Qu’est-ce qui donne envie d’apprendre l’histoire ?

« Pourquoi apprendre ce qui était auparavant tandis que l’avenir est plus important ? Ça ne sert à rien Madame ! » La seule chose que notre nouvelle génération intéresse est tout à fait le smartphone. Sans compter que par exemple les étudiants l’utilisent pendant les cours, même si c’est interdit. Alors l’envie d’apprendre l’histoire ne se donne pas par un simple coup de baguette magique. Donc comment susciter cette envie ?

L’importance des professeurs

Pour commencer il ne faut jamais oublier l’importance d’un professeur. Avoir un bon professeur permet aux élèves de développer cette envie et intérêt. Si le professeur entre dans la classe avec l’air très enthousiaste, les élèves auraient hâte de commencer le cours. Si le professeur montre et émane qu’il aime bien la matière et que c’est très intéressant, les élèves vont probablement être déjà plus ouverts à apprendre de quoi il s’agit. Alors que les professeurs seront déprimés en entrant fâchés dans la classe, les élèves vont le sentir et aussi réagir à leur tour. De plus, il est évident que la manière dont le prof enseigne soit encourageante pour les élèves, sinon les élèves n’ont plus envie de faire des efforts. Le professeur doit créer un climat positif dans la classe, où il y a de la place pour des fautes parce qu’elles sont nécessaires pour arriver à apprendre quelque chose.

Différentes approches : l’influence sur les élèves

Pour les élèves il y a une différence très grande entre les différentes approches pendant les cours. Un professeur peut par exemple entrer dans la classe, s’asseoir, ouvrir son livre et commencer à parler. Les élèves doivent l’écouter pendant tout le cours donc pour eux c’est fatiguant, ennuyant et monotone de travailler de cette manière. Après quelques minutes ils vont probablement perdre leur concentration et leur intérêt pour la matière. Si on fait toujours la même chose dans la classe, ça devient une routine pour les élèves et ils ne font plus attention parce qu’ils savent ce qui va se passer. Toutefois, quand on alterne les approches et les méthodes de travail pendant les cours, en intégrant un jeu de temps en temps ou en utilisant les TIC, les élèves sont obligés de rester alertes.

C’est la tâche et la spécialité des professeurs de trouver une (ou plusieurs) manière(s) de fasciner les élèves et les emmener dans leur histoire. C’est surtout leur tâche d’apprendre quelque chose aux élèves, et la meilleure manière pour arriver à cela est en trouvant des approches qui donnent envie aux élèves de participer et qui leur fascinent. Quand on intègre par exemple de temps en temps un jeu didactique, les élèves seront motivés de connaître la matière parce qu’ils veulent réussir à jouer le jeu et/ou gagner le jeu.

Conclusion : notre avis

Nous tenons à souligner l’importance du rôle d’un prof par apport l’intérêt de l’histoire. Il faut comprendre que à notre point de vue l’enseignement de l’histoire doit être attirant pour que les élèves soient motivés. La motivation intrinsèque pour l’histoire se développe en classe et puis s’évoluera hors de l’école. C’est la tâche du professeur de trouver des manières et des approches pour stimuler cette motivation intrinsèque. Selon nous, on peut motiver les élèves en adaptant le matériel et en intégrant des jeux didactiques et des TIC pour que les cours ne soient pas ennuyants ou monotones.

Sara Laabdi et Brenda Taga

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