la Nouvelle-Orléans Griffin avait tout de même cette politesse des blancs aux noirs dans certains moments même si elle était hypocrite alors que quand il va dans le sud dans le Mississippi, c’est l’enfer, il n’y a plus de code de conduite ou de respect.

9 ) Comment l’esclavage a-t-il été aboli aux États-Unis ?

L’esclavage fut aboli grâce à Abraham Lincoln qui abolit l’esclavage après la guerre de Succession. Le pays avait des problèmes sur l’esclavage. Dans ces temps difficiles, Abraham Lincoln a été élu le Président des USA en 1860. Il a voulu résoudre le problème sur l’esclavage. Les états du sud étaient contre l’abolition de l’esclavage. Ceci a apporté l’unité du pays en danger. Les états du sud ont été préparés même pour former un nouveau pays. Abraham Lincoln a voulu que tous les états restent unis.
Il a fait face à beaucoup de problèmes. Il a voulu préserver l’unité du pays à n’importe quel coût. Finalement une guerre civile a éclaté entre les états du nord et du sud. Il a fait la guerre bravement et a déclaré «?une Nation ne peut pas exister à moitié de libre et la moitié de l’esclave.?» Il a gagné la guerre et a gardé le pays uni. Le treizième amendement à la Constitution des États-Unis prend en effet le 18 décembre 1865 pour énoncer?: «Ni esclavage, ni aucune forme de servitude involontaire ne pourront exister aux États-Unis, ni en aucun lieu soumis à leur juridiction», c‘est l’abolition de l’esclavage.

10 ) Quel passage du récit vous a le plus touché ? Situez ce passage et expliquez pourquoi cela vous a touché. Vous ferez ensuite la lecture oralisée de ce passage et l’enregistrerez

Le passage du récit qui m’a le plus touchée c’est à la page 176-177 lorsque Griffin est hébergé pour la nuit chez un inconnue noire qui a bien voulu le loger chez lui, il fera la connaissance de sa femme et de ses 6 enfants, il admira par la suite la gentillesse et le courage de cette famille, et en considérant ses 6 enfants comme les siens, et comme il le disait «?sauf le côté superficiel de leur coloration, comme, en vérité, ils ressemblaient à tous les enfants du monde.?»

C’est particulièrement cette phrase qui m’a le plus touchée car je trouve que chaque enfant à son côté angélique et innocent, et que je trouve qu’on devait pas les différencier par rapport aux autres enfants juste par leurs couleurs de peau, qui n’est rien, car il se comporte comme tout enfant, comme Griffin disait il les considère comme ses propres enfants et se considérèrent comme un père de famille pour eux.

Passage tiré du texte p 176-177

 » Je pensais au courage de ces gens qui s’efforçaient d’élever leur famille dans la dignité, à leur reconnaissance qu’aucun de leurs enfants ne fût aveugle ou estropié, à leur empressement à partager leur nourriture et leur logement avec un inconnue — tout cela me confondait. Je quittai mon lit, à moitié gelé, et je sortis. Un brouillard épais estompait la lune. Les arbres, masses fantasmagoriques, se dressaient dans la lumière diffuse. Je m’assis sur un baquet renversé et frémis en sentant sa froideur métallique transpercer mon pantalon. Je pensai à ma fille Susie, à ce jour anniversaire de ses cinq ans, aux bougies, au gâteau, à sa belle robe ; et à mes fils dans leurs vêtements d’apparat. Ils étaient en train de dormir dans des lits propres, dans une maison chauffée, tandis que leur père, un vieux Nègre chauve, était assis dans un marécage et pleurait en se retenant pour ne pas réveiller des enfants noirs Je ressentis de nouveau les douces lèvres des petits Négrillions contre les miennes, me souhaitant bonne nuit avec les mêmes baisers que ceux de mes enfants. De nouveau je vis leurs grands yeux naïfs, encore ignorants des portes qui leurs étaient closes —- celles du pays des merveilles, de la sécurité, de la facilité et de l’espoir. Cela me tomba dessus d’un seul coup. Je le compris non comme un Blanc, ni comme un Noir, mais comme un père de famille. Ces enfants étaient en tout point semblables aux miens, sauf le côté superficiel de leurs coloration, comme, en vérité, ils ressemblaient à tous les enfants du monde.  »


Leave a Reply